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LES PANNEAUX INDICATEURS DU SEDER


   

MEKOR 'HOKHMA bsd

Basé sur les enseignements de Rabbi Na'hman de Breslev

SPECIAL PESSA'H N°20

Pendant la nuit du Séder, nous racontons la sortie d'Egypte (Mitsraïm), nous nous souvenons qu'Ha-chem nous a sorti de la servitude et de l'esclavage. Cependant, si tel est le point central de cette soirée, elle ne nous enseigne apparemment rien de nouveau. En effet, nous rappelons la sortie d'Egypte tous les jours dans les prières du soir et du matin, le Birkat Hamazon, à chaque fête et aussi à l'interieur des Téfilins et Mézouzot. Par conséquent, il y a forcément un enseignement spécial contenu dans le Séder de Pessa'h, un enseignement qui dépasse le cadre du souvenir et qui nous parle car chaque individu doit se considérer comme s'il était lui-même sorti d'Egypte. Si vous comprenez que la Torah n'est pas un livre d'histoire mais qu'elle nous concerne Si vous avez la jeunesse intellectuelle de vouloir rechercher la vérité et d'être prêt à changer au nom de la vérité, alors votre Séder ne sera pas une simple coutume qu'on pratique en souvenir d'un miracle, sans rapport avec notre vie quotidienne. Au contraire, il constituera pour vous une grille de lecture de notre époque en général et de nos problèmes personnels en particulier, une véritable direction parsemée de panneaux indicateurs. Nous allons pouvoir les découvrir dans l'ordre du Séder grace aux enseignements de Rabbenou, Rabbi Na'hman.

1- KADECH

On récite la prière du Kidoch sur une coupe de vin.

La première Mitsvah de la soirée est la récitation du Kidouch qui signifie: sanctification. Car avant de commencer quoi que ce soit, on doit toujours se demander: Où vais-je? Quel est mon but? C'est pourquoi les Sages nous ont demandé de commencer par le Kidouch, afin de nous rappeler qu'Ha-chem nous a descendu dans ce monde pour que nous nous sanctifiions, ainsi qu'il est écrit: "Et vous serez pour Moi une nation de prêtres et un peuple Kadoch (sanctifié, saint)" (Chémot 19- 6), et aussi: "Vous serez Kédochim car Je suis Kadoch" (Vayikra 11- 45). La notion de Kadoch est expliquée par Rachi qui nous enseigne que sanctification veut dire séparation. Le but du Juif est d'être saint, mais pour le devenir il doit de séparer du reste des nations et de leurs coutumes. Nous avons chacun une proportion d'idées et de comportements sous influence non-juive, si ce n'est pas visible dans l'habit, cette assimilation est au moins présente dans les mentalités, on la retrouve dans tous nos mauvais traits de caractères. Se séparer de cette influence correspond à sortir d'Egypte et à devenir saint dans les pensées, paroles et actions. Néanmoins, cet objectif étant défini, nous avons besoin de conseils pour l'atteindre. Comment faire? Nous allons le savoir grace à la suite du Séder.

2- OUR'HATS

Aprés avoir récité le Kidouch sur une coupe de vin, on se lave les mains sans bénédiction.

Maintenant que nous avons déterminé qu'il fallait rechercher la sainteté, on fait un premier pas en direction de celle-ci. Il faut commencer à se nettoyer, précisément les mains. Car nous ne pouvons pas en rester qu'aux bonnes intentions, il faut agir. Celui qui désire la vérité doit pratiquer les commandements en fonction de ses possibilités du moment, même si elles sont limitées. Il doit faire ce qu'il peut car l'action amène à la compréhension. C'est la raison pour laquelle la première chose que le peuple juif a proclamé après avoir reçu la Torah est: "Nous ferons et nous comprendrons!". Dans les civilisations occidentales, faire sans comprendre est appelé primitivisme mais chez nous c'est la clef de la connaissance. La réponse à nos questions, nous l'obtenons sans poser de question, grace à notre Emouna (Foi, confiance en D-ieu). Car la Emouna est l'arme qui nous permet de traverser les siêcles et leur lot d'oppressions. Toutes les civilisations qui nous ont opprimés ont disparu malgré leur hégémonie mondiale. Mais nous, petit peuple d'Israël, nous sommes toujours là grace au don de soi de nos ancêtres qui ont précieusement conservé la pratique des Mitsvot. Car la pratique (les mains) sanctifie le Juif et attire sur lui une perception de la connaissance de D-ieu, le Daat, symbolisé par l'eau avec lequel on se lave les mains. Néanmoins, ce lavage des mains (Our'hats) se fait sans bénédiction, car nous ne faisons que commencer à nous purifier.

3-KARPAS

On trempe un petit morceau de céleri (Karpas) dans de l'eau salée et on le mange.

Généralement, celui qui commence à se purifier, à faire Téchouvah, désire atteindre les plus hauts sommets rapidement. Cet état d'esprit provient directement de la société de consommation occidentale qui repose sur les valeurs du "Tout, tout de suite" et "Les premiers sont les meilleurs". C'est pourquoi il faut manger un petit morceau de céleri qui n'est qu'un simple légume, afin de comprendre qu'il faut savoir se satisfaire du peu que nous sommes capables de faire et même de nous en réjouir. Car chez D-ieu, on ne considère pas quelqu'un selon sa place, on le considère selon ses possibilités. Et Rabbi Na'hman dévoile encore plus que cela, il nous enseigne que le plus grand Cavod (honneur) d'Ha-chem réside dans le fait que des gens éloignés fassent un petit effort pour se rapprocher de Lui. Hélas, beaucoup de nos frères qui ont commencé à faire Téchouvah se sont arrêtés parce qu'ils ne voyaient pas de "réussite" dans leur dévotion, soit ils se sont résignés à stagner, soit ils ont abandonnés complètement. Cela provient du fait qu'ils ne savent pas que D-ieu les apprécie avec leur petit niveau et que s'ils continuent avec patience à se satisfaire de petites choses, les portes leurs seront ouvertes plus rapidement qu'ils ne le croient. Ils raisonnent avec des critères non-juifs de "Success-story". C'est pour échapper à ce mensonge que nous trempons un simple morceau de céleri dans de l'eau salée, c'est le préambule du bon repas qui nous attend, un peu plus tard...

4 - YA'HATS

On brise la Matsah du milieu en deux et on cache le plus gros morceau en guise d'Afikomène.

Nous avons compris qu'il faut savoir être patient et se satisfaire de peu, nous pouvons alors commencer à vraiment servir D-ieu. Mais il nous faut connaitre la prochaine étape: la brisure (Chvira). Nous connaissons tous des brisures, des situations que nous aurions préféré éviter mais que faire, la vie est ainsi faite. Il en va de même dans le progrès spirituel, c'est pourquoi nous brisons la Matsah en deux. Quelle est la volonté divine qui se cache derrière une telle situation? Ne valait-il pas mieux que la Matsah reste entière? Non! Une graine de blé, avant d'être plantée, est on ne peut plus entière, complête. Pourtant une fois sous terre, elle commence à se décomposer totalement, elle se brise. A ce moment elle ne sert apparemment pas à grand chose mais la suite va prouver le contraire: un épi entier a poussé. Et cette épi va lui aussi être brisé, déraciné puis broyé en farine et ainsi de suite jusqu'en arriver au pain qui lui aussi va connaitre un destin difficile, il va disparaitre dans le système digestif d'un être humain. Mais ce faisant, il a joué un rôle exceptionnel, il a permis à un juif d'avoir des forces pour servir D-ieu. Il a vraiment servi son Créateur, beaucoup plus que s'il était resté entier sous forme de graine. Et ainsi en est-il pour chacun de nous, chaque brisure nous aide et nous comprenons rétroactivement que sans l'avoir vécue, nous n'aurions pas pu grandir et être ce que nous sommes aujourd'hui. Par conséquent, gardons notre sang-froid en période de chute spirituelle. Il faut savoir que les choses ne vont pas toujours comme on le désire, ce processus fait partie du chemin vers la sanctification. En outre, le plus gros morceau (Afikomène) est caché pour la fin, c'est la récompense qui nous attend.

5- MAGUID

Lecture de la Hagaddah.

La lecture de la Haggadah est un commandement positif de la Torah: raconter la sortie d'Egypte. Dans cette Mitsvah, il nous est donné de réaliser le moyen essentiel dont nous disposons, en tant que Juif, afin d'aller vers la sainteté: la parole. Le saint Ari Zal a décomposé le mot Pessa'h en deux: "Pé" et "Sa'h" qui veut dire la bouche (pé) qui parle (sa'h). car l'essentiel de notre force réside dans la bouche. Parole de prière, louanges et remerciements envers le Créateur, demande de nos besoins. Paroles de Torah au sujet desquels nos Sages ont enseigné que l'étude devait se faire avec la bouche, pas dans le silence. Ha-chem n'a-t-il pas créé le monde par la parole? Et Yaakov, le père des douze tribus d'Israël est représenté dans la Torah par sa voix, ainsi qu'il est écrit: "La voix est la voix de Yaakov!" (Béréchit 27- 22). C'est ainsi que nous construisons et s'il faut passer par l'action des mains comme nous l'avons vu auparavant, il ne faut néanmoins pas croire que c'est leur force qui nous a fait réussir car sans l'aide de D-ieu que faire? Maintenant que nous possedons notre arme principale, il est possible de nous sanctifier encore plus.

6- RO'HTSA

Lavage des mains avec bénédiction

Nous avons progressé n'est-ce-pas! Nous faisons maintenant une bénédiction car nous avons compris l'importance de la parole. Néanmoins, pourquoi se relaver les mains puisque nous l'avons déjà fait une fois? A ce sujet, on répondra grace à l'enseignement du Likoutey Moharane (Torah 6) où Rabbi Na'hman enseigne que faire Téchouvah est bien mais pas suffisant, il faut faire Téchouvah sur notre propre Téchouvah. En effet, la stagnation spirituelle est une sorte de mort, D-ieu en préserve. On doit toujours se remettre en question par rapport à notre attachement à D-ieu, sinon il devient vide de sens. Quand on s'arrête, notre vieil ennemi, le Yetser Ara, revient sournoisement s'installer en nous afin de diriger lui-même la barque de notre dévotion. Et pour cela, il est prêt à se déguiser en Torah et Mitsvot ainsi que nous l'apprend Rabbenou (Likoutey Moharane 1, Tôme I). Mais quand un juif est constamment en recherche et en remise en question, le Yetser Ara n'arrive pas à l'attraper car il ne reste jamais à la même place. Le deuxième lavage des mains symbolise cette seconde Téchouvah qui fera elle même l'objet d'une nouvelle Téchouvah car la perception de D-ieu est sans fin, on peut toujours l'améliorer. C'est un merveilleux conseil qui nous est livré ici.

7- MOTSI MATSAH

On fait la bénédiction sur la Matsah et on la mange.

Nous avons appris dans le feuillet précédent que la difference entre le pain ('Hamets) et la Matsah réside dans l'air qui est absent de la Matsah parce qu'on a pas laissé le temps à la pâte de gonfler. L'air symbolise l'orgueil de l'homme qui essaye d'être plus important qu'il ne l'est réellement, il se gonfle d'orgueil et joue un personnage qui n'est pas lui-même. La société occidentale a tellement intériorisé en nous ce jeu de rôle basé sur le mensonge que nous ne nous apercevons plus que nous ne sommes pas nous-mêmes, juste un personnage économico-social dans une situation sociologique donnée, les rôles changeant en fonction des situations (supérieur hiérarchique ou inférieur). La Matsah est sans air, elle représente notre intériorité authentique, celui ou celle que nous sommes réellement. Aprés tous les stades précédents de sanctification, il nous est possible maintenant de manger la Matsah, c'est à dire de commencer à sortir (Motsi signifie sortir) du plus profond de soi la sainteté merveilleuse qui est en nous (Matsah), c'est notre partie pure et sainte qui brille.

8- MAROR

On consomme l'herbe amère.

Nous avons déjà goûté l'amertume de la brisure mais il s'agit ici d'une autre amertume, celle de la réparation. Rabbi Na'hman enseigne que la quantité de plaisir ressentie lors des péchés doit être payée par une quantité équivalente d'amertume et de déplaisir, cela constitue un rachat pour notre bien. Mais il nous faut savoir que D-ieu, dans Sa grande bonté, ne nous fait pas payer en une fois notre dette car nous ne pourrions pas le supporter. Alors Il envoie régulièrement des situations créatrices d'amertume en fonction de notre capacité du moment à les supporter Les Sages nous ont recommandé de prendre de préférence de la laitue en qualité d'herbes amères et c'est trés étonnant car la laitue a plutôt un bon goût. On explique alors que les racines de la laitue sont amères, c'est pourquoi les feuilles sont appelées Maror. Malgré tout, comment comprendre cela? Rabbi Na'hman nous apprend qu'il faut transformer l'angoisse et l'amertume en joie. Arriver à se réjouir dans les moments difficiles consiste à changer la racine amère en feuille agréable au goût et cela nous est possible si nous avons suivi comme il convient toutes les étapes du processus de sanctification. Car à ce stade, ne devient-il pas de plus en plus évident que tout ce que fait D-ieu est pour le bien! Celui qui a foi en cela peut payer sa dette d'amertume avec de la joie. Ceci constitue la plus haute forme de Téchouvah, la Téchouvah par l'amour au sujet duquel il est dit que nos péchés se transforment en mérites. Néanmoins, celui qui n'a pas encore ce niveau ne doit pas se décourager car le bon repas approche.

9- COREKH

On mange ensemble de la Matsah et du Maror.

Nous ne sommes pas encore arrivés au bout du processus de sanctification, le bien (Matsah) et le mal (Maror) sont encore mélangés en nous. Nous n'avons pas encore atteint la perfection et il faut constamment s'en rappeler si l'on veut ne pas tomber dans l'orgueil. Quand on commence à voir les fruits de notre dévotion apparaitre, on est en danger. Tout à coup, on arrive à bien étudier et même à enseigner aux autres. Nos connaissances sont de plus en plus nombreuses et une petite réputation commence à poindre, on prend des positions et on arrive même à emettre des avis. C'est à ce moment que le Yetser Ara se déguise en Mitsvot pour nous tromper, il veut nous faire croire que nous sommes arrivés et que nous détenons la vérité. C'est pourquoi on mange la Matsah avec le Maror, afin de nous rappeler que même si nous avons le droit d'avoir des engagements et des opinions, nous devons avoir l'humilité de savoir que peut-être nous nous trompons et qu'il faut savoir rester discret et respecter toutes les tendances religieuses qui sont attachées à la Torah de Moché Rabbenou (écrite et orale) et à la pratique des commandements. Généralement, le penchant du mal se régale quand un individu est arrivé à un petit niveau, il lui donne la "grandeur" de s'opposer à ceux qui se "trompent" et à raconter sur eux tout le mal qu'il leur impute, il grandit le fossé qui sépare les enfants d'Israël. En outre, même si une personne se trompe, nous avons un commandement de l'aimer comme nous-mêmes. Nous acceptons nos propres erreurs avec indulgence, alors faisons-le aussi pour les autres. Si nous comprenons cela, nous sommes prêts pour l'étape suivante.

10- CHOUL'HAN OREKH

On prend un repas de fête.

Enfin, il est temps de jouir du fruit de nos efforts. La vie est parsemée de ces moments ou tout devient clair et pendant lesquels la présence divine est à portée de nous. Un rayon de soleil qui vient nous dire de ne pas nous inquieter car D-ieu est avec nous. Notre chemin vers la sanctification est débroussaillée et tout commence à se mettre en place, telle une table dréssée (Choul'han Orekh), grace aux conseils que nous avons reçu lors des précédentes étapes du Séder. On réalise alors que la vie juive est la plus belle qui soit et que les restrictions apparentes de la loi (Choul'han Aroukh) sont en vérité de précieuses aides vers la liberté et le bonheur. Néanmoins, le repas ne s'arrete pas là. Nos Sages nous demandent de garder assez d'appetit pour consommer l'afikomène.

11- TSAFOUN

On mange l'Afikomène.

L'afikomène est la plus grande partie de la Matsah que nous avions brisée lors de "Ya'hats". Il est caché (Tsafoun) car il fait allusion à la partie cachée de notre âme vers laquelle nous avons dirigé nos recherches, notre moi authentique, celui du Juif saint qui est en nous. Nous avons l'habitude de laisser les enfants cacher cette partie de la Matsah, c'est pour nous expliquer que notre vérité était cachée à cause du manque de maturité. On dit d'Eliahou le prophète qu'il viendra rapprocher les enfants de leurs parents. Eliahou représente l'ensemble des Tsadikim authentiques qui sont les seules personnes à pouvoir nous aider dans notre quète de la vérité et de la sanctification. Car sans les enseignements du Tsadik, nous sommes comme des enfants immatures, sans direction précise. Néanmoins l'aspect "enfant" qui est en nous est un point positif, car il comprend la capacité d'être intellectuellement disponible et de n'avoir aucun à priori, l'enthousiasme et la fraicheur. Et maintenant que nous reste-t-il à faire si ce n'est louanger Ha-chem pour cette merveilleuse soirée pleine de conseils.

12- BAREKH, HALLEL

Récitation des actions de graces après le repas et du Hallel Hagadol.

D-ieu dirige le monde de deux façons. La première, avec les lois de la nature. La seconde, au-dessus des lois de la nature, miraculeusement. Le Birkat Hamazone est un remerciement pour la manière dont D-ieu a dirigé le monde "logiquement" afin que nous puissions manger. C'est à dire qu'il nous a octroyé une source de revenus grace à laquelle on a pu se procurer tous les besoins de la fête. Le Hallel Hagadol est une succession de louanges pour tous les miracles incroyables que D-ieu nous a prodigués tout au long de l'histoire. La juxtaposition de ces deux prières veut nous faire comprendre qu'en vérité, dans la nature ou au dessus de la nature, la providence divine est omniprésente. Et un jour, nous nous apercevrons que tout n'était que miracle.

13- NIRTSAH

Nos prières ont été agrées par Ha-chem.

A la fin de cette soirée, il ne nous reste plus qu'à nous souhaiter de vivre encore de nombreuses années, douces et bonnes car nous connaissons les moyens d'arriver au bonheur, grace aux panneaux indicateurs du Séder. Le bonheur de notre délivrance individuelle, nous le partagerons bientôt tous ensemble, l'année prochaine à Yéroushalaïm avec Machia'h Tsidkénou, AMEN!

 

Le feuillet de la semaine est dédié à Saadia Elhadad et à toute sa famille. Qu'Ha-chem leur octroie toutes les bénédictions spirituelles et matèrielles ainsi qu'un parfait rétablissement à Méïr Ben Fré'ha, AMEN.

Vous pouvez offrir le feuillet de la semaine en téléphonant à Jérusalem au CENTRE BERECHIT au O53- 921 954

           

 

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