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LE WEB DES JUIFS TUNISIENS

 

RABBI MEÏR BAAL HANESS


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Rabbi AKIBA avait 24000 élèves, les uns plus érudits en Thora que les autres. Ces étudiants périrent au cours des 33 premiers jours du Omer, parce qu’ils ne se témoignaient pas de respect mutuel.

Rabbi AKIBA restaura l’Etude avec 5 nouveaux Talmidé-Hakhamim : Rabbi CHIMON BAR YOHAÏ ; Rabbi MEÏR ; Rabbi YOSSI ; Rabbi NEHEMIA et Rabbi YEHOUDA. Ces rabbins restaurèrent la Thora entière, ils sont les rabbins de la MICHNA. (Yébamot - 63a).

La GUEMARA nous raconte : l’empereur romain avait dépêché Néron pour détruire JERUSALEM. Lorsqu’il arriva à proximité de la ville, il voulut interroger le sort pour savoir si cela lui serait possible. Que fit-il ? Il lança une flèche du côté de l’est, elle tomba sur Jerusalem ; de même pour les 4 points cardinaux : toutes tombèrent sur Jerusalem. Il comprit ainsi qu’il réussirait dans son entreprise.

" Le Saint béni Soit-Il désire détruire son sanctuaire, mais Il me punira ensuite pour cela... "

Il prit la fuite et se convertit au Judaïsme ; Rabbi Meïr fut l’un de ses descendants. (Guittin,138)

Nos sages disent que le nom de Rabbi Meïr était en fait " Rabbi NEHOURAÏ " et qu’on l’appelait Rabbi Meïr parce qu’il éclairait les sages dans le domaine de la HALAKHA.

Pourquoi la Halakha n’a pas été fixée selon son opinion ? c’est qu’il avait la possibilité de dire d’une chose présumée impure qu’elle était pure et de le prouver, et vice et versa. (EROUVIN,138).

RAVINA disait de lui : " Lorsqu’on voit Rabbi MEÏR au Beth - Hamidrach, on a l’impression qu’il déracine des montagnes et les broie... "

Rabbi AKIBA lui donna la " SMIKHA , mais il ne la reconnut pas, parce que Rabbi MEÏR était encore un jeune homme à l’époque.

Rabbi MEÏR est nommément cité dans trois cent trente cinq halakhot (règles et lois) de la Michna. La tradition précise que si dans la Michna on trouve simplement le terme MATNITIM (on apprend dans la Michna) c’est de Rabbi MEÏR dont il s’agit. Son enseignement : 1/3 HALAKHA ; 1/3 AGADA ; 1/3 MACHAL. Son antagoniste principal fut son collègue Rabbi YEHOUDA.

Il n’accepta jamais de tirer un profit quelconque de la Thora et ses revenus lui venaient de ses travaux de scribe. Ses élèves lui demandèrent une fois : Rabbi, et tes enfants qui subviendra à leurs besoins ? " S’ils deviennent des justes, les besoins seront satisfaits ; je n’ai point vu de juste délaissé, ou ses enfants obligés à mendier du pain (Téhélim 37) ; et si ce ne sont pas des justes, dois-je laisser mon bien aux ennemis de D’ ?

** Rabbi MEÏR, Rabbi YEHOUDA et Rabbi YOSSI voyageaient ensemble. Rabbi MEÏR avait égard au nom des personnes qu’il rencontrait. Le nom avait-il une signification heureuse, c’est que celui qui le portait avait de bonnes qualités ; était-ce un pronostic facheux,son propriétaire n’inspirait plus confiance à notre docteur  ; tandis que les deux autres rabbins étaient indifférents à cet égard.

La vieille de Chabbat, nos trois voyageurs pour ne pas violer la loi chabatique, s’arrêtèrent dans un village où il y avait un hôtelier répondant au nom de Kidor.

Le nom ne plut pas à Rabbi MEÏR " KIDOR TAHAPOUHOT HAMA " Rabbi YEHOUDA et Rabbi YOSSI traitèrent leur camarade de visionnaire, et n’hésitèrent pas à confier leur bourse à leur hôte. Rabbi MEÏR, fidèle à ses pressentiments cacha sa bourse dans le caveau funéraire de la famille de son hôte. Il était certain qu’elle serait là en sûreté. Pendant la nuit kidor eut un songe ; il vit son père qui lui conseillait de prendre la bourse qui bourse qui était dans son caveau. Le lendemain jour de Chabbat, kidor raconta son rêve à Rabbi MEÏR ; ce dernier lui dit : " comment peux-tu accorder de l’importance aux rêves " Rabbi MEÏR, peu confiant, garda les abords du caveau pendant le Chabbat. A la tombée de la nuit, il reprit sa bourse, et il fit bien ; car, lorsque le dimanche matin les trois confiants rabbins demandèrent leur argent à l’hotelier, celui-çi déclara catégoriquement n’avoir rien reçu. Mais Rabbi MEÏR ne perdit pas son sang froid. Il remarqua que kidor venait de manger des lentilles et qu’il en était resté une sur ses lèvres. Il se mit en route avec ses compagnons pendant que kidor donnait l’argent à sa femme ; argent dont il venait de dépouiller les voyageurs. Après un quart d’heure de marche, Rabbi MEÏR retourna seul à la maison de kidor et raconta à la femme de l’aubergiste que ce dernier l’envoyait pour qu’elle lui remette l’argent que lui avait confié son mari, ce dernier devant investir cet argent dans une affaire ; comme preuve de la véracité de sa mission, il ajouta : " vous avez mangé des lentilles aujourd’hui "

La femme ne douta plus et remit l’argent à Rabbi MEÏR, qui alla sans plus tarder rejoindre ses amis. Lorsque kidor revint le soir chez lui, sa femme s’empressa de lui raconter qu’elle avait remis l’argent au messager qu’il avait envoyé. Décrire la fureur de kidor est impossible. Il comprit que c’était un des hôtes de la veille qui avait repris son argent volé et il se vengea en tuant sa femme.

 

** Rabbi MEÏR était ROCH YECHIVA à cette époque car il était le plus important des élèves de Rabbi AKIBA et cela lui conférait le premier rang. Il alla ensuite s’installer à TIBERIADE où il fonda un BETH-HAMIDRACH. L’un de ses plus grands disciples fut Rabbi YEHOUDA HANASSI, qui disait : " Si je suis plus brillant que mes collègues, c’est parce que j’ai vu le dos de Rabbi MEÏR " (EROUVIN).

On rapporte qu’il donnait pour toute chose impure 48 raisons d’impureté ; et pour toute chose pure, 48 preuves de sa pureté.

Rabbi MEÏR a eu deux fils qui moururent de son vivant.

Rabbi MEÏR fut témoin de l’assassinat et du martyre des justes de son temps. Il vit comment les romains lacérèrent le corps de son saint maître Rabbi AKIBA, avec des peignes de fer ; comment YEHOUDA BEN BABA fut tué, comment Rabbi HANANYA BEN TARDION qui rassemblait les foules et leur enseignait la Thora, fut condamné par les romains à être brûlé vif. Brouria, fille ainée de R. H. BEN TARDION devint la femme de Rabbi MEÏR.

** Une soeur de Brouria fut enlevée par les romains et envoyée à Rome, cela pour punir la tenacité de Rabbi HANANYA et de le déshonorer dans la personne de ses enfants.

Brouria dit à son mari : " C’est une chose odieuse pour moi de savoir que ma sœur est vouée à la honte ". Rabbi MEÏR se munit d’une bourse remplie de dinars et partit en disant : "  Si elle est restée pure, je la sauverais par un miracle ; sinon, le miracle ne se produira pas ". Prenant les allures d’un cavalier romain, il alla trouver la jeune fille et se convainquit bientôt par ses réponses qu’elle était toujours digne de sa famille. Se rendant auprès de son gardien, il lui dit : " cède-moi cette jeune fille - Je ne puis, répondit le gardien, car je dois remettre aux agents du trésor public le prix de son déshonneur. Prends cette bourse, lui dit Rabbi MEÏR ; tu garderas la moitié pour toi, et chaque fois que l’on te demandera de l’argent tu en donneras du restant. Mais quand cette moitié sera épuisée que ferais-je ? répondit l’homme. Tu diras : " D’ de MEÏR, viens à mon secours " et tu seras sauvé ! Est-ce bien vrai ?

Il y avait autour d’eux des chiens méchants qui mordaient les passants : Le gardien de la jeune fille leur jeta un peu de terre, et les chiens se précipitèrent sur lui. Il s’écria alors : " D’ de MEÏR, viens à mon secours ! " et les chiens le lachèrent. Convaincu par ce miracle, il donna la jeune fille à Rabbi MEÏR. Le gouverneur, ayant appris cet enlèvement, s’empara du gardien et le condamna à la potence. " D’ de MEÏR réponds moi ! implora-t-il. Il fut impossible de le pendre. Les bourreaux l’interrogèrent et il raconta son histoire. Aussitôt le signalement de Rabbi MEÏR fut envoyé à tous les gouverneurs et Rabbi MEÏR dut se sauver.

**Rabbi MEÏR donnait un cours au Beth-Hamidrach tous les vendredi soir. Une femme avait l’habitude de venir écouter son discours. Il arriva une fois que Rabbi MEÏR s’étendit sur son sujet, et là quand la femme retourna chez elle, les bougies de Chabbat étaient déjà éteintes. Son mari l’interrogea : Où étais-tu ? J’écoutais la dracha de Rabbi MEÏR- Eh bie, répondit le mari, tu ne rentreras pas avant d’aller cracher au visage de ce discoureur. Rabbi MEÏR, dans son esprit prophétique le sut ; il fit semblant d’avoir mal à l’œil et demanda si une femme dans l’assemblée, connaissait les murmures pour guerir et vienne pour le soulager (les murmures s’accompagnaient de crachats). Cette femme se présenta ; sais-tu murmurer les formules pour les yeux ? non fut la réponse ; Rabbi MEÏR lui recommenda alors de lui cracher 7 fois au visage. Il lui dit alors : " Ton mari t’a ordonné de me cracher une fois au visage, tu lui dira que tu as craché 7 fois ".

Ses élèves s’insurgèrent : Nous aurions pû faire venir ce mari et lui infliger la flagellation, jusqu'à ce qu’il se réconcilie avec sa femme. Mon honneur est-il plus cher que celui du Créateur ? répondit Rabbi MEÏR. Le Nom ineffable qui a été écrit sur le parchemin doit être effacé dans l’eau afin de ramener la paix entre un homme et son épouse. Le nom de MEÏR ne doit-il pas s’effacer à plus forte raison.

 

** La reine cléopatre demanda à Rabbi MEÏR : " Je sais que les morts reviendront à la vie , puisqu’il est écrit : Et il apparaîtront dans la cité comme des herbes des champs. Mais je voudrais savoir : Lorsqu’ils quitteront leurs tombes, seront-ils vêtus ou non ?

Faisons une analogie lui répondit Rabbi MEÏR : Si un grain de blé, qu’on sème et qu’on enfouit tout nu sous terre, en ressort lorsqu’il a germé, habillé de plusieurs couches ; à plus forte raison les justes, qu’on enterre sans leurs vêtements, se lèveront vêtus. (Sanhedrin).

**Rabbi MEÏR ne quittait jamais le Beth-Hamidrach, après la prière du matin. Il arriva qu’il sortit une fois précipitament après la prière. IL rencontra en route deux serpents. L’un dit à l’autre : D’ m’envoie à Anatot (près de JERUSALEM) mettre à mort Yéhouda, sa femme et ses enfants, parce qu’il ne fait jamais la charité. Rabbi MEÏR prit un autre chemin et arriva avant eux. Il se présenta à la famille et leur demanda à manger. Il dit à Yehouda : Prend ce pain et remet le moi en disant : " Ce pain, je te le donne en aumone ". Rabbi MEÏR dit à Yehouda d’envoyer sa femme et ses enfants en sûreté ailleurs, et ils restèrent les deux seuls. Vers deux heures du matin, le serpent se glissa dans la maison. Que fais-tu içi lui dit Rabbi MEÏR ? D’ m’a envoyé pour tuer Yehouda. Pourquoi lui demanda Rabbi MEÏR ? Parce qu’il ne fais pas de Tsedaka. C’est faux lui dit Rabbi MEÏR ! hier soir il m’a donné ce pain pour le voyage. Rabbi MEÏR fit sortir le serpent et ferma les issues de la maison.

Le serpent revint : Il prit la voix de la femme de Yehouda : " Mon cher époux, ouvre moi la porte ". Quelques instants plus tard le serpent prit la voix de son fils : " ouvre papa, il fait froid ". Ce n’est pas ton fils dit Rabbi MEÏR à Yehouda. Lorsqu’il se rendit compte qu’il ne pourvait tuer Yehouda, il fut pris d’épouvante : " Malheur à moi, car les cieux ont décidé une chose et en bas ils ont annulé le decret ". Il trouvèrent le lendemain le serpent mort au seuil de la porte.

LA TSEDAKA SAUVE DE LA MORT

ELISHA BEN ABOUYA

 

Il fut un des maîtres de Rabbi MEÏR. Son génie était vaste et profond, mais il abandonna la foi.

Son père, Abouya était un des plus riches propiétaires fonciers en Israel.

A la naissance de son fils ELISHA, Abouya décida que le jour de la circoncision de l’enfant une grande fête serait célébrée. Parmi les invités Rabbi ELIEZER et RABBI YOCHOUA.

**Quand l’enfant fut circonçis, on se mit à table,et, avec les vins exquis et les mots recherchés (verse encore du vin dans mon verre), les gais propos commencèrent à circuler. Les esprits s’animèrent peu à peu, et à une conversation d’abord réglée, succédèrent bientôt des causeries plus libres, provoquées par l’entrée en scène des chanteurs et des danseuses.

A ce moment les deux docteurs se dirent l’un à l’autre : " Laissons ces gens s’occuper de leurs affaires mondaines, occupons nous de nos affaires, c’est à dire l’étude de la Thora "

Ils se retirèrent dans une autre salle et continuèrent leur étude sur la Kabala. Les deux savants étaient donc plongés dans leur discussion sur la MERKAVA ; leurs arguments étaient si justes, les questions posées si précises, qu’une " flamme divine " descendit sur eux et les entoura. Abouya se précipita dans la chambre :

" êtes-vous venus içi pour mettre le feu à ma maison ? ".Les sages lui expliquèrent que cette lumière était une suite à leur étude : " cette Loi a été promulguée au Sinaï, au milieu de la foudre et des éclairs, et c’est elle qui dégage ces vives lueurs, que toi et tes convives avez pris pour un incendie ".

Abouya plein d’admiration, sur la puissance de la Thora, fit un voeu de consacrer son fils à cette étude. Mais, les mobiles étaient purement humains. L’enfant d’Abouya qui reçut le prénom d’Elisha montra dès son jeune âge des dispositions remarquables pour l’étude. A un âge encore jeune, il égalait déjà ses professeurs. L’étude ordinaire de la Loi ne suffisait plus à son ardeur ; il se porta sur la métaphysique : sur le zohar. Ce gouffre où d’autres intelligences avaient sombré. Le jeune docteur, entré, comme le dit le Talmud,dans un jardin merveilleux ( PARDES ) foula aux pieds les plantes les plus délicates ; en d’autres termes, le scepticisme devint sa doctrine.

Une fois, alors qu’il étudiait la Thora dans la vallée de Guinossar, Elisha vit un homme grimper à la cîme d’un palmier pour y attraper des oiseaux. La Thora interdit de prendre ensemble la mère et les oisillons. Il faut d’abord renvoyer la mère : " Afin que tes jours se prolongent ". Il vit l’homme appliquer intégralement la " mitsva " en renvoyant d’abord la mère ; mais en redescendant il fut piqué par un serpent et mourut !

OU SONT LES JOURS LONGS QU’IL ETAIT SENSE DE VIVRE ?

Elisha en voyant cela devint hérétique ; on l’appela alors AHER = AUTRE .

En réalité, ces promesses de bonheur et longévité ne peuvent se rapporter qu’à l’existence de l’âme dans le monde futur.

Certains de nos sages font la difference entre l’usufruit de la récompense d’une mitsva " dans ce monde " et le " capital " réservé pour le monde futur.

Il apparaît de ce midrach qu’il faut élargir le DOMAINE DE DEFINITION DE LA VIE AU MONDE FUTUR.

Rabbi MEÏR continua d’étudier auprès de AHER ; en Eretz Israel on disait : Rabbi MEÏR a mangé la datte et rejeté le noyau. Et RABBA d’expliquer : " Pourquoi les sages sont-ils comparés à des noix ? " " C’est que les noix, même si la coquille est pleine de boue, ce qui est à l’intérieur reste propre. De même si un sage s’est avili, son enseignement ne perd pas de sa valeur ".

AHER tomba malade et dut s’alliter . Rabbi MEÏR alla lui rendre visite et le trouva très malade ; " Si je me repens à présent que je suis très malade mon repentir sera-t-il accepté ? Même lorque l’âme d’un homme est vacillante, son repentir est encore accepté. A ce moment Elisha se mit à pleurer et rendit son âme.

Rabbi MEÏR, fidèle au maître dit : " Après ma mort, j’intercederai pour lui et j’obtiendrai son pardon définitif ; ce jour une flamme sortira de la tombe de AHER.

Cependant Rabbi YOHANAN dit : " Quel est cet exploit d’avoir réussi à faire consumer son maître par le feu ? Il ajouta : " Quand mourrai-je pour éliminer cette fumée qui s’échappe de sa tombe " Quand Rabbi YOHANAN quitta ce monde il n’y eut plus de fumée sur la tombe de AHER.

 

**Rabbi MEÏR mourut en Asie (hors d’ISRAEL) ; il demanda à ses disciples : " vous mettrez mon cercueil au bord de la mer, du côté de la Terre Sainte, afin que les passants s’écrient : Ici repose l’homme que des paroles haineuses ont chassé du pays ". Etant parti en exil, il voulait du moins n’être séparé de cette Terre qu’il avait tant Aimé que par les vagues de la mer.

Ses dernières volontés furent ponctuellement exécutées ;

son cercueil fut ramené plus tard et enterré à TIBERIADE, à proximité des thermes et du lac de TIBERIADE

 

COLLELOUT RABBI MEÏR BAAL HANESS

20% des enfants d’Israel vivent en dessous du seuil de pauvreté.

Le COLLELOUT RABBI MEIR de TIBERIADE s’occupe de nourrir et d’instruire ces enfants originaires d’Afrique du nord. Elle comprend un internat, recoit des enfants dès la maternelle et assure une section de formation de jeunes rabbins. Elle diffuse la Thora en créant des cours du soir dans différents quartiers de la ville.

Nous comptons sur votre générosité. Votre aide par chèque à l’ordre de <<yechiva Rabbi Meïr>> est à adresser à : YECHIVA RABBI MEIR - BP 230 TIBERIADE – Israel . – Notre équipe n’est formée que de volontaires. Boîte de TSEDAKA envoyée sur demande.

Que le mérite de Rabbi Meïr vous donne succès dans vos entreprises.

Pour une naissance, une bar mitsva, un mariage, une demande de refoua cheléma , la demande est transmise dans les huit jours à la yéchiva.

 
"robert corcos" <robert.corcos@free.fr> 


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