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LE WEB DES JUIFS TUNISIENS

 

RUBEN CORCOS


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Entrée en matières

 

Même sans atome, l’espace contient toujours « quelque chose ». Le néant absolu n’est pas de ce monde. Le vide est plein d’énergie, de champs et de particules à « l’état virtuel ». Le vide joue un rôle clé en physique. Pour le théoricien, le monde physique peut s’expliquer par 4 forces fondamentales.

  1. La force de gravitation.
  2. La force électromagnétique.
  3. La force nucléaire faible.
  4. La force nucléaire forte

 

Les lois régissant la matière, sont liées à deux théories fondamentales : La relativité générale d’une part, et la relativité restreinte et la mécanique quantique d’autre part.

La relativité générale indique comment la matière se déplace dans un espace-temps courbe. Inversement la matière courbe l’espace-temps. On peut comparer l’espace-temps au filet tendu d’un trapéziste. Si l’on pose un corps comme le soleil sur ce filet , et bien, toute la géométrie et le temps associés en sont modifiés. L’espace-temps est dû à la présence de masse.

Auparavant, on croyait que si toutes les choses disparaissaient de l’univers, le temps et l’espace demeureraient quand même. Avec la théorie de la relativité, le temps et l’espace disparaissent avec les choses.

* Par contre, si le corps en question n’a pas de masse, comme par exemple les particules élémentaires (protons, neutrons, électrons) le filet ne subit pas alors de distorsion, Le filet de trapéziste reste alors plat ; ces particules dont la masse serait négligeable seront alors régies par les lois de la mécanique relativiste et les lois de la mécanique quantique relatives à l’infiniment petit.

Dualité onde - particule : On ne peut pas voir un visage à la fois de face et de profil – De même en mécanique quantique, ondes et particules sont les deux « faces » sous lesquelles apparaissent les objets quantiques. Ainsi la lumière visible peut se manifester sous l’aspect d’une onde ou celle d’une particule : le photon. De même un électron matériel peut adopter le comportement d’une onde. Si un objet quantique était un cylindre on pourrait le voir par exemple, soit comme un cercle soit comme un rectangle selon l’angle de vision.

En mécanique classique on distingue deux types d’objets :

Les particules d’une part et les ondes d’autre part ; La mécanique classique n’admet qu’une seule catégorie d’objet ayant tantôt un comportement « corpusculaire » tantôt « ondulatoire ».

 

NON ! les électrons ne tournent pas comme les planètes autour du soleil. On les décrit par une « fonction d’onde » qui détermine la probabilité de leur présence en un lieu à un instant donné.

La mécanique quantique est par rapport à la mécanique classique ce qu’est le (ø ú ñ ð ) le sens caché par rapport au (ä ì â é ð ) le sens commun. La mécanique quantique se dévoile à nous aujourd’hui ; Rabbi Chimon Bar Yohaï expliquait que le zohar c’est à dire la face ésotérique de la Thora se dévoilerait à la fin des jours. L’analogie peut être transposée dans le domaine de la physique.

Dans la théorie quantique, il y a deux sortes de particules : Les fermions, qui sont les particules constitutives de la matière (protons, neutrons, électrons etc. . .) et les bosons d’autre part, qui sont les particules qui permettent les interactions. Les fermions sont les « briques » élémentaires de la matière, alors que les bosons sont associées au ciment qui relie les briques entre elles.

La gravitation, qui domine l’infiniment grand et qui est négligeable à l’échelle des particules élémentaires, serait véhiculée par le GRAVITON. Cette particule reste hypothétique ; si elle existe elle aurait une masse nulle (ce qui correspond à la portée infinie de l’interaction gravitationnelle.)

L’interaction électromagnétique est pratiquement omniprésente. L’électricité, le magnétisme, la lumière, les réactions chimiques dépendent de cette interaction. Son boson est le PHOTON, lui aussi de masse nulle car l’interaction électromagnétique est de portée infinie.

L’interaction nucléaire forte est responsable de la cohésion du noyau de l’atome. Le boson de cette interaction est le GLUON.

L’interaction faible est responsable de la « radioactivité » Les bosons intermédiaires sont W+ W- Z°

Suivant le modèle du BIG BANG, après une singularité où la température et la densité de l’univers étaient infinies, l’univers est alors en expansion et en refroidissement. Dans cette phase primordiale, toutes les interactions étaient unifiées et indifférenciées.

Le VIDE :Prenez un coin d’espace et ôtez lui par la pensée jusqu’au dernier atome ; et bien même sans particule, l’espace contient toujours « quelque chose » = De l’énergie. La théorie de la relativité d’Einstein a prouvé qu’il y avait équivalence entre masse et énergie ; c’est à dire que la masse pouvait se transformer en énergie et vice et versa.

Le Néant absolu n’existe pas dans notre monde. Voilà un résultat de la physique quantique. Le vide est plein d’énergie et de particules à l’état « virtuel ». C’est un vide « plein » , un faux vide ; Le vide peut être perçu comme une « mer » de particules virtuelles porteuses de toutes les interactions entre particules.

Ce serait par la fluctuation de ce vide non vide qui aurait dicté à l’univers son espace-temps propre, ses lois, sa physique et la façon dont s’est brisée l’unité originelle pour engendrer les 4 forces et les particules que nous connaissons. Au départ, les quatre interactions étaient unifiées et la symétrie parfaite. L’univers a dû se refroidir et les symétries se « briser » pour qu’apparaissent les 4 interactions (forces) connues.

La théorie actuelle explique que la gravitation due à la concentration de la matière et qui tend à courber l’espace-temps, s’oppose à l’expansion. L’élément décisif est la densité de l’univers . Si elle est élevée, alors l’espace- temps se courbe , la gravitation l’emporte et l’univers se contracte ; inversement, si l’univers est très peu dense alors cet univers est en expansion. Mais ce n’est pas si simple que cela ne le paraît.

Il n’existe aujourd’hui, aucune théorie capable de marier les effets quantiques et gravitationnels. La relativité générale, qui décrit la gravitation et l’univers à grande échelle, et la physique quantique qui règne dans le monde microscopique, semblent totalement incompatibles. Et pourtant l’univers est issu de ce faux vide quantique avant d’être régi par la mécanique générale.

Le vide est l’état latent de la réalité et la matière son état manifeste.

Il y eut « brisure » du vide dans la lumière (photons) et de la lumière à la matière : Vide- Lumière- Matière.

Auparavant, les physiciens pensaient que le monde était divisé en matière et énergie ; la matière résidait dans les particules et l’énergie dans les champs, qui en interaction avec ces particules provoquent le mouvement. Selon la théorie quantique, l’intensité d’un champ en un point est interprétée comme une probabilité statistique d’y découvrir les « quantons » associés : les particules ; c’est à dire la matière.

Le physicien danois, comme ils disent, David Niels Bohr expliquait que la « matière » est liée au « champ » comme « l’écume » est liée à la « mer » . L’écume est la limite de la mer, comme la matière l’extrémité du champ.

La physique quantique échappe au sens commun. Qui veut y pénétrer doit abandonner toute logique et toute intuition familière.

Car les particules n’ont pas de trajectoire, se trouvent simultanément en plusieurs endroits différents.

Et pourtant la physique classique découle de l’univers quantique. Dans les dernières années certaines expériences essayent d’expliquer le passage du quantique au classique, c’est la Décohérence :

La physique quantique ne connaît ni onde ni particule, mais une seule catégorie « d’objets » qui possèdent certaines propriétés des ondes et d’autres des particules. Ces objets quantiques sont impossibles à imaginer visuellement. Une bonne partie de ces bizarreries quantiques trouve son originalité dans le « principe de superposition ». Les d’un atome ou de tout autre système quantique constitue ce que l’on appelle son « état ». Quand un système a plusieurs états possibles, la somme de ces états est également un état possible. C’est grâce à ce principe essentiel qu’une particule peut occuper plusieurs positions possibles à la fois. Tant qu’on reste dans le domaine quantique, tout va bien.

La difficulté commence lorsqu’on passe dans l’autre monde, c’est à dire le nôtre, le monde macroscopique. Car la superposition des états est impensable dans notre univers classique. Nul n’a jamais vu un objet simultanément dans deux endroits différents. Dès que l’on voudra mesurer l’énergie d’un atome, on ne détectera jamais cette superposition, mais seulement l’une des énergies qui la constituent.

L’action de mesurer fait disparaître la superposition des états, au profit d’un seul. Cette réduction des paquets d’ondes est due à l’interaction du système quantique avec son environnement (ici l’appareil de mesure). Les multiples interactions avec l’environnement entraînent une destruction très rapide des interférences quantiques du système. En détruisant les interférences, l’environnement expérimental supprime les « superpositions d’états » et le comportement quantique du système, de sorte qu’il ne reste plus que des états simples et qu’on retrouve alors le comportement classique de la particule. Ce phénomène a été nommé « décohérence » car c’est la destruction de la cohérence des états quantiques qui élimine les interférences.

Une comparaison : Des vagues sur la mer. La présence d’un très long bateau (plusieurs km) détruit le système des vagues (interférence des ondes) – par comparaison la présence de l’appareillage d’observation ne permet pas de voir le phénomène quantique en évolution mais seulement son résultat. Pour que l’on puisse analyser ces vagues, il faudrait réduire l’appareillage à une caméra fixé un bouchon de liège et qui subirait elle même les flux et reflux des vagues ainsi que leurs interférences.

Le vide sera pour nous le trait- d’union entre la physique et la métaphysique.

 

suiTE : INTRODUCTION AU ZOHAR


Robert Corcos robert.corcos@free.fr  

 


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