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L'AFFAIRE SARA DANIEL DU NOUVEL OBSERVATEUR

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Violant, l'Obs ! (info # 011211)

Par Jean Tsadik © Metula News Agency

Jeudi dernier, dans l'Hebdo en ligne du Nouvel Obs, Sara Daniel publie un article, qu'elle intitule : "Le cauchemar des crimes d’honneur". Le Sous-titre de cette plongée, au plus profond de la société palestinienne, est révélateur de l'article de Mme Daniel : " Sarhan a tué sur ordre de sa famille sa propre petite sœur. Violée par son beau-frère, elle n’était plus une "jeune fille". Il n’a été condamné qu’à six mois de prison"

Les adeptes du Net trouveront l'entièreté de ce reportage à l'adresse "http://www.nouvelobs.com/articles/p1931/a1938.html".

Sara Daniel aborde ici le sujet de l'honneur de la famille, dans le monde arabe en général et dans la société palestinienne, en particulier. Au travers du drame d'une famille palestinienne, installée à Aman, elle nous fait découvrir l'insupportable précarité de la condition féminine, sous les étoiles de l'Orient.

L'article est lui-même difficilement supportable. Les faits qui y sont décrits, sont révoltants d'injustice et de stupidité. Le lecteur occidental, de sensibilité moyenne, a envie de vomir à chaque phrase. Comme à propos du témoignage de ce médecin, d'un hôpital d'Aman, spécialisé dans "les examens de virginité et les autopsies", qui affirme que "80% des femmes qu'il examine vivantes, lui reviennent comme cadavres, quelques temps plus tard".

L'article de Daniel est sérieux, les faits sont dramatiques, épouvantables. On voit que la journaliste est réellement allée à Aman et qu'elle a vraiment interviewé les protagonistes de cette boucherie. Le lecteur est pris par le récit, il s'attend à une conclusion à la mesure de l'article mais à la place, il butte sur une affirmation incroyable, un encart de Sara Daniel, qui fait d'elle la coupable d'un autre crime, pas moins grave que celui qu'elle nous narrait.

"A Gaza et dans les territoires occupés, ils ont (les meurtres de violées) représenté deux tiers des homicides" nous dit-elle. "Les femmes palestiniennes violées par les soldats israéliens sont systématiquement tuées par leur propre famille. Ici, le viol devient un crime de guerre, car les soldats israéliens agissent en parfaite connaissance de cause."

Guzzzzzzzzzzz ?

Que les meurtres des femmes, déjà victimes d'être violées par leur père, leur voisin, leur oncle, constituent 66% des cas d'homicides, dans l'Autonomie palestinienne, cela constitue un fait caractéristique indéniable de la société palestinienne. Un fait qui réclame des conclusions généralisées et courageuses, de la part d'un observateur, sur lesquelles nous reviendrons plus tard !

Quant à l'accusation lancée par l'Obs contre l'armée israélienne, "de violer intentionnellement les femmes palestiniennes, dans le dessein prémédité de les faire exécuter par leurs propres familles", il s'agit là, certainement, du plus grossier procès d'intention jamais adressé à l'encontre de l'Etat d'Israël, de sa société et de son armée !

Je suis l'information du Moyen Orient heure par heure et je n'ai jamais entendu parler du viol d'une seule femme arabe, par des Israéliens, durant les deux Intifada. J'ai lu tous les communiqués de l'agence de presse de l'Autorité palestinienne WAFA et je n'ai jamais vu la moindre trace d'une accusation semblable. J'ai questionné mes collègues de la Ména au milieu de la nuit. J'ai appelé, à six heures ce matin, notre correspondant palestinien, Sami El-Soudi. Ce dernier connaît, presque par cœur, les circonstances, les victimes et les auteurs de toutes les pertes humaines de ce conflit et cependant, il affirme "qu'il n'a jamais entendu parler du viol d'une seule palestinienne, par un Israélien, durant cette guerre !" Al-Soudi est catégorique, "si cela avait eu lieu, précise-t-il, la propagande de Yasser Arafat se serait jetée sur l'occasion et aurait exploité un tel crime jusqu'à la corde !"

Alors, l'Obs, qu'est-ce que cette nouvelle incitation publique à la haine anti-israélienne, sur base de mensonge consommé ? Selon votre "journaliste", non seulement les Israéliens se livrent-ils à un génocide organisé des Palestiniens mais en sus, ils y ajouteraient des méthodes de raffinement sadiques, surpassant, dans l'horreur, les maîtres en la matière ! Des êtres capables de pareils plans sont des monstres, qui ont, assurément et obligatoirement, la vilenie dans les gênes. La majorité des Israéliens sont juifs, les juifs sont des monstres !

Qui sont, Jean Daniel, "ces soldats israéliens, qui violent les femmes arabes, en sachant qu'elles vont se faire massacrer par leurs familles ?" L'incrustation de cette cabale raciste dans ce reportage est un acte barbare et criminel. Il procède d'une tentative systématique de démoniser les Israéliens, en l'absence de toute malveillance de leur part.

C'en est trop, la coupe est pleine ! Cette forfaiture mérite que le Nouvel Obs soit traîné en justice et que Sara Daniel, son rédacteur en chef, ainsi que la direction de ce journal, soient requis de faire la preuve "qu'il existe un plan, dans l'armée israélienne, engageant les soldats à violer les femmes palestiniennes, dans le but de les faire exécuter par leurs familles". Et faute de pouvoir présenter ces évidences, les personnes impliquées dans cet acte innommable doivent être condamnées à des peines exemplaires. Si l'acte de désinformation prémédité est avéré, ce qui ne fait aucun doute, la justice devra suspendre la parution du Nouvel Observateur, pour une durée proportionnelle à la faute professionnelle commise.

Toute procédure, autre que de soumettre cette affaire à la justice, est impensable ! Elle requiert une action, non seulement des autorités compétentes, des syndicats de journalistes, de la LICRA, de l'Association France-Israël mais également de la part des autorités israéliennes ! Ce que fait l'Obs, ça n'est plus du tout du journalisme, en conséquence de quoi, il est nécessaire que le Ministère israélien des affaires étrangères, entame une action diplomatique, doublée d'une procédure en justice. Il est cette fois temps, que les représentants de l'Etat d'Israël se réveillent et qu'ils prennent toutes les mesures, afin que la presse française cesse de confondre l'honneur de leurs citoyens avec un essuie bottes !

Entre temps, à la Ména, où nous nous vantons de compter parmi les gens les plus libertaires du Moyen Orient, nous conseillons fort, au gouvernement d'Israël, d'interdire toute activité des personnels de l'Obs en Israël. Dans les circonstances, nous considérons qu'il s'agit là de la moindre des mesures conservatoires !

Ceci posé, revenons un instant sur le cas de la petite martyre du fond de l'article de Sara Daniel. Yasmine, était âgée de 16 ans, lorsqu'elle a été violée par son beau-frère, puis assassinée par sa propre famille. L'explication du frère assassin, c'est que "il a bien fallu venger l'honneur de la famille ! La petite a fauté !" Quant à la mère de la victime, elle a assisté, sans broncher, au meurtre de sa propre fille. "Ce serait mal vu, si une mère montrait une réticence à ce moment là. Cela voudrait dire, que ça lui est égal, que sa fille soit une salope."

Une salope ? Vraiment ? Ou une petite fille, tuée par son frère à bout portant, de quatre balles de revolver, pour s'acquitter du seul crime d'avoir un vagin ? Et dans cette équation inique, le beau-frère violeur, reste abrité par sa masculinité de genre, de toute poursuite dans cette affaire !

Cet aspect des habitudes sociales des Palestiniens doit pourtant aboutir à des conclusions intelligentes. En laissant Pathos et Camisole hors du coup, car on aurait tort, de "récupérer" ces égarements, dans le but d'en faire un prétexte à une haine anti-arabe. Et pourtant ! Pourtant, il faudrait être aveugle, pour ne pas remarquer, à la lueur de ce "fait divers", l'immense étendue des différences, qui séparent l'environnement de la culture occidentale et celui du monde musulman. Sans généraliser la coutume de la "vengeance de l'honneur familial", du "sang purificateur de la mort, qui lave le sang du dépucelage", car tous les Arabes et tous les musulmans ne pratiquent pas ces us, il faut bien concevoir que cette pratique systématique du meurtre est profondément caractéristique des valeurs orientales. Les opposants à ces assassinats, dans la société palestinienne, ainsi qu'en Jordanie mais aussi, au Liban, au Pakistan, en Iran et dans presque tous les pays musulmans, représentent une petite et courageuse minorité de personnes. Les assassinats des femmes violées sont pourtant la norme et cette norme, avec tout ce qu'elle a de dérangeant pour un occidental, est représentative des valeurs de l'Islam.

Attention, on ne considère pas, ici, un pseudo Islam fondamentaliste mais bien la masse hyper majoritaire des adeptes de cette religion, au Moyen Orient et dans le reste de l'Asie ! Aussi, tant que lesdites valeurs se tenaient à l'écart des nôtres, il était loisible de ne pas voir ces différences mais lorsque l'interaction entre nos mondes, prend la forme d'avions suicides, qui se précipitent au cœur de notre civilisation, personne ne peut plus faire l'économie d'une vraie réflexion.

Aussi vrai qu'il faut faire preuve de discernement, dans ce qui nous révolte, il faut quand même avoir le courage d'énoncer certaines vérités. Les femmes sont toujours considérées comme du bétail, par la société orientale, qui les considère, littéralement, comme des "usines à fabriquer des hommes" et rien d'autre. La société palestinienne mais elle n'est qu'un exemple de mon propos, est profondément violente et injuste. Lorsque l'on veut bien intégrer l'histoire de Yasmine, aux informations qui nous arrivent tous les jours, on parvient alors et sans peine à réaliser les motifs du lynchage de Ramallah et des parodies de procès et des exécutions des prévenus, soupçonnés de collaboration avec Israël. Par comparaison au cas récent de cet autre frère, qui a criblé sa sœur de balles de mitraillette, "parce qu'elle était rentrée trop tard un soir", pourquoi attendre des Palestiniens, qu'ils se comportent plus humainement envers des prisonniers israéliens ou des suspects de collaborationnisme, qu'avec leurs propres sœurs ?

Et si le fondement du conflit israélo-arabe, tenait moins à la politique et même à la haine interethnique et plus, à ces différences inconciliables dans l'établissement des valeurs structurelles de nos sociétés

Accepter, un jour, les valeurs qui ont tué Yasmine ? Pour n'importe quel occidental, ça n'est pas envisageable !

le lundi 12 novembre 2001 - 19h36 :

Ce que Sara Daniel a écrit sur les soldats isarëliens dans son article du Nouvel Obs est ignoble ! Décidément,la famille Daniel doit avoir le gène de l'auto-flagellation. Tous les juifs qui ont lu cet article sont scandalisés. Comme le dit la Ména une diffamation de cet ordre ne doit pas rester impunie. Un procès a été fait à Libération. Pourquoi pas au Nouvel Obs ?

Par Victoria (Victoria),

 

 

To: redaction@nouvelobs.com
Subject: Plainte en diffamation

Concernant votre article du 08 Novembre 2001, intitulé: "Quand, en Jordanie, la "tradition" tue...", je tiens à vous faire savoir de manière claire que je poursuivrai immédiatement votre hebdomadaire pour diffamation au cas où un article de votre rédaction, dans votre prochain numéro,
1. n'énonce pas une dissociation limpide des citations: "Les femmes palestiniennes violées par les soldats israéliens...en parfaite connaissance de cause"
2. ne présente pas un rétablissement de la vérité: il n'y a jamais eu de tel viol, lequel aurait été exploité médiatiquement par l'OLP.
3. ne rétablit pas l'honneur de l'armée d'Israël au moins dans ce domaine, le respect des femmes.

Citoyen français, mais aussi lt-colonel de réserve de Tsahal, je dois comprendre que mes propres enfants, à la lecture innocente de cet article, puissent penser de moi et de mes collègues que nous sommes des violeurs.
Il est temps que la Justice examine enfin le caractère insidieux, et de plus en plus fréquent, des "citations" non traitées par la presse et
offertes sur un plateau au lecteur inaverti. Pour reprendre votre expression, ces citations sont ainsi imprimées par vous "en connaissance de cause". Ce viol moral est inacceptable. J'espère que vous aurez la décence de comprendre ma réaction et veillerez à une dignité intellectuelle adéquate au niveau professionnel de votre publication. La (dignité)mienne est en jeu.

Raphaël JERUSALMY, Lt-Col.(rés.) de Tsahal.

Des strip-teaseuses juives jusqu'aux violeurs juifs ! (info # 021211)

Un chemin pavé de mauvaises intentions !

Par Denis Elkoubi ã Metula News Agency

Quand nous avons eu sous les yeux l'article de Sara Daniel du Nouvel Obs, concernant les "meurtres d'honneur", chacun d'entre nous, à la Ména, a eu envie de réagir et d'y aller de son article plus ou moins musclé.

Pour ma part, je voudrais ajouter quelques commentaires au développement sans faille de Jean Tsadik, alimenté par les confirmations de Sami, sur le procédé de Sara Daniel.

Lorsque au mois d'août 2001, nous vous avons fait part de la nouvelle, qui s'étalait sur 5 colonnes à la une dans la presse palestinienne et arabe, concernant l'ineffable stratagème de Tsahal, consistant à employer des soldates strip-teaseuse pour faire des cartons sur des adolescents palestiniens, nous avions observé que les médias occidentaux n'avaient pas repris la nouvelle.

Après discussion avec certains correspondants des grands médias nationaux, il apparaissait qu'ils avaient jugé la nouvelle sans intérêt. Suite à nos protestations et nos explications, ils reconnaissaient qu'effectivement la nouvelle était caractéristique, de la façon de traiter l'information en milieu palestinien.


Seuls certains militants de l'abominable AFP, avaient poussé le bouchon, jusqu'à prétendre "qu'il n'y avait pas de fumée sans feu" !

Trois mois plus tard, sans qu'aucune info ne vienne suggérer que des soldats israéliens auraient violé une ou plusieurs jeunes filles palestiniennes, voilà que, sous la plume d'une journaliste, collaborant à l'un des plus importants faiseurs d'opinion de France, apparaît la plus scandaleuse des accusations envers Tsahal.
Sara Daniel, sans la moindre justification, sans l'ombre d'une référence, passe en contrebande, dans un article de fond qui n'avait rien à voir avec Israël, son accusation d'assassinat sexuel prémédité !


En trois mois, on était passé du revers de la main des désinformateurs, qui balayaient une information, sous le prétexte qu'elle était "non significative et inintéressante pour le public français", à la main qui écrit, qui se fait complice de l'une des manipulations les plus odieuses, jamais parue dans la presse française.

Le silence des mêmes médias, lorsque nous leur rapportions l'affaire de "soldates strip-teaseuses", puis celle du "Disney-Sbarroland de Naplouse" était déjà coupable. On est passé aujourd'hui à la vitesse supérieure, un média de l'importance du Nouvel Obs, se permettant d'être le diffuseur d'une immonde calomnie.

Tout, dans le procédé, nous rappelle les accusations de crime rituel du Moyen Age.

Sara Daniel ne se contente pas, dès lors, de stigmatiser d'imaginaires comportements, qui seraient effectivement scandaleux s'ils étaient prouvés, elle va bien au-delà, en prétendant que ces actions obéiraient à une stratégie, délibérément mise en œuvre par les soldats de Tsahal.

Comme au Moyen Age, au lieu de se contenter de condamner les actes criminels, ainsi que leurs auteurs avérés, Daniel utilise l'écœurement inertiel légitime, que génère le récit des fratricides intra-palestiniens, dans un stratagème destiné à jeter un opprobre indu, sur les soldats israéliens. Et l'opprobre se répand sur toute une armée, sur tout un peuple !

Dans la panoplie des accusations de meurtre rituel, des empoisonneurs de puits ou du Protocole des Sages de Sion, Madame Daniel possède d'illustres prédécesseurs.

Claude Askolovich déclarait jeudi dernier, sur les ondes de RCJ, qu'il était fier d'appartenir à l'équipe du Nouvel Obs. Il serait peut-être temps, maintenant, qu'il commence à le lire !

Voici la lettre que j'ai adresse au Nouvel Observateur:

Je fais partie de nombreuses personnes scandalisées par l'article de votre pseudo
"journaliste" sur les femmes" violees" par l'armée Israelienne. D'abord, si il y avait eu le moindre soupcon ARAFAT et LEILA CHAID aurait dejà battu tout le pave mondial pour en parler. Je me pose la question: où avez peche cette
journaliste et de quelle ecole sort elle?? Car pour denoncer, il faut etayer sa these. ce qui ne semble pas etre fait dans son article. C'est trop facile de jeter l'anatheme sur une armée que vous HAISSEZ! Pourtant ils n'ont que 18 ans, l'age où vos enfants se vautrent dans les raves-parties et se defoncent au LSD!!!
J'espère que les plaintes seront nombreuses et que la 1ere page de votre prochain journal
sera intitulee "EXCUSES A TSAHAL." Vous me degoutez tellement que vous me rappeler l'epoque où l'Eglise Catholique racontait a ses ouailles qu'a l'epoque de la PAQUES JUIVE, les JUIFS assassinaient un petit chretien pour utiliser son sang pour la fabrication de la MATSA (galette pascale)!!!!
PITIE renvoyez cette journaliste ou envoyez la couvrir la guerre en Afghanistan!!!!!!!

Un groupe de femmes en colere:
DANIELLE TAHAR, LILIANE LEMOEN, PIA GERMON MARLENE CHEMLA, JOELLE GERMON et les autres......


Copie de l'Email que j'ai envoye au torchon nouvel obs.Le 13 Novembre 2001.
Messieurs,

J'etais un soldat de Tsahal pendant la fameuse guerre des six jours en 1967, malgré la fameuse victoire sur nos ennemis qui nous entouraient, et qui juraient par l'intermédiaire de tous les médias, notre future extermination, les menaces les plus atroces étaient vociférees contre nous, par radio le caire, radio aman et radio damas, jamais je dis bien jamais ne nous est venu a l'esprit moi et tous mes camarades de violer des femmes ou de piller des magasins ou maisons.
Et Dieu seul sait si nous etions en contact direct avec les populations.

Des soldats de tsahal violer des palestiniennes?, jamais je dit bien jamais il ne viendrait a l'esprit d'un soldat juif cette idée. L'article écrit sur le viol de femmes arabes par les soldats de tsahal n'est qu'une pure invention inventée par votre journaliste, cette personne ne connait ni l'esprit de Tsahal ni l'esprit juif, et de par ces inventions machiaveliques elle incite a la haine contre les juifs; elle n'est pas digne de continuer ce métier noble qu'est le journalisme.

De part ces faits j'etais un fervent lecteur de votre journal, mais devant tant de mensonges envers Israël et Tsahal, je boycotterais votre journal a partir de maintenant car il commence a sentir le torchon.

Vous me ferez changer d'avis que si cette pseudo journaliste fait des excuses en couverture de votre journal; ce qui me parait fort improbable de la part de votre journal, qui devient de plus en plus antijuif et anti-israelien.

Nouvelle donnée sur le site du Jerusalem Post le novembre :

(21:45) IDF officers sue French weekly for libel
By Herb Keinon

A group of IDF reserve officers living in Europe today began the process of filing a liable suit against the French left-leaning weekly Le Nouvel Observateur for writing in its recent edition that IDF soldiers rape Palestinian women knowing that as a result the women will be killedby relatives out to recoup their family honor.
In addition to the liable suit, the Foreign Ministry is demanding a clear and prominent apology from the magazine, which is widely read among the Paris intellectual elite.
A Foreign Ministry spokesman said that publication of such lies in a respectable publication shows to what extent Israel has become "fair game" in Europe, and how this shows that anything can be written about Israel.

Où l'Obs aggrave encore son cas ! (info # 011411)

Par Jean Tsadik ã Metula News Agency

Il me semble, que dans la famille Daniel, on n'a pas encore réalisé l'importance de la réaction en chaîne déclenchée par l'article de Sara du 8 novembre dernier. Cet article, que j'avais mis à jour pour les abonnés de la Ména, faisait état d'un plan prémédité de l'armée israélienne, que Sara Daniel, nomme "crime de guerre" et qui consiste à faire violer les femmes palestiniennes, par les soldats israéliens, afin qu'elles soient abattues par leurs frères et par leurs pères, sous prétexte de sauvegarder l'honneur de la famille.

Considérant qu'il s'agit de l'acte de calomnie le plus grossier, paru dans la presse française depuis la libération, j'ai suggéré que le gouvernement israélien, ainsi que les associations françaises, concernées par cette désinformation, entreprennent une action juridique contre l'auteur de l'article incriminé, ainsi que contre la direction du Nouvel Observateur.

Hier et aujourd'hui, les initiatives se sont multipliées dans le sens que j'indiquais. Le plus grand quotidien israélien, le Yedioth Aharonot, annonçant ainsi, ce matin, que l'Etat d'Israël avait pris la décision de principe de suivre mon conseil.

Ce midi, notre rédacteur en chef était l'invité, à Paris, de la radio FM RCJ, à l'occasion du journal de la mi-journée. Jean-Daniel, le directeur de l'Obs, participait à la même émission en direct. Jean Daniel a choisi le prétexte d'une "erreur technique", afin de tenter d'expliquer l'article de sa fille, ajoutant' que cette dernière se jugeait atteinte dans son honneur, par "une erreur de transmission", qui se serait insinuée, selon Daniel, entre la disquette rédigée par Sara et les pages du Nouvel Observateur.

A Métula, on est pourtant persuadé, que les "transmissions" sont affaires de voitures et que les textes ne se mutilent pas de leur propre initiative. Stéphane Juffa, intervenant à la suite de Jean Daniel, a fait remarquer l'incongruité du message du patron de l'hebdo parisien. Le premier élément relevé par Juffa, a été que, même en considérant l'explication du père de Sara, celui-ci aurait certainement du commencer par présenter ses excuses aux soldats israéliens, que son journal et sa journaliste de fille venaient de calomnier.

Lorsqu'on possède un fond de savoir-vivre, on demande effectivement à être excusé pour ses erreurs, qu'elle que soit leur origine.

A lire le communiqué rectificatif émis dans l'Obs virtuel et qui paraîtra demain sur la version papier, on se rend pourtant très vite compte, que dans la famille Daniel, on ne fait pas d'excuses ! Et si certains avocats, comme Maître Goldnagel, qui participait également à l'émission, avaient encore des doutes, quant à la nécessité d'entreprendre une action contre l'Obs, gageons qu'après avoir pris connaissance, des modalités des justifications de la famille Daniel, ils se verront renforcés dans leur première détermination.

Plus que cela, la "famille de l'Obs" utilise le prétexte de cet article "de corrections techniques", comme un nouveau tremplin de dénaturation des faits présentés dans le premier article.

Comprenons-nous, voici ce que dit, entre autres, le "communiqué rectificatif" de l'article de Sarah Daniel :

(…) Dans son texte, elle révélait qu’à Gaza et dans les territoires occupés, les crimes dits d’honneur qui consistent pour des pères ou des frères à abattre les femmes jugées légères représentaient une part importante des homicides. (…)

Absolument pas ! La légèreté n'a strictement rien à voir dans l'affaire. Ce ne sont pas les femmes "légères" qui sont massacrées par leurs familles, dans l'article original mais les femmes innocentes, qui ont subi le viol ! Il est éminemment regrettable, que les "erreurs techniques" n'incitent pas les rédacteurs de l'Obs, à considérer l'information avec un peu plus de sérieux. Qualifier des femmes sacrifiées, sans d'autres raisons que la bêtise humaine et l'obscurantisme, de "légères", constitue certainement une nouvelle mal information, ainsi qu'une atteinte supplémentaire, à la mémoire de ces malheureuses.


Le rectificatif poursuit : (…) Le texte publié, en raison d’un défaut de guillemets et de la suppression de deux phrases dans la transmission, laissait penser que son auteur faisait sienne l’accusation selon laquelle il arrivait à des soldats israéliens de commettre un viol en sachant, de plus, que les femmes violées allaient être tuées. (…)

"Un défaut de guillemets et la suppression de deux phrases ?"

Et pourquoi, si c'était le cas, ne pas publier, dans le même élan, la version corrigée de l'article, avec guillemets et phrases manquantes ? A Métula, on ne peut s'empêcher de croire, que s'il existait une version correcte de l'article diffamatoire, l'Obs l'aurait publié, en même temps que le rectificatif. C'est, en tous cas, ce que nous aurions fait, à la Ména et ce qu'auraient fait les autres organisations médiatiques, que nous connaissons !

Ce qui nous fait penser, qu'il s'agit encore d'une manœuvre malhonnête de l'Obs, et que ces guignols de la désinfo n'ont en rien délaissé de leur arrogance, c'est le passage du " il arrivait à des soldats israéliens de commettre un viol en sachant, de plus, que les femmes violées allaient être tuées".

Ceci, parce que ledit passage, est tout, sauf une citation équivalente de l'article de Daniel ! En fait, l'Obs pousse son mépris du lecteur, jusqu'à s'expliquer, sur un texte qu'il n'a pas publié et à omettre de s'expliquer sur son dol raciste ! Il est utile, ici, de répercuter le passage original, qui constitue une anthologie de l'accusation diffamatoire à caractère raciste :

"Les femmes palestiniennes violées par les soldats israéliens sont systématiquement tuées par leur propre famille. Ici, le viol devient un crime de guerre, car les soldats israéliens agissent en parfaite connaissance de cause."

Entre "il arrivait que des (article indéfini - DES soldats, quelques soldats ) soldats commettent un viol" et l'affirmation péremptoire de l'Héritière, dans lequel "il arrivait" a disparu et ce sont LES (article défini, englobant la généralité générique des soldats de Tsahal) soldats qui ONT violé des femmes palestiniennes bien définies (LES), il n'existe aucune équivalence philologique !

De plus, si certaines personnes, voudront bien croire, que des éléments ont été perdus, lors de la "transmission" des données, personne ne croira, qu'une transmission aurait pu "ajouter des données", telles que l'accusation formulée par Sara D., de "crime de guerre sexuel, provenant d'un acte prémédité, d'un calcul satanique, puisque les soldats israéliens agissaient (le temps utilisé implique ici la durée et la répétitivité) afin de faire massacrer les femmes palestiniennes, qu'ils violaient !

Quelqu'un a bien établi et proposé cette cabale et ce quelqu'un ne peut pas être appelé "erreur technique." Celui qui prétend une telle chose, se couvre de ridicule !

L'analyse fondamentale peut paraître rébarbative, pourtant, elle est éclairante, puisque l'entendement du "deuxième faux", celui du pseudo récapitulatif, nous amène à considérer que "certains soldats égarés ont parfois violé un nombre non significatif de femmes palestiniennes." S'agissant, dans ce cas, d'une accusation touchant un petit nombre et à titre personnel, il faudrait en déduire, QUE l'ACCUSATION du deuxième faux NE COMPORTE PAS DE CARACTERE RACISTE, "juste" une accusation diffamatoire circonscrite, mettant en cause la responsabilité d'individus isolés, non-représentatifs d'Israël !

A Métula, nous disons fréquemment, que lorsqu'on lit bien les mots, ils nous conduisent aisément au fond de la pensée de leur auteur. Au-delà des mots, cependant, on distinguera le caractère continu du parti pris vulgairement anti-israélien, dans l'expression de l'Obs. Lorsqu'on ajoute l'article de Sara Daniel, à la suite des nombreux actes objectifs de désinformation, que la Ména avait relevés dans les colonnes de l'Obs, on n'est même pas vraiment surpris de l'occurrence de ce débordement extrême !

(…) Sara Daniel, actuellement en reportage en Afghanistan, fait savoir qu'elle déplore très vivement cette erreur qui a gravement dénaturé sa pensée. (…)

- Comment ont-ils pu lui faire ça ?

LES REPONSES DU NOUVEL OBS

Voici le rectificatif du Nouvel Obs ainsi qu'une lettre de Jean Daniel a l'Ambassadeur d'Israel. Ces elements, ainsi que la depeche AFP faisant etat  de la protestation initiale de l'Ambassadeur, sont tous affiche sur le site web du Nouvel Obs.
L'Ambassade d'Israel a fait savoir a l'AFP qu'elle tenait compte du rectificatif et du Mea Culpa de M. Jean Daniel.

_Une mise au point
de Sara Daniel

Dans le numéro 1931 du Nouvel Observateur, daté du 8 novembre 2001, Sara Daniel a publié un reportage sur le "crime d'honneur" en Jordanie. Dans son texte, elle révélait qu'à Gaza et dans les territoires occupés, les crimes dits d'honneur qui consistent pour des pères ou des frères à abattre les femmes jugées légères représentaient une part importante des homicides.
Le texte publié, en raison d'un défaut de guillemets et de la suppression de deux phrases dans la transmission, laissait penser que son auteur faisait
sienne l'accusation selon laquelle il arrivait à des soldats israéliens de commettre un viol en sachant, de plus, que les femmes violées allaient être tuées.
Il n'en était évidemment rien et Sara Daniel, actuellement en reportage en Afghanistan, fait savoir qu'elle déplore très vivement cette erreur qui a
gravement dénaturé sa pensée.
______________________________________________________

Une lettre de Jean Daniel à l'ambassadeur d'Israël

A la suite de la diffusion par l'AFP d'une dépêche faisant état d'une lettre de l'ambassadeur d'Israël en France adressée à Jean Daniel, ce dernier a répondu la lettre suivante, adressée à Elie Barnavi, ambassadeur d'Israël en france:

Paris, le 14 novembre 2001

Monsieur l'Ambassadeur,

J'ai eu hier, 13 novembre 2001, l'occasion de vous dire par téléphone à quel point nous comprenions et partagions l'émotion indignée suscitée par la
publication tronquée d'un texte sur "le cauchemar des crimes d'honneur en Jordanie" et signé de Sara Daniel, actuellement en reportage en Afghanistan.

Je vous ai décrit notre stupéfaction attristée lorsque nous nous sommes rendus compte que la suppression de guillemets et d'une phrase pouvait conduire le lecteur à penser que l'auteur de l'article et les responsables
du Nouvel Observateur prenaient à leur compte une accusation infamante: celle selon laquelle des soldats israéliens commettraient des viols, sachant au surplus que leur victime allait être tuée par leur frère ou leur père.

Il s'agit là, je vous l'ai dit d'une calomnie déshonorante d'autant que jamais l'un d'entre nous ne l'a entendue formuler, même de la part des pires
ennemis d'Israël.
Nous n'avons jamais, dans le passé, hésité à formuler les plus vives réserves sur certains comportements précis de différents gouvernements israéliens et nous ne sommes jamais revenus sur ces réserves même
lorsqu'elles suscitaient une vive émotion chez nos meilleurs amis israéliens. Nous avons toujours assumé ce que nous pensions, écrivions et publions.

Mais aujourd'hui, l'affaire est simple. Nous faisons un mea culpa solennel bien que technique et nous sommes sincèrement et franchement désolés d'avoir
blessé des combattants et des sensibilités. Cependant devant des précisions aussi nettes, l'affaire aurait du être close. Il m'a semblé que c'était d'ailleurs ce que vous pensiez.

Je me suis trompé: il est possible que vous n'ayez pas pu faire partager l'estime que vous avez bien voulu constamment manifester pour notre journal et pour son équipe lorsque vous étiez en Israël, dans l'opposition.
Il se peut aussi que vous ayez été, comme nous-mêmes, inondé de lettres de protestations indignées et légitimes. Mais, à mon tour, je ne peux laisser passer sans réagir les communiqués qui vous sont attribués, à vous et à vos collaborateurs, diffusés par l'Agence France Presse. Ces communiqués qui ne tiennent aucun compte de nos précisions publiques et privées sont injurieux et mettent en cause notre éthique professionnelle au nom d'un accident technique que nous sommes les premiers à juger absolument déplorable.

Nous savons reconnaître nos torts. Encore une fois nous le faisons. Mais nous ne sommes pas prêts à accepter certaines tentatives trop claires de
profiter d'un incident qui nous met en fâcheuse posture pour décrédibiliser les positions que nous défendons depuis trente ans sur la sécurité d'Israël,
l'Etat palestinien et la paix au Proche Orient. Jamais, en effet les événements ne nous ont donné autant raison.

Je vous prie de croire, Monsieur l'Ambassadeur, à ma considération dévouée.
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L'ambassadeur d'Israël en France proteste

Après un reportage de Sara Daniel sur les "crimes d'honneur" en Cisjordanie, publié dans le numéro 1931 du Nouvel Observateur paru le 8 novembre, l'ambassadeur d'Israël en France, Elie Barnavi, a adressé une protestation à Jean Daniel, le directeur du journal.

"Le Nouvel Observateur se livre à de monstrueuses accusations sans le moindre début de preuve", déclare notamment Elie Barnavi. "Je savais que cet hebdomadaire ami pouvait se montrer sévère à l'égard d'Israël, voire parfois injuste. Je ne l'avais jamais trouvé aussi léger ni hélas aussi bas".

Jean Daniel, interrogé par l'Agence France Presse, a expliqué qu'il s'agissait "d'un accident technique total". "Des guillemets et la phrase 'selon des rumeurs de gens qui vont jusqu'à dire' ont sauté", a-t-il précisé. "Aucun d'entre nous n'a jamais pensé que des soldats israéliens pouvaient se livrer à un viol", a ajouté le directeur du Nouvel Observateur.
Par ailleurs, Jean Daniel a adressé une lettre à l'ambassadeur (cliquer à droite sous Sur le site pour lire la lettre). L'ambassade a annoncé peu de
temps après qu'elle "prenait acte" de ce rectificatif et a laissé entendre qu'elle n'irait pas plus loin.

Auparavant, Sara Daniel, actuellement en reportage en Afghanistan, avait publié une mise au point dans le Nouvel Observateur et sur le site internet
(cliquer aussi à droite sous Sur le site pour lire la mise au point) où elle faisait savoir qu'elle déplorait "très vivement cette erreur qui a gravement dénaturé sa pensée".


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