Par Wnes (Wnes) le lundi 03 février 2003 - 20h21: |
La Douda ( Agence De Presse Alternative )
Du Droit d’Instruire A La Glorification du Travail.
De quel Droit, le groupe propose-t-il d’instruire ?
Tout Droit est issu d'un Principe d'autorité tiré d'un Principe d'Efficacité, découlant lui-même d'un Principe de Nécessité. Hors de cette trinité il n'y a qu'ascendant personnel obtenu sur la faiblesse ou l'ignorance d'Autrui.
L'aspiration naturelle à la Liberté, départ sans itinéraire, est un rêve d'où l'existant s'éveille sans cesse meurtri et amoindri. C'est l'essai d'être lâchant sa propre proie, celle que la Forme lui a donné avec pouvoir sur la Forme et dont il peut tirer l'Homme, pour essayer d'incarner des ombres fugitives hors de son pouvoir.
L'aspiration naturelle à la Liberté prend son sens dans l'option pour l'action de la Conscience d'un Soi qui a découvert le fil d'Ariane de sa croissance, tout comme la prétention à l'Art ne peut puiser le sien hors l'idée d'une technique de Beauté.
L'Esprit qui s'échappe du Réel vers le Surréel s'évapore dans l'impuissance s'il ne revient essayer au Réel ce qu'il a senti au Surréel, car sa Loi naturelle est d'oeuvrer sur notre Plan.
C'est là le premier terme de sa Nécessité.
Le deuxième est de concevoir un ordre surréel. Car à quoi bon s'élever aux sommets de l'Inspiration ou de
l'imagination si l'inconnu entrevu ne peut être classé ? Supposez un insècte sur un fromage transporté dans
un train vers quelque étalage de marchand; seriez-vous émerveillés d'apprendre qu'il puisse déterminer la
vitesse et l'horaire du train ?
Pensez donc maintenant à la réflexion d'Henri Poincaré : « Au fond d'une cave et sans avoir vu le jour,
l’homme peut déterminer la rotation de la Terre. » Voilà les trois termes de l'équation « du roseau pensant »
et que l'Instruction résoud, ouvrant à l'Homme le développement infini de ses aspirations spirituelles par le
plein exercice de son génie naturel.
L'efficacité de la méthode résulte de l'accord intime qu'elle réalise dans l'essai d'être par engagement libre du Moi naturel dans le Moi supérieur, unissant les deux par conversion du désir fondamental de possession en désir de construction.
Méthode sans peur ni imposture, méthode libre et sereine qui fait de l'existant une Conscience d'effort pour atteindre le Beau et le Bien, et de l'oeuvre des Hommes, le témoignage d'une Conscience universelle.
L'Autorité découle de la supériorité historique d'une méthode qui depuis vingt-quatre siècles n'a jamais changé ses coins, comme doivent le faire selon les temps les faux monnayeurs du Mystère.
D'Eleusis à Crotone, du Jourdain à Alexandrie, de Strasbourg en Ecosse, de Londres à Paris, dans tous les pays du monde civilisé, « ’Instruction « , par les Epreuves pythagoriciennes a tiré du noir à la Lumière des hommes qui ont laissé des monuments à leur mesure.
Eudoxe, Socrate, Platon, Vitruve, Marc Aurèle, Pacioli, Léonard de Vinci, Frédéric II, Florian, Talleyrand, Littré, Cavour, Georges Washington, Mozart, Sadi Carnot... philosophes, écrivains, mathématiciens, savants, architectes, artistes... ont volontairement suivi la Discipline du Nombre d’Or, telle qu'elle a toujours figuré dans les Temples antiques, ainsi que le prouvent les vestiges retrouvés de l'Antiquité et en particulier la fresque mise à jour à Pompéï.
Et quels monuments d'Eternité vivante les Instruits n'ont-ils pas tirés du flux des formes avortées de la Temporalité ! Le Nombre, la Géométrie, l'essence idée et l'Alchimie subséquente; l'idée du Tout, l'Ame du Monde et l'Ethique fraternelle; les rapports d'harmonie par le rythme des parties, des sons et des couleurs; les Temples, les Cathédrales et les Demeures philosophales matrices de vie spirituelle, les règles sociales de justice et de Liberté...
D'aucuns peuvent dire avec un soupir de compassion que cette autorité est boiteuse parce que, tirée de l'homme, il lui manque une Table d'Émeraude tombée du Ciel un jour d'orage sur quelque Sinaï; pourtant les résultats sont là et l'arbre se juge à son fruit.
Il y a des boiteries signe d'autorité : celle d'Hephaïstos bâtard d'un dieu et celle de Jacob bâtard d'un Droit.
Si quelque cuistre de noir vêtu n'a pas manqué de trouver le Pentagone boiteux comme Belzébuth qui, dit-on, marche à cloche-pied, c'est qu'il n'a pas compris comment la Vie sort du noir par. dissymétrie d'une Symétrie croissante au Rythme lumineux; «âme de la durée, coïncidence harmonieuse de l'Esprit et du Monde».
Et les Messagers boiteux sont justement célèbres par une marque qui en fait des messagers de Vie sur la voie du progrès.
Ainsi se conçoivent les tonalités de l’Instructreur qui par son art, enseigne une relation du Nombre d'or, nombre toujours présent dans ce qui passe.
Les noms d'Hiram, de Pythagore, ou de Salomon ne pouvaient être identiques si ce n'est dans la marque d'avoir voulu être monuments de Sagesse, de Force et de Beauté.
Ceci explique enfin pourquoi l’Instruction a toujours été sentie comme universelle par ses Adeptes, alors qu'en réalité elle comprend plusieurs Palais dont chacun porte aussi la marque d'un climat et d'un Peuple.
Là encore. c'est un droit originel solide tant qu'il n'est pas vicié par des prétentions d'exclusivité tant sur la Doctrine que sur des territoires de juridiction. La Lumière est à tous ceux qui savent la recevoir des mains expertes des Sages. C'est la Loi universelle, immuable, que nul ne peut modifier à son profit. Conscience de ce qui veut être « Homme sachant la Vérité « , il est graine qui éclate sans savoir de quoi va vivre le germe.
Certes, on lui a dit qu'on lui proposerait la recherche de la Vérité, mais comment va-t-on l'orienter vers cet insaisissable Absolu ? C'est bien ici que les Sages doivent mettre leurs gants en tremblant, car ils doivent prendre conscience de leur responsabilité d’instruire.
A cette heure décisive, ils ont la charge redoutable de porter le flambeau de l'Esprit que d'innombrables prédécesseurs ont tenu ferme avant eux.
Aussi, verra-t-on qu'on y est revenu, en Esprit et en Vérité, chaque fois qu'on l'a pu et que l'on s'est élevé, contre des oublis ou des modernisations, qui ne sont en fait que tentatives de travestissements.
En veut-on un exemple concret ?
On parle de « glorification du Travail », avec une glose ajoutant que L’instruit « honorent le travail manuel comme le travail intellectuel ».
On n'incrimine point le sentiment de justice sociale ici exprimé, car il coule de source que les mains calleuses ont une grande part dans l'édification de l’Ecole, mais on dit que, par un apport tiré du social, il fausse ici le Signe originel du mot Travail, qu'il soit pris au sens concret ou abstrait.
Réfléchissons. La Gloire, c'est l'éclat de celui qui a atteint le sommet des désirs de chacun. C'est le rayonnement d'un exploit surhumain.
Le Travail, au sens restreint où le Peuple l'entend, est une obligation attachée à la condition humaine, comme le boire et le manger, c'est un devoir banal, une redevance payée par la plupart des hommes au Seigneur Faim, et on ne vois point en quoi il soit glorieux.
Il pourrait être glorieux au sens du pur Compagnonnage, s'il désignait le chef-d'oeuvre dans lequel l'ouvrier - dirait-on l'artiste a développé son génie constructeur et non fixé sa servitude.
Il faut se souvenir toujours de ce peintre moderne chargé de terminer le Ciel de la chapelle des Médicis à Florence, que la mort de Michel-Ange avait privée de décoration; après plusieurs années de travail, le peintre s'est tué en se jetant de la galerie supérieure parce qu'un critique lui avait dit : « C'est très beau, mais incompatible avec l'oeuvre de Michel-Ange ». Quelle soif de gloire légitime dans l'oeuvre de celui-là ! Et quel glorieux travail que celui qui valait sa vie !
Dans la langue ancienne, Travail - du latin trabs, puis travar qui se reconnaît dans entraver, traverse - signifiait peine, souffrance, comme aujourd'hui encore dans les expressions « femme en travail d'enfant », ou « bois qui travaille ».
Ici la Gloire du Travail commence en donnant du prix à ce qui n'en avait pas, en amorçant le sacrifice individuel à l'oeuvre de ceux en compagnie desquels on construit. Cette gloire éclatera peut-être un jour avec celle des martyrs de toutes les idées et les entreprises qui doivent réussir, car c'est là un destin si difficile qu'il laisse les hommes éblouis et envieux.
La Douda
Par Albert Simeoni (Albert) le samedi 01 février 2003 - 20h58: |
Mes chers amis, je vous demanderai de passer sous silence ce qu vous avez prèvu dans 8 huits jours, merci mouche MEKTOUB..... Merci....Quand même d'y avoir pensè..
ALBERT...
Par Fernand. (Fernand) le samedi 01 février 2003 - 11h02: |
Pas de problème, Albert peut vous donner mon adresse email.
Par Printania (Printania) le samedi 01 février 2003 - 10h22: |
Fernand, j'aimerai tant prendre contact avec vous.
Albert détient mes coordonnées.
Merci par avance.
Par Albert Simeoni (Albert) le samedi 01 février 2003 - 08h34: |
C'est le départ de la navatte Con long bus TAWFIK
et le Fernand qui n'oublie rien....
Albert
Par Toufiq (Toufiq) le samedi 01 février 2003 - 03h15: |
fernando botus et mouche cousue,le compte a rebour a commence.
Par Toufiq (Toufiq) le samedi 01 février 2003 - 02h04: |
bebert ca doit etre une cohen cidence,ou alors une coin coin cidence (foi de canard).
Par Fernand. (Fernand) le vendredi 31 janvier 2003 - 23h04: |
T'as bonne mémoire Toufik
Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 31 janvier 2003 - 21h44: |
demain premier fevrier ,jour j moins huit.
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 30 janvier 2003 - 21h34: |
Yé Wnes,
Brass bouk tu ne peux pas écrire Hak El Oued au lieu de Ouet…On n'a jamais été un Ouet….Houttè ââlik Ouallè ton écriture sur la Douda, tellement c'est court que cela déborde sur mon clavier, écoute j'ai commencé à lire ce matin et j'ai termine demain….Dis moi tu concurrencis la Mena ijjè ména…Vas y envois nous ta Douda, on en veut encore…Ce qui m'étonne de ta part c'est qu'après un long silence d'ermitage tu reviens en trombe en politique…..Un côté que je ne te connaissais pas…N'oublie pas Albert i fedleg BERDAH…
Par Axelle (Axelle) le mercredi 29 janvier 2003 - 17h46: |
Monsieur Emile,
Pourrais-je avoir votre e-mail, que vous aviez donné une fois sur harissa pour vous envoyer le poème que j'ai composé en l'honneur des victimes du World Trade Center qui s'intitule :
EN VOTRE MEMOIRE. Cela, si vous le voulez bien.
Sinon, je vous donnerai le mien par l'intermédiaire des commentaires d'Harissa si il m'est permis de le faire. Merci. Axelle.
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 28 janvier 2003 - 14h11: |
Ye WNES yé BABA....Ménné Doudé éhdi el DOUDA...Depuis c'est devenu un vice cette doudè...