Archive jusqu'au 12/novembre/2006
Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006:
Archive Novembre 2006:
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Ya Meyer Fils !
Regarde moi cette nouvelle géniration, comme man fils Zgougou, et son fils ( je dis plus son nom tilement j'ai honte ), ils respectent plus rien, et encore moins leur Mère et Grand Mère, zama ça fait plus moderne, ils m'ont envoyés ces dessins, pour mi faire pleurer, moi qui j'ai porté Zgougou, et qui ji lui ai donné le sein pendant quatre ans !
Ji leur ai dit, Mes fils, j'ai telement dépensé pour faire une fête magnifique, et ti sais ce qu'ils ont répondu ces brels ?
" Nous on se rappelle pas, alors ti recommence la fête, mais cette fois ti fais plus couper, parce que grace à Biber, et les piles Wonder, ça s'use que si on s'en sert pas !"
Ti te rends comme ces brels ils parlent à Pnina, à qui ils doivent leur naissance, alors il faut aimer, chouailler, et éduquer les pitits enfants zenfants qui vienne de naitre... Moi meskine j'ai pas sut !
Alors Mabrouk a lik Fils
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Dans un instant le film '...COOL...!'
Suite à l'annonce passée il y a une semaine, je n'ai pas reçu de désistement de la part de mes acteurs et actrices.
Vous êtes tous d'accord à jouer.
Voilà la distribution finale.
Composition de l'immeuble et présentation de la piéce.
-Rez- de -dalle.
-Breitou, 35 ans , gardien de l'immeuble.
En face de lui une jeune femme de 20 ans Mademoiselle Suzy-Loiseau.Informaticienne.
-Au premier étage, la famille Mouloud rôle incarnè par Tawfiq et sa femme Khadija, Sibylle, en face de l'appartement Mr.Meyer, un jeune célibataire, étudiant en philosophie.
-Au second étage, Mademoiselle Girelle, pédagogue à la retraite.58 ans
Dans le même palier, Monsieur de la Douda, un célibataire endurci, ingénieur dans le nucléaire. 60 ans. Ils sont très amis. Ils aiment compter fleurette si celà vous dérange, je les compterai pour vous.
-Au troisiéme étage, Madame Poupée, une passionnèe de jeu de dames.
Elle partage son palier avec Monsieur Maxiton. Un retraitè dans les affaires véreuses.
-Au quatrième étage, Mademoiselle Mamili-Nech-Mnéh, une femme à la force tranquille
38 ans. Elle partage le palier avec Mr Braham Fiori. Un homme distingué qui fait la navette
entre Paris et Israël. Fleuriste.
-Au cinquiéme étage, Mademoiselle Elsa-Hlouè, une jeune femme toujours bien mise.
Accueillante et hospitalière. Le coeur dans la main. Elle très copine avec Mademoiselle Mamili.
Celle de dessous. En face d'elle, Mademoiselle Rachou, une personne au sale caractère.
-Au sixiéme étage, on trouve personne, les locataires sont pour la plupart du temps en
vavances. Madame Marie 89 ans impotente et Mademoiselle Rose. 109 ans.
-Au Septième étage, Mademoiselle Michka de Récamier de la Michkadiére, déscendante d'une
grande lignèe de médecins de rois. Elle a 38 ans. Psychothérapeute.
-Hajkloufette gérante du Boukha Bar.
-Gaston le bar-man.
-Hai un employè de chez Darty. Hamid un accompagnateur.
Monsieur Jertro, propriétaire de l'immeuble.
Monsieur Albert, son gérant.
Un employè de chez Darty.
A Bientôt.
Le coup d'envoi du début de la piéce qui comporte plusieurs actes et scénes, vous sera
adréssèe par mail personnel et placardèe ici.Aussi.
Aucune réclamation ne sera recevable dés cet
affichage.
Merci.
Suivez la pub.
Albert.
Par Lza (Lza) le dimanche 12 novembre 2006 - 11h25: |
MAZAL TOV MEYER A TOI ET TOUTE TA FAMILLE
LA CB DE BREITOU EST JE PENSE LA BIENVENUE POUR LA PETITE LAYETTE !!
N'HESITE PAS !! PIOCHE !! APRES TOUT LES AMIS C'EST FAIT POUR CA !!
ET EN PLUS CELA LUI FERA TELLEMENT PLAISIR
MADAME RÉCAMIER - Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard, Mme Récamier (1777-1849) fut avant tout une star européenne de beauté et de vertu. Sa célébrité rehaussa l'importance de son salon au point que le nom Récamier est devenu le symbole de tous les salons.
Juliette Récamier était aussi intelligente, cultivée et pleine de douceur. Elle dansait à ravir, chantait, pincait de la harpe et jouait du piano. L'une des ses biographes, Françoise Wagener, croit que son père naturel l'aurait épousée pour lui permettre d'hériter de sa grande fortune, évitant ainsi son déshonneur. Ce serait le secret de sa vertu reconnue universellement.
Son salon de l'Abbaye aux Bois, tenu à sa maturité, fut le plus remarqué mais elle a reçu et presque toujours de façon somptueuse, à ses résidences parisiennes. Ses bals étaient féériques avec toilettes égyptiennes, spartiates, romaines et turques. À l'Abbaye, son salon était décoré de riches draperies de soie blanche.
Parmi les innombrables habitués notons Albert Siméoni con netable connu pour son tméniq, qui lui balança un jour '...Croyez-vous Madame que mon singe puisse prétendre à une présence en votre compagnie....' Madame répondit avec son naturel...Offusqèe, elle balaya d'une main ce qu'elle jugea indigne...Puis..' Heureux sont les imbéciles dans le domaine des idiots...!' Breitou, son fou qui lui racontait des contes tout en lui massant les orteils, Jano son rapporteur de rumeurs, Belebou qui un jour lui adit contre toute attente sa célèbre expression
'...Vaut mieux garder la face que d'exiber vos fesses...!
René, vicomte de Chateaubriand, son seul véritable amour; Germaine de Staël, sa meilleure amie (qui lui gardait une chambre particulière à Coppet); André Marie Ampère et son fils Jean-Jacques, celui-ci éternel amoureux de l'hôtesse; le mathématicien Camille Jordan, Bertrand Barrère de Vieuzac, le maréchal Masséna, Eugène de Beauharnais, Claire Kersaint, duchesse de Duras; Adolphe Thiers, Louis-René, prince et cardinal de Rohan; Bernadotte, futur roi de Suède; lady Georgiana, duchesse de Devonshire; le général Moreau, Paul de Noailles qu'elle fit entrer à l'Académie; Chrétien de Lamoignon de Malesherbe, Louis David et François, baron Gérard, peintres; Élisa Bonaparte, Lucien Bonaparte; la comtesse de Boigne, Astolphe Louis Léonor, marquis de Custine; Joseph Fouché, duc d'Otrante; Isabelle Madeleine de Chastenay Lanty, née La Guiche; Étienne Denis, baron puis duc de Pasquier, chancelier de France; Jean-François de La Harpe, Jérôme Lefrançois de Lalande, astronome; Charles Forbes, comte de Montalembert; la poétesse Marceline Desbordes-Valmore, Prosper Mérimée, Auguste Viesse Marmont, duc de Raguse; Charles-Augustin Sainte-Beuve, Sir Humphrey et Lady Davy, Charles Fox, Wilhelm, baron von Humboldt; le duc d'Hamilton, Delphine Gay, âgée de 18 ans; le grand acteur François-Joseph Talma, la comédienne Rachel (Élizabeth Rachel Félix), Pierre-Simon Ballanche, Benjamin Constant, Alphonse de Lamartine, Félicité de Lamennais, François Arago, Honoré de Balsac, Victor Hugo, Eugène Delacroix, Alexis de Tocqueville, Alfred de Musset, Henri Beyle, dit Stendhal et Mme de Genlis.
En présence d'Arthur Wellesley, premier duc de Wellington, est présentée, chez Mme Récamier, à Paris en juin 1814, une lecture des Aventures du dernierAbencérage, par Chateaubriand lui-même. L'assistance comprend Bernadotte et sa femme Désirée Clary; le duc de Doudeauville, Mathieu de Montmorency, Charles-André Pozzo di Borgo; le maréchal Macdonald, la princesse Auguste de Prusse, le sculpteur Canova, le peintre Gérard, le grand acteur Talma, quelques diplomates, Pozzo di Borgo, Clément von Metternich et quelques autres moindres célébrités. La chambre de Juliette chez son amie Germaine à Coppet
Mille mabrouks et Mazal tov au nouveau né
La COMPAGNIE DU PTB SOUHAITE A NOTRE AMI MEYER
TOUTES SES FELICITATIONS AUX PARENTS ET AUX GRANDS-PARENTS A L'OCCASION DE LA BRIT MILAH DE LEUR FILS ET PETIT-FILS.
Mazel Tov.
BRIT MILAH DU PETIT FILS DE MEYER.....
HOUTTE ÂÂLI...YE MIYEEEEER....
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OURIRIRIRIRIRIRIRIIRIIRIIIIRII……………ÂÂLA M’TAHAR……
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VIOLON………TAHAR…..ETC……..NEYE…..NYEEEYEYEYEYYYYEYYE…..
NEYYYEYYYEYYYYE………………ETC……………
BEKHBECH YE MESSAOUDDDDDDDDDDDDDDD…..ÂÂLLA MIYER…….
'El farh yendi ghraeEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEib wèl gu'alb hââââââââââââââââaâress ou’ha dahâââââr………..
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'El farh yendi ghrâAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAââeib….Ou’èl gu'alb hââââââââââaâââaââââââââââââââââââââaâress ou’hè dahâââââAAAAAr
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Lé’met èl jmiya l 'ahbééyèbbb…..
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Tlé’met èl jmiya l 'ahbeyèééééEEEEEEEEb ââla farhtèq yèèèèè…… yèèèè M 'tahââââr….
OURIRIRIIRIIRIRIIRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…
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Refrain…
TahaAAAAr yè yèEEEE m'tahaAAAAAr ….Tahar’ouli ouleï’di
Le touj’ââ li qbeïtiIIII….
Ouah’nou en khef ‘ou ââli
TahâAAAAr ye yèEEEEE m’tahAAAAr baharli ouleiiiiiIIIIIIIdi
Le touj’ââli ouleï’di ….§§§§§§……Qu'albi oujaï’ni…§§§§§
OURIRIRIRIRIRIRIRIRRII……
Tahar yè yè m'tahaâAAAAââr taht èl YED EL MOUIL……§§§§§§§
Wi ta’har èl m' tahr dé’mou ghèliIIII…§§§§§
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Refrain.
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Ta’har yè yèEEEEEEEEEEEEEEE m 'tahHHHHHHHHar….. Yé rébi…..§§§§§§
Ta’ arli ouleï’di ââni ne sténi’fi….§§§§§§§
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Ta’har yè yè m'tahr fi yed ou’bou…§§§§§§§§§
Qââ’d ââl kor’ssi el ââli…..
Labssou’lou taqli’douOUUUUUUUUUUUUUUU
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Refrain.
OURIRIRIRIIRIIRIRIIRIRIIRIIRIRI……..
Aw leq ye m'tahar fi hjor oubou…§§§§§§
Ouel di’yaf i zar’gh’tou me’bin él ââî’lè….§§§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
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Tahar yè yè m'tahr tahar fi hojri
Ba’harar li el mkh’èyed
Dem’yi ou dé’mou tej’ri…
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Refrain…..
Fini ômoq yè èl m'tahar
Fin oumè èl ha’darrèt
I zaghr’tou lou fèl él mhal……
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OURIRIRIRIRIRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Fin ââ’jij’tèq yè yè èl m'tahAAAAAAar..§§§§§§§
Tèt’khol ou nè’hniyè
Aâl srir èl yalli
Rabbi lèy èch’oui’kom…§§§§§.}
Refrain
Fin ômOQ… yè yè m'tahAAAAr..§§§§§§§§§
Fin ou’mè èl ha’bei’bèt
I zhagh’tou mèbin èl yôzzèb…
El tour’ tââ’rtou
Oul taw’rat béch nyââl’mou’ou
I bérèq li rââbi
Wi ta’ouel ââ’mrou…
Récit Policier.
Tous les évènements narrés dans ce récit sont imaginaires.
Paris le 27/06/2006.
Monsieur Marcel Robillion…………………...L’Homme d’affaire.
Madame Angle Robillion…………………… Son épouse.
Mademoiselle Marjolaine Simpson………………. La maîtresse de Mr.Robillion.
Monsieur Didier Robillion…………………… Le fils.
Mademoiselle Charlotte Robillion…………………La fille.
Maître Jean Charpas…………………………L’avocat.
Garage Lambert
Miguel un mécanicien.
Josè le second mécanicien.
Les inspecteurs Boulakia, Gilbert, Azzou.
Le CODE BARRE….
Encore une enquête de l’inspecteur Boulakia qui l’a mené à élucider un crime crapuleux qui, au départ le rendait sceptique.
Sa perspicacité et son savoir-faire ont prouvé une nouvelle fois combien est grande l’imagination et la préméditation dans les montages sophistiqués d’un crime que certaines personnes aveuglées par la passion, la folie, par la cupidité, histoires d’héritages, la vengeance, la jalousie ou par la gratuité du forfait, maquillent afin de faire porter le chapeau sur autrui.
Bref tout y passe depuis CAEN ET ABEL.
Dans l’affaire qui nous concerne un détail presque dérisoire a fait tomber le coupable.
Un homme d’affaire voyageant souvent de par le monde.
Et des hommes d’affaires qui voyagent sont légions et pour la plupart d’entre eux tentés par le cul des femmes.
Rares sont ceux qui ne le sont pas.
Une maîtresse quoi d’anormal me diriez vous par les temps qui courts.
C’est si banal que certaines femmes s’en accommodent.
Monsieur Robillon Marcel, 58 ans, est de cette espèce d’hommes qui collectionne les aventures autant que les voyages.
PDG d’une grande entreprise de téléphonie, il s’amourache d’une jeune fille de 25 ans, Marjolaine Simpson, citoyenne américaine, étudiante et vivant seule à Baltimore.
De parents riches, son papa est aussi PDG dans son entreprise qui vend des armes un peu partout dans le monde. Un marchand d’armes.
Monsieur Marcel est marié. Père de 2 enfants Didier et Charlotte, tous deux âgés respectivement de 28 ans et 23 ans.
Sa femme Angèle, 45 ans, malgré son entre deux âges, est restée très belle. Epouse raffinée, elle est issue d’un milieu modeste.
A suivre………………
Marcel et Angèle se sont connus sur les bancs de la fac en mai 68. Une année faste qui a vu les rues de Paris et celles des provinces s’embraser.
Angèle soupçonnait bien son mari de ses turpitudes mais sa bonne situation et son bien être ne pouvaient être remis en question à cause de ces ‘volageries’.
Elle fermait les yeux.
Elle acceptait cet état de choses d’autant plus que son mari est un homme autoritaire qui ne supporte aucune remarque sur la manière dont il mène sa vie.
La richesse souvent peut se permettre quelques arrogances.
Sa présence au foyer se compte en heures, mensuellement et ses absences, en semaine.
Patiente et amoureuse et surtout lasse, la bonne épouse s’y résout et finie par vivre cette union bancale, entourée par ses enfants adultes qui viennent de temps à autre lui rendre visite..
Deux enfants qui l’adorent et qui, loin d’être indifférents au sort de leur mère, s’interdisent de prendre fait et cause pour elle. Cela se comprend.
Monsieur Marcel, malgré la distance qui le sépare de Marjolaine, passe plus de temps chez sa nouvelle maîtresse qu’auprès de sa femme.
L’amour qu’il porte à sa jeunette l’accapare à un tel point qu’il se confie un jour son projet, celui de la prendre pour épouse.
Il y tient absolument.
Marjolaine semble gênée par cette proposition.
A suivre………….
PASSE LE 26/09/2006. PTB.
‘…Mais il y a ta femme Marcel…. ! Et cela me paraît insensé de divorcer, nous pouvons vivre ainsi en concubinage… ! Cela ne me gêne pas… !’
‘…Moi si … ! Je veux vivre près de toi, finir mes jours près de toi… ! Et puis faire comme si rien ne se passait chez moi me paraît saugrenue… ! Je ne supporte plus de jouer la comédie… !’
‘…Et tes enfants…. ?’
‘…Mes enfants sont adultes… ! Je leur parlerai… ! Ils s’en accommoderont.. !’
‘…C’est absurde enfin, mais pourquoi compliquer les choses… ?’
‘…Tu refuses mon offre…. ?’
‘…Je ne refuse pas … ! Laisses moi le temps de réfléchir…. !’
‘…Il n’y a plus rien entre elle et moi… ! Marjolaine… ! Je suis fou amoureux de toi.. !’
‘…Tu me fais peur…. !’
‘…Peur ??? Mais pourquoi enfin… !’
‘…Cela m’arrive trop vite… ! Nous nous connaissons que depuis 9 mois, après tout.. !’
‘…Et alors, tu ne trouves pas que cela fait long… ?’
‘…Long.. ! Long… ! Pas assez ... ! Je n’ai que 25 ans et j’aspire à vivre … !’
‘…A vivre ??? Mais tu auras tout ce que tu veux.. ??’
‘…Mais crois -u qu’il faut avoir tout pour vivre heureuse… ?’
‘…Je ne comprends rien, jusqu’à présent tu n’as pas soulevé de problème… ?’
‘…Tu ne m’as jamais parle de mariage … ! Et ta proposition si surprenante me donne le tournis.. ! Comment puis-je vivre une union bénie tant que ta femme est là, entre nous moralement… ? Comme un doigt entre deux écorces… ! ‘
‘…Elle va demander le divorce. Je lui paierai tout ce qu’elle veut pourvu que l’on se sépare à l’amiable.. !’
‘…Le divorce ??? Mais tu ne m’en as jamais parle… ?’
A suivre…
Monsieur Marcel ment pour apaiser le doute de Marjolaine.
‘…Je ne voulais pas te le dire tant que les choses n’avaient pas évoluées. Nous avons rendez-vous devant le juge très prochainement. Je la soupçonne d’avoir un amant… ! Donc tu vois, cela ne va très fort entre elle et moi… !’
Là aussi M. Marcel ment.
‘…Ta femme a un amant.. ? Là aussi je n’en savais rien… !’
‘…Bien maintenant tu sais tout… !’
‘…Tu as un avocat je suppose ????’
‘…Oui, bien sur.. ! Pourquoi… ?’
‘…Comment s’appelle t’il ???’
‘…Mais tu ne me crois pas là…. ?’
‘…C’est à dire que je veux savoir, sans entrer dans les détails… !’
‘…Maître Chiapas.. ! Du barreau de Paris… ! La confiance règne… ! A ce que je vois… ! Tu comptes l’appeler pour vérifier… ?’
‘…Non, pas du tout, c’est une curiosité, sans plus... !’
‘…Curiosité à porter sur le genre féminin.. !’
‘…Oui c’est bien cela... !’
‘…Tu revins quand Marcel…. ?’
‘…Dans une semaine, je règle mes affaires et je t’appelle… !’
‘…Ok… !’
La conversation prend fin dans son appartement.
A suivre….
Passe sur le PTB LE 27.09/2006.
5°
Marjolaine est perturbée par la proposition de son amant.
Elle qui pensait vivre une amourette de quelques mois, là voilà prise en porte à faux avec ce projet de mariage d’autant plus que son père voyait d’un très mauvais œil cette relation entre elle et ce magnat.
M. Simpson avait d’autres projets pour sa fille.
Un ami célibataire très haut placé qui avait jeté son dévolue sur sa fille.
Il en parla à sa fille bien sur, comme tout bon papa qui veut voir sa progéniture vivre une belle union sans remous, sans complication.
Il s’en veut un peu de ce rapprochement entre sa fille et M.Marcel.
Cela s’était passe lors d’un colloque. Il eut le tort de lui présenter sa fille.
Comment prévoir que cela allait prendre une tournure malheureuse, du moins c’est comme cela qu’il voyait cette union contre ‘nature’. M. Simpson est un fervent catholique et ce genre de concubinage est immoral à ses yeux.
M. Marcel rentre à Paris et la première chose qu’il fait et d’appeler son avocat Maître Chiapas.
A suivre....
6°
A suivre…
‘…Maître… ? Bonjour… !’
‘…Ah... ! Bonjour M. Robillion… ! Et ce voyage… ?’
‘…Bien.. ! Bien.. ! J’ai besoin de vos services… !’
‘…Au sujet de l’affaire Redom… ?’
‘…Non… ! Voilà, si une jeune fille du nom de Marjolaine Simpson vous appelle dans les prochains jours, je vous serai reconnaissons de lui dire que j’ai entamé une action de divorce d’avec ma femme… !’
‘…Je ne vous comprends pas M. Robillion… ?’
‘…J’ai besoin d’un mensonge de votre part… !’
‘…Comment… ? Vous voulez que je dise que vous entamez une procédure de divorce d’avec votre femme… ?’
‘…Oui, exactement.. !’
‘…M. Robillion, vous voulez que je vous couvre par un mensonge… ?’
‘…Vous avez tout compris… !’
‘…Mais cela ne fait pas parti de mes prérogatives…. ! Enfin.. ! Mais dans quel but… ?’
‘…Que perdez-vous à le faire…. ?’
‘…Vous voulez que je passe pour un menteur alors que ma fonction m’interdit ce genre de choses…. ?’
‘…Dites-moi Maître… ? Que faites-vous lorsque vous plaidez dés causes douteuses, dois-je vous rappeler les affaires scabreuses dans lesquelles vous vous êtes mouillés et qui vous ont valu un blâme par l’Ordre des Bâtonniers ????’
‘…Je ne fais que mon métier… ! Monsieur Robillion, cela arrangeait vos intérêts que je le fasse et aujourd’hui vous m’impliquez dans une affaire dont je ne comprends rien.. !’
‘…Si vous refusez mon petit service, ma mémoire pourrait faire ressurgir de biens et vieux démons en ce qui vous concerne…. !’
‘…Vous me faites du chantage … ?’
‘…Juste lui dire que vous procédez à l’établissement d’un acte de divorce…. ! Ce n’est pas trop vous demandez, et basta.. !’
‘…Je le ferai … !’
‘…Merci… !’
A suivre...
RM
3/10/2006.
7°
Rassuré, Monsieur Robillion peut être satisfait.
Deux jours plus tard, Mademoiselle Marjolaine Simpson prise par le doute sur les préparations du divorce de son amant appelle Maître Chiapas.
Elle se fait passer pour la sœur de M. Robillion.
‘…Maître Chiapas… !’
‘…Non madame… ! Je suis son clerc.. !’
‘…Ah...! Maître Chiapas n’est pas là…. ?’
‘…Il est au tribunal... ! Madame… !’
‘…Je suis la sœur de Monsieur Robillion et je souhaiterai afin de m’en convaincre personnellement d’une rumeur qui court… !’
‘…Mais comment savez-vous que nous nous occupons des affaires de Monsieur Robillion… !’
‘…Mon frère ne me cache rien et surtout pas une affaire de divorce.. ! Je veux l’en dissuader avec sagesse.. !’
‘…Vous dites une affaire de divorce… ??’
‘…Oui, s’il vous plait, je voulais savoir où en est cette affaire… ! Ma belle-sœur Angèle ne m’en parle pas par pudeur… ! Vous savez, elle n’est pas femme à se plaindre… !’
‘…Je ne suis pas habilité à vous en parler… !’
‘…Donc, les choses avancent…. ! Je vais en parler à mon frère afin qu’il revienne sur sa décision… !’
‘…Mais il n’y a rien de fait Madame… ! Je tiens tous les dossiers, je ne comprends rien, il n’y a aucune procédure de divorce entamée par votre frère.. !’
‘…En êtes-vous sûr… ?’
‘…Plus que sur, Madame, soyez certaine, il n’a pas lieu d’en parler à votre frère, ni de s’en inquiéter, je pense que cela doit être une farce de mauvais goût qu’on vous a rapporté… !
‘…Merci Monsieur… !Merci, vous m’avez enlevé une épine du pied.. !’
A suivre…
Passe le 5/10/2006.
8°
Marjolaine a la certitude à présent que son amant ment.
Elle se garde bien de rappeler son amant.
Quelques jours plus tard, les manchettes de journaux….
‘…..Dans une décharge publique du côté de Pantin, des éboueurs découvrent, mêlé à un gros tas d’immondices, le corps d’une femme …. !’
Voir en page 8.
Aucun papier sur elle.
La brigade criminelle dirigée par l’Inspecteur Boulakia prend l’affaire en main.
Sur place, le corps de la victime est photographiée sous toutes les coutures.
Rien n’est laissé au hasard. Tous les détritus trouvés à proximité du corps sont emballes dans l’espoir de trouver des indices.
Le corps est dépose à l’institut médico-légal de Paris.
Le médecin légiste donne à première vue son sentiment.
La dame porte un gros hématome derrière la nuque, sans doute causé par un objet contendant qui a entraîné la mort sur-le-champ. La boite crânienne est légèrement défoncée.
La mort remonte à 48 heures. Nous sommes le 24 Mars 2004.
Ce sont les éboueurs qui ont donné l’alerte.
‘…Gilbert… ! A part cela qu’a t’on retrouvé… ?’
‘…Pas un bijou sur elle, rien qui puisse nous éclaircir… !’
‘…Tu vas interroger les éboueurs et te renseigner sur les tournées qu’ils ont faits depuis deux jours…. !’
‘…Je vais aussi mettre la main dans la pâte... ?’
‘…Mieux… ! Monter dans les bennes… ! Vérifier les parois pour la recherche d’indices, cheveux, morceaux de tissus, sang etc.. qui ont pu se coller au collimateur, bref, tu connais la routine et fais vite avant qu’ils nettoient le tout… ! Appelle dés maintenant le service de la voirie… ! Dis-leur de ne rien laver avant que tu n’arrives, prend avec toi Azzou, Richard, Pierrot … ! Et des masques… ! Vas--y … !’
A suivre…Lundi BH.
9°
Gilbert est sur place, avec son équipe.
Ils questionnent, vérifient les tournées, les heures et les passages dans les quartiers.
Aucune benne ne porte de traces sensibles de la victime.
Quelqes heures plus tard…
Ils sont au rapport devant l’inspecteur qui prend note.
‘…Donc, le corps a été transporté sur les lieux et jeté sur les immondices.. ! Cela n’arrange pas notre tache… !Bizarre, nous n’avons reçu aucun avis de recherche… ?’
A ce moment là le fax grésille.
Azzou porte le feuillet au commissaire…
‘…Ben voilà, il suffit que j’en parle pour que l’énigme se dévoile au grand jour… !
Voyons….
Le Boulak lit à haute voix…
’ Madame Robillion Angèle 45 ans, épouse Robillion Marcel, PDG… !’
‘…Une grosse légume, le patron de la grande téléphonie… !’ Ajoute t’il.
‘...Disparue sans raison apparente du foyer depuis le 22 Mars à midi … ! Heure approximative… ! ‘…
‘…Bon allons voir son mari… ! C’est la domestique qui a signalé sa disparition… !’
Sans perdre de temps, nos deux inspecteurs sonnent au grand pavillon de M. Robillion.
Une grande piscine en forme de haricot est installée dans un grand jardin entouré de peupliers.
Mais pas de Robillion.
Par contre il trouve la jeune domestique Mlle Régine.
‘…Bonjour Mademoiselle... ! Je suis l’inspecteur Boulakia et voici mon collègue Gilbert.. ! C’est bien vous qui avez signalé la disparition de Madame Robillion il y a quelques jours soit le lendemain de sa disparition…???’
‘…Oui Inspecteur… ! Elle n’a pas l’habitude d’être absente sans me laisser un mot avant de partir…. ! J’ai essaye de la joindre sur son portable toute la journée mais hélas, il était là et déchargé… ! Chose inhabituelle de sa part, d’autant plus qu’elle m’appelle vers les 10 heures du matin dans le cas où elle serait absente… !’
‘…Vous avez les clefs du pavillon… ? Donc vous allez voir la police le lendemain… !’
‘…Oui… !’
‘…Elle n’a pas d’amies madame Robillion… ?’
‘…Non, c’est une femme très réservée, très brave … !’
‘…Son mari, où se trouve t’il… ?’
‘…Monsieur voyage souvent, il est parti pour les Etats-Unis… ! Le 21 au matin… !’
‘…Il rentre quand d’après vous… !’
‘...En générale pas plus de deux ou trois jours. Je pense que sa secrétaire pourra vous le dire avec précision.. !’
‘…Bien, nous allons le faire immédiatement… ! Donnez-moi le numéro de téléphone de son entreprise.. !’
A suivre…
10°
La jeune fille le lui donne.
La réponse tombe sur-le-champ.
‘…Merci Mademoiselle… !’
Il obtient la secrétaire qui l’informe du retour de M. Robillion pour le 30 au matin.
Puis envers la jeune domestique ‘…Votre patron rentre la semaine prochaine… ! Bien, nous allons cependant en votre présence vérifier certaines choses… ! Avez-vous remarqué quelques choses ou entendu une querelle… ? Quelque chose qui vous a paru suspect….’
‘…Non Inspecteur… ! Rien n’a été touché… !’
‘…Pas de traces de lutte, de verre cassé, de vitre ou autre chose… ?’
‘…Rien, tout était en ordre… !’
‘…Bien… ! Vous restez à notre disposition, en attendant je vous prie de rentrer chez vous… !’
La domestique s’exécute.
Le 30 au matin, nos fins limiers sont sur place pour accueillir Monsieur Robillion.
Ce dernier ne tarde pas à descendre de sa voiture qu’il gare dans son parking privé, dans le jardin.
‘…M. Robillion… ?’
‘…Oui… !’
‘…Excusez-nous de vous déranger, je suis l’inspecteur Boulakia et voici mon collègue Gilbert.. !’
‘…Que se passe t’il Inspecteur… !’
‘…C’est au sujet de votre femme.. ! Si vous le permettez, il vaut mieux que nous rentrions à l’intérieur.. !’
‘…Oui bien sur, j’ouvre.. !’
Passe le 10/10/2006.
A suivre…
11°
Ils rentrent.
M. Robillion pose sa valise et invite les poulets à entrer dans le grand salon.
Il s’encastre dans le sofa tandis que nos deux policiers prennent placent devant lui, sur des fauteuils.
‘…Monsieur Robillion, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer…. ! Il s’agit de votre femme…. !’
‘…Angèle que lui est t’il arrivée ?????’
‘Elle a été assassinée… ! Nous avons retrouvé son corps, suite à la disparition signalée par votre domestique, dans une décharge publique… !’
‘…COMMENT… ! Angèle…. ! Ma femme assassinée ??????
Monsieur Marcel Robillion risque de s’évanouir.
Il a la figure blême.
Il reste pendant un moment complètement hagard au point que…
‘…M. Robillion voulez –vous que j’appelle un médecin…. ? Vous semblez mal en point… ?
‘…Mais comment assassinée … ? Inspecteur… ! Mon Angèle… !’
Il est mal en point.
Le Boulak réitère la question.
M.Robillion est ailleurs.
Il intercale sa tête entre ses deux mains.
Puis…
‘…Mais pourquoi ????’
‘…C’est ce que nous cherchons… ! Rien n’a été fracture ni déplacé, la jeune domestique nous informe que rien n’a disparu … ! Avez- t’elle un ami très proche… ?’
‘…Vous voulez dire un amant… ?’
‘…Oui, nous devons envisager toutes les éventualités… !’
‘…Non à ma connaissance… !’
Pendant ce temps, Gilbert sort par la porte-fenêtre pour inspecter les lieux.
Il ne relève rien de suspect. Cependant il se permet de prendre le journal le Figaro, vieux de trois jours qui se trouve sur la banquette avant de la voiture, de M.Robillion.
A suivre...
Dans le salon, ce dernier se remet peu à peu de ses émotions et toujours sous les feux des questions de l’inspecteur… !
‘…Monsieur Robillion lorsque vous avez quitté votre femme, il y a quelques jours, vous n’avez rien remarqué de suspect dans son comportement… ? Pas de coups de fils … ?
Je suis désolé comme je vous le répète, je dois tout vérifier même l’impensable.. !’
‘…Nous nous aimons comme des fous… ! Je ne me connais pas d’ennemis… ! Rien qui explique ce meurtre comme vous le dites… !’
‘…Vous étiez aux Etats-Unis… !’
‘…Pour signer un contrat important de dernière minute… ! Je ne reste en générale que quelques jours, jamais plus d’une semaine.. !’
‘…Je vous suggère en attendant d’y voir plus clair de vous reposer et surtout d’être à notre disposition … ! Vous ne voyagez pas dans l’immédiat. ????’
‘…Non… ! Avec ce qu’il m’arrive, je me dois de rester ici… ! Je dois informer mes enfants… !’
‘…Bien, nous allons vous quitter et vous tiendrons au courant de l’avancement de nos investigations.. ! Une équipe du service technique va passer pour vérifier certaines choses. Ne touchez à rien à votre véhicule, c’est une question de routine… ! Votre voiture semble avoir été lavée, il n’y a pas si longtemps…. ???
‘…Oui en effet, je suis très méticuleux… ! Merci Inspecteur… !’
Dix minutes plus tard, l’équipe technique arrive et procède aux premiers prélèvements.
Une heure plus tard, elle prend congé du PDG.
A peine est t’elle partie, que le Marcel appelle sa maîtresse.
‘…Allô… ! Marjolaine…. ?’
A suivre…
Passe le 15/10/2006.
Silence….
Deux minutes plus tard, une petite voix…
‘…Allô... ! Oui… ?’
‘…C’est moi… !’
‘…Mais as-tu vu l’heure qu’il est ???
‘…Il s’agit de Angèle, on l’ assassiné… !’
‘…Comment ????’
‘…J’ai eu la visite de deux inspecteurs…. !’
La sonnerie de la porte..
‘…Attends, on sonne, sans doute la domestique… !’
Il va ouvrir et là il tombe sur nos deux inspecteurs…
‘…Excusez-moi, nous avons dû rebrousser chemin, mon collègue a oublie son journal sur le fauteuil… !
‘…Je vous l’amène… !
L’inspecteur remarque le combiné du téléphone posé sur la table du salon.
‘…Vous téléphoniez… ? Nous sommes désolés de vous déranger.. !’
‘…Oh ce n’est qu’une amie des states … !’
‘…Bien, merci Monsieur Robillion… !’
‘…Au revoir.. !’
M. Robillion reprend la conversation avec sa Marjolaine.
‘…Nos deux poulets… ! Juste un oubli de leur part… ! Et bien voilà, ils enquêtent… !
‘…Mais comment cela assassinée Marcel… ?’
‘…Elle a été retrouvée dans une décharge publique… ! Il y a qqs jours... !’
‘…La malheureuse, je ne sais quoi dire… !’
‘…Bon écoutes, pour l’instant je ne peux pas me déplacer, je reste à leur disposition, je t’appellerai plus tard… !’
‘… Tu n’as rien à te reprocher au moins.. !’
‘…Mais enfin, j’étais dans l’avion lorsque cela est arrivé… !’
‘…Tu connais la date ???’
‘…Oui, ils m’ont dis le 22 au soir… !…Bonne nuit… ! Et excuse-moi… !’
A suivre…
Il raccroche.
Il se lève de son sofa et va se verser un scotch.
Quelques heures plus tard, ses deux enfants arrivent presque au même moment.
Ils sont mis au courant.
Ils n’en reviennent pas.
Ils sont accablés par la nouvelle.
Dans la voiture de nos inspecteurs, sur le chemin du retour.
‘…Depuis quand lis-tu le Figaro toi ????’
‘…Je l’ai trouvé sur le siége avant, je l’ai pris pour pointer mon tac au tac.. !’
‘…Tu joues toi ???’
‘…Oui histoire de m’enrichir et prendre ma retraite avant ma vraie retraite.. !’
‘…Je vois…. ! Bon garde le quand même je vais l’éplucher ce soir… !’
‘…Tu lis le Figaro toi ???
‘…Juste l’éplucher… !’
Chez les Robillion.
Le fils Didier.
‘…Comment cela a t’il pu arriver… !’
‘…Je ne comprends pas… !’ Le père. ‘…Vous pensez à quoi les enfants.. !’ Répète te t’il.
‘…A quoi veux-tu que l’on pense… ?’ Dit la fille.
‘…Un crime gratuit, crapuleux, mais pourquoi elle … ? Enfin… ! Cela a t’il un rapport avec tes affaires papa.. ?’ Le fils.
‘…Papa, sait -tu qq chose … ? Charlotte.
‘…Mais enfin si j’avais un semblant de piste je l’aurai dit aux deux inspecteurs.. !
Je nage dans le brouillard… !’
A suivre…
Chez l’avocat.
‘…Un message pour moi Jean, ce matin… ???’
‘…Une dame, qui s’est présentée comme la sœur de Monsieur Robillion… !’
‘…Mais Monsieur Robillion n’a pas de sœur à ce que je sache… ! Que vous a t’elle demandé… ?’
‘…Si Monsieur Robillion prépare un acte de divorce… !’
‘…Comment… ? Et qu’avez vous répondu… ?’
‘…Que je n’en connaissais pas à ma connaissance… !’
‘…Mais enfin de quel droit parlez-vous de choses secrètes avec une inconnue… ?’
‘…Mais elle en savait des choses sur Monsieur Robillion, sa date de naissance, son age,
Son adresse, sa fonction mais … !’
‘…Votre fonction est de ne rien dire dans mon étude, vous le savez non ???’
‘…Mais je ne pouvais pas prévoir que cela était si grave ... !’
‘…Bon… ! Bon.. ! Taisez vous et la prochaine fois, ne répondez à personne… !’
Après le départ du clerc…
Maître Charpas appelle de son étude M. Robillion.
Il tombe sur son fils qui a la même voix que son père.
Celui ci est dans sa chambre. Il se repose.
Sans réfléchir…
‘…Allô… ? M. Robillion… !’
‘…Oui…. ?’
‘…Tout a foire, je pense.. !’
‘…Qu’est -ce qui a foire… ?’
‘…Mon clerc vient de commettre une bourde au sujet de ce que vous m’avez demandé de faire, pour l’acte de divorce d’avec votre femme… !’
‘…Quel acte de divorce… ?’
‘…Mais ce matin, nous en avons parle… ! Avez-vous oublie notre entretien, votre jeune demoiselle en question, a appelle ce matin, elle est tombée sur mon avoué, elle lui a tiré les vers du nez … !’
‘…Vous êtes qui Monsieur… ! Je suis Didier, le fils aine de M.Robillion… !’
‘…Oh… ! Excusez-moi, vous avez la même voix que votre père… ! Est t’il là ???’
‘…Il se repose, mais de quel acte de divorce parlez-vous… ?’
‘…Ecoutez, je rappellerai plus tard… ! Bonne soirée… !’
A suivre…
L’avocat raccroche.
Didier relève le numéro inscrit sur l’écran.
Il ne perd de temps, compose le numéro du Quid, et tombe sur la messagerie qui l’informe sur le propriétaire et par ricoché sur le numéro de Maître Chapias…Notaire à Paris, 132 BD Malesherbes.
Didier informe sa sœur, présente à ses côtés, de l’entretien qu’il vient d’avoir.
‘…Charlotte ? Es-tu au courant que papa allait divorcer ???’
‘…Divorcer ?? Pas du tout… !’
‘…Je ne comprends rien, l’avocat que j’ai eu au bout du fil m’a confondu avec papa, il avait l’air paniqué, il me parle d’actes de divorce… !’
‘…Bizarre… ! Etrangement bizarre, écoutes, n’en parle pas à papa, nous devrons aller lui rendre visite demain matin sans tarder, à la première heure… !’
Chez lui, Maître Charpas est dans tous ces états.
Il vient de commettre la plus grosse bévue de sa vie après celle de son clerc.
Il marche de long en large dans son étude qui fait office aussi d’appartement.
Il fume cigarettes sur cigarettes. Tel un automate, il parcourt le salon sans arrêt.
S’asseyant par moment pour maugréer.
Il réfléchit à la suite des évènements.
Au Quai des Orfèvres.
A suivre…
Ma chére P_Nina..
Suite à ton message...
'...Ya Breitou Man Fils,
Mamili et Elsa, elle vont te ftiler ça k'il faut, et mettre la main pour faire lever la pate, elles vont ti brancher les sources d'énergie,,,
,,,khamça ti auras Un Sex A Piles
Ti les veux Sal-Ines ou Al-Kalines(Celle là ci trés cher!) ...!
Je suis désolè de te contredire.
Ce ne sont pas des piles à sexe qu'il me faut mais une DIN A MOU pour redonner à ma mécanique
un semblant de réveil.
Queue dis-je, une centrale atomique pour touner
ce qui apparemment est devenu bien plat.
Mon amie Michka a vu presque juste.
Sans intention de me blésser, elle remet en marche deux petits nains bien remontès.
A vrai dire, lorsque je jette un coup d'oeil compatissant sur mon passè, je ne trouve plus
dans mon présent ce qui fût ma gloire hélas..!
ils ne peuvent plus être ce qu'ils étaient.
Bref, sans vouloir perdre la face, je préfère m'asseoir sur mes deux fesses réflèchir sur leur futur...
Changement de sujet.
Savez-vous qui était Madame de Récamier???
Rôle tenu par Madame Michka dans la piècé longue durèe qui va passer lorsque les circonstances me
seront favorables. Je peaufine les actes afin de vous offrir le meilleur de ce que je maîtrise le mieux....
Vous saurez trés prochainement un pan de sa vie Ô combien tumultueuse en gardant à l'esprit qu'elle fût quand même d'une grande vertu.
Vous le saurez trés prochainement bien avant que le grande piéce vous soit présentèe.
Merci.
Chavouat Tov mes fréres et soeurs.