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Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006: Archive Novembre 2006: Archive jusqu'au 14/novembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 novembre 2006 - 13h37:

Maboule sortie d'un cabaret de dingues orientaux....! Y'a pas de quoi être fiére ma chére...!!!!Quelle Horreur...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 14 novembre 2006 - 13h35:

Mamilos en danseuse...

La classe sans pudeur.

 MAMILOS



'...Quel talent...! Une vraie Samia Gamel renaissante tant par la taille, le galbe et les contorsions...! Domage, il te manque le look sinon tu aurais pu gagner ta vie en te déhanchant..! Hmoum ou brad...! Si Elsa voyait
celà...??? 5 pour toi...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 novembre 2006 - 13h33:

Ta maison c'est le "Le PTB".

Cesses de batifoler.

On n'a pas le droit d'avoir un pied à terre???
Ailleurs...???

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 14 novembre 2006 - 13h06:

Chanson connue, légerement remanièe.
Par Albert.

Elle était maquillée

'....Elles sont toutes maquillèEEEes..
Comme des starts du pétèEEEbè

La la la lAAAA....§§§

Accoudèes à leurs fenêÊÊÊÊtres...
Elles surveillaient...

La la laAAAA...§§§§§


Elles revâient qu'elles posaiIIIent
Juste pour un bout d'essai
A la Nao Métro Meyer.

La la lAAA...

Elles sont bien dans leur peaAAAau
Celles quiIII montent là hauUUUUUt...
La Michka la psychoOOOO....
et la Elsa sans chapeEEEEau...§§§§§

Les déesses du pétè BOOO...
De vrais rigoloOOOOOs...§§§§§§§.....
La Mamili dans sa mégalOOO...§§§§
Elle qui voit tout par son hubloOOOt...
Et moi qui la surveille de troOOOOp...§§§§§

Elles marchent avec des talons...Hauts....§§§..
Elles qui ont tant de talents....Si beauUUUUx...
En frôlant les rampes....


MMMMmmm...

La musique qui couvraiIIIIIt
Les odeurs de cuisine qui enfumaient
Les paliers et les patioOOOOOs....
Semblaient déranger tout le quartier...

Elles en faisaient un peu troOOOOp
Ces dames qui montent là haUUUUut
Avec leurs idées d'machoOOOs....

MmmmmmMM....§§§§

La Girelle joue en soloOOOO
Avec la Douda le boOOO...
Et Lucie qui passe avec son chapeaAAAAu
Dire bonjour à Elsa et MamoloOOOO..
Dans leurs décor menthe à l'eau...
Et moi qui suit de troOOOOOp...

Mmmmmmmmm...

Mais un type est rentrèEEEEE
Dans l'immeuble sans payeEEEr
Demander les loyeEEErs

Elles ont toutes huUUUUrlèes
Et le type fut malemenèEEEE
Pas loin de prendre une raclèe.

§§§§§

MmmmmMMMM..§§§§

Il a prit ses jambes à son cou
Croisant deux belles pépèes
Qui tricottaient...

Les dames qui montent là haut
Ont toutes les yeux Couleur menthe à l'eau......§§§§§

MMMmmmmm

Elles sont bien dans leur peaAAAau
Celles quiIII montent là hauUUUUUt...
La Michka la psychoOOOO....
et la Elsa sans chapeEEEEau...§§§§§

Les déesses du pétè BOOO...
De vrais rigoloOOOOOs...§§§§§§§.....
La Mamili dans sa mégalOOO...§§§§
Elle qui voit tout par son hubloOOOt...
Et moi qui la surveille de troOOOOp...§§§§§

Elles marchent avec des talons...Hauts....§§§..
Elles qui ont tant de talents....Si beauUUUUx...
En frolant les rampes....



Pour HARISSA HOUSE...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 novembre 2006 - 12h01:

SKETCH....

Paris le 14 Novembre 2006.


'...Regardes chérie...! Qui vient nous rendre visite....?'


Suite au sketch '...Mamili..! Je suis à Miami...!' Notre Michka pétèbiste a eut la visite
de Nao et oui, je l'ai appris que ce matin par la bouche de notre Isa..et voilà pourquoi je suis furieux contre toi Michka.
Michka est allongèe sur son transat, une jambe sur l'autre.
Mssedra.

Son mari lit les Aventures de Breitou lorsque sa femme lance un de ces cris qui le fait
sursauter....

'...WAAAAAOOOOOOOO....! NAOOOOOOOOOOOOOOOOO.....! Isa ma chérie
...! Mon D ieu qu'elle heureuse et surprenante surprise...! Si je m'attendais à ça...! J'en ai la
chaire de poule....! Quel frisson..! Ah...! J'en suis toute baba ( au rhum) ....!
Olalalalalalal....! Ouf, j'en perds mon souffle...! En plus je me disais dans mon for
intérieur '...Ah si Isabelle pouvait débarquer...!' Et là je vois qui...? Toi...!
En chaire de graisse et en os...! Tu t'imagines...! Je n'arrive pas à croire...!
J'ai même essayè de te joindre par télèphone mais malheureusment
ça ne répondait pas....!

Son mari la regarde de travers...;

'...Nous sommes venus en Cata...Mini...A Miami à midi en mini-bus depuis Orly ...!
Je ne te raconte pas...! Mais tu as une belle mine en mini-jupe, minuscule vraiment ta jupe...!
C'est fou ce que tu as fondu ma chérie...! Au soleil...! Si tu restes encore debout tu vas ressembler
à une flaque de sueur...! Assieds-toi.....!'

Le garçon passe...

'...GarçoOOOOOnnn...! Please...! Un mini-scotch en the rock bi bla blou-ba....! Pour
mon amie...!'

Elle chuchotte à son oreille..

'...C'est Ramirez du film catastrophe de l'autre imbécile d'Albert...!'

'...Tank you...!'

Et son mari qui la toise de travers....

'...Regarde ça...! Nous sommes là que depuis deux heures et voilà mon teint...! Halè...! Halo...!
Allez-viens que je te dise, je n'ai pas encore ouvert nos valises et je me demande si
je vais les ouvrir, nous partons demain...!

Enfin son mari...

'...Peux tu me dire avec qui tu parles...?'
'...Bien avec Nao dans le cas où elle viendrait me rendre visite enfin...! Je prépare...!'
'...Si tu ouvrais le parasole...! cela t'éviteras de prendre un coup de.....Folie...!'
'...Toi alors, toujours là à me contredire...! On ne peut plus parler entre femmes
sans que tu interviennes...!'


Sketch servi tout chaud à l'invisible Nao.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 novembre 2006 - 11h38:

Je suis furieux contre toi.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le lundi 13 novembre 2006 - 22h21:

Ta maison c'est le "Le PTB".

Cesses de batifoler.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Div_Boulakia (Div_Boulakia) le dimanche 12 novembre 2006 - 21h42:

Récit Policier.

Tous les évènements narrés dans ce récit sont imaginaires.


Paris le 27/06/2006.


Monsieur Marcel Robillion…………………...L’Homme d’affaire.
Madame Angle Robillion…………………… Son épouse.
Mademoiselle Marjolaine Simpson………………. La maîtresse de Mr.Robillion.
Monsieur Didier Robillion…………………… Le fils.
Mademoiselle Charlotte Robillion…………………La fille.
Maître Jean Charpas…………………………L’avocat.
Garage Lambert
Miguel un mécanicien.
Josè le second mécanicien.
Les inspecteurs Boulakia, Gilbert, Azzou.

Le CODE BARRE….


Encore une enquête de l’inspecteur Boulakia qui l’a mené à élucider un crime crapuleux qui, au départ le rendait sceptique.

Sa perspicacité et son savoir-faire ont prouvé une nouvelle fois combien est grande l’imagination et la préméditation dans les montages sophistiqués d’un crime que certaines personnes aveuglées par la passion, la folie, par la cupidité, histoires d’héritages, la vengeance, la jalousie ou par la gratuité du forfait, maquillent afin de faire porter le chapeau sur autrui.

Bref tout y passe depuis CAEN ET ABEL.

Dans l’affaire qui nous concerne un détail presque dérisoire a fait tomber le coupable.
Un homme d’affaire voyageant souvent de par le monde.
Et des hommes d’affaires qui voyagent sont légions et pour la plupart d’entre eux tentés par le cul des femmes.
Rares sont ceux qui ne le sont pas.
Une maîtresse quoi d’anormal me diriez vous par les temps qui courts.
C’est si banal que certaines femmes s’en accommodent.

Monsieur Robillon Marcel, 58 ans, est de cette espèce d’hommes qui collectionne les aventures autant que les voyages.
PDG d’une grande entreprise de téléphonie, il s’amourache d’une jeune fille de 25 ans, Marjolaine Simpson, citoyenne américaine, étudiante et vivant seule à Baltimore.
De parents riches, son papa est aussi PDG dans son entreprise qui vend des armes un peu partout dans le monde. Un marchand d’armes.

Monsieur Marcel est marié. Père de 2 enfants Didier et Charlotte, tous deux âgés respectivement de 28 ans et 23 ans.

Sa femme Angèle, 45 ans, malgré son entre deux âges, est restée très belle. Epouse raffinée, elle est issue d’un milieu modeste.

A suivre………………


Marcel et Angèle se sont connus sur les bancs de la fac en mai 68. Une année faste qui a vu les rues de Paris et celles des provinces s’embraser.

Angèle soupçonnait bien son mari de ses turpitudes mais sa bonne situation et son bien être ne pouvaient être remis en question à cause de ces ‘volageries’.
Elle fermait les yeux.
Elle acceptait cet état de choses d’autant plus que son mari est un homme autoritaire qui ne supporte aucune remarque sur la manière dont il mène sa vie.

La richesse souvent peut se permettre quelques arrogances.

Sa présence au foyer se compte en heures, mensuellement et ses absences, en semaine.
Patiente et amoureuse et surtout lasse, la bonne épouse s’y résout et finie par vivre cette union bancale, entourée par ses enfants adultes qui viennent de temps à autre lui rendre visite..
Deux enfants qui l’adorent et qui, loin d’être indifférents au sort de leur mère, s’interdisent de prendre fait et cause pour elle. Cela se comprend.

Monsieur Marcel, malgré la distance qui le sépare de Marjolaine, passe plus de temps chez sa nouvelle maîtresse qu’auprès de sa femme.
L’amour qu’il porte à sa jeunette l’accapare à un tel point qu’il se confie un jour son projet, celui de la prendre pour épouse.
Il y tient absolument.

Marjolaine semble gênée par cette proposition.

A suivre………….

PASSE LE 26/09/2006. PTB.

‘…Mais il y a ta femme Marcel…. ! Et cela me paraît insensé de divorcer, nous pouvons vivre ainsi en concubinage… ! Cela ne me gêne pas… !’
‘…Moi si … ! Je veux vivre près de toi, finir mes jours près de toi… ! Et puis faire comme si rien ne se passait chez moi me paraît saugrenue… ! Je ne supporte plus de jouer la comédie… !’
‘…Et tes enfants…. ?’
‘…Mes enfants sont adultes… ! Je leur parlerai… ! Ils s’en accommoderont.. !’
‘…C’est absurde enfin, mais pourquoi compliquer les choses… ?’
‘…Tu refuses mon offre…. ?’
‘…Je ne refuse pas … ! Laisses moi le temps de réfléchir…. !’
‘…Il n’y a plus rien entre elle et moi… ! Marjolaine… ! Je suis fou amoureux de toi.. !’
‘…Tu me fais peur…. !’
‘…Peur ??? Mais pourquoi enfin… !’
‘…Cela m’arrive trop vite… ! Nous nous connaissons que depuis 9 mois, après tout.. !’
‘…Et alors, tu ne trouves pas que cela fait long… ?’
‘…Long.. ! Long… ! Pas assez ... ! Je n’ai que 25 ans et j’aspire à vivre … !’
‘…A vivre ??? Mais tu auras tout ce que tu veux.. ??’
‘…Mais crois -u qu’il faut avoir tout pour vivre heureuse… ?’
‘…Je ne comprends rien, jusqu’à présent tu n’as pas soulevé de problème… ?’
‘…Tu ne m’as jamais parle de mariage … ! Et ta proposition si surprenante me donne le tournis.. ! Comment puis-je vivre une union bénie tant que ta femme est là, entre nous moralement… ? Comme un doigt entre deux écorces… ! ‘
‘…Elle va demander le divorce. Je lui paierai tout ce qu’elle veut pourvu que l’on se sépare à l’amiable.. !’
‘…Le divorce ??? Mais tu ne m’en as jamais parle… ?’

A suivre…

Monsieur Marcel ment pour apaiser le doute de Marjolaine.

‘…Je ne voulais pas te le dire tant que les choses n’avaient pas évoluées. Nous avons rendez-vous devant le juge très prochainement. Je la soupçonne d’avoir un amant… ! Donc tu vois, cela ne va très fort entre elle et moi… !’

Là aussi M. Marcel ment.

‘…Ta femme a un amant.. ? Là aussi je n’en savais rien… !’
‘…Bien maintenant tu sais tout… !’
‘…Tu as un avocat je suppose ????’
‘…Oui, bien sur.. ! Pourquoi… ?’
‘…Comment s’appelle t’il ???’
‘…Mais tu ne me crois pas là…. ?’
‘…C’est à dire que je veux savoir, sans entrer dans les détails… !’
‘…Maître Chiapas.. ! Du barreau de Paris… ! La confiance règne… ! A ce que je vois… ! Tu comptes l’appeler pour vérifier… ?’
‘…Non, pas du tout, c’est une curiosité, sans plus... !’
‘…Curiosité à porter sur le genre féminin.. !’
‘…Oui c’est bien cela... !’
‘…Tu revins quand Marcel…. ?’
‘…Dans une semaine, je règle mes affaires et je t’appelle… !’
‘…Ok… !’

La conversation prend fin dans son appartement.

A suivre….

Passe sur le PTB LE 27.09/2006.



Marjolaine est perturbée par la proposition de son amant.
Elle qui pensait vivre une amourette de quelques mois, là voilà prise en porte à faux avec ce projet de mariage d’autant plus que son père voyait d’un très mauvais œil cette relation entre elle et ce magnat.
M. Simpson avait d’autres projets pour sa fille.
Un ami célibataire très haut placé qui avait jeté son dévolue sur sa fille.
Il en parla à sa fille bien sur, comme tout bon papa qui veut voir sa progéniture vivre une belle union sans remous, sans complication.
Il s’en veut un peu de ce rapprochement entre sa fille et M.Marcel.
Cela s’était passe lors d’un colloque. Il eut le tort de lui présenter sa fille.

Comment prévoir que cela allait prendre une tournure malheureuse, du moins c’est comme cela qu’il voyait cette union contre ‘nature’. M. Simpson est un fervent catholique et ce genre de concubinage est immoral à ses yeux.

M. Marcel rentre à Paris et la première chose qu’il fait et d’appeler son avocat Maître Chiapas.

A suivre....



A suivre…

‘…Maître… ? Bonjour… !’
‘…Ah... ! Bonjour M. Robillion… ! Et ce voyage… ?’
‘…Bien.. ! Bien.. ! J’ai besoin de vos services… !’
‘…Au sujet de l’affaire Redom… ?’
‘…Non… ! Voilà, si une jeune fille du nom de Marjolaine Simpson vous appelle dans les prochains jours, je vous serai reconnaissons de lui dire que j’ai entamé une action de divorce d’avec ma femme… !’
‘…Je ne vous comprends pas M. Robillion… ?’
‘…J’ai besoin d’un mensonge de votre part… !’
‘…Comment… ? Vous voulez que je dise que vous entamez une procédure de divorce d’avec votre femme… ?’
‘…Oui, exactement.. !’
‘…M. Robillion, vous voulez que je vous couvre par un mensonge… ?’
‘…Vous avez tout compris… !’
‘…Mais cela ne fait pas parti de mes prérogatives…. ! Enfin.. ! Mais dans quel but… ?’
‘…Que perdez-vous à le faire…. ?’
‘…Vous voulez que je passe pour un menteur alors que ma fonction m’interdit ce genre de choses…. ?’
‘…Dites-moi Maître… ? Que faites-vous lorsque vous plaidez dés causes douteuses, dois-je vous rappeler les affaires scabreuses dans lesquelles vous vous êtes mouillés et qui vous ont valu un blâme par l’Ordre des Bâtonniers ????’
‘…Je ne fais que mon métier… ! Monsieur Robillion, cela arrangeait vos intérêts que je le fasse et aujourd’hui vous m’impliquez dans une affaire dont je ne comprends rien.. !’
‘…Si vous refusez mon petit service, ma mémoire pourrait faire ressurgir de biens et vieux démons en ce qui vous concerne…. !’
‘…Vous me faites du chantage … ?’
‘…Juste lui dire que vous procédez à l’établissement d’un acte de divorce…. ! Ce n’est pas trop vous demandez, et basta.. !’
‘…Je le ferai … !’
‘…Merci… !’

A suivre...

RM

3/10/2006.



Rassuré, Monsieur Robillion peut être satisfait.

Deux jours plus tard, Mademoiselle Marjolaine Simpson prise par le doute sur les préparations du divorce de son amant appelle Maître Chiapas.
Elle se fait passer pour la sœur de M. Robillion.

‘…Maître Chiapas… !’
‘…Non madame… ! Je suis son clerc.. !’
‘…Ah...! Maître Chiapas n’est pas là…. ?’
‘…Il est au tribunal... ! Madame… !’
‘…Je suis la sœur de Monsieur Robillion et je souhaiterai afin de m’en convaincre personnellement d’une rumeur qui court… !’
‘…Mais comment savez-vous que nous nous occupons des affaires de Monsieur Robillion… !’
‘…Mon frère ne me cache rien et surtout pas une affaire de divorce.. ! Je veux l’en dissuader avec sagesse.. !’
‘…Vous dites une affaire de divorce… ??’
‘…Oui, s’il vous plait, je voulais savoir où en est cette affaire… ! Ma belle-sœur Angèle ne m’en parle pas par pudeur… ! Vous savez, elle n’est pas femme à se plaindre… !’
‘…Je ne suis pas habilité à vous en parler… !’
‘…Donc, les choses avancent…. ! Je vais en parler à mon frère afin qu’il revienne sur sa décision… !’
‘…Mais il n’y a rien de fait Madame… ! Je tiens tous les dossiers, je ne comprends rien, il n’y a aucune procédure de divorce entamée par votre frère.. !’
‘…En êtes-vous sûr… ?’
‘…Plus que sur, Madame, soyez certaine, il n’a pas lieu d’en parler à votre frère, ni de s’en inquiéter, je pense que cela doit être une farce de mauvais goût qu’on vous a rapporté… !
‘…Merci Monsieur… !Merci, vous m’avez enlevé une épine du pied.. !’

A suivre…

Passe le 5/10/2006.



Marjolaine a la certitude à présent que son amant ment.
Elle se garde bien de rappeler son amant.

Quelques jours plus tard, les manchettes de journaux….


‘…..Dans une décharge publique du côté de Pantin, des éboueurs découvrent, mêlé à un gros tas d’immondices, le corps d’une femme …. !’

Voir en page 8.

Aucun papier sur elle.

La brigade criminelle dirigée par l’Inspecteur Boulakia prend l’affaire en main.
Sur place, le corps de la victime est photographiée sous toutes les coutures.
Rien n’est laissé au hasard. Tous les détritus trouvés à proximité du corps sont emballes dans l’espoir de trouver des indices.
Le corps est dépose à l’institut médico-légal de Paris.

Le médecin légiste donne à première vue son sentiment.
La dame porte un gros hématome derrière la nuque, sans doute causé par un objet contendant qui a entraîné la mort sur-le-champ. La boite crânienne est légèrement défoncée.
La mort remonte à 48 heures. Nous sommes le 24 Mars 2004.
Ce sont les éboueurs qui ont donné l’alerte.

‘…Gilbert… ! A part cela qu’a t’on retrouvé… ?’
‘…Pas un bijou sur elle, rien qui puisse nous éclaircir… !’
‘…Tu vas interroger les éboueurs et te renseigner sur les tournées qu’ils ont faits depuis deux jours…. !’
‘…Je vais aussi mettre la main dans la pâte... ?’
‘…Mieux… ! Monter dans les bennes… ! Vérifier les parois pour la recherche d’indices, cheveux, morceaux de tissus, sang etc.. qui ont pu se coller au collimateur, bref, tu connais la routine et fais vite avant qu’ils nettoient le tout… ! Appelle dés maintenant le service de la voirie… ! Dis-leur de ne rien laver avant que tu n’arrives, prend avec toi Azzou, Richard, Pierrot … ! Et des masques… ! Vas--y … !’


A suivre…Lundi BH.



Gilbert est sur place, avec son équipe.
Ils questionnent, vérifient les tournées, les heures et les passages dans les quartiers.
Aucune benne ne porte de traces sensibles de la victime.

Quelqes heures plus tard…
Ils sont au rapport devant l’inspecteur qui prend note.

‘…Donc, le corps a été transporté sur les lieux et jeté sur les immondices.. ! Cela n’arrange pas notre tache… !Bizarre, nous n’avons reçu aucun avis de recherche… ?’

A ce moment là le fax grésille.
Azzou porte le feuillet au commissaire…

‘…Ben voilà, il suffit que j’en parle pour que l’énigme se dévoile au grand jour… !
Voyons….

Le Boulak lit à haute voix…

’ Madame Robillion Angèle 45 ans, épouse Robillion Marcel, PDG… !’

‘…Une grosse légume, le patron de la grande téléphonie… !’ Ajoute t’il.

‘...Disparue sans raison apparente du foyer depuis le 22 Mars à midi … ! Heure approximative… ! ‘…

‘…Bon allons voir son mari… ! C’est la domestique qui a signalé sa disparition… !’

Sans perdre de temps, nos deux inspecteurs sonnent au grand pavillon de M. Robillion.
Une grande piscine en forme de haricot est installée dans un grand jardin entouré de peupliers.
Mais pas de Robillion.
Par contre il trouve la jeune domestique Mlle Régine.

‘…Bonjour Mademoiselle... ! Je suis l’inspecteur Boulakia et voici mon collègue Gilbert.. ! C’est bien vous qui avez signalé la disparition de Madame Robillion il y a quelques jours soit le lendemain de sa disparition…???’
‘…Oui Inspecteur… ! Elle n’a pas l’habitude d’être absente sans me laisser un mot avant de partir…. ! J’ai essaye de la joindre sur son portable toute la journée mais hélas, il était là et déchargé… ! Chose inhabituelle de sa part, d’autant plus qu’elle m’appelle vers les 10 heures du matin dans le cas où elle serait absente… !’
‘…Vous avez les clefs du pavillon… ? Donc vous allez voir la police le lendemain… !’
‘…Oui… !’
‘…Elle n’a pas d’amies madame Robillion… ?’
‘…Non, c’est une femme très réservée, très brave … !’
‘…Son mari, où se trouve t’il… ?’
‘…Monsieur voyage souvent, il est parti pour les Etats-Unis… ! Le 21 au matin… !’
‘…Il rentre quand d’après vous… !’
‘...En générale pas plus de deux ou trois jours. Je pense que sa secrétaire pourra vous le dire avec précision.. !’
‘…Bien, nous allons le faire immédiatement… ! Donnez-moi le numéro de téléphone de son entreprise.. !’

A suivre…

10°

La jeune fille le lui donne.

La réponse tombe sur-le-champ.

‘…Merci Mademoiselle… !’
Il obtient la secrétaire qui l’informe du retour de M. Robillion pour le 30 au matin.

Puis envers la jeune domestique ‘…Votre patron rentre la semaine prochaine… ! Bien, nous allons cependant en votre présence vérifier certaines choses… ! Avez-vous remarqué quelques choses ou entendu une querelle… ? Quelque chose qui vous a paru suspect….’
‘…Non Inspecteur… ! Rien n’a été touché… !’
‘…Pas de traces de lutte, de verre cassé, de vitre ou autre chose… ?’
‘…Rien, tout était en ordre… !’
‘…Bien… ! Vous restez à notre disposition, en attendant je vous prie de rentrer chez vous… !’

La domestique s’exécute.

Le 30 au matin, nos fins limiers sont sur place pour accueillir Monsieur Robillion.
Ce dernier ne tarde pas à descendre de sa voiture qu’il gare dans son parking privé, dans le jardin.

‘…M. Robillion… ?’
‘…Oui… !’
‘…Excusez-nous de vous déranger, je suis l’inspecteur Boulakia et voici mon collègue Gilbert.. !’
‘…Que se passe t’il Inspecteur… !’
‘…C’est au sujet de votre femme.. ! Si vous le permettez, il vaut mieux que nous rentrions à l’intérieur.. !’
‘…Oui bien sur, j’ouvre.. !’

Passe le 10/10/2006.

A suivre…

11°

Ils rentrent.
M. Robillion pose sa valise et invite les poulets à entrer dans le grand salon.
Il s’encastre dans le sofa tandis que nos deux policiers prennent placent devant lui, sur des fauteuils.

‘…Monsieur Robillion, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer…. ! Il s’agit de votre femme…. !’
‘…Angèle que lui est t’il arrivée ?????’
‘Elle a été assassinée… ! Nous avons retrouvé son corps, suite à la disparition signalée par votre domestique, dans une décharge publique… !’
‘…COMMENT… ! Angèle…. ! Ma femme assassinée ??????

Monsieur Marcel Robillion risque de s’évanouir.
Il a la figure blême.
Il reste pendant un moment complètement hagard au point que…

‘…M. Robillion voulez –vous que j’appelle un médecin…. ? Vous semblez mal en point… ?
‘…Mais comment assassinée … ? Inspecteur… ! Mon Angèle… !’

Il est mal en point.
Le Boulak réitère la question.
M.Robillion est ailleurs.
Il intercale sa tête entre ses deux mains.
Puis…

‘…Mais pourquoi ????’
‘…C’est ce que nous cherchons… ! Rien n’a été fracture ni déplacé, la jeune domestique nous informe que rien n’a disparu … ! Avez- t’elle un ami très proche… ?’
‘…Vous voulez dire un amant… ?’
‘…Oui, nous devons envisager toutes les éventualités… !’
‘…Non à ma connaissance… !’

Pendant ce temps, Gilbert sort par la porte-fenêtre pour inspecter les lieux.
Il ne relève rien de suspect. Cependant il se permet de prendre le journal le Figaro, vieux de trois jours qui se trouve sur la banquette avant de la voiture, de M.Robillion.

A suivre...

Dans le salon, ce dernier se remet peu à peu de ses émotions et toujours sous les feux des questions de l’inspecteur… !

‘…Monsieur Robillion lorsque vous avez quitté votre femme, il y a quelques jours, vous n’avez rien remarqué de suspect dans son comportement… ? Pas de coups de fils … ?
Je suis désolé comme je vous le répète, je dois tout vérifier même l’impensable.. !’

‘…Nous nous aimons comme des fous… ! Je ne me connais pas d’ennemis… ! Rien qui explique ce meurtre comme vous le dites… !’
‘…Vous étiez aux Etats-Unis… !’
‘…Pour signer un contrat important de dernière minute… ! Je ne reste en générale que quelques jours, jamais plus d’une semaine.. !’
‘…Je vous suggère en attendant d’y voir plus clair de vous reposer et surtout d’être à notre disposition … ! Vous ne voyagez pas dans l’immédiat. ????’
‘…Non… ! Avec ce qu’il m’arrive, je me dois de rester ici… ! Je dois informer mes enfants… !’
‘…Bien, nous allons vous quitter et vous tiendrons au courant de l’avancement de nos investigations.. ! Une équipe du service technique va passer pour vérifier certaines choses. Ne touchez à rien à votre véhicule, c’est une question de routine… ! Votre voiture semble avoir été lavée, il n’y a pas si longtemps…. ???
‘…Oui en effet, je suis très méticuleux… ! Merci Inspecteur… !’

Dix minutes plus tard, l’équipe technique arrive et procède aux premiers prélèvements.

Une heure plus tard, elle prend congé du PDG.
A peine est t’elle partie, que le Marcel appelle sa maîtresse.

‘…Allô… ! Marjolaine…. ?’

A suivre…

Passe le 15/10/2006.

Silence….

Deux minutes plus tard, une petite voix…

‘…Allô... ! Oui… ?’
‘…C’est moi… !’
‘…Mais as-tu vu l’heure qu’il est ???
‘…Il s’agit de Angèle, on l’ assassiné… !’
‘…Comment ????’
‘…J’ai eu la visite de deux inspecteurs…. !’

La sonnerie de la porte..

‘…Attends, on sonne, sans doute la domestique… !’

Il va ouvrir et là il tombe sur nos deux inspecteurs…

‘…Excusez-moi, nous avons dû rebrousser chemin, mon collègue a oublie son journal sur le fauteuil… !
‘…Je vous l’amène… !

L’inspecteur remarque le combiné du téléphone posé sur la table du salon.

‘…Vous téléphoniez… ? Nous sommes désolés de vous déranger.. !’
‘…Oh ce n’est qu’une amie des states … !’
‘…Bien, merci Monsieur Robillion… !’
‘…Au revoir.. !’

M. Robillion reprend la conversation avec sa Marjolaine.

‘…Nos deux poulets… ! Juste un oubli de leur part… ! Et bien voilà, ils enquêtent… !
‘…Mais comment cela assassinée Marcel… ?’
‘…Elle a été retrouvée dans une décharge publique… ! Il y a qqs jours... !’
‘…La malheureuse, je ne sais quoi dire… !’
‘…Bon écoutes, pour l’instant je ne peux pas me déplacer, je reste à leur disposition, je t’appellerai plus tard… !’
‘… Tu n’as rien à te reprocher au moins.. !’
‘…Mais enfin, j’étais dans l’avion lorsque cela est arrivé… !’
‘…Tu connais la date ???’
‘…Oui, ils m’ont dis le 22 au soir… !…Bonne nuit… ! Et excuse-moi… !’

A suivre…

Il raccroche.
Il se lève de son sofa et va se verser un scotch.
Quelques heures plus tard, ses deux enfants arrivent presque au même moment.
Ils sont mis au courant.
Ils n’en reviennent pas.
Ils sont accablés par la nouvelle.

Dans la voiture de nos inspecteurs, sur le chemin du retour.

‘…Depuis quand lis-tu le Figaro toi ????’
‘…Je l’ai trouvé sur le siége avant, je l’ai pris pour pointer mon tac au tac.. !’
‘…Tu joues toi ???’
‘…Oui histoire de m’enrichir et prendre ma retraite avant ma vraie retraite.. !’
‘…Je vois…. ! Bon garde le quand même je vais l’éplucher ce soir… !’
‘…Tu lis le Figaro toi ???
‘…Juste l’éplucher… !’

Chez les Robillion.

Le fils Didier.

‘…Comment cela a t’il pu arriver… !’
‘…Je ne comprends pas… !’ Le père. ‘…Vous pensez à quoi les enfants.. !’ Répète te t’il.
‘…A quoi veux-tu que l’on pense… ?’ Dit la fille.
‘…Un crime gratuit, crapuleux, mais pourquoi elle … ? Enfin… ! Cela a t’il un rapport avec tes affaires papa.. ?’ Le fils.
‘…Papa, sait -tu qq chose … ? Charlotte.
‘…Mais enfin si j’avais un semblant de piste je l’aurai dit aux deux inspecteurs.. !
Je nage dans le brouillard… !’

A suivre…

Chez l’avocat.

‘…Un message pour moi Jean, ce matin… ???’
‘…Une dame, qui s’est présentée comme la sœur de Monsieur Robillion… !’
‘…Mais Monsieur Robillion n’a pas de sœur à ce que je sache… ! Que vous a t’elle demandé… ?’
‘…Si Monsieur Robillion prépare un acte de divorce… !’
‘…Comment… ? Et qu’avez vous répondu… ?’
‘…Que je n’en connaissais pas à ma connaissance… !’
‘…Mais enfin de quel droit parlez-vous de choses secrètes avec une inconnue… ?’
‘…Mais elle en savait des choses sur Monsieur Robillion, sa date de naissance, son age,
Son adresse, sa fonction mais … !’
‘…Votre fonction est de ne rien dire dans mon étude, vous le savez non ???’
‘…Mais je ne pouvais pas prévoir que cela était si grave ... !’
‘…Bon… ! Bon.. ! Taisez vous et la prochaine fois, ne répondez à personne… !’


Après le départ du clerc…
Maître Charpas appelle de son étude M. Robillion.
Il tombe sur son fils qui a la même voix que son père.
Celui ci est dans sa chambre. Il se repose.
Sans réfléchir…

‘…Allô… ? M. Robillion… !’
‘…Oui…. ?’
‘…Tout a foire, je pense.. !’
‘…Qu’est -ce qui a foire… ?’
‘…Mon clerc vient de commettre une bourde au sujet de ce que vous m’avez demandé de faire, pour l’acte de divorce d’avec votre femme… !’
‘…Quel acte de divorce… ?’
‘…Mais ce matin, nous en avons parle… ! Avez-vous oublie notre entretien, votre jeune demoiselle en question, a appelle ce matin, elle est tombée sur mon avoué, elle lui a tiré les vers du nez … !’
‘…Vous êtes qui Monsieur… ! Je suis Didier, le fils aine de M.Robillion… !’
‘…Oh… ! Excusez-moi, vous avez la même voix que votre père… ! Est t’il là ???’
‘…Il se repose, mais de quel acte de divorce parlez-vous… ?’
‘…Ecoutez, je rappellerai plus tard… ! Bonne soirée… !’

A suivre…

L’avocat raccroche.
Didier relève le numéro inscrit sur l’écran.
Il ne perd de temps, compose le numéro du Quid, et tombe sur la messagerie qui l’informe sur le propriétaire et par ricoché sur le numéro de Maître Chapias…Notaire à Paris, 132 BD Malesherbes.
Didier informe sa sœur, présente à ses côtés, de l’entretien qu’il vient d’avoir.

‘…Charlotte ? Es-tu au courant que papa allait divorcer ???’
‘…Divorcer ?? Pas du tout… !’
‘…Je ne comprends rien, l’avocat que j’ai eu au bout du fil m’a confondu avec papa, il avait l’air paniqué, il me parle d’actes de divorce… !’
‘…Bizarre… ! Etrangement bizarre, écoutes, n’en parle pas à papa, nous devrons aller lui rendre visite demain matin sans tarder, à la première heure… !’

Chez lui, Maître Charpas est dans tous ces états.
Il vient de commettre la plus grosse bévue de sa vie après celle de son clerc.
Il marche de long en large dans son étude qui fait office aussi d’appartement.
Il fume cigarettes sur cigarettes. Tel un automate, il parcourt le salon sans arrêt.
S’asseyant par moment pour maugréer.
Il réfléchit à la suite des évènements.

Au Quai des Orfèvres.

A suivre…

‘…Azzou, alors, pour les analyses de la voiture… ?
‘…Rien de rien, pas même une ADN, tout est nickel, même les pneus ont été changés … !’
Aucune trace, rien qui puisse nous donner une indication... !’
‘…Lorsque tout est nickel, bien propre c’est qu’avant il y avait de la saleté.. ! Bon, nous allons chercher le garage qui a change ses pneus… ! Vous allez appeler Le Robillion et lui demander le jour du remplacement de ces quatre pneus, quatre et pas trois. Il ne s’emmerde notre homme d’affaire… !’

Trois heures plus tard, en ce matin du …mars.
Il est 11 onze.

‘…Inspecteur Boulakia ???’
‘…Bonjour Monsieur Robillion… !’
‘…Bonjour, votre agent de police.. !’
‘…Inspecteur Azzou, M. Robillion… !’
‘…Il est arabe…. ?’
‘…Oui, la police ne s’embarrasse pas des faciès Monsieur Robillion…
Pas vous…. ?’
‘…Moi, vous savez, je m’en contre fiche… ! Votre inspecteur me demande la facture de mes pneus… ! Que viennent t’ils faire la dedans ???!’
‘…Faites ce qu’il vous demande Monsieur Robillion, je vous l’ais dis, nous cherchons à élucider ce crime qui nous donne le vertige, pas de mobile, rien qui puisse nous aiguillonner… ! Vous les avez changes quand vos pneus… !’
‘…Il y a une dizaine de jours… !’ …L‘un deux était usé, autant les changer tous pour avoir l’esprit tranquille.. !
‘…Oui en effet, vous avez raison… ! Pour avoir l’esprit tranquille… ! Le nom du garage … ?’
‘…Garage Lambert, 45 Rue Diderot à Paris. Cela fait 35 ans que le garage me sert… !’
‘…Merci, faxez nous la facture, s’il vous plait… !’
‘...Je le fais dans dix minutes, le temps de la chercher.. !’
‘…Bien, merci Monsieur Robillion… !’
‘…Monsieur Robillion, juste un détail sans importance, où êtes vous acheté votre Figaro … ? Celui que mon collègue a oublie chez vous, en fait, il se l’ai fait prêter sans vous en demander la permission… !’
‘…Oh … ! Ce n’est pas grave, le matin de mon voyage… ! A l’Aéroport… !’
‘…Vers les 10 heures du matin… !’
‘…Oui, à ces environs là… ! Mon avion décollait vers Midi… !’
‘…Monsieur Robillion, je vais vous demander de passer me voir le plut tôt possible si cela ne vous dérange pas… !’
‘…Vous avez trouvé quelque chose ????’
‘…A vrai dire pas encore, nous en sommes loin pour confondre le meurtrier… !’
‘…Si vous le voulez, je passerai après demain matin à vos bureaux… ! Plutôt en début d’après midi… !’
‘…Cela me convient.. ! Merci et à bientôt.. !’
‘…Au revoir… !’

‘…Gilbert, Azzou, nous allons rendre visite au garage Lambert… !’


A suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le dimanche 12 novembre 2006 - 21h22:

Il faut que tu me mettes en bagagiste en bas..!
Zekch, tu ne peux pas être sérieuse pour une fois...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 12 novembre 2006 - 21h21:

En avant première l'affiche de la piéce...!
Je bois du petit lait, Michka...!

 Affiche

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Belebou (Belebou) le dimanche 12 novembre 2006 - 21h17:

P_Nina ménè Zolat el Goldoraq héde...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Susy (Susy) le dimanche 12 novembre 2006 - 20h10:

ok braille tout, j'adhere au cast de ton film!!
fais gaffe, je veux un beau role.
signe susy.