Par Mamili (Mamili) le vendredi 17 novembre 2006 - 20h16: |
encore ! elle le mérite NOTRE Z A Z A
bisous
mam
Par Mamili (Mamili) le vendredi 17 novembre 2006 - 20h13: |
ad 12O ans dans la joie et le bonheur entourée de ceux que tu aimes
kiss
Par Lza (Lza) le vendredi 17 novembre 2006 - 13h42: |
JOYEUX ANNIVERSAIRE NOTRE ZAZA !!!!
MES VOEUX LES PLUS SINCERES !!
Par Albert (Albert) le vendredi 17 novembre 2006 - 08h21: |
Prise de fiévre acheteuse...! Aphteuse oui...!
On tout cas Mamili, comme tu peux le voir, les j'tons...! On ne les as pas...! Mam quelle artiste tu fais...!'
Par Mamili (Mamili) le jeudi 16 novembre 2006 - 23h13: |
""""Ce soir, sache que tu es très belle mais bien grosse.""""
--------je prends ca comme une injure------------je te souhaite néanmoins
Par Mamili (Mamili) le jeudi 16 novembre 2006 - 23h08: |
Par Michka (Michka) le jeudi 16 novembre 2006 - 22h37: |
Mon ami croupier vient de m'envoyer ceci :
En voilà une qui joue à Sharon Stone, des jetons pleins les mains.
Pendant que ses clients ont les jetons de voir leurs voyages devenir complètement bidons.
Et l'autre la Mamili, rue du faubourg Saint Honoré, en flagrant délit de fièvre acheteuse.
Photo prise avec mon portable.
Par Belebou (Belebou) le jeudi 16 novembre 2006 - 21h43: |
LE TRIANGLE DIVIN
Auteur: BELEBOU.
Si les roses n'avaient point d'épines, ils nous auraient été facile de les cueillir sans se blesser.
Les piquants sont là pour nous rappeler que la beauté ne peut, ni se doit être saisissable sans souffrir.
J'en déduis donc, que le canon mérite souffrance, proportionnellement à sa valeur édénique.
N'en concluant pas, par-là que les moches, dépourvues de ronces, soient plus faciles à cueillir. N'est ce pas ma chére …..?
Ce serait aller trop vite en besogne. Personnellement je ne délaisse rien tant qu'une femme, laide ou belle, porte sous sa jarretelle sa belle touffe endormie. Et jusqu'à preuve du contraire ce triangle divin, de chair qui repose sous son bas ventre me donne tant de phantasme que je ne me rassasierai pas de cette belle couronne sertie d'un rubis que je porte comme une auréole au-dessus de mon crâne.
La Beauté, comme le dit le vieil adage populaire ne se bouffe pas en salade.
Elle n'est qu'accessoire. Je préfère la sympathie à la beauté, la laideur à l'intelligence, la générosité du cœur à la mesquinerie de la poche-fric. Bien sur me diriez vous, et si je tombais par hasard sur une guenon…? Et bien le problème ne se poserait pas, je lui ferai l'amour en collant sur son joli minois un coussin. Et je me régalerai du reste. Sans qu'elle me voit.
Au diable l'avarice.
Pour une forte femme, je la prend comme un téméraire. J'irai chercher entre ses vagues ce que je peux obtenir chez une modeste bien faite. Celà doit être euphorisant de gouter son mignon qui ne doit pas être récalcitrant.
Je suis personnellement très moche, ah'wèl, chauve, disgracieux, édenté court, bidonnant et ma face de fesse ferait mieux de porter une culotte afin de cacher mon visage boutonneux et acnéique. LOL….. Mais voilà, je charme par mes paroles et mes mots et les femmes en oublient ma laideur. Et des belles femmes, j'en ai levé comme des plis de cartes jetés sur une table de jeu. En générale, elles consententaient presque toutes à lever la jambe pour la poser sur mon écrin de velours.
Je vous tairai par pudeur, ce qui me déprime le plus, mais bon, on mérite ce que la nature a choisi. J'ai un petit cordon rose pareil à un nœud de cravate. Qui me rappelle, Ô mon chagrin , combien mon créateur a été par trop généreux avec mon zizi. Mais, on m'a dit que ce n'était pas la grandeur, ni la grosseur qui donne du peps à la femme mais la façon de le donner et de le travailler. Moi, j'ai tellement donné et travaillé avec, que l'age de la retraite à sonner sa retraite et son usure. J'en suis aujourd'hui à traîner entre mes deux pendulettes rabougries quelque chose qui ressemble à un filet de merlan presque frit qui me donne quelques hoquets.
Et je ris comme je pleure sur cette infortune, sur cette ancienne gloire qui rétrécie sans qu'elle m'en avertisse. J'ai même pensé, un jour, à consulter un professionnel des raccords en chair. Et là, je fus sidère par les maquettes qu'il m'a présenté. Du 30 cm tout en plastic. Ben j'ai pas hésité un seul instant sur la dépense, et j'ai pris sur moi ce rattachement. Deux heures sur le billard, pour m'apercevoir plus tard du résultat. Une rallonge de béquille comme je ne vous dis pas. Tout en beauté. Le hic dans l'affaire, c'est qu'ayant mis, pied à terre, elle tomba affreusement sous le regard des infirmières venues en toute hâte me consoler. Mon désespoir en caoutchouc en main, je regardais ces belles 'freluquettes' déçues par cette chute accidentelle.
-'Monsieur Belebou……! ' Me dirent -elles à l'unisson….'…..C'est la première fois que cela nous arrive….!'
-Ben, si c'est la première fois, laissez au moins le triste privilège de vous enc……..! Pour me rendre compte de l'efficacité que cela peut vous procurer….!'
Bandes d'imbéciles heureuses…..
J'ai délaissé ce godemiché hasardeux en plastic pour mon beau et vrai tire-bouchon.
Je rigole les femmes…
Belebou de la Broussaille. Prose inédite PASSE SUR ADRA LE 11/1/2004
Par Albert (Albert) le jeudi 16 novembre 2006 - 21h40: |
Ne rit pas Michka..!
Par Albert (Albert) le jeudi 16 novembre 2006 - 21h37: |
Mamili, le champagne qui pétille dans tes yeux
N'ait rien devant la chaleur de tes propos.
Que des bulles qui éclatent en sourdine dans une flûte
Mais tes mots, dans ma tête resplendissent comme rayon de soleil.
Au petit matin vierge.
Dans tes yeux cet éclat de jouvance meme si le temps
A passè sur eux, ils restent beaux comme des diamants
Sans crapaud.
A toi ma chére amie, que j'ai mal traitè
Nulle offense ne peut être considérèe
Par la bouche de celui qui te lance des fleurs
Ce soir, sache que tu es très belle mais bien grosse.
Par Albert (Albert) le jeudi 16 novembre 2006 - 21h28: |
2003.
'...Elle vient souvent se reposer le soir sur le bord de mon lit.
Surtout avant de me coucher, c'est sans doute son envie.
Elle était même entrée en moi un jour dans ma vie
Sans savoir exactement ce pourquoi, mais ravi.
C 'est lorsque tout est silence, qu'elle pose sa tendre main
Sur moi pour me souffler des choses divines pour demain.
Alors, je me lève par ces matins là bien tristes
Et inscrire ces notes soufflées sur mon registre
Grand ouvert. Des mots d'amour colorés
Ou parfois des idées inspirées, bien nées.
Je lui ouvre mes bras dans ces moments là
Et l'étreint comme cette bel' reine de Saba.
Je lui caresse ses cheveux, épouse son regard
Qui m'inspire tant et tant de choses bien tard !
Elle pénètre mon âme envolée, tous mes rêves
Endormis, titille même mes idées sans trêve.
Nous voilà enlacés, sans d' yeux témoins
A partager cette idylle, ni plus ni moins.
Elle me découvre, sans pudeur
En tout temps et toutes heures.
Je la déshabille avec bonheur
En prenant soin de sa lenteur.
Point de gestes obscènes dans nos échanges
Que des paroles tendres, saines, mon Ange.
Des chuchotements adoucis à mon oreille avertie
Qui me donnent ce plaisir fou d'écrire sur mon lit.
Mais je sais qu'un jour, quand ma vie sera fermée
Elle désertera le palais* de mes pensées, trépassé.
Cette infidèle ira loger dans une tête bien pensante
Sans égard ni respect pour son ancien et vieil amant.
Ainsi vivent les Muses, ces belles maîtresses d'antan
Qui sans mourir, naissent, renaissent au gré du temps
Pour faire chanter par quelques idéaux, des hymnes tonnants
De joie et de douleur qui font partie de l'air de tous les vivants.
* Tête.
A MA MUSE.Repasse ce jour.
Par Breitou (Breitou) le jeudi 16 novembre 2006 - 21h06: |