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Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives Juillet 2004: Archive jusqu'au 30/juillet/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le vendredi 30 juillet 2004 - 20h24:

Breitou tu nous dis bonne nuit le 29 mais tu ne nous dis pas que tu fais le pont, et que tu t'offres un long weekend ! on s'est habitues a te retrouver tous les jours fidele au rendez-vous de notre site; que Dieu vous protege.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 29 juillet 2004 - 22h33:

Bonne nuit les amis..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 29 juillet 2004 - 22h21:

Petit problème d 'informatique.
Voila le récital. Excusez moi pour le retard.

 ALI RIAHI


AU THEATRE ….CE SOIR

Hammamet le 21/07/2004.
PASSE LE 29/07/2004 21 Heures.

Récital.

Puisque je suis en période de vacances, le bruit a couru dans les couloirs du Journal LA PRESSE DE TUNISIE que le directeur du P.T.B prenait ses vacances au MOURADI. A HAMMAMET.

Dés mon arrivée, je reçois un coup de fil de SI MONCEF ZOGLAMI, se présentant comme journaliste artistique dans la rubrique théâtre, du Journal la Presse de Tunisie. Il me donne rendez vous pour le lendemain et qu’il viendrait avec le Directeur, du FESTIVAL DE CARTHAGE….

‘…Marhaba…’ ( Bienvenu) que je lui dis et nous prenons rendez vous pour le lendemain vers les 10 heures dans le grand salon de l’hôtel.. Je raccrochais pensif me posant mille et une questions sur ce rendez vous impromptu. Ma mère est près de moi.

Le proverbe ‘Rendez-vous arabe ‘ démenti, ils sont pile poil à l’heure dite ,assis sur des fauteuils. Un cameraman, une journaliste du nom de Amel Bouzghenda, de toute beauté, aïnen ghzèl, zré’g ou chââ’r hrir’ ( des yeux de biche, bleus et une chevelure d’or) et le directeur du FESTIVAL de CARTHAGE.

On se serre tous la main à tour de rôle. Puis..

‘..Aâss’ lemè si Abraham, mar’haba fi Tounès…. ! Je vous présente Mademoiselle Amel, journaliste au journal la Presse, si Anouar Bouderbela, et notre caméraman Youssef Abderahman, et Monsieur BOULAYOUN MONDHER , le Directeur du festival de Carthage comment se passe votre séjour ici à HAMMAMET…. ?’

‘…Hamdoullah, fort bien….. !

‘…Ouenti yè Hajjè….! S’adressant à ma mère…

‘…Hamdoullah yè oulidi…. !’

‘…C’est ma mère, elle est avec moi…. !Comme chaque année… !’
Elle….’ …Comme chaque année… ? Lè yè oulidi comme tous les dix ans… !’

Je lui fais du pied pour qu’elle se taise….

La caméra tourne pendant l’interview….

La journaliste….

‘…Si Albert, nous avons su que vous veniez passer vos vacances en Tunisie et plus particulièrement à Hammamet…..Pourquoi ne pas vous produire cette semaine au FESTIVAL de CARTHAGE….. ?’

‘…C’est que …. Je n’ai pas eu d’abord une invitation pour ce faire, et secundo je n’y ai jamais pensé…. !’

‘…Et bien figurez vous que Monsieur Le Directeur a eut une idée géniale, celle de vous présenter en avant première Samedi Soir dans l’amphithéâtre, pour ce MAHRAJAN. .. !’
‘…Le P .T.B est fier par cet honneur que vous lui faites, et malgré le laps de temps qui nous reste pour cela, je me fais fort de vous monter un spectacle pour dans six jours…


Ma mère….
’… Ouhènè nel’yab…. ?’ ( Et moi je joue… ?’)
‘…Oui, maman , tu tiendras de rôle de KARAKOUZ…. !’
‘…Omoq KARAKOUZ…. ?’
‘…Je vais réfléchir…. !’

‘…Monsieur Albert, le P.T.B à beaucoup de succès à l’étranger…

‘… ‘…Ici aussi, en Tunisie , il est fort connu, puisque je présente des chanteurs TUNISIENS tels HOUCINE EL AFRIT, un ami, RAOUL JOURNO, et des pièces écrites en judéo-arabe, HAIM ET ZOHRA, LA SERIE DES HAJ KLOUF que j’ai remis au goût du jour, selon mon inspiration, bref, tant et tant que je ne me rappelle plus les autres titres…. !’

‘…Vous avez une façon unique de présenter vos pièces, et cela prouve que l’essence tune est restée intacte…. !’

‘…Je ne trouve aucun motif valable pour oublier d’où je viens et où j’ai vécu…et que j’ai tout appris ici…. ! Ici, je suis chez moi, malgré toutes les vicissitudes du moment, je suis un homme de théâtre, de sketchs, de chants, et de ballout alors, où est l’ erreur…. ?’

‘…Qu’allez vous nous présenter durant le festival de CARTHAGE…. ?’

‘…Je vais vous surprendre, par un chanteur qui n’est plus là, mais O Combien célèbre, je préfère laisser la surprise du moment et vous ne serez pas déçu par mon choix… !’


L’interview est termine, on se resserre les mains et on s’embrasse…

‘ …MMMMmmm… ! Vous sentez bon, Mademoiselle Amel… !’ Elle me sourit…’BYE BYE… !’

Je prend mon portable….

‘…BREITOU….. ! Tesmah fiè… ?’ Haddar el jma’ya, béch nelay’bou houni fi Tounèch… ! Festival de CARTHAGE, kôl EL TRABELSI MTA FIRST TRAVAL VOYAGE yet’là bkol cheye….. ! Femti…. ?’

‘……………… ! Tu m’entends… ? Prépare la troupe, nous allons jouer ici à Tunis… ! …….Préviens……………………….de s’occuper de tout…. ! As tu compris… !’)


Programme ……ALI RIAHI……

Qui ne connaît pas SI ALI RIAHI Z’AL, l’un des chanteurs les plus populaires de Tunisie des années 50/ 73.. ? Celle de la dernière génération, et qui a disparu ,il y a trente ans en laissant un répertoire riche en chansons. TEKOUIT , MA GOLT AHEÏ, MOUTREB ELKHADRA, ZINA BENT EL HENCHIR, YALLI DAHLEMNI, AYECH MIN GHIR AMAL FI HOBEK etc….Un artiste mondialement connu dans le monde arabe. Qui ne souvient pas de ses tenues, en costume blanc, bleu paillette lamé avec toujours une petite rose à la boutonnière, qui a oublie sa coiffure ne houppette en colimaçon , pareille à une forme de cornet de glace dont la crème blanche gelée ( ses cheveux gris ) s’élevait entortille… ? Ses grosses bagues au doigts. Son allure de ‘diva’ quand il montait en scène…. ?

SIDI ALI,comme on l’appelait était un homme affable, sa gentillesse et sa douceur étaient connues de tous, et il soulevait le respect de ses nombreux fans, à travers le pays.


‘….MESDAMES, MESDEMOISELLES, ET MESSIEURS, CE SOIR LE P.T.B installé sur la grande scène de L’AMPHITEHATRE DE CARTHAGE à le plaisir de vous présenter en un unique spectacle le GRAND, le MERVEILLEUX ALI RIAHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII….. !’

L’AMPHITHEATRE de CARTHAGE se présente comme une moitié d’arène. Plusieurs rangées de gradins en ciment font face à la scène. Une cinquantaine de spot sont installés à tous les coins, et la scène baigne dans cet éclairage. Deux spots surplombent cette dernière du côté de la caméra de TELEVISION qui est placée en dernière rangée tout en haut. 7000 spectateurs, tout age confondu ont pris d’assaut les gradins. Le service d’ordre est débordé. Malgré son nombre important. Il n’est que 17 heures alors que le tour du RECITAL passe vers 21 heures.

Toutes les rues adjacentes menant à l’amphithéâtre sont bloqués. Des files d’attente se sont formées dehors derrière les grilles ; Chaque famille porte soit un oreiller, soit une petite hssira pour reposer son postérieur une fois assis.

Albert donne des instructions pour qu’on élève un grand écran afin que ceux qui ne peuvent pas assister puisse voir en direct le déroulement du spectacle. Une heure plus tard, c’est fait.

On attend l’arrivée du Président BEN ALI et de certains membres de son ministère. Il fait chaud et la soirée s’annonce exceptionnelle…
Les ouvriers mettent la dernière main aux derniers préparatifs. On donne un coup de pinceaux ici, un coup de balai sur la scène par là, une dernière retouche à la chaux vive, on rafistole un pan de tissu qui s’est détaché, un ouvrier ajuste le drapeau, les décors sont mit en place etc….On essaye le micro. Le chœur des chanteuses rentrent par une porte dérobée et vont se rafraîchir en attendant l’ordre de se vêtir.

Il est 20h 45, on entend au loin les sirènes des motards, l’arrivée du président est imminente.
Les motards lui ouvrent un chemin d’entre la masse de spectateurs agglutinés devant la grande grille verte.

‘…Endhè yè si Mohamed…..Endhè… !’
(…’Pousse toi………. !Pousse toi… !’

Il donne une petite tape sur le dos, d’un quidam récalcitrant à se déplacer.

Monsieur le Président, salue de la main par la vitre baissée. La voiture s’arrête et le président tout en blanc descend de sa limousine, il règle son costume, ses garde corps l’entourent. On lui fraye un passage sans ménagement. On note la présence du Ministre de la Culture Abdelbaki Hermassi, de la justice Béchir Tékkari, des affaires étrangères Habib Ben Yahia et divers secrétaires régionaux…

‘…Yahia Ben Ali…. !’ Crie un ‘mouatén’, un citoyen…

On le conduit à sa place, au premier rang, juste devant la scène, ses ministres sont là à ses côtés ; il prend place , les autres font de même….

On entend les clairons sonner, sortis des hauts parleurs……Le THEATRE s’éteint, la scène est illuminé ; deux grands rayons de lumière viennent former deux cercles sur les planches.

Breitou, un grand jasmin dans les mains, s’empare du micro….

‘…Sey’deti, sey’det’nè, ekhé’wéti, MARHABA bikom fi ed él MAHRAJAN bi CARTHAGE, fi éld chariya jémilè jé’dèn ma el MAHBOUB SIDI…ALI RIAHI
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…… !’

\bleu’(‘ Mesdames, Messieurs, mes frères, BIENVENU AU FESTIVAL DE CARTHAGE, en cette soirée exceptionnelle en compagnie de notre AIME SI……ALI RIAHI……}

Breitou sort et laisse la place à l ’orchestre qui entame les première mesure de Zina yè bent El Enchir ‘ ( Zina, la fille de la ferme)


Violon…..
Ye lil ye lil ye lil yeEEEEE lili..§§§§§….. ……Ye lill ye lillIIIII…..§§§§§§…
YEEEEEE EEEE LILLL….§§§§……


Ye aïni ye lil yè yèèèèèèè lill lillllllllllllllllllll yèEEEEEEEEEEEEE lil yè aÎIIIIIouni…
Ye aïni ye lil yè yèèèèèèè lill lillllllllllllllllllll yèEEEEEEEEEEEEE lil yè aÎIIIIIouni…

§§§§§§§….DDEE DDDDDE….§§§§§§….


‘……..ZiIIInè ……§§§§§……Ye bent el en’chiIIIr …§§§§…. Ye bent el gh èll è oul chej’ra…§§§§§….Bent el guè ‘ mh oul bent él chy’ir bent el chems oul bent gam’ ra ….§§§§….Qif rit’èq hatit el dir ou hléft bedèq el bougra …§§§§…..Hass’it galbi oua’llah hassir bdig tââ’ssart fèl khé’mra....§§§§§…..…..


‘….Hatit galbi oullah hassir bdiq taaAAAAh’ssar fél kh’’mra…..§§§§…. KHOMRA…..

AhhhhhahhhahahHAHAHAHAHAHAahahahahahahah……AAAAA....§§§§§§......YYYYYEEEEEEEEEEE ZINE YE BENT EL HENCHIR…§§§……YE BENT EL GHE’LLE OUL CHEJ’RA…..§§§…..ZINE…. ZINE….. ZINE …..HE YE BENT EL ENCHIR YE ZINA..........§§§§..

MUSIQUE…..TAC TAC TAC NYE NYE NYE


Zinè elli cha’rèq toutè…Ou bourag fdal allèyèEEE…..§§§…Ou aî’you’nèq loun el yagout ou kdou’dèt ward e rb’iya….§§§§§….Enti ye dahk ouèj’mèl el houttè …§§§§…
Kif némss’tèq bi’dè’ya ..§§§§…..Touè’lili djénah ou tir ou téch’ weli gèlbi yal jam’ra….

AHHHHHHHHH…AHHHHHHH…..AHHHHHH…YE LIL ZINE…..YE BENT EL HENCHIR YENT BENT EL CHEM’SSS….OUL GAM’RA…§§§§……
ZINE…ZINE….ZINE….§§§§§§……

MUSIQUE…….

Zinè ri’tèk taht el nekh’lè nekh’lèl elli ghar’èt mel guè’dèq…..§§§……
Da’rét’ili bel aïne chelèb haq ti lèb bel ward t’ khè’bi…..§§§§§……Ha’ssit ghè’lbi kif el nekh’lè haoule ou tfer’kess fi ché’dèq l’guit el jebh ou l’git el’khir l’git el douniè bnét alla kha’trèq…. §§§§§………

§§§§………L’guit el jebh l’git el’khir l’git el douniè bnét alla kha’trèq….BIS…..
BIS…..


AHHHHHHHHH…AHHHHHHH…..AHHHHHH…YE LIL ZINE…..YE BENT EL HENCHIR YENT BENT EL CHEM’SSS….OUL GAM’RA…§§§§……
ZINE…ZINE….ZINE….§§§§§§…

MUSIQUE….§§§§§§§§§§§§§§§§§….

Zinè mah’lè’hè yaï’chti mââk…§§§§§….Mah’lè yai’chti mââ el bé’doui’yè..§§§§§..
Gouli khè’lia, eh’ni nef’diq bââ’neï’yè…§§§§§….Entè m’naï’yè oueh’nè m’nèq…§§§
Gou’li lik guè’llèq liyè..§§§….Dou’niè mar tââ’bnè ou tir gââ’tèt lou’erta ouèl yach’ra….§§§§…..

Dou’niè marq’ate tââ’bnè ou tiiiIIIIIr…§§§§§§…Gââ’tèt lou’erta ouèl yach’ra….§§§§…..


AHHHHHHHHH…AHHHHHHH…..AHHHHHH…YE LIL ZINE…..YE BENT EL HENCHIR YENT BENT EL CHEM’SSS….OUL GAM’RA…§§§§……
ZINE…ZINE….ZINE….§§§§§§…


Violon…..

Ye lil ye lil ye lil yeEEEEE lili..§§§§§….. ……Ye lill ye lillIIIII…..§§§§§§…
YEEEEEE EEEE LILLL….§§§§……

Ye aïni ye lil yè yèèèèèèè lill lillllllllllllllllllll yèEEEEEEEEEEEEE lil yè aÎIIIIIouni…
Ye aïni ye lil yè yèèèèèèè lill lillllllllllllllllllll yèEEEEEEEEEEEEE lil yè aÎIIIIIouni…

§§§§§§§….DDEE DDDDDE….§§§§§§….

‘……..ZiIIInè ……§§§§§……Ye bent el en’chiIIIr …§§§§…. Ye bent el gh èll è oul chej’ra…§§§§§….Bent el guè ‘ mh oul bent él chy’ir bent el chems oul bent gam’ ra ….§§§§….Qif rit’èq hatit el dir ou hléft bedèq el bougra …§§§§…..Hass’it galbi oua’llah hassir bdig tââ’ssart fèl khé’mra....§§§§§…..…..


‘….Hatit galbi oullah hassir bdiq taaAAAAh’ssar fél kh’’mra…..§§§§…. KHOMRA…..

AhhhhhahhhahahHAHAHAHAHAHAahahahahahahah……AAAAA....§§§§§§......YYYYYEEEEEEEEEEE ZINE YE BENT EL HENCHIR…§§§……YE BENT EL GHE’LLE OUL CHEJ’RA…..§§§…..ZINE…. ZINE….. ZINE …..HE YE BENT EL ENCHIR YE ZINA..........§§§§..

MUSIQUE…..TAC TAC TAC NYE NYE NYE

Tout la galerie est debout…..En tapant des mains…


Puis il enchaîne avec TEQ’WIT..’

..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§……

Teq’wit ou me goult ahit ……§§§§§§§…..Ezzit el jom’ra bi’dè’ya
Teq’wit…ou me goult ahit…..§§§§§§§…..Ezzit el jomra bi’dé’yè
…….Tgha’rit’ ââ’chegt ou habit …… Tgha’rit’ ââ’chegt ou habit …… Tgha’rit’ ââ’chegt ou habit ……loume ââ’la galbi ou yeï’nè’yè….

Teq’wiIIIIt…Tek’wiIIIIt….Tek’wiIIIIIIIIt… Tek’wiIIIIIIIIt… Tek’wiIIIIIIIIt…
Ou me qolt ahit ..§§§§§§…..Ou ezzit el jom’ra bi’dè’yè..§§§§§


TOUTE LA GALERIE EST DEBOUT…..LES FLEURS PLEUVENT SUR LA SCENE DU PTB………A BIENTOT DANS LE GRAND STADE DU CAIRE…….EN PRESENCE DU PRESIDENT ENOUAR EL SAADATE…Z AL……


Nari el kouét’ni mnèl hob……..§§§§§§§§§§§§§§…..
Aâla gel’bi elli tgha’r ou hab….
Nari el kouét’ni mnèl hob………..§§§§§§§§§§§§§§…Aâla gel’bi elli tgha’r ou hab….

Eh’nè dé’yèm me louch tè nââr tét’fa nar téch’yal fiyè…..
Dé’yèm me louch tè nââr tét’fa nar téch’yal fiyè…..
Dé’yèm me louch tè nââr tét’fa nar téch’yal fiyè…..
Teq’WITTTTTTT..§§§§§….EHNE TEQ’WIIIIIIIIIITTTTTT…§§§§§….
Teq’WITTTTTTT..§§§§§….OU ME GOLT A…….HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIt….IIIIIIiiiiiiT……§§§………IIIIIITTTTTTT…
E .. ZZIT EL JOMRA BI’DE’YA…..§§§§§§…

Le chœur.

Teq’WITTTTTTT..§§§§§….EHNE TEQ’WIIIIIIIIIITTTTTT…§§§§§….
Teq’WITTTTTTT..§§§§§….OU ME GOLT A…….HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIt….IIIIIIiiiiiiT……§§§………IIIIIITTTTTTT…
E ZZIT EL JOMRA BI’DE’YA…..§§§§§§… TGARIT OU AACHEG OU HABIT OU LOUM AALA GALBI OU AÏNE’YE……



Tra’ghit ou achagt ou habit teq wit…. TEQ’… WIIIIIIIIIIIIT…§§§§§§§…..TEQ WIT…§§§§….TEKWIIIIIIIIT…§§§§§§….. TEKWIIIIIIIIT OU MEL GOLT E……… HIiiiiiiiTTTTTTTTTTTT..IIIIIIIII E ZZIT EL JOMRA BI DEYA…§§§§§….


Net’ha’mèl fèl nââr ou nya’di…§§§…..Sabir ââlla ghol’bi ou n’yadi…§§§§…
Ehni nét’ha’mèl fèl nââr ou nya’di..§§……Elli en habbou tkh é’li weh’di lè i hen
Oullè i rof ya’li’yè…..

Elli en habbou khé’lé’ni weh’di lè i hen….§§§…..Oullè i rouf ya’li’yè…..
Elli en habbou khé’lé’ni weh’di lè i hen…….§§§§…..Oullè i rouf ya’li’yè…..


TEQ’… WIIIIIIIIIIIIT…§§§§§§§…..TEQ WIT…§§§§….TEKWIIIIIIIIT…§§§§§§….. TEKWIIIIIIIIT OU MEL GOLT E……… HIiiiiiiiTTTTTTTTTTTT..IIIIIIIII E ZZIT EL JOMRA BI DEYA…§§§§§….


rouge{Teq’WITTTTTTT..§§§§§….EHNE TEQ’WIIIIIIIIIITTTTTT…§§§§§….
Teq’WITTTTTTT..§§§§§….OU ME GOLT A…….HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIt….IIIIIIiiiiiiT……§§§………IIIIIITTTTTTT…
E ZZIT EL JOMRA BI’DE’YA…..§§§§§§… TGARIT OU AACHEG OU HABIT OU LOUM AALA GALBI OU AÏNE’YE……}

TGHARIT OU AACHEGT OU HABIT …§§§§§….TGHARIT OU AACHEG OU HABIT
TGHARIT OU AACHEG OU HABIT ..§§§§§§…..OU LOUM AALA GAL’BI OU AÏNE’YE……..§§§§…..TEQ WIIIIIITTT…..§§§§…..OUME GOLT A HIiiiiiT OU EZZIT ELJOMRA BIDEYAAAAA…. §§§§§§……

Un spectateur de loin…..

‘…LOTEFFFFFFFFF AALIQ YE SIDI ALI……..

Yè mé mè châ’lèt fiyè él nââr…§§§§……Yè mè féq’ri men ah’tar..§§….
Ye me châ’lèt fiyè él nââr…§§§§…….Yé mè féq’ri men ah’tar..§§§§
Hattè lil sâr nâAAAAAAr ou hobi qwé’ni key eg’wè’yè……
Hattè lil sâr nâAAAAAAr hobi qwé’ni key eg’wi’yè……

TEQ WIIIIIIIIT…..§§§§…….EHNE TEQ WIIIIIIIIT…§§§§…….TEQ WIIIIIIIIIIIIIT……TEQ WIIIIIIIIT OU…….ME GOLT………….. A hiiiiiiiiiiit….!’….

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 29 juillet 2004 - 21h41:

Je me suis oubliè dans les GRANDS JOUEURS Donc ALBERT SIMEONI....YE KROUDA...:):):)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 29 juillet 2004 - 21h25:

LES MEMOIRES D UN GOULETTOIS.
Albert Simèoni.

Hammamet 20/07/2007.


VOLLEY BALL . NOTIONS ET PRATIQUES



Parmi tous les sports que j’ai pratiqué, un seul me prit de passion car je l’avais jugé inoffensif.
Pas de corps à corps bien que je fus aussi bon handballeur, que footballeur. Modeste poloïste et nageur. Joueur de toupie, de billes, de noyaux, de cerceau etc…Mais ceux là n’étaient reconnus par aucune fédération.

Le Volley- Ball est un jeu d’intelligence et le marquage des points ne laisse pas le temps à la réflexion, tant la vitesse d’exécution se compte en dixième de seconde. Le Volley est intuitif car il donne l’occasion, au bon joueur, de prévoir à l’avance le ventre mou de l’adversaire et de toucher cet ‘ organe’ à la vitesse de l’éclair car la surprise dans l’attaque doit être incisive et presque sans faute. Il faut atteindre un haut degré de technicité et de connaissance dans ce domaine , pour acquérir les subtilités d’un jeu dont vous êtes seul responsable, du gain ou de la perte d’un point, avec vos compagnons, une fois que vous avez levez le pied du sol, pour smasher, contrer ou lober. Un bon ‘smasheur ‘ doit frapper dans toutes les positions. Et des deux mains. Un bon défenseur d’autrefois doit savoir relever le ballon à deux mains dans n’importe quelle position ; la manchette n’était pas assez prisée comme aujourd’hui

Le ballon n’avait aucun secret pour moi, j’en faisais ce que je voulais. Aussi bien pour lever une passe que pour smasher, car j’accumulais deux fonctions, de passeur et smasheur. Que cela vous plaise ou pas. J’étais avantagé par ma détente pour compenser ma petite ‘taille’. Seulement je ne pouvais pas frapper plusieurs smashs continuels au filet, sans me fatiguer. Je pouvais smasher que trois ou quatre fois d’affilé, à la cinquième je sentais le poids de mes efforts sur mes mollets et genoux.

J’avais par contre le ‘don ‘ de viser un joueur dans n’importe quelle position et de feinter mon adversaire , à ma guise, en le regardant droit dans les yeux, alors qu’en réalité , je détournais, au dernier moment, ma position du poignet pour ‘attaquer’ son compagnon qui était à son opposé et qui ne s’attendait donc pas à recevoir le rond de cuir sur lui ; l’effet de surprise était total.

Je pouvais même smasher, en imprimant à mon corps, tout en m’élevant du sol, un mouvement de rotation en suspension dans l’air de 180 degrés, pour accomplir ce geste de frappe et me retrouver quelques secondes plus tard debout, l’action terminée, sur mes jambes face à mon adversaire qui ne s’attendait pas à cette frappe.

Ces mouvements de jeu de poignet dans n’importe quelle position
est d’une importance capitale et cela n’était pas donné à tout le monde de l’exécuter.

A l’époque comme je le disais, les raccroches du service ou de smash, se faisaient souvent à quelques centimètres du sol, les fins connaisseurs en savent quelque chose, il fallait s’étaler sur la terre battue, glisser sous la balle pour lever avec les deux mains, sans commettre de faute de tenue, ce foutu ballon au passeur pour préparer le smash.

Alors un peu de respect, à l’avenir pour le Tune célèbre, ancien sélectionné, que je suis, ceci dit, avalez ce qui suit avec sérieux. Je doute fort qu’avec vos grimaces de vieux sages et singes, vous puissiez encore prétendre jouer les volleyeurs.

Je ne vous vois même pas en short ( à part Nao , Axelle et Tawfik) vu l’état variqueux de vos jambes et la rotondité de vos visages qui n’est pas loin de ressembler à des pastèques d’ Hammamet, faire ne serait ce qu’un point….d’honneur ou courir un mètre de ruban sur une piste. . Point barre. ( Je n’ai point encore fini avec vous, prochain texte UN TUNES CELEBRE PARMI VOUS. C’est déjà fait depuis.)


Quelques notions explicatives de Volley-Ball.


Jeu de groupe formé par six joueurs dits rentrant. ( En arabe Qourra Tay’ra = la balle qui vole).
A chaque point marqué le serveur continue de servire ; en cas de perte du service ; les joueurs tournent selon les aiguilles d’une montre.; on appelle ça changement de service ou récupération du service, après une faute de l’adversaire ou un marquage à l’avantage de l’équipe.

Les remplaçants sont en nombre de 5 ou de 6. Deux changements au cours d’une partie sont autorisés.( de mon temps, je ne connais pas les nouvelles règles actuelles)

Se joue sur 3 sets de quinze points. Si les manches gagnées sont de deux contre deux, à égalité, une cinquième manche sera nécessaire pour déterminer le vainqueur. Les points sont comptabilisés jusqu’à 15 mais si le score est égale à 15 partout, la manche ne peut être déclarée, remportée, que si l’une des parties marquent deux autres points. SOIT 17 / 15 . Et ainsi de suite, j’ai assisté à une partie ou le score final prit fin à 22/20 à la cinquième manche. Un suspense terrible.

Position de jeu, une jambe légèrement décalée par rapport à l’autre avec une légère flexion des genoux. On appelle maniement l’impulsion qu’on donne au ballon joué par les deux mains distantes à environ 20 cm du visage, à hauteur du front afin de le propulser vers son compagnon, qui l’attend dans la position déterminée.

Un terrain de volley-ball est divisé en deux parties égales séparées par un filet tendu au centre des deux parties, retenu par deux poteaux se faisant face. Elles mesurent 9X9 soit 81 M2 X 2. Chaque partie de terrain mesure donc 9X9 M.

Smash…….Coup porté violemment par la main bien plate, les doigts serrés dans une position en suspension, ou en détente, ou debout, sur l’extrémité supérieur du ballon. La frappe de ce dernier doit suivre une trajectoire de haut vers le bas. On parle de coup ‘Smash rabattu’.

En générale, la détente est prise par l’élan bloqué à environ 30 cm du filet, au delà de la ligne des trois mètres, suivant l’arrivée de la passe. La frappe dépend de la grandeur du frappeur, c’est à lui qu’incombe son souhait pour la hauteur de la passe ; haute, mi- haute ou courte. Le corps en suspension doit retomber à 30 cm à la verticale du filet , tout en évitant de toucher celui ci, sinon il y a faute. Le smash peut se faire aussi à partir de toutes les parties du terrain pour les frappeurs au filet mais en deçà de la ligne des trois mètres pour les joueurs dits ‘défenseurs’.
Un joueur de taille normal 1, 72 doit pouvoir sauter à pied joint une hauteur de 80 cm à partir du sol pour prétendre faire passer son smash. Donc 1,72 +0,80 + 0,40 ( hauteur du bras ) = 2,92 –2,30 *= 0,62 cm de marge. Il faut savoir que la ballon n’est smashé en réalité qu’à environ 0,20 cm au dessus du filet, pendant sa descente. ( Ceci était bon pour moi).
Il y avait aussi le ‘smash balancé en suspension)

*hauteur du filet.

La détente et la frappe d’un smash doivent être synchronisées avec la hauteur de la passe. Départ de l’élan lent si la passe est haute, rapide si celle ci est courte ou tendue, à ras du filet. Plus rapide si la balle est courte au dessus du filet servie juste au dessus de la tête du passeur. TAUX DE REUSSITE. ENTRE 70 ET 80 % pour les smashs simples.

Lobe…..On distingue deux sortes lobes.

Slepka…..Mot hongrois. Une feinte qui trompe le contre. Le joueur feint de smasher et au dernier moment imprime au ballon une trajectoire lente et courbe par dessus et à ras du contre, surtout soulevée et caressée par un toucher de la paume. Le mouvement doit être assez réfléchit afin de ne pas éveiller les soupçons de l’adversaire sur cette feinte. Le ballon doit tomber à environ cinquante centimètres du filet en évitant le contre juste derrière. TAUX DE REUSSITE 60%.

\rouge {Le lobe simple}….Le plus courant. Il se fait toujours en trompant l’adversaire. Monter pour feindre un smashe et ensuite viser l’espace réduit mais vide du terrain adverse, en poussant toujours en suspension, avec force ou légèrement le ballon dans le réduit vide soit juste à côté du contre, soit au fond si les défenseurs se sont trop avancés ou au centre si ces derniers sont lents à récupérer le ballon. TAUX DE REUSSITE 60%.

Le contre. C’est l’élévation en suspension des deux bras bien tendus et collés de deux coéquipiers/ adversaires pour empêcher le ballon adversaire qui va être smashé, de passer à travers ces quatre bras rapprochés. Ils doivent former un mur, en principe ‘ infranchissable’ à la lisière du filet. Le contre se fait à trois si le smash pressentit va s’exécuter au centre et cela dans le ferme espoir de bloquer les espaces vides du terrain. TAUX DE REUSSITE 80 A 85 %. Pour un bon contre. Le contre doit monter, bien serré, au filet, deux secondes après la détente du smasheur adverse.

Service. A mon époque, on distinguait le service à la cuillère. Le pied est posé à cinq centimètres de la ligne de service. L’autre juste en arrière pour maintenir l’équilibre. La paume et les doigts du serveur sont réunis et forme une cuillère, il suffit d’imprimer avec l’autre main un mouvement balancier assez séc et fort, sous le ballon, afin de le faire passer largement au dessus du filet. Par grand vent, la propulsion du ballon doit suivre une trajectoire assez haute et décalée contre le vent afin que le rond de cuir atterrisse sur les joueurs adverses. Ce service est facile à raccrocher à deux mains. Service désuet aujourd’hui. Il a disparu. TAUX DE REUSSITE 90%. RACCROCHE A DEUX MAINS.

Le service tennis. Ce service se fait avec le bras levé à hauteur de l’ épaule. On lance le rond à environ un mètre au dessus de la tête, dans la ligne de frappe du bras puis une fois le ballon à la bonne hauteur, il suffit de fouetter avec le plat de la main le centre du rond de cuir en lui imprimant une trajectoire directe et droite, légèrement flottante afin que ce dernier parte en rasant, sans toucher , la bordure blanche du filet. Souvent l’adversaire est dérouté par l’arrivée rapide du ballon qui zigzague si on lui imprime cet effet . Ce service est vicieux. Contrairement au service tennis normal qui prend son appui à quelques centimètres de la ligne de fond, le service dit ‘japonnais’ dit flottant se fait à environ à quatre mètres en recul de la ligne de service et cela dans le but de le faire flotter plus durablement dans l’air ; cet effet à pour but de déstabiliser le joueur adverse qui voit poindre un ballon bien droit alors qu’il va dévier en fin de course juste au moment de la réception.
Il se fait de moins en moins. TAUX DE REUSSITE ENTRE 60 ET 70%. RACCROCHE SOIT A DEUX MAINS SOIT EN MANCHETTE.

Service en hauteur. Comme le service à la cuillère mais ce n’est plus la paume qui va faire le travail mais le revers de la main qui prend l’aspect d’un tranchant. Une fois frappée, le ballon va s’élever assez haut d’une façon ‘roulée’ et cela grâce à l’effet imprimé depuis le départ. Il ne peut se faire par grand vent. En plus, il n’est pas sur car souvent, le ballon dévie de sa trajectoire et revient vers celui qui a servi. Il n’a plus court. Démodé. TAUX DE REUSSITE 50%.
Autre variante, mais sans le tranchant avec la paume mais servit très haut, avec effet. TAUX DE REUSSITE 40%. RACCROCHE A DEUX MAINS.

Service balancé. Difficile service qui demande précision quant à l’élévation du ballon. Il fallait que ce dernier soit bien dans la mire de frappe. Pour ce faire, le joueur présente d’abord son flanc face au filet. Un pied derrière, l’autre venant prendre appuie au sol. Ensuite, une fois le ballon levé à la bonne hauteur, environ un mètre, pas plus , le serveur par un mouvement séc/ demi-giratoire, et par un balancement du bras au dessus de sa tête, frappe très fort le centre du ballon qui va partir en prenant une trajectoire courbe et de préférence à quelques centimètres du filet afin que le cuir vienne surprendre les adversaires placés juste derrière leur trois mètres. TOMBE EN DESUETE . TAUX DE REUSSITE 40%. RACCROCHE EN MANCHETTE.

Service smashéC’est le service actuel. Contemporain. Il se fait à environ cinq ou six mètres de la ligne du service. Le joueur lance le ballon devant lui, à une certaine hauteur puis prend son élan pour sauter assez haut .Tout en étant en suspension il va smasher le ballon avec force et son élan le fera atterrir à l’intérieur dans son espace, une fois le geste accompli. TAUX DE REUSSITE 80%.RACCROCHE AVEC MANCHETTE.

Les raccroches Il s’agit d’amortir l’arrivée du service afin de préparer la passe et le smash. Elle se fait soit à deux mains soit en manchette. Aujourd’hui la raccroche se fait en manchette, les deux avant bras bien serrés et tendu, vu la force de frappe du service ou du smash qui arrive comme un boulet de canon. La réception du ballon dois se fait avec les avants bras et non avec les poings fermés et joints sinon la trajectoire en souffrirai.

Les fautes…. Traversée…. Une faute lorsque le pied touche une des bandes soit au service soit en retombant après un smash sur la ligne tracée sous le filet.

Tenue….. Une faute quand le ballon est mal réceptionné avec les deux mains. Aujourd’hui cette faute est de moins en moins sifflée, les passes et raccroches se font de plus en plus en manchette.

Touchée du filet…. Quand un joueur touche volontairement ou involontairement les mailles ou la lisière du filet, il y faute ; toucher du filet.

Out…Balle dehors.

temps mort… Arrêt pendant une manche de set. Limité à deux ou trois arrêts de jeu par manche.Deux ou trois minutes de pause au bord du terrain, les joueurs ne doivent pas sortir je crois. .. ? Le temps mort est proposé par l’entraîneur en général, par un signe envers l’arbitre, la main supérieur venant chapeauter le tranchant de l’autre main levée. Un changement de joueur est annoncé par un signe de croisement des bras.

Le volley-ball est devenu un sport de salle depuis quelques années.

Les systèmes de jeu. Les système de jeu sont aujourd’hui ce qu’on appelle réversibles au cours du jeu c’est à dire qu’ils évoluent suivant les attaquants adverses au filet , on peut passer d’un système à l’autre en accord avec l’entraîneur pendant le jeu.

Au début, les réceptionnistes du service se plaçaient de la façon suivante.



Systéme de jeu

Dans le volley-ball moderne, tous les joueurs sont attaquants et défenseurs. Taille moyenne 1,80/90. Autrefois, la taille moyenne était de 1, 75 au grand maximum.
HAUTEUR DU FILET 2,30.


La pénétration. De quoi s’agit il…. ? Autrefois, une équipe ne pouvait compter que sur deux passeurs qui se relayaient pour lever le ballon au ‘smasheur’. Le smasheur ne pouvait pas être passeur, ces premiers étaient souvent couverts par les coéquipiers sauf si le ballon atterrissait par inadvertance sur l’un d’eux. Dans ce cas, c’est le second passeur qui se présente pour aller lever le cuir aux attaquants.

Dés que le ballon est réceptionné, l’un des passeurs, selon sa position sur le terrain, doit prendre ses dispositions pour aller récupérer le ballon est l’élever au ‘smasheur’ qui attend de prendre son élan sur sa ligne de front, pour smasher.

La pénétration du passeur pouvait se faire soit à partir du centre du terrain soit par les côtés latéraux et cela dans le but de venir se placer le plus près du filet afin de faciliter la tache de ‘haussement’ du ballon à son coéquipier frappeur.
La pénétration latérale, ou centrale par le passeur se faisait dés le départ du service adverse.
Aujourd’hui tous les joueurs sont passeurs et ‘smasheurs’ à la fois.


On remarque le smash dit ‘diagonale’, quand le contre est mal fait, le rebond du ballon atterrit au centre du terrain ; le smash latérale est le plus dur, car il s’agit d’imprimer au poignet une sorte de léger retournement afin d ‘éviter le contre et viser ainsi la bande blanche latérale. Il faut que l’impacte du ballo soit à deux centimètres de la bande. C’était ma spécialité.

Le smash dit ‘brossè’ il s’agit, quand la passe est mauvaise, de frapper dans le contre d’une façon dite ‘ brossée’ et cela dans le souci de faire dévier le ballon par le contre adverse hors de son champ d’action.

Tout smash implique une bonne ‘vista’ de la position des défenseurs adverses. Une mauvaise balle levée atterrit dans les filets. Une balle trop haute donne le temps aux autres de former le contre. Une balle levée courte au dessus de la tête du passeur implique une vitesse d’exécution rapide, et un saut court avec une frappe très forte. Deux smasheurs peuvent se présenter en suspension au centre du terrain pour tromper l’adversaire sur le frappeur mais ce ne sera que l’un d’eux qui aura la primeur de la frappe. La passe doit être au millimètres prêt.

Une balle poussée vers l’extérieur du filet demande un départ du smasheur hors de son terrain, ‘dite départ de course de saut en hauteur à la ventrale’, le joueur doit être au rendez vous avec le ballon levé et pousse vers l’extérieur, à dix centimètres du filet, dans sa longueur.
Smash tendu. Le smash doit se faire court en coupant la trajectoire du ballon. Beaucoup d’adresse pour ce coup là.

Les passes. La bonne passe détermine le bon smash. Celle ci doit arriver selon le vœu du ‘smasheur’ qu’il soit grand ou de moyenne taille. La passe doit descendre à environ 20 cm à la verticale du filet. Un ballon servi trop collée, à la lisière de la bande du filet, avantage le contre qui peut le rabattre sur le ‘smasheur’. Une passe trop courte, prend à défaut le frappeur. Trop haute, elle donne le temps au contre de se former. Il faut qu’il est un effet de surprise dans la passe de la part du passeur pour dérouter le contre de l’adversaire.
Un bon passeur est déterminant dans la victoire d’une équipe. La passe en suspension est une passe qui se fait en synchronisation entre le passeur et le frappeur tous deux en suspension. C’est à dire que les deux joueurs doivent être en l’air, l’un hausse mi court le ballon et son coéquipier qui la prend presque de ses mains, à hauteur de sa tête. La surprise est totale et le contre n’y peut rien s’il est prit à défaut. Etc..


Passe arrière. Ici le passeur feint de lever le ballon à son compagnon qui vient vers lui à toute vitesse tout en sautant et au dernier moment, le premier lève celui ci à son coéquipier frappeur qui attend la passe, derrière lui. Il s’agit de tromper le contre. Parfois c’est deux compagnons qui viennent vers lui et c’est un troisième larron qui frappe.

Les raccroches se font en manchette. Dés que le ballon est réceptionné par la défense les
‘ frappeurs’ se mettent en position pour accomplir le smash.


Les équipes seniors d’autrefois qui ont marqué le Volley Ball Tunisien….L ‘HERZELIA…
L ALLIANCE…L U.S.T( junior) …LE C.N.T (Club Nautique Tunisien.) ….L U.S.G ( Union sportive Goulettoise….) mon équipe l’ ETOILE SPORTIVE GOULETTTOISE Puis sont venus l’ESPERANCE DE TUNIS…L’AVENIR DE LA MARSA….

Les premières nommées disparurent au début des années 1963 par la suite, seule L’U.S.G ( maillot rouge et noir, mon équipe ) a survécu sous le nom plus tard de C.S.G puis E.S.G. KRAM (maillot vert et noir.)

Quelques grands joueurs…Georges Cohen ( Alliance.S.) Bébert Allouche ( A.S)Maurice Zerah ( Herzeliah),Marcel Bonnavita ( Club Nautique Tunisien) ClaudeGinikis (C.N.T) Cohen Gilbert ( Thomas ( C.N.T) Tartamella ( C.N.T) Michel Akrich( C.N.T) Sydney Gallès
( C.N.T.) Roger Fitoussi ( U.S.G) Max Fitoussi ( U.S.G, célèbre pour son smash assis en suspension) Sydney Lellouche ( U.S.G) Pierre Boccara ( U.S.G) Bobby Sitbon (U.S.T) Guy Haggège( C.N.T) Zizi Belkhodja ( Espérance Sportive de Tunis )Moncef Annabi ( E .S.T) ) Moncef Haddad ( E.S.T.) Chedli Fazââ (Avenir Sportive de le .MARSA) Mohamed Bounatouf (A.S.M.) Ben Soltane ( A.S.M ) RAJA Hayder z’al ( A.S.M ) … etc………

Il se peut que quelques erreurs se sont glissées dans ce rappel, je m’en excuse. Tout est de mémoire.

Quelques arbitres connus…
-Mohamed Ben Youssef.
-Ben Slimane.
-Ayari.
-Mâârek.

Entraîneur Mythique
-Jojo Meimoun Z’al. ( U.S.G.)

Président de la FTVB.

-Mohamed DOUAGI.


Pour les archives HARISSA.COM. AGENCE SHARON/ BREITOUNA TRIC TRAC…
FAX 01 44 56 25 48. e-mail sharon.breitouna@wanadoo.fr. mta moumou el réguel.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 29 juillet 2004 - 21h03:

Equipe NATIONALE AU LIBAN

EQUIPE NATIONALE AU LIBAN....
EN HAUT A DROITE PLACE CAMILLE CHAMOUN.
SUR LA PLAGE.
AU SOUK DE BEYROUTH.
A L AEROPORT DE FIUIMICINO.
SUR LA PLAGE AVEC L ENTRAINEUR NATIONALE MT HENNING.
AVEC GIGI BELLAICHE AUJOURD HUI LOUBA ...LICHE..EN ISRAEL. OULLE REBI...

BREITOU ET BELEBOU ne passent pas en direct Chef.
Codes bons pourtant.

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 U.S.G

Seniors juniors annèe 1962. YE KROUDA J AI LE BRAS LEVE.

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Je suis à doite lebo gosse 5X5 pour moi.Aujourd'hui 0X0.

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AU NOM DU SPORT ALBERT CAPITAINE D EQUIPE DE L C.S.G

Suivra un texte après les photos. YE KROUDA...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 29 juillet 2004 - 20h42:

V O L L E Y B A L L
Tout à l'heure. Dans 30 minutes.
Pour les mordus d'avant de ce sport.

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GRANDE SOIREE CE SOIR A L AMPHITHEATRE DE CARTHAGE......AVEC LE MERHOUM ALI RIAHI...BOGA ...JAVANAS...SALAH EL MEDDEB...COCO...FANTA...PAM PAM..BOGA CIDRE...ETC.....A PROFUSION.....APPORTEZ VOS COUSSINS.....ET LES GLIBETTES MEME CELLE DES CAFE DES DATTES....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le jeudi 29 juillet 2004 - 20h07:

Axelle,

Je n'ai en rien été blessé par votre intervention.

Mon seul but était d'informer les harissiens sur la réalité des thèses de Konrad Lorenz qui en a abusé plus d'un, y compris dans les milieux scientifiques qui l'ont proposé et choisi pour le prix Nobel.

En toute amitié.

Meyer