Par Susy (Susy) le jeudi 23 novembre 2006 - 23h02:

hello. albert , j'en ai d'autres sympas, je peux te les envoyer par mail d'abord?

Par Susy (Susy) le jeudi 23 novembre 2006 - 22h16:

eh mamili!!! passe moi les photos.
oh, si tu voyais les photos que j'ai de breitou, tu bondis de ta chaise.

j'attend son autorisation.
tu vois , il a ete gentil, il a accepte de poster celle d'hier, il est tou mignon , pas vrai?

Par Mamili (Mamili) le jeudi 23 novembre 2006 - 19h34:

On prèfère ca !!!
Moi j'ose le dire

Par Albert (Albert) le jeudi 23 novembre 2006 - 19h31:

Je préfère ne plus rien dire.
Pour le moment.

Par Mamili (Mamili) le jeudi 23 novembre 2006 - 18h39:

Nous voilà encore dans de beaux draps !
Onl'a nommé dirlo ici dans son pitpbibibi de ribibi !

Mais !!!!!

Ca lui monte à la tête !!!le voilà qu'il se prend pour un modèle pour artiste peintre dans les musées !

Ou pour Clooney Pitt Deep Cruise et autres !

Michka je te file les photos retrouvées de la coucous
party aux chez Elsa ! je sais que tu en feras bon usage.

Comme tu as raison Meyer ! sur quel troufion on est tombé !!!!

Par Albert (Albert) le jeudi 23 novembre 2006 - 18h09:

'...L'armèe du salut public...! Meyer...!'

Par Breitou (Breitou) le jeudi 23 novembre 2006 - 17h58:

'...Par Breitos ad faite se justice e esclargiès est la sue granz ire; en HIRASSAad ébreio mise..!
Passet li jurez, la nuiz est portè conseil...!

Damoiselle Michka.

Par Meyer (Meyer) le jeudi 23 novembre 2006 - 17h40:

" Mamili,

Que D ieu vous garde.
Je sors de ma résèrve. "

Voilà qu'il se prend pour un réserviste à présent.

Dans quelle armée ?

A moins qu'il s'agisse de l'entrepôt de la société BELMA.

Par Breitou (Breitou) le jeudi 23 novembre 2006 - 17h27:

'..Ô Madame, que votre vieux français m'emporte si je mens sur l'heure...! Oui Belle damoiselle, il en est ici et l'on chuchotte même que monsieur de De Ouille sera dans un proche avenir en CASTRE ici sur les murs du Seigneur du Château ne plaise..!'

Par Albert (Albert) le jeudi 23 novembre 2006 - 17h23:

TAIS TOI TOI TOM POUCE....! C EST TOI QUI A AUSSI DONNE MES GRENADINES....AU MINSITRE MAM....!!!

Par Lza (Lza) le jeudi 23 novembre 2006 - 16h06:

BREITOU !!

APRES TOUT T'ES PAS TOM CRUISE ?

Par Michka (Michka) le jeudi 23 novembre 2006 - 15h28:

Albert!


Qu'entends-je, il y a des photos qui circulent sous le manteau?

Fichtre ! Quel gredin ou gredine vergoigne notre Dirlo et esnue le croupion de ce beau Damoiseau.

Par Albert (Albert) le jeudi 23 novembre 2006 - 15h21:

Spectacle de rue.

Paris le 23/11/2006.

Salon de coiffure africain.
Rue Doud'ville.
Le salon est vaste.
Trois tresseuses et un coiffeur.
De couleur, il va de soi.
Tresser demande, pour une tête afro trois heures pleines.
Parfois quatre heures si l'employèe est lente.
Un peu plus pour une tête blanche.

Il arrive souvent que la coiffeuse s'occupe de deux ou trois têtes en même temps.

Je m'explique.
Elle commence par une cliente puis s'arrête au bout d'une demi- heure pour la laisser souffler, va chez l'autre et ainsi de suite.

Il n'est pas rare que la ou les clientes soient accompagnèes de leurs enfants, ou tout simplement
de membres de leur famille. Soeurs ou cousines. Le cousinage est courant chez les ethnies africaines et à ma connaissance, il n'y as pas un ou une africaine à Paris qui ne soit de la fatrie.

Un sénègalais d'un certain âge qui rentre chez moi avec une jeune adolescente ou une dame, ne dira jamais dans la plupart des cas, qu'il s'agit d'une amie ou d'une copine mais d'une soeur ou affiliè.

Même sa maitresse est considérèe comme une soeur ou cousine ce qui laisse deviner par déduction ou supposition qu'il couche avec une soeur ou une cousine.

Il n'est pas rare que les accompagnatrices, installèes dans les fauteuils ou chaises, égrènnent quelques grains de maïs qu'elles balancent entre leurs 'meuleuses/dents ou décortiquent lentement des cacahuètes au grand dam du patron. Poussant même le 'toupet' à dejeuner carrémment, le boubou faisant office de table à manger, sur leurs genoux.
Eparpillant miettes et détritus sur le carreau.

Du floklore. On se croirait dans la campagne africaine, sous une hutte dans laquelle tifs, riz et manioc s'en donnent à coeur joie sur le sol.

Il manque calebasses et pilons, millet, riz et feu de bois, pour retrouver ce décor; une icône bien connue chez les blancs voyageurs, des gens de la brousse baignant dans cette atmosphére chaleureuse et conviviale dont seuls les africains connaissent le secret.

A tous tifs utiles.