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Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives Septembre 2004: Archive jusqu'au 20/septembre/2004
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Dans qq minutes la suite de L INTRIGANTE...IV...

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Le PTB vous salue bien...

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AU THEATRE CE SOIR.
Par Albert Simèoni.Abraham.

 LE SACRE DE BREITUS

Suite à la rupture du site, je vous remets les deux scénes précèdente de L INTRIGANTE afin de mieux suivre le déroulement...

Avant propos.

Dans le pays de KRAMOURIE, Gustave II, troisième frère du ROI Albert II de Goletie, grand noble, décède à la suite d’une grave maladie. Sa femme EUGENIE, décède à son tour en couche en donnant naissance à un garçon. Breitus, c’est son nom, sera adopté par le ROI ALBERT II ; celui ci n’ayant pas d’enfant. Breitus grandit à la cour du ROI auprès de son oncle.

Les années passent et à 23 ans, il est fait chevalier de l’ordre des HARRISSOIS.

Sa vaillance, sa bravoure, sa témérité et fidélité sont reconnues et appréciées par tous , dans la cour et dans le pays.

Juditia ( 35 ans) , la belle –sœur , veuve du second frère du Roi, qui s’est suicidé en se jetant par la tour de gué, bien que plus âgé que BREITUS, ne supporte pas que ce dernier décline ses charmes et la repousse.

Or, BREITUS penche plutôt vers DANIELLA, ( 18 ans) fille d’un cousin germain du roi. Un compte Albertus I.

Orpheline, elle aussi, ALBERT II , s’est engagé à la recueillir sous son toit.
Elle est amoureuse de BREITUS
Pièce en 1 Acte 5 Scènes.

Le 6/06/2004

L’intrigante..I

A la cour du Roi Albert II, de Goletie, une intrigante Juditia dévoile des confidences mal à propos au sujet du chevalier Breitus, 35ans, fidèle serviteur du roi...Le Roi est perturbe par ces dernières révélations. D’autant plus que l’intrigante a jeté son dévolu sur le preux chevalier qui fait la cour à la princesse Daniella de Hautebrune, 18 ans, petite fille du Comte Albertus I , prise en charge à la mort du vieux Comte, son père, par le Roi. La jeune fille, sans repousser les avances du chevalier, va se confie au Roi. Juditia s’entretient avec se dernier....

Dans les principaux rôles...

Le Roi Albert II.........Albert.
Breitus.......................Breitou.
Belebou ....................L’écuyer de Breitus.
Breitouno...................Le conseiller du Roi Olav II de Belgique.
Dany..........................Daniela de Haute-brune, princesse protégée du Roi.
L’intrigante................La duchesse Juditia de Stantford, veuve du frère du Roi, sans enfant.
Jean............................Le gardien des caves du Roi.

Dans le grand salon du Château du Roi.....

Juditia....


.’ ...Sire, il m en coûte de vous révéler, ce que je sais... !’
Des confidences, me sont parvenues par des amis surs.
Portant estime à votre Nom, m’ont secrètement parles
D’un complot qui se joue, derrière vous à votre insu.
Ma fidélité et ma conscience ne peuvent rester plus longtemps
Dans le silence, Mon trouble croit de jour en jour depuis.


Le Roi.........


Vous n’en êtes pas à vos premiers complots
Que vous me dévoiler, avec tant de sincérité
A ce jour et à ma connaissance, vos ragots
Ont fait long feu, alors qu’avez-vous à me confier
A nouveau que je ne sache pas encore
Avant la bonne heure où je m’endors.
Parlez donc, soyez indulgente, si l’affaire est grave


Juditia.....’...Il s’agit de Breitus, votre chevalier servant.... !’
Le Roi.....’...Breitus.... ?’ Allons donc... !’
Juditia.....’...Oui, si j’ose dire, je pense qu’il trahit notre cause... !’
Le Roi.....‘...Vous en dites trop ou pas assez... !’ De quoi s’agit il... ?’
Juditia.....’...De votre voisin, le Roi des Belges.. !’
Le Roi.....’...Ah celui là, je le pendrai haut et cour... !’
Juditia.....’....Si vous n’y prenez garde, il se pourrait que votre tête pende au gibet, a sa place..... !’
Le Roi.....’...Comment osez vous parler ainsi de ma personne... !’
Juditia.....’...Qui plus est, votre protégé est de mèche dans le complot qui se trame.. !’
Le Roi.....’...Que voulez vous insinuer... ? Enfin, soyez plus claire... !’
Juditia.....’...Vous avez toujours été bon, avec ceux que vous aimez... !
Le Roi.....’...Ais-je tord... ?’
Juditia.....’...A trop vouloir arroser de votre amour paternel vos proches, il vous en coûtera.. !’
Le Roi.....’...Cessez vos délires, et laissez moi me reposer... !’

Judicia sort.

Le Roi est seul à présent....


.....’ Breitus... ? Un traître… ? lui qui me voue corps et âme.
Le fils que je n’ai eu, comploterait à mon insu... ?’
Il manigance en secret, d’après les dires infâmes
De la veuve de mon frère, je ne crois à ces ruses
Elle est animée de jalousie depuis son veuvage
Et sans me tromper, elle use de son langage
Habituel pour briser ce que je sais, entre Danièla
Et Breitus. Elle irait la médisante, jusqu’à assouvir ses désirs
Pour créer zizanies et mésententes pour jouir de ces plaisirs
Entre mes sujets. Dans le seul but d’en tirer profit
Cependant, il me faut prendre garde, éviter les risques


Le Roi est bouleverse par cette conversation. Breitus est considéré comme son fils et il ne peut concevoir que ce ‘fils’ puisse comploter contre lui...Sur cela rentre Daniela de Hautebrune , la jeune princesse, sa protégée.

‘...Bonjour Sire.... ! Comment vous sentez vous ce matin... ?’
‘...Oh.... ! Comme hier, ma goutte me donne des vertiges et les mixtures me donnent la nausée... !’
‘...Je viens vous confier quelque chose ... ! Sire.. !’
‘...Décidemment, c’est la matinée des confidences.. !’
‘...Je ne comprends pas... ?’
‘...Ne faites pas attention à un vieillard qui va laisser un empire à un ingrat.. !’
‘...Un ingrat... ? Mais à qui faites vous allusion.... ! Sire... !’
‘...Au serpent que je nourris sous mon toit... ! Les doutes m’assaillent.. !’
‘...Je n’en vois pas la raison... !’
‘...Mais ma petite vous êtes si jeune et si fraîche pour comprendre ce genre de situation... ! Ma sénilité me fait tendre l’oreille à beaucoup de délires.. !’
‘....Sire... ! Alors dans ce cas, faites en sorte de tout comprendre sans donner effet à ce qu’on peut vous raconter... !’
‘...Si jeune et si intelligente... ! Bon de quoi voulez vous m’entretenir.. ? Douce fille.. !’
‘...De Breitus... !’
‘...Qu’as t’il encore donc fait... ?’
‘...Encore donc fait... ? Mais je ne comprends pas... ! Qu’a-t-il fait alors avant que je ne parle... !’
‘...Oh... ! Il intrigue contre moi... ! Selon ma charmante Juditia, que je ne porte pas trop dans mon cœur... ! Elle aurait du se remarier au lieu de pleurnicher à droite et à gauche...Feu mon frère aurait du lui donner le domaine de Richemond au lieu de cela, il me l’a collée... ! Comme un ange gardien que je ne puis piffer.. !’
‘...Breitus... ? Comploter derrière vous... ! Ca je ne le croirais jamais.. ! Il est preux chevalier et n’oserai faire une telle félonie... !’
‘...Mais vous oubliez que mon neveu, Charles de Gascogne l’a fait bien avant votre naissance.. ! Il a mérité la colère du Seigneur, mourir noyer dans son étang, sans aide et sans secours... ! Je ne lui en veut pas, l’appât du gain, l’avait rendu fou.. !’
‘..Pas Breitus.... ! J’ai..... ! J’ai.. !’
‘...Vous avez quoi.... ? Parlez donc..... ! Enfin ou alors dois je venir vous tirer la langue... ?’
‘...Quelques sentiments.... !’
‘...Ah nous y voila, je comprends que vous le défendiez... !’
‘...Le défendre de quoi.... ! Mon Seigneur... !’
‘...De ce qu’on l’accuse.... !’
‘...Il me semble avoir croisé, dans le couloir, la Duchesse Juditia.. !
‘...En effet, juste prendre de mes nouvelles... !’
‘..Vous mettre dans un tel état plutôt... !’
‘...Je suis lié par le secret de la confidence... !’
‘...Ah.. ! Comme les curés, en soutane... !Balivernes... ! Vous m’avez toujours tout raconté et vous voilà à présent muet comme une carpe, prenant plaisir à me donner des sueurs qui passent au chaud et au froid.... ! Allons... ! Confier vous donc.. ! Je vous dirai ce qu’il en est... !’
‘...Allez vous reposez plutôt ma fille, il se fait tard... !’

Daniéla est dans sa chambre, seule.


Comment confondre cette âme malfaisante.
Je suis bien jeune pour hausser le ton.
Elle est bien plus introduite par son rang
Je dois manœuvrer habillement cette mante.
Mon amour pour Breitus est si fort
Que je ne peux rester les bras croisés
Contre cette intrigante affamée
D’amants dont elle se repue
Avidement.


A suivre….


Dans les principaux rôles...

Le Roi Albert II.........Albert.
Breitus.......................Breitou.
Belebou ....................L’écuyer de Breitus.
Breitouno...................Le conseiller du Roi Olav II de Belgique.
Dany..........................Daniela de Haute-brune, princesse protégée du Roi.
L’intrigante................La duchesse Juditia de Stantford, veuve du frère du Roi, sans enfant.
Jean............................Le gardien des caves du Roi.

AU THEATRE CE SOIR.
Par Albert Simèoni.Abraham.
Pièce en 1 Acte 5 Scènes.

Le 6/06/2004

L’intrigante..


Dans les principaux rôles...

Le Roi Albert II.........Albert.
Breitus.. .............Breitou.
Belebou .... .. .......L’écuyer de Breitus.
Breitouno..... ... ......Le conseiller du Roi Olav II de Belgique.
Dany... ....... ..... .Daniela de Haute-brune, princesse protégée du Roi.
L’intrigante ..........La duchesse Juditia de Stantford, veuve du frère du Roi, sans enfant.
Jean.... ....... ...Le gardien des caves du Roi.

Acte l. Scène ll.

Le Roi regagne sa chambre. Danièla est dans le jardin. Elle parcourt les allées du grand domaine lorsqu’ elle tombe nez à nez avec Juditia...

Dan/ ‘...Vous me paraissez bien heureuse, chère Duchesse... ?
Jud/ ‘...Le temps s’y prête et surtout que mes soucis commencent à se dissiper... !
’ Vos soucis... ? Vous en avez.... ?’
’ Qui n’en a pas, ici, je les gère un à un sans importuner ma conscience... !’
’ Vos soucis sont dans votre conscience.. ? Tiens et votre conscience, indépendamment de supporter vos soucis, ne vous souffle t’elle pas que votre honneur est en jeu... ?’
’ Mon honneur... ? Mais qu’insinuez vous donc.. ?’
’ Rien qui ne vous trouble.... ? J’ai vu le Roi, ce matin, et il est perturbé... !’
’ Sa fonction sans doute et les rumeurs de guerre ne sont pas faites pour le rassurer... !
’ Disons plutôt que certaines manigances se jouent à son insu et bien plus des racontars qui sont la cause de son trouble... ! Notre roi s’est toujours sorti d’affaire dans les guerres, jusqu’à preuve du contraire... !
’ Il me doit ses victoires, par mes conseils.. !
’ Il est vrai que sans vous le royaume serait en péril.... ?
’ Vous me semblez surprise.... !’
’ Non..... ! Rien qui ne me surprenne venant de votre part.... !’

Juditia essaye de déstabiliser Daniéla..

’ Jud/....... .Il me vient, une idée, puisque vous m’en parler, que l’honorable Breitus, chevauche dans certains couloirs, quelques pouliches en secret.... !’
’ Dan/......_ ’ Vous mentez.... ! Il est digne de respect et ma couche lui sera réservée, il ne se peut qu’il aille forniquer ailleurs... !’
’ Les rumeurs sont parfois tenaces et j’ai les confidences de certains marquis qui se réjouissent presque d’être cocus... ! Je vous l’avoue, ils y trouvent leur compte.... ! Ils sont si fatigués... !
’ Je ne crois pas un mot de ce que vous dites.. !’
’ Parlez en à son écuyer... ! Belebou... ! Son pourvoyeur de femmes nobles... !’
’ Belebou est honnête homme et cela ne vous porte pas à l’accuse de la sorte... !’

Daniela coupe court à la conversation.

’ Je dois m’en aller, je suis invité au bal que donne ce soir le Roi...... !
’ Mais j’y suis aussi, et je crois que vous allez me supporter, le chevalier Breitus sera à mon bras... !’
’ Il n’en sera rien... !’

Juditia, ment. Rien que pour jalouser Daniéla.
Danièla est hors d’elle. Et elle va de ce pas à la rencontre de Breitus.
Nous sommes dans une autre aile du Château dite La Salle Des Chevaliers.
Breitus est devant une fenêtre, à contempler le paysage.
Juditia, rentre.

’ Ah vous êtes donc là... !’
’ Vous m’auriez voulu où... ! Ma chère Duchesse... ?’
’ Je ne puis contenir mon ire... !
’ Vous l’êtes tout le temps, et rares sont les moments où vous me paraissez bien calme.. !’
’ Ce soir, il y a bal, le saviez vous.... ?’
’ Oui, et ma cavalière est déjà réservée... !’
’ Mais qui donc sera votre ‘pouliche’ ce soir... ?’
’ Vous avez un drôle de langage.... ! La ‘pouliche’ est une jeune fille noble.. !’
’ Dois je comprendre que je ne le suis pas... ?
’ Vous traiter les dames de ‘pouliches’ sans égard pour leur rang... !’
’ Vous prétendez être chevalier mais en vérité vous n’êtes qu’un... !
’ Oui, dites le et finissez en... !’
’ Un ... ! Un.... !

A ce moment, rentre Daniela....

’ .Un coureur de jupon de femmes nobles... !’

Lui.....’ .Quelle marque d’estime que vous me faites là, Princesse... ! C’est un grand honneur pour moi de vous l’entendre dire..... !’

Danièla......._ ’ Un grand honneur que de vous accusez de ....’
Juditia.........’ ...De voler la vertu des femmes .... ! Innocentes... !’
Breitus.........’ ...Je vois que vous vous entendez bien, mais que me vaut en résumé vos interventions en ma présence.... !’
Juditia......’.....Servez moi de Chevalier servant ce soir... !’
Breitus........’ .Mon choix est déjà fait, vous le saurez ce soir, au grand bal...Masqué... !’
Danièla.......’ .Pourquoi tant de cachotteries, dites le lui, en ma présence.... ! Dites que c’est moi... !
Breitus........’ .Dois-je livrez bataille aussi contre vous deux ..... ?
Juditia........’ .Vous n’êtes...... ! Qu’un... !’
Daniéla......’ .Vous serez à mes côtés, n’est ce pas... ?
Juditia.......’ .Vous..... !’
Breitus.......’ ..Je suis quoi... ! Chère Duchesse.... ?’

Elle le regarde méchamment et sort du salon, laissant le couple en solo...

Breitus.........’ ....Vous me semblez sur de vous.... ?’
Danièla........_ ’ ..Je me sens plutôt si lasse.... !’
Breitus........._ ’ ..Bien dommage, quand on est si belle et si charmante... !’
Danièla........_ ’ ..Sans grande chance ni fortune... !’
Breitus........_ ’ ...Qui vous souffle donc ces désagréments... !’
Danièla......._ ’ ...Mon intuition... !’
Breitus........_ ’ ...Disons alors qu’elle se trompe.... !
Daniéla......._ ’ ..Je suis si prude, que je n’ose dire ce.... !’
Breitus........_ ’ ..Dans quelques jours, je dois aller contrôler les frontières du Nord, on me signale quelques escarmouches du coté du Canal de la Goletière, à mille lieux d’ici... !’
Danièla......._ ’ .Vous partez, mais le Roi ne m’en a soufflé mot.... ?’
Breitus........_ ’ .Le Roi ne peut se confier sur des choses qui ne concerne femme... !’
Danièla......._ ’ ..Je voudrais tant vous dire.... !’
Breitus........_ ’ .Il se fait tard, je dois m’accoutrez pour le grand bal... !’
Danièla......._ ’ .Qui sera votre dame ou demoiselle d’honneur.. ?
Breitus........_ ’ .J’hésite entre vous et Juditia, ou alors La princesse Carole... !’
Danièla......._ ’ .Moi..... ! Vous n’avez pas le choix.... !’
Breitus........_ ’ .Et bien se sera vous... !
Danièla......._ ’ .Oh.... ! Mais je disais ça comme ça... !’
Breitus........_ ’ .Vous me ferez l’honneur d’être prête vers les 20 heures, le Roi n’aime pas les retards..... !’
Danièla........_ ’ .Je voulais vous prévenir aussi que.... !’
Breitus........._ ’ .Cessez de me prévenir, allez vous habiller... !’
Danièla........_ ’ .En quoi voulez me voir.... !’
Breitus........._ ’ .Toute en naturel, seulement un masque.... ! Pour que je puisse vous reconnaître


Acte l. Scène lll.

Tous les nobles de la région sont invités à la fête. Le Comte Claudius de Caseneuve, Le Duc Jexillou de Sfaxville, Madame la Comtesse de Suzeraie en Lorgnes( parce qu’elle louche) Mademoiselle l’infante d’Espagne Vanillette de Sorbet, Charles l’enrhumé de la Villette, l’Archiduc Georges de Bellefoi, L’Abbè Simon de la Fortè-Maisons , le grand Chambellan d’Espagne Moumou des Narines ainsi que le grand Cardinal d’Italie, Monseigneur Divono de Kramaillon etc....

Il est 20 heures dans la grande salle des bals, quand le grand majordome....

’ .Messieurs, Mesdames, Damoiselles, et vous Ducs et Marquis ....Le Roi.... !’

Le roi Albert II fait une entrée très remarquée, il est habillé en jellabah couleur violette, il fait grande impression car nul ne connaît ce vêtement qui lui fut offert lors de sa visite en pays de Bérberie sous le règne du Calife Abraham II...... Il est masqué bien sur...
Il va s’asseoir au centre de la grande table. Les convives rentrent un à un à l’appel du grand majordome. Breitus est accompagné par Danièla. Juditia est toute en effervescence, son chevalier servant est le grand duc Boumada de Chakchouka, un vieux gaga, édenté, et sénile qui peine à entendre.Il porte un masque qui lui glisse sur le nez.
Un orchestre, installé au balcon, donne la mesure des premiers menuets.
Le roi va se placer au centre de la grande table ovale.
A sa droite, Juditia et Daniéla sont côte à côte. Breitus est à sa gauche.

Elle toise sa ‘concurrente’ d’un mauvais œil...Elle ne peut rester en place, sa jalousie l’étreint.

Jud/........._ ’ .Vous avez forcé sa main n’est ce pas... ?’
Dan/........_ ’ .Prochainement, il va me la demander... !’

Là aussi, elle ment rien que pour lui asséner des coups violents dans son cœur. Elle chuchote.

Jud/......._ ’ .Vous épouseriez donc, un traître... ?’
Dan/......_ ’ .Un traître Breitus... ?
’ .Le Roi, le sait.... !’
’ .Vous êtes donc l’inspiratrice de ce mensonge qui a mit mon Roi dans cet état tout à l’heure.... !
’ .Votre Breitus manigance contre le Roi, mes informateurs sont dignes d’intérêt.. !
’ .Vos informateurs que vous soudoyez pour qu’ils vous racontent ce que vous auriez aimé que cela soit ... !’
’ .J’ai entièrement confiance en eux... !’
’ .Oui, je vois, vous parlez du gueux Balibus, qui traîne dans les tavernes louches et qui vendrait son âme pour quelques pièces infectes sorties de vos corsets impurs.. !
’ .Oh.... ! Je ne puis tolérer vos remarques, jeune présomptueuse, restons en là.. !
’ .A D ieu ne plaise... !’

Breitus invite sa préférée à danser sous l’œil mortifère de la Juditia.

Le couple se place au centre de la piste de danse avec les autres convives. Les pas sont longs. Breitus est magnifique, Danièla est resplendissante, ils se croisent et se recroisent tout en dansant quand...

Dan\........._ ’ .Je porte quelques sentiments à votre égard, Chevalier.... !’
Brei\........_ ’ .Ne m’en voulez pas si je vous disais que j’en ai aussi... !’
’ .Pourquoi me les avez-vous cachés... ?’
’ .Je croyais que vous les aviez compris... !’
’ .Ah enfin, je respire... !
’ .Moi aussi, j’ai beau guerroyer mais je me sens mal habile à déclarer mes sentiments... !’
’ . Je ne fait pourtant pas de guerre et je trouve ma témérité presque insolente... !’
’ .Votre franchise renforce ma conviction... ! Je n’étais pas si sur de vos sentiments, les miens sont de même valeurs que les vôtres...... !
’ .Dois-je sous entendre que vous... ’
’ .Oui, je sous entends... !’
’ .Quoi.... ? Dites le moi sans détour... !’
’ .Vous d’abord, afin que je ne me trompe... !’
’ .Il n’est point galant à une demoiselle de le faire en premier.... !’
’ .Et si je faisais fausse route... !’   
’ .Vous.... ? Un chevalier, vous tromper.. ?’
’ .Bon... ! Allons y sur ce champ de bataille... ! Je vous aime... !’
’ .Ah .... ! Enfin, nous y sommes, allons sur le balconnet..... ! ‘
’ .Mais pourquoi donc... ?’
’ Sceller notre amour... !’
’ .M’embrasser... ?’
’ .Oui, j’en rêve et puis l’œil de l’intrigante nous surveille ici.... !’

Ils vont sur le grand balconnet...Et là..

’ .Serrez moi, dans vos bras... !
L’instant est propice
J’en rêvais sous mes draps
Boire à votre calice
Sentir vos lèvres de surcroît
Me rassurerai, Breitus..’

’ .Vous n’y allez pas par quarante chemins, seriez vous inconsciente... !
Votre fraîcheur et jeunesse me donnent un étrange tournis à présent...

’ L’amour me donne des ailes... !’

Elle se serre contre lui, et il l’embrasse comme il se doit...

’ Et vos maîtresses... ?’
’ Je n’en ai jamais eu.. !’
’ Et pourtant, on en parle.. !’
’ Juditia, fait courir ce bruit afin de lever le courroux de mes compagnons d’armes, mais ils doutent de ses paroles, le Roi a son oreille, mais je saurai la faire taire.. !’
’ .Méfiez vous, mon noble chevalier... ! Ce soir, je serai dans mes chambres, rejoignez moi.. !’
’ .Je préfère m’abstenir, de vous rencontrer en solo.. !’
’ Courageux sans doute mais pas téméraire... !’

Ils reviennent à leur place alors que le Roi danse avec Juditia...

Jud\............._ ’ .Je vous avais prévenu, ils complotent contre vous, sire.. !’
Le Roi\........._ ’ Ah, seriez vous assez aimable pour me laisser jouir de ces moments, loin de vos intrigues.. !’
’ Il a rencontré, l’écuyer de votre ennemi, Breitouno... !’
’ Quand et où.... ?’
’ En incognito au château de la Marquise, la maîtresse du Roi Olave II, il y deux soirs... !’
’ Je vais tirer cette affaire au clair, demain matin.. !’
’ Pourquoi donc pas ce soir, au vu et su de vos convives.. !’
’ Taisez vous, gâcheuse de fête... ! Demain, je convoque le conseil des sages, il jugera. !
Breitus, doit aller demain soir aux confins du royaume.. ! Il s’y passe des escarmouches. !’

A Suivre.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 19 septembre 2004 - 21h03:

Ma chére Sibyle, tu me remplis de joie et de fiertè mme quand tu envoie ne serait ce qu'un souffle de voeux. Merci.
LE PTB prend acte de tes souhaits et il se sont bien chaud toutes les fois que tu apparais ici.
Merci encore et le bonjour à LELOUP.
Bonne annèe ye okhti.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sibylle (Sibylle) le dimanche 19 septembre 2004 - 20h01:

chana tova au théâtre de sidi Albert mara koul ame, dans la bonne humeur et la joie

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 19 septembre 2004 - 14h00:

Ceci est un extrait d'une petite nouvelle...

Condensè..

Pétrov est hongrois protestant, il est amoureux d'une jeune fille musulmane turque issue d'une famille intégriste...Il l'a rencontrèe dans un RER....

Au cinquième matin…

‘…Lilia… ! Tu ne m’as pas donné ton numéro de téléphone… !’
‘…Pourquoi faire Pétrov…. ?’
‘…Pour que je puisse t ‘appeler le soir, bavarder quoi…. ?’
‘…Je peux te donner le numéro de l’accueil de la secrétaire, pas plus… !’
‘…De ta fac…. ?’
‘…Oui, elle me laissera les messages… !’
‘…Mais elle ne travaille pas le soir je pense et comment vais-je te parler …. ? Tu ne veux pas que j’appelle chez toi… ?’
‘…Que tu appelles chez moi…. ? Pour me dire quoi… ?’
‘…T’inviter à sortir, te distraire au restaurant, au ciné…. !’
‘…Tu me parles de quoi, là Pétrov…. ? Me distraire, m’inviter au ciné au resto ???? Mais nous ne sommes pas fiancés, ni mariés à ce que je crois… ? Que dois-je dire à mes parents… ?’
‘…Ben que tu as un ami qui te veux tu bien…. !’
‘…Pas chez nous, ce genre de chose, déjà le fait que je prenne un café avec un étranger, à l’insu de mes parents, me met dans une situation contraire à nos principes moraux…. ! Je ne sais même pas pourquoi je t’ai parle d’ailleurs… ! Bon, pour le café de ce matin, c’est raté…. ! Je vais m’en aller…. ! Salut…. !’
Pétrov, crut recevoir le ciel sur la tête. Plutôt la flèche de la grue que reçue son ami Igor et qui l’emporta par un jour de tempête. Il est Knock down, groggy, ses jambes flagellent, il sent son nœud de cravate l’étouffer, son costume s’étriquer bref il se sent mal à l’aise. Pétrov fait trois pas en arrière, comme le ferait un religieux juif ,une fois sa conversation /prière avec DIEU terminée ; une ‘amida’, comme pour mieux prendre son élan et la rattraper mais en vain, Lilia n’est plus là, emportée par son métro. Comme est emporté par son trouble le Pétrov. Il faillit s’évanouir mais la rampe était là pour le retenir. Une aubaine.

Il retourne sur ses pas mais au lieu de prendre son métro qui le mènerait vers son gagne pain, il préfère retourner chez lui. Un soudain mal de tête le prend par traîtrise. Sa respiration se transforme en râle. Il se trompe de direction, ses yeux sont perturbés, ses pensées aussi. Il reprend la bonne direction. Lilia lui a cassé le moral à 6 heures 32, ce matin. Il ne compte pas le réparer sur l’heure ; le moral n’étant une pièce de rechange de voiture, c’est pas de la mécanique le moral et puis où doit il trouver un réparateur de moral, pour le souder, son moral brisé.. ? Il n’y a pas de service après vente comme chez Darty ; une fois que ce dernier est mal en point. En tout cas, il peut déjà marcher, c’est un bien pour lui ; pour son moral, il verra ça plus tard.

Pour l’instant, il est malade. Drôle de maladie que l’amour qui vous transperce le moral. Il est amoureux et l’ignore. Il va l’apprendre à son âge. D’ailleurs il n’y a pas d’age pour cela.
Tout le monde le dit. Pour l’instant Lilia ne se doute pas que Pétrov est malade.

Pour la première fois de sa carrière, Pétrov, vient de faire ‘le travail buissonnier’ Et pour cause, il a une excuse, sa maladie du moral. Sans ordonnance. Pas remboursée. Aucun organisme sérieux de ce pays ne reconnaît cet état de rupture, cette fracture de la cervelle. S’ il devait aussi rembourser ce genre de léthargie, tous y fermeraient portes.
Une cassure de moral ne ressemble pas une cassure de couilles. La première est moral,
tandis que la seconde est physique ; la première est difficile à oublier, la seconde est un handicap passager. C’est dans la morale des choses.

C’est pathétique. Comme une déception peut vous faire rater une journée de labeur.

Il rentre chez lui et là soudain, il a une réflexion…

‘…Je suis amoureux Igor…. !’ Dit il à son ami défunt.

Igor entend mais ne répond pas, il ne le peut. Il ne peut même pas lui souffler un conseil du genre..

‘…Laisse tomber, c’est une conne… ! ‘Rien pas même un regard compatissant envers son Pétrov vivant qui souffre et du moral et du cœur.

Pour mieux apitoyer son ami Igor, Pétrov allume une cierge, dés fois qu’il lui envoie un message chrono poste, il faut toujours s’attendre à des miracles lorsque on souffre de désespoir.

A suivre...

C'est la plus longue nouvelle en roman que j'écris en cette heure..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 18 septembre 2004 - 21h52:

Paris le 16/09/2004

Passe le 18/09/2004.

La lune est tombée…

La lune est tombée
Intacte.
Sur un près vert sur la terre
L’enfant l’a ramassée
Comme une pièce d’argent
Pour la reluire.

Il s’est mit à astiquer, aussi,
Ses rayons pales
Pour les faire briller…

Mais en vain…

Elle lui a sourit.

Il la posèe à ses côtés.
Ils se sont endormis.
Puis, sans le déranger
La lune est remontée
Là haut, tout haut
En lui faisant un signe de la main.
Mais l’enfant dormait, comme un ange au ciel.
En serrant son oreiller ; il l’a rêvée.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 18 septembre 2004 - 21h44:

1, YOUYOU

Pour la nouvelle annèe ma fille VALERIE YOUYOUTE ...ECOUTEZ LA.....MERCI...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 18 septembre 2004 - 21h29:

Chavouat tov..

Mes deux black...

'...Black prend un C...devant le K...!'

Moi...

'...C'est SENSE...DANS CE CAS...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 septembre 2004 - 22h21:

LE SHOFFAR ET LES MASQUES

AU THEATRE CE SOIR.
Par Albert Simèoni.Abraham.
Pièce en 1 Acte 5 Scènes.

Le 6/06/2004

L’intrigante..


Dans les principaux rôles...

Le Roi Albert II.........Albert.
Breitus.. .............Breitou.
Belebou .... .. .......L’écuyer de Breitus.
Breitouno..... ... ......Le conseiller du Roi Olav II de Belgique.
Dany... ....... ..... .Daniela de Haute-brune, princesse protégée du Roi.
L’intrigante ..........La duchesse Juditia de Stantford, veuve du frère du Roi, sans enfant.
Jean.... ....... ...Le gardien des caves du Roi.

Acte l. Scène ll.

Le Roi regagne sa chambre. Danièla est dans le jardin. Elle parcourt les allées du grand domaine lorsqu’ elle tombe nez à nez avec Juditia...

Dan/ ‘...Vous me paraissez bien heureuse, chère Duchesse... ?
Jud/ ‘...Le temps s’y prête et surtout que mes soucis commencent à se dissiper... !
’ Vos soucis... ? Vous en avez.... ?’
’ Qui n’en a pas, ici, je les gère un à un sans importuner ma conscience... !’
’ Vos soucis sont dans votre conscience.. ? Tiens et votre conscience, indépendamment de supporter vos soucis, ne vous souffle t’elle pas que votre honneur est en jeu... ?’
’ Mon honneur... ? Mais qu’insinuez vous donc.. ?’
’ Rien qui ne vous trouble.... ? J’ai vu le Roi, ce matin, et il est perturbé... !’
’ Sa fonction sans doute et les rumeurs de guerre ne sont pas faites pour le rassurer... !
’ Disons plutôt que certaines manigances se jouent à son insu et bien plus des racontars qui sont la cause de son trouble... ! Notre roi s’est toujours sorti d’affaire dans les guerres, jusqu’à preuve du contraire... !
’ Il me doit ses victoires, par mes conseils.. !
’ Il est vrai que sans vous le royaume serait en péril.... ?
’ Vous me semblez surprise.... !’
’ Non..... ! Rien qui ne me surprenne venant de votre part.... !’

Juditia essaye de déstabiliser Daniéla..

’ Jud/....... .Il me vient, une idée, puisque vous m’en parler, que l’honorable Breitus, chevauche dans certains couloirs, quelques pouliches en secret.... !’
’ Dan/......_ ’ Vous mentez.... ! Il est digne de respect et ma couche lui sera réservée, il ne se peut qu’il aille forniquer ailleurs... !’
’ Les rumeurs sont parfois tenaces et j’ai les confidences de certains marquis qui se réjouissent presque d’être cocus... ! Je vous l’avoue, ils y trouvent leur compte.... ! Ils sont si fatigués... !
’ Je ne crois pas un mot de ce que vous dites.. !’
’ Parlez en à son écuyer... ! Belebou... ! Son pourvoyeur de femmes nobles... !’
’ Belebou est honnête homme et cela ne vous porte pas à l’accuse de la sorte... !’

Daniela coupe court à la conversation.

’ Je dois m’en aller, je suis invité au bal que donne ce soir le Roi...... !
’ Mais j’y suis aussi, et je crois que vous allez me supporter, le chevalier Breitus sera à mon bras... !’
’ Il n’en sera rien... !’

Juditia, ment. Rien que pour jalouser Daniéla.
Danièla est hors d’elle. Et elle va de ce pas à la rencontre de Breitus.
Nous sommes dans une autre aile du Château dite La Salle Des Chevaliers.
Breitus est devant une fenêtre, à contempler le paysage.
Juditia, rentre.

’ Ah vous êtes donc là... !’
’ Vous m’auriez voulu où... ! Ma chère Duchesse... ?’
’ Je ne puis contenir mon ire... !
’ Vous l’êtes tout le temps, et rares sont les moments où vous me paraissez bien calme.. !’
’ Ce soir, il y a bal, le saviez vous.... ?’
’ Oui, et ma cavalière est déjà réservée... !’
’ Mais qui donc sera votre ‘pouliche’ ce soir... ?’
’ Vous avez un drôle de langage.... ! La ‘pouliche’ est une jeune fille noble.. !’
’ Dois je comprendre que je ne le suis pas... ?
’ Vous traiter les dames de ‘pouliches’ sans égard pour leur rang... !’
’ Vous prétendez être chevalier mais en vérité vous n’êtes qu’un... !
’ Oui, dites le et finissez en... !’
’ Un ... ! Un.... !

A ce moment, rentre Daniela....

’ .Un coureur de jupon de femmes nobles... !’

Lui.....’ .Quelle marque d’estime que vous me faites là, Princesse... ! C’est un grand honneur pour moi de vous l’entendre dire..... !’

Danièla......._ ’ Un grand honneur que de vous accusez de ....’
Juditia.........’ ...De voler la vertu des femmes .... ! Innocentes... !’
Breitus.........’ ...Je vois que vous vous entendez bien, mais que me vaut en résumé vos interventions en ma présence.... !’
Juditia......’.....Servez moi de Chevalier servant ce soir... !’
Breitus........’ .Mon choix est déjà fait, vous le saurez ce soir, au grand bal...Masqué... !’
Danièla.......’ .Pourquoi tant de cachotteries, dites le lui, en ma présence.... ! Dites que c’est moi... !
Breitus........’ .Dois-je livrez bataille aussi contre vous deux ..... ?
Juditia........’ .Vous n’êtes...... ! Qu’un... !’
Daniéla......’ .Vous serez à mes côtés, n’est ce pas... ?
Juditia.......’ .Vous..... !’
Breitus.......’ ..Je suis quoi... ! Chère Duchesse.... ?’

Elle le regarde méchamment et sort du salon, laissant le couple en solo...

Breitus.........’ ....Vous me semblez sur de vous.... ?’
Danièla........_ ’ ..Je me sens plutôt si lasse.... !’
Breitus........._ ’ ..Bien dommage, quand on est si belle et si charmante... !’
Danièla........_ ’ ..Sans grande chance ni fortune... !’
Breitus........_ ’ ...Qui vous souffle donc ces désagréments... !’
Danièla......._ ’ ...Mon intuition... !’
Breitus........_ ’ ...Disons alors qu’elle se trompe.... !
Daniéla......._ ’ ..Je suis si prude, que je n’ose dire ce.... !’
Breitus........_ ’ ..Dans quelques jours, je dois aller contrôler les frontières du Nord, on me signale quelques escarmouches du coté du Canal de la Goletière, à mille lieux d’ici... !’
Danièla......._ ’ .Vous partez, mais le Roi ne m’en a soufflé mot.... ?’
Breitus........_ ’ .Le Roi ne peut se confier sur des choses qui ne concerne femme... !’
Danièla......._ ’ ..Je voudrais tant vous dire.... !’
Breitus........_ ’ .Il se fait tard, je dois m’accoutrez pour le grand bal... !’
Danièla......._ ’ .Qui sera votre dame ou demoiselle d’honneur.. ?
Breitus........_ ’ .J’hésite entre vous et Juditia, ou alors La princesse Carole... !’
Danièla......._ ’ .Moi..... ! Vous n’avez pas le choix.... !’
Breitus........_ ’ .Et bien se sera vous... !
Danièla......._ ’ .Oh.... ! Mais je disais ça comme ça... !’
Breitus........_ ’ .Vous me ferez l’honneur d’être prête vers les 20 heures, le Roi n’aime pas les retards..... !’
Danièla........_ ’ .Je voulais vous prévenir aussi que.... !’
Breitus........._ ’ .Cessez de me prévenir, allez vous habiller... !’
Danièla........_ ’ .En quoi voulez me voir.... !’
Breitus........._ ’ .Toute en naturel, seulement un masque.... ! Pour que je puisse vous reconnaître...’

A suivre..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 septembre 2004 - 20h43:

CHANSON…..Loin de la musique..
Paris le 18/08/2004


Loin de la musique..

‘…Loin de la musique , j’ai vécuUUUUU……
Loin des chansonnettes et menueEEEEts..ETTTTTTSS..§§§§§§
Sorties de boites à musique suspendues
Comme des clochettes au dessus
De mon berceau que j’ n’avais paAAAAAAAAs. MMMMMMM…§§§§§§

J’ n’avais en tout et pour tout OUUUUUUUUUUUUUUUUUUU…§§§§§§§§ooouuuuu
Que la voix d’ ma méméEEEE…§§§§§§§§§
Qui me berçait avec des airs rassis, fatiguée….

Des heures et des heures, assisSSSSSe…§§§§§§§§§§§§
J’étais rassasies, par ces refrains répètes
DémodéEEEs ……EEEEEEEEEs mais que j’appréciais…§§§§§§…
Car elle n’en connaissait pas d’autres de branchéEEEEEEEs..§§§…..

J’ai pas dormi sur d’la soie..§§§§…..NONNNN…..
Ni coton ni ouate
Ni ouate ni cotonOOOOOONNNN…§§§§§§§.
J’étais juste enveloppe par un mètre de carré de tissu blanc
Et je dormaiIIIIIs entre maman et papa.
Entre papa et mamaAAAAAAn..§§§§

Souvent je basculais ma tête sur elle ou sur lui.
Que voulez vous quand on vit serré c’est presque de la promiscuité.
Et l’on s’en accommodaiIIIIIt…§§§§§§§§§§

Mes oreilleEEEEEEErs n’étaient pas cousus de fil d’or, pas même d’argent,
Rien que du simple fil pauUUUUvre qui servait à la vieille maman
Pour repriser nos culottes…..//////. mille et une fois rapièEEEEces,
Et encore là, elles s’en servaient une fois élimés
Pour en faire des chiffons…/////. à nettoyer nos meubles usés.

MeEEEs oreilleEEEErs…§§§§….Aujourd’hui ont bien change.
Ils ne sentent pas la lavande, ni le muguet
Mais le bon aiIIIr frais. Le bonheur frais….§§§…..

Temps qui passe, et tout change.
Le présent à vire au rose bonbon
Et l’heure à tourné dans le bon sens.
C’était pas gagné d’avance..§§§§§…
D ieu MERCIIIIII….MERCI…..§§§§§§§§….GRAND D IEUUUUUUU…§§§§…..
MMMMMMMMMMMMMMMMMmmmmmmmmmmmmmmm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 septembre 2004 - 20h35:

Breitou chantera pour eux...TRES BIENTOT...

'...La nature est bien conciliante
Juste, généreuse pleine de bon sens.
Charmante attrayante sans soupçon
Je la tiens coupable cependant
De ‘dénaturer’ certains enfants...!


A SUIVRE...