Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 21h14: |
LA SUITE DE LA SCENE DANS QQ INSTANTS...
RESTEZ A L ECOUTE MERCI....
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 21h02: |
Quelques jours plus tard, alors que le Roi donne ses directives dans la grand salon...
Il reçoit de la part de son premier valet la mauvaise nouvelle ...
Breitus est tombée dans une embuscade et on ne sait pas où il est. Certains de ses compagnons prétendent qu’il est mort.
Le Roi va annoncer la nouvelle à Danièla.
FIN DE LA 4 IEME SCENE...
Acte I. Scène V.
Elle est près de lui.
En présence de Juditia.
‘...Ma chère fille, je ne sais comment vous l’annoncer... !’
‘...Sire, mon âge me permet de tout entendre et de tout supporter... !’
‘...Il s’agit de Breitus... !’
‘...Breitus, mon fiancé... Que lui est il arrivé.....?’
Juditia......‘...Votre fiancé ou votre traître... !’
Le Roi......’...Taisez vous, le moment n’est pas adéquat, et vous parler sans preuve.... !’
Daniela....’...Vous n’êtes qu’une intrigante... !’
Juditia.....’...Votre amoureux est mort au combat.. !’
Danièla....’...Breitus... ? Mort... ?
Le Roi... .’...Nous cherchons après lui, il n’est pas sur qu’il soit mort, il est porté disparu... !’
Danièla se sent mal et demande à s’asseoir...Le Roi appelle son chambellan....
‘.....Apportez à ma fille, un breuvage... !’
Deux valets lui apportent quelques remontants.
Elle ouvre les yeux...
‘...Soyez calme, il n’est pas sur qu’il nous soit perdu à tout jamais... ! Gardons l’espoir... !’
D’une voix faible....
‘...Sire, je ne peux survivre à cette fatalité, il est en moi et je suis en lui... !’
‘...Chut ne dites rien, reposez vous, à l’aube, je vais envoyer mes meilleurs hommes.... !’
Effectivement, le Roi envoi une quinzaine de ses meilleurs soldats.
Pendant ce temps, Danièla passe son temps dans la petite chapelle du Château. Elle prie pendant de longues heures.
Juditia jouit en secret de la perte de Breitus, de celui qui l’a méprisée.
Les chevaliers du Roi, après une quinzaine de jours d’absence rentrent bredouille. Ils n’ont apporté qu’avec eux son bouclier. Ils viennent annoncer au Roi leur échec..
‘...Sire, toute la région fut ratissée et rien qui ne puisse nous indiquer que sire Breitus est mort ou vivant. L’ennemi n’en parle pas et nos messagers nous rapportent que son corps n’a point été trouvé.... !’
‘...Espérons seulement qu’il soit en vie... Quelque part... !’
‘....Je veux son bouclier, afin de me consoler de sa perte s’il y a perte... ! Je vais de ce pas faire ce qu’il se doit.... !’
Elle quitte le Roi et parle avec sa confidente.
‘....Clotilde... ! Préparez mes affaire, j’ai promis à Breitus de rejoindre les sœurs de la Charité, le couvent s’il mourrait... !’
‘....Mais Mademoiselle, rien ne prouve que cela soit ainsi.. !’
‘....J’ai perdu tout espoir et ne puis attendre un jour de plus... !’
Danièla est résolue a rentrer au couvent. Elle prend contact avec la mère supérieure du couvent qui la met en garde sur sa décision...
‘....Vous ne pourrez plus renoncer à vos vœux ma chère fille, et si j’étais vous, je patienterai un peu plus. .. !’
‘....Je suis prête à accomplir mes vœux, et personne ne m’en empêchera... !’
‘....Votre noviciat prendra effet dés l’instant où vous le jugerez utile.... ! Prenez le temps, ma fille.. ! Rien ne presse cependant.. !’
‘....Je reviendrai la semaine prochaine avec mes bagages.. !’
‘....Nous vous attendons... ! Je prierai pour son retour...’ !
En chemin…
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 20h19: |
L INTRIGANTE ....V....TOUT A L HEURE....
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 19h27: |
Merci Suzy pour la traduction...loll
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 19h26: |
L’amore se ne va
Come il sole che cade da lontano
Dietro le montagne
Come l’ astro d’argento che finisce
La sua corsa all’ aurora davanti
Al giorno che nasce
L’ amore se ne va come dei petali di fiore
Quando il vento soffia per disperderli
Il mio amore e in coma da quando
La mia ragazza, dopo un colpo di
Testa ( testa di mingia) se ne andata trasportata dalla collera
Amore mio , la mia vita , non ha motivo
Di esistere senza di te.
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 17h07: |
http://www.sarah.co.il/projects/love.swf
De la part de SUGGEST...
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 15h05: |
Vers libres…
Paris le 21/09/2004.
Mon décor..
J’ai retenu bien des choses.
Mais pas tout appris.
On s’instruit tous les jours
Sauf la nuit.
Mon orthographe s’en ressent
Elle ne m’en parle pas
Et je la comprends.
Je ne suis pas né dans la grande ville.
Je me serai perdu.
Dans un village de cloche merle
Oui, j’ai vécu.
Un endroit coincé entre deux eaux.
Une mer salée et une ‘sébkha’ pourrie *lac.
Entre deux canaux parallèles
Dont l’un est bouché aujourd’hui.
Un pays de gais lurons,
où les gens bien mignons
passaient le temps
à astiquer leurs lumignons.
C’est vrai, ça ne sentait pas toujours le jasmin.
Souvent les égouts que vidangeaient
Nos éboueurs.
Des égouts.. ??
Et pourtant j’ai gardé le goût des belles choses
que j’ai appris là bas en bonne compagnie.
De simples choses qui vivaient dans mes rues.
Mon enfance a piétiné des ruelles
des impasses, terrains vagues
pas de grands boulevards.
Mon pauvre décor, installé sur la scène
De mes souvenirs, combien je l’adore.
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 14h43: |
Vers libres.
Paris 21/09/2004.
Jolis coquelicots Mesdames..
Perdues dans les ronces, et les buissons sauvages
Les couleuvres se prélassent.
Jeux d’enfant.
On les tient par le bout de la queue
pour les embouteiller.
C’était amusant de les regarder
se trémousser dans cette orgie remuante
à travers le verre fumé.
La seule chose que l’on n’a pas su faire
c’était de tirer le diable par la queue.
Sans doute que nos bouteilles n’étaient
pas assez grandes pour l’encastrer ; le castrer.
Nous aurions tant voulu le cloîtrer
Satan qui vit parmi nous,
dans une grosse bombonne d’acier
pour débarrasser la terre du démon.
Ce malin.
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 14h25: |
Vers libres..
Paris le 21/09/2004.
Désolé terre
Si l’on brûle en toutes saisons
Tes racines.. !
Désolé mer
Si l’homme sourd pollue par des marrés sales
Tes entrailles bleues… !
Désolé ciel
Si les fumées font éternuer tes giboulées.
Désolé forets,
Victimes du feu,
Si l’incendie embrasent tes pinèdes
Qui ‘des chênes’ aussi, la fureur de l’homme.
Désolé D ieu
Pour les guerres.
Ma parole est silence.
Je suis dans mon élément.
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 13h33: |
Vers libres
Paris le 21/09/2004
Bédouine.
Dans la pénombre secrète
un reflet de corps nu, chaud de femme
dans la glace froide, d’une nuit d’été.
L’ombre fine, pleine de vie
se déhanche sous l’air du MALOUF
à travers les jalousies.
Musique andalouse, langoureuse
dans le ventre de la bédouine,
qui accouche en silence
sa danse orientale.
Par Albert (Albert) le mardi 21 septembre 2004 - 13h12: |
Vers libres.
Paris le 21/09/2004.
Le soir….
Dans les alpages , l’odeur
De peau de mouton.
En guenilles,
L’habit du berger précède
Le troupeau repu de pâturage.
Le gué dort ; la cloche du village
sommeille.
Paisible silence dans la plaine
Déchiré par les sons des grelots
Pendus au cou des brebis.
L’âtre est chaude.
La lune semble vaciller
sous le manteau de maître Brouillard.
Là haut, hurle à la mort le loup.
Par Albert (Albert) le lundi 20 septembre 2004 - 22h14: |
IL Y A BAL MASQUE....
Acte I. Scène IV.
Le bal masqué est terminé.
Breitus regagne ses appartements.
Il s’apprête à regagner son lit quand, on frappe à la porte. Il ouvre...C’est Juditia.
‘....Vous... ? A cette heure là... ?’
‘....Votre mépris à mon égard frise la haine.. !’
‘....La haine.... ? Madame... ! Mais ce mot dans votre bouche ne fait référence qu’à votre personne... !’
‘...Laissez moi rentrer, des yeux espions pourraient nous surprendre... !’
‘....Votre présence ici est mal venue... !’
‘....Je vous aime, Breitus.... ! Etes vous si aveugle.. !’
‘....Mon cœur est déjà pris... ! Madame la Duchesse Juditia.. !’
‘....Par une péronnelle qui vous charme avec gestes et manies de jouvencelle.. !’
Elle s’avance vers lui et essaye de le serrer dans ses bras...A ce moment là, la porte qui n’était pas fermée s’ouvre pour laisser apparaître Danièla qui surprend son amoureux dans les bras de son ennemie....Elle est sidérée par le spectacle....Et s’enfuit.....Toute en pleurs....Vers la chambre du Roi....Elle frappe à sa porte et le valet tout surpris...
‘...Mais que vous arrive t’il mademoiselle Daniela...,’