Par Albert (Albert) le mercredi 13 octobre 2004 - 21h13: |
Albert Siméoni
Roman.
Paris le 30/09/2004.
Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune nouvelle connue.
LA LETTRE II.
Résumé de la première partie.
Salomé est une jeune fille de 28 ans, célibataire, dont le seul défaut est sa laideur. Elle est secrétaire de direction dans une grosse entreprise. Et cela grâce à l’intervention de son professeur principal d’internat , Mr Hébrar qui la prend en sympathie. Ses parents sont indifférents envers elle. Sa seule compagne à partager son appartement est une chatte abandonnée qu’elle avait recueillie. Elle la prénomme Huguette en souvenir de sa tante, suicidée. Un jour, elle reçoit une missive…
rouge{ ‘….Ma chère Salomé,
Je vous prie d’excuser l’inconnu qui rentre ainsi par une fente de boite aux lettres sans t’avertir. Cela fait déjà un longtemps que je vous observe de loin, en secret, et je désire ardemment vous rencontrer. Je nourris envers vous un sentiment pur qui me surprend et dont je n’ose affirmer en toute sincérité la teneur en la matière. Je n’ose aussi par pudeur à votre égard, m’aventurer à écrire des paroles qui peuvent porter mon enthousiasme au débordement et t’induire en erreur.
Je suis comme vous si seul et j’ai tant besoin de mots tendres.
Je vous prie de m’excuser de vous avoir importuner… !’}
Aucune signature ni adresse ne suis.
Salomé se remet à relire plusieurs fois la lettre et pense tout de suite à une de ces farces entre collègues de bureau. Elle place la missive dans un tiroir qu’elle enferme à clef. Puis comme elle le fait tous les soirs, elle ouvre la télé, se sert à dîner, prend son dessert, allume sa cigarette et va croquer sa barre de chocolat sous les couvertures de son lit sans prêter plus d’attention à la lettre.
Salomé deux jours plus tard, reçoit une seconde missive, elle reconnaît l’enveloppe de la première lettre. Elle en déduit que son inconnu lui a encore une fois écrit. Elle prend l’ascenseur et sans ôter son manteau, décachette ce second courrier….
‘…Salomé,
Me permettriez vous que je vous appelle ‘ Ma chérie…’ Un mot que je n’ai jamais dis auparavant car cela renforce ma conviction, mon sentiment à votre égard. Sans vouloir tomber dans le familier, ni le vulgaire, je me demande si je ne suis pas amoureux de vous.
Ce silence m’obsède, me tue et ne fais qu’augmenter mon désarroi.
Sans rien échanger comme paroles verbales, j’ai l’impression de vous côtoyer depuis bien longtemps et d’entendre votre si belle et douce voix.
Mon cœur bat pour vous.
Au revoir…
Salomé est saisie cette fois ci par les paroles d’un inconnu qui tarde à se dévoiler. Elle pense que ce prétendant ne veut pas brusquer les choses, tout en se donnant le temps, d’apprécier le moment venu et voulu par lui, une proche rencontre.
Elle se déshabille, monte au lit, se met à relire cette seconde lettre, trois au quatre fois. Elle se lève en combinaison pour répondre à ce monsieur mais, se rend compte qu’il n’y a toujours pas son adresse ni ses coordonnés …Alors à qui écrire se dit elle… ? . Elle place la missive sous son oreiller et clique sur sa télécommande. Elle semble heureuse que l’on s’intéresse à elle.
Elle oublie de dîner par l’émotion qui s’imprime sur son affreux visage. Cependant, elle ne veut en aucun cas rater son feuilleton. Elle s’endort après sa page de programme.
Au sixième jour, et toujours dans sa boite aux lettres…
‘…Ma tendre chérie,
Cela fait une semaine que je vous écris. Je suis sur à présent des sentiments qui font battre mon cœur. Je vous le déclare, bien que mes yeux soient loin de vous ; je vous aime. Je n’ose trop y croire. Je compte à présent les jours qui me séparent de vous et je me plais à les cocher par mon feutre noir sur mon agenda , qui commence à ressembler à un cimetière de croix où ils sont ensevelis . Je vous abjure d’être patiente et j’ai hâte de vous embrasser…de partout… !
Mon amour, pensez à moi… !’
Salomé, à la lecture de cette nouvelle missive, se met à sangloter chaudement. Un homme ose l’embrasser malgré son visage répugnant, lui avouer l’embrasser de partout. Elle commence à croire à son homme charmant qu’elle imagine grand et beau aux yeux bleus avec une chevelure lisse dans laquelle elle ferait passer ses doigts. Elle pense à ce qu’il lui ferai si elle était au lit avec lui et là, elle ferme les yeux et commence à fantasmer sous son drap. Elle imagine son amoureux jouer avec son corps en chaleur. Elle se caresse tant les parties intimes de son beau corps, qu’elle libère sa jouissance dans un grand râle.
Satisfaite et assouvie, elle s’endort comme une enfant heureuse d’avoir enfin eut ce qu’elle désirait.
Moins de trois jours après la réception de sa troisième lettre, elle en reçoit une quatrième…
A suivre…
Par Albert (Albert) le mercredi 13 octobre 2004 - 20h25: |
LE PTB VOUS SALUT BIEN...
LA LETTRE....II...
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 13 octobre 2004 - 17h50: |
hsbiba,elle a ete consumee par son amour.
Par Albert (Albert) le mercredi 13 octobre 2004 - 07h40: |
Maxiton,
Je n'avais pas compris l'allusion, oui je connais
la façon dont elle est morte la malheureuse par son amoureux qui l'a brulèe par depit et jalousie..Ok, j'ai fais un jeu de mot sans m'en rendre compte...lol..
Par Albert (Albert) le mardi 12 octobre 2004 - 20h34: |
MAXITON...VOILA JUSTE UN MORCEAU DE LA PIECE...
‘….YANDEK BAHRIYA…. ! YE RAIS… !’
Pièce en 1 acte.
La scène s’ouvre sur un tableau de mer calme en arrière fond, et un ciel sombre, au loin bien chargé. L’actrice est debout sur la poupe d’une grande barque dessinée; elle tient une corde attachée à une vraie voile. Des marins pêcheurs sont assis, mimant des rameurs. Ils rament . Son compagnon Hassan et lui aussi debout mais à la proue. Un fond sonore de vagues rageuses parvient aux oreilles des spectateurs.
L’orchestre est composé de violons, de houd ,violoncelles, darbouka, kanoun et flûtes en roseaux.
Habiba est habillée en tenue de marin, les cheveux courts couleur brun.
Elle commence….Il y a un grand silence dans la salle.
Le premier couplet est le début de cette vieille chanson.
Le reste ma maman ne se le rappelle plus, j’ai donc imaginé la suite des paroles en suivant une idée personnelle tout en respectant le sujet. Habibe Mchikè chantait en bédouin ( très gutturale, montagnard, que je ne connais pas.) qui est loin de ressembler au judèo - arabe. Donc chanté dans cette langue pour la circonstance, ce qui n’enlève rien au chant.
De sa voix chaude, elle commence le premier couplet suivit par son compagnon à la bonne voix.
On entend le vent qui souffle……….
WooOOOOOO….WOOOOO……WFFFOOOOOOoooo……..fort…….
1°....Aân’dèqQQQQ..§§§§§….. Bah’riya ye Raïs
Bel j’noudDDDD…§§§§§§…. Na wiyè..Yè RaïIIIIIs……§§§§§§§
Mechi fél tniyè bel niyè..! Yè RaïIIIIIs…§§§§…..
Meghir khouf mél maw’jè el ghaAAAAAAAAAA’daAAAAAA….RRRRRra…!’
Hassan…( BENNAN ) compagnon reprend en la regardant dans les yeux, il lui donne la réplique..
2°‘…Hénnè..HENNNE….HENNEEEE…..EL rais mta el bahriya
Elli mél fzour él sbé’hHHHHHH nha’dar flouq’ti
NâârI ..YE NAARIIIIIII……..§§§§§ …..Béch yeb’qa saïb, ou sa’hab’ti èl maw’jè
El gha’daAAAAAAAA….AAAAAAAAAAAA’ra….Tess’tèna fiIIIYEEEE…….…§§§§§§…...
Elle…..
3°Enti ……. ! Elli thaAAAA’dar AH AH AH AHHHHH…….el chbé’yèq…..ELLLLLLL…….CHBE’YEQQQQQ…….Qol nââr ou nââr mya’wèn bzé’mè’lèEEEEEEE……..EEEEE….’tèq el bah’riya .. …§§§§…Bech dgou OUUUUUUUU….OUDDDDDDD……mé’bin chmè ouel bhar…… tqa’lèb kobz’tèq…..El houOUUUUUUUUt….OUOU OUUUUUT…. El ghe’ lli elli béch i nââ’mèq enti ou yââl’tèk ….§§§§§§……
Par Albert (Albert) le mardi 12 octobre 2004 - 20h21: |
Albert Siméoni
Roman.
Paris le 30/09/2004.
Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune nouvelle connue.
LA LETTRE.
Mlle Salomé passe sa vie entre son boulot de première secrétaire de direction et son appartement bien douillet. Aucun flirt n’est venu perturbe sa routine et cela en 30 ans de vie. Elle a le sentiment de passer inaperçu devant les hommes; invisible surtout.
Sa laideur y est pour quelque chose.
Au lycée déjà, les jeunes de son âge rechignaient à lui adresser la parole et semblaient fuir sa présence ; son visage ingrat, vraiment laid, des boutons de partout y contribuaient. Elle en déduit à l’approche de son adolescence que sa face ‘hideuse’ ne connaîtrait ni caresses ni câlins, encore moins de flirts ou des mots doux ; comme ceux qui s’échangent entre jeunes éphèbes.
Son répertoire confidence, intimité et tendresse n’existe pas chez elle, bien que très intelligente et surtout pleine de gentillesse.
Pourtant elle a un très joli corps mais cela ne suffit pas aux regards des autres ; aux yeux des inconnus qui fuient le sien.
Dans la solitude de son appartement, le soir, elle s’imagine sortir avec des hommes charmants, beaux mais hélas tous ces rêves s’évanouissent au petit matin à l’heure du petit déjeuner bien avant de prendre le métro et de regagner son travail.
Sa seule compagne est une brave chatte égarée juste en bas de son appartement, qu’elle adopte et baptise , par un soir de pleine lune du prénom de Huguette.
Huguette c’était aussi le prénom d’une de ses tantes défuntes qui l’aimait beaucoup alors Salomé pour montrer sa gratitude envers cette première l’a baptise ainsi. Huguette tante, n’était pas morte de vieillesse mais de désespoir, elle s’est suicidée à 45 ans..
Salomé souffre aussi de l’indifférence que lui porte ses parents dans sa petite enfance. Des parents très riches qui souffraient idem de la laideur de leur fille. Pour ne pas voir, ce qu’ils ‘appelaient une erreur de la nature’, selon l’expression consacrée d’Hugo, les Charbonnet placent la jeune fille dans un collège et c’est ainsi que, dés son jeune âge Salomé manque de chaleur et d’affection.
Plus tard, ses parents, toujours avec le même souci d’éviter leur vilain canard noir, l’inscrivent dans un internat afin qu’elle puisse terminer ses études de gestion.
Au fil des absences parentales indifférents à son égard, elle garde un vague souvenir d’eux au point qu’elle en oubli l’existence.
Son professeur principal Mr. Hébrar, la prend en sympathie et apprécie le travail sérieux plus la vivacité d’esprit à maîtriser toute les matières de cette jeune fille, dont les résultats sont excellents mais devant le peu d’intérêt que portent ses géniteurs envers elle, il lui propose dés la fin de son année, une fois son diplôme obtenu, un poste bien rémunéré, à 20 ans ; première secrétaire chez son frère , grand patron d’une marque de téléphonie. Avec en prime, un appartement loué et payé par la maison mère dans un excellent HLM.
Voilà qu’un jour, elle trouve à son grand étonnement une lettre d’amour qui commence par…..
A suivre…
Par Albert (Albert) le mardi 12 octobre 2004 - 14h13: |
Ce soir début de la '..LA LETTRE...'
Par Albert (Albert) le lundi 11 octobre 2004 - 21h49: |
SUITE ET FIN...COMMA PAR ASPHIXIE..
Albert Simèoni
Paris le 2003.
Récit policier.
Imaginaire.
Les faits racontés ici ne se rapportent aucun évènement passe et ne peuvent constituer un plagiat de quelque œuvre qui soit. .
COMA PAR ASPHYXIE. III
Résumé du chapitre précèdent.
L’inspecteur Boulakia et son collègue Gilbert sont sur une affaire de meurtre.
Hélène et son ami Manu vivent en concubinage dans un studio. Ils sont harcelés par une ancienne relation du jeune homme, Mounia qui le menace de le tuer. Mounia rend visite à Hélène. Un esclandre s’en suit. Une demi-heure plus tard, la concierge fait intervenir les secours car une forte odeur de gaz se fait sentir sur le palier. Les pompiers découvrent Hélène inerte. Elle tombe dans le coma. L’inspecteur interroge un vieux monsieur handicapé puis l’ami d’Hélène, Manu….Il se rend plus tard chez Hélène sortit de son coma….
Une semaine plus tard, le Boulalik se rend au chevet de Mademoiselle Hélène.
'…Bonjour Mademoiselle, alors ça va mieux…?'
'…Oui, Inspecteur…!'
Dit-elle d'une voix mal assurée….
'….Avez vous quelque chose à me raconter de spécial…?'
'…Non…! Inspecteur, je ne sais vraiment pas ce qui s'est passe…!'
'…Personne n'est passe vous voir ce matin là….?'
'…Non…! Inspecteur personne…!'
Hélène ne veut pas dévoiler la visite de Mounia.
'…Je crois que si, et on a essaye d 'attenter à votre vie…!'
'…Me tuer…? Mais pourquoi…?'
'…Oui, tout porte à le croire..!'
'…Je ne comprends pas, vraiment… ! Je ne me connais pas d'ennemie…?'
'…Ah …! C'est pas sur, Mademoiselle, mais je comprends très bien votre mutisme..!'
Ecoutez, connaissez-vous Monsieur Martinez, votre voisin de palier…?'
'…Oui, c'est un monsieur d'un certain âge, qui sort rarement de chez lui, il a des pertes de mémoire et des fois des flashs qu'il nous raconte. Madame Raja, notre concierge s'occupe de lui….! Je ne vois pas ce qu'il vient faire ici…!'
'…Ben figurez-vous, je l'ai questionné chez lui, et comme vous le dites, il m'a dit d'attendre de voir un flash ressurgir, mais bon, je ne compte pas trop dessus, il a l 'air mal en point…! Mais vous, vous me cachez quelque chose, sans doute par crainte de représailles….Hélène..! Nous verrons tout ça, une fois que vous vous serez rétablie..! Mais dites-moi, êtes vous sure que Mounia, n'est pas venue vous rendre visite ce matin là..?'
'…C'est à dire que… !'
'…Bon, allons droit au but, que vous a t 'elle dit…?'
'…Elle était super excitée..!'
'…Avez vous remarqué quelque chose de bizarre, est-elle rentrée dans la cuisine…?'
'…Non, juste arrêtée devant le seuil..! A remarqué que je préparais mon lait dans la casserole puis elle s'est dirigée vers ma chambre à coucher, mais en vain…! Cela a duré trois ou quatre minutes et ensuite, une fois sortie, je me suis assoupie sans éteindre le feu..!'
L'inspecteur se rend une nouvelle fois chez ce Monsieur Martinez, dés fois que le flash lui est réapparut….
Le vieux monsieur est là, assit sur sa chaise. L'inspecteur, sans perdre patience écoute et enregistre la déclaration du vieux qui essaye de se rappeler quelque chose. Au bout d'une heure, Le Boulakia prend congé du vieillard. Satisfait de ce qu'il apprend.
Le lendemain matin, Mounia est convoquée chez le commissaire Boulakia.
'…Bonjour mademoiselle Mounia..!'
'…Bonjour inspecteur…!'
'…Mademoiselle Hélène, votre amie…!'
'…Elle n'est pas mon amie, elle m'a volée mon type…!'
'…Donc le 18 au matin…Je lis votre déposition…’ Je suis sortie vers les 9 heures du matin pour rendre visite à une vieille connaissance… !’ Vous ne dites pas qui et ensuite, vous restez deux heures chez elle, donc vous vous créez un alibi mais malheureusement votre alibi ne tient pas la route, votre amie en question est en voyage, d’après sa sœur que nous avons interrogés ! Bref…En réalité et pour écourter nos efforts et gagner du temps, je vais aller tout droit au but à moins que ne vous vouliez me dire ce qui s’est passe réellement… ?’
‘…Je vous est tout dit, inspecteur…. !’
‘…Mademoiselle Mounia, soit vous me dites la vérité soit je serai obligé de vous faire écouter quelque chose d’intéressant…. ! Qu’avez vous fait quand vous êtes sortie du studio…. ! Quand vous êtes sur le palier….. la seconde fois…..?’
Mounia baisse la tête et se met à raconter….
‘…J’ai fais semblant de partir, de descendre les escaliers mais je suis revenu sur mes pas, sans quitter le palier, j’avais remarqué le compteur individuel à gaz et les chaînettes… !’
‘….Vous avez remarqué aussi bien avant , la casserole entrain de chauffer. Une fois dehors, vous vous postez sous le compteur et là vous tirez sur la chaînette OFF. Vous coupez l’arrivée du gaz, vous attendez quelques minutes ensuite vous tirez sur l’autre chaînette ON et le gaz revient…. ! Il y a fuite dans l’appartement… ! C’est aussi simple que cela… ! Vous avez attentè à la vie de votre ennemie… ! Hélène a eut de la chance, votre haine vous a aveuglé… ! Vous êtes en état d’arrestation…. !’
Elementary mon cher WNESSON…. !
Par Albert (Albert) le lundi 11 octobre 2004 - 21h30: |
LE GUET DE MR SEBAG ...LALLA ....C EST POUR DEMAIN....OK???? SOIT PATIENTE...VA LIRE EN HAUT...MERCI...
Par Albert (Albert) le lundi 11 octobre 2004 - 20h51: |
COMA PAR ASPHYXIE III.
Par Albert (Albert) le dimanche 10 octobre 2004 - 22h25: |
BARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR YOUUUUUUUUUUUUU..HAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII....§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Par Albert (Albert) le dimanche 10 octobre 2004 - 22h24: |
DEMAIN HIC......LA SUITE DE COMA SUR UNE ASXP..HIC...