Par Albert (Albert) le dimanche 14 novembre 2004 - 20h07:

Comme je sais que pas loin des INDES, il y a la THAILANDE a vol d'oiseau et là bas parait il il y a des STATUES MTA KIF....A CIEL OUVERT.....Des scénes d'amour à ANGHOR....Formidables vous en avez chez vous à part le KAMA SOUTRA....

Par Albert (Albert) le dimanche 14 novembre 2004 - 20h03:

AHAHAHAHAHAHAHAHA....TU NE MANQUE PAS DE VERVE...
TOI....SI JE M ATTENAIS A CA...ENFIN?....TAWFIQ...TU PERDS LE NORD OU QUOI??? Ecoutes entre nous, je lui ai montrè mon autre statue, elle s'est évanouie...Je te jure... Enfin presque pour semblant...

Pour mo BON ZAI....Elle avait un BON ZA....AIE AIE....AIE....

Par Toufiq (Toufiq) le dimanche 14 novembre 2004 - 19h53:

a cause du deconnage horaire,je te rejoins en retard.
la pauvre dame,tu lui a montre la verge de la guadeloupe,elle a du faire une gueule d'enterement en voyant le zob sec.j'espere que tu lui a donne ub bon sai en con solation.

Par Albert (Albert) le dimanche 14 novembre 2004 - 17h10:

Pour te mettre dans le BAIN sans HAQUEQUE NI MZAR. TAWFIQ..

Une très belle femme rentre dans ma boutique.HIER.
( Vraie l'anecdote)

Elle visite, puis me demande qq images saintes genre OGU FERRAILLE, COUSIN, DEMBALLA( saints du vaudou) puis se dirige vers le rayon des statues qui cotoie celui des GOD MICHES.

'...Je voudrais celle du bas..!'
'...Bien sur madame..!'
'...Je la trouve belle..!'
'...Je comprends..!'
'...Et puis, elle a toujours eu ma préfèrence..!
'...Oui,je comprends, vous avez du gout...!'
'...Je prie avec elle tous les soirs, et sur elle je m'endors...!'
'...Vous avez raison, puis si grande...!'
'...Pour ca, j'ai la foi...Monsieur..!'
'...Je vous la montre de plus près....?'
'...Oui, s'il vous plait...!'
'..Vous pouvez même la toucher...!'

Je me penche et lui tire le plus gros god michè que j'ai...!'

'...Mais....! SEIGNEUR....??? Je vous parlais de la statue NOTRE DAME DE LA GUADELOUPE...!'

Je suis mort de honte...

Par Albert (Albert) le dimanche 14 novembre 2004 - 16h59:

Tawfiq si tu t'es leves, laver le visage, fais tes ablutions et prier BOUDHA, OU KRICHNA, je t'attends pous un tour d'HORIZON...!!!!.
Faut bien que l'on s'occupe. SINON NOS NEURONNES VONT S ENCRASSER...LAAZIZ....

Par Albert (Albert) le dimanche 14 novembre 2004 - 13h51:

REPRISE DE RETROUVAILLES EN PC DEMAIN...

Par Albert (Albert) le samedi 13 novembre 2004 - 23h14:

Te rappelles tu des foires?????? TAWFIQ????

Par Albert (Albert) le samedi 13 novembre 2004 - 23h13:

AHHHHHHHHHHHHHHHHH...TROIS FETES EN UNE...POURIM...HANOUCAH...ET REBI MIYER...Ca vous fait des ECOS NOMIS....Ben nous il nous faut bien plus....Mais grâce à D ieu en s'en sort.
comme on peut.

Par Toufiq (Toufiq) le samedi 13 novembre 2004 - 22h51:

biber,deepa signifie lumiere et vali signifie fete.donc c'est la fete des allumes.la toussaint c'est le contraire , c'est la fete des eteints.
pendant depa vali on met des lampes a huile au pas de la porte,on met des nouveaux habits et on allume des petards.aussi les fetards sont allumes et ensuite ils sont completement petes,enfin bref,on s'eclate!il y a des feux (de bengale) d'arti fils et on en voit de toutes les couleurs.
deepavali,c'est come si l'aid et hannoucah s'etaient telescopes.

Par Albert (Albert) le samedi 13 novembre 2004 - 22h46:

Cirques , Manèges Foires…..

Paris le 7/11/2004.


Des images qui défilent en bon ordre, comme à la parade ; anciennes, belles mais écornées et jaunies, encore fraîches dans mon encombrante mémoire mais jamais oublies.

Je vous parle d’un temps d’autrefois

Ma douce âme profonde en éveil, vous rapporte mes histoires.

Sur des terrains vagues, quelques modestes forains, à l’approche de l’été, installaient leurs petites tentes, bicoques ou baraquements, dans un espace désert, hors de la ville, du côté de Goulette Vieille, juxtaposant la plage.

La plus imposante était celle du jeu de hasard, LA LOTERIE.
Le spectacle commençait vers les 16 heures pour prendre fin bien tard dans la nuit.

Le speaker, le patron ou un sous-fifre, souvent debout, un micro à la main, allait d’un bout à l’autre comme un fauve en cage. Il haranguait la petite foule venue titiller la chance.

Il dominait de sa hauteur les têtes des potentiels acheteurs de billets.
Il avait plusieurs coupures technicolors numérotées qu’il maniait habillement.

Une fois ces liasses épuisées, il donnait un bon coup de main pour faire tourner l’imposante roue de la fortune. On entendait le claquement du cuir sur les clous qui encadraient les numéros peints en noir sur la planche circulaire. A mesure que ralentissait l’élan de la roue, les cous se tendaient et l’esprit priait pour la sortie du bon numéro gagnant qu’on avait peut être en main.

Certains habitués s’isolaient bien en retrait des autres néophytes, mauvais œil oblige, pour vérifier, la pupille fixée et prise de vertige, si le numéro sortant, figure bien sur le tas de billets achetés.

Il m’était facile de reconnaître un perdant. Il déchirait avec nervosisme et fougue sa liasse de coupure en y mettant tant d’ardeur que celle là ne ressemblât plus qu’à un tas de confettis. Mais bien loin de se décourager, le vicieux repartait toujours à l’assaut de DAME FORTUNE.

Les gains d’argent y étaient prohibés mais on payait souvent un chanceux, un habitué, en sous main, à l’abri des regards indiscrets.

Les clients de passage se contentaient d’un menu gain ; petite peluche ou d’un poste de radio bref d’un objet hétéroclite. Souvent au choix du patron. La mauvaise foi faisait partie du jeu.

On côtoyait aussi des marchands de glibettes( graines de tournesol), de barbe à papa, de caramels et de pommes d’api etc… Une vraie petit foire du Trône en miniature.

Les manèges aussi y avaient droit de cité. Les petits manèges pour enfants et les grands comme les autos tamponneuses qui étaient les plus prisées. Sans oublier les balançoires en forme de barque mais en fer, qui supportaient jusqu’à trois ou quatre personnes et même plus
sans se soucier du danger.

Un stand de tir à la carabine faisait partie du décor.

‘…Tiens…’ Je me souviens aussi, d’une rampe de lancement.

Une sorte d’un lancé de ‘fer à repasser assez pesant sur roues’ qui devait suivre une trajectoire assez courbe sur rail, allant vers le haut, distante d’environ dix mètres par rapport à son support.

Le lancé devait se faire en prenant un certain élan sur place, avec comme point d’ appuie, une main posée sur le bord du système, tandis que l’autre propulsait avec force ce boulet de fer à roues. On jugeait du succès de l’effort quand le boulet en question, touchait une cible pointue qui faisait exploser un pétard, une fois l’objectif atteint.
Il fallait avoir de gros bras musclés pour ce genre d’exercice.
On y gagnait surtout de la gloire devant ses copains.


A suivre……..

Les cirques…

Le plus connu des cirques qui venait élever ses bâches et tréteaux était le cirque Amar et son clown goulettois Zapatta.
Je ne me souviens pas par contre si son concurrent direct le Bouglione
était passe par notre ville.
Le cirque Amar, annonçait son arrivée par des affiches placardées sur les murs, un peu partout, sans grand respect pour les rares emplacements qui se comptaient avec parcimonie.
Elles représentaient le visage du célèbre clown au nez rouge.
Je me souviens avoir assisté une fois à sa mise en place, toujours côté plage de Goulette Vieille.
Une fois annoncée, on voyait défiler une joyeuse troupe avec trompette et clairon suivie des gens du spectacle qui s’en donnaient à cœur joie.

L’animalerie se limitait à un ou deux lions , deux ou trois tigres, arrivés au bout du rouleau, plusieurs chevaux fatigués, et quelques singes pouilleux qui se grattaient bien souvent les fesses et la tête. L’odeur de la paille empestait l’air. Aussi.
Le clou du spectacle était les trapézistes qui se balançaient à cette époque sans filet et qui tenaient en haleine les enfants.
La rentrée des fauves, se faisait par un tunnel qui les menait jusqu’au centre de la piste protégée par des hautes grilles du public à majorité enfantin.

Pendant l’entracte, une jolie demoiselle passait parmi les gradins en bois grinçants sous ses pas, pour proposer quelques friandises ou fraîcheurs.
A la reprise, les singes et autres chevaux prenaient d’assaut la scène.
Arlequin, muni d’une trompette, travestit en Pierrot la lune accompagné de ses quelques acolytes, terminaient ce spectacle en beauté mais bien modeste, qui durait pas plus d’une heure trente.

Voilà jetés pèle- mêle quelques uns encore de mes souvenirs goulettois de jeunesse.

VIVE LA GOULETTE D AVANT.

Par Albert (Albert) le samedi 13 novembre 2004 - 22h24:

Ok, Mon ami...UN DOUX....A ne pas confondre avec NDOU....huile première pression de SFAX.
Qd aux INDOUISTES HARISSIENS qui se comptent par millions, c est bien dommage qu'il n'en est pas autant que toi ici....

Par Albert (Albert) le samedi 13 novembre 2004 - 21h45:

Bonne fête de Lumière de DEPAVALI..Aussi.
Lââziz...