Archive jusqu'au 31/décembre/2006

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2006: Archive Decembre 2006: Archive jusqu'au 31/décembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 décembre 2006 - 22h00:

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2007...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le dimanche 31 décembre 2006 - 21h51:

Mes amis, je vous ai donné il y a qqs jours une info capitale.
A savoir la rencontre d’un grand nombre d’harissiens dans la capitale française.
Du coté de la Bastille, LA TOUR D ARGENT.
Il faut six mois pour réserver et six heures pour bouffer.

Donc nos harissiens bien courageux et généreux huit en tout, on ne peut pas parler de bataillon, Elsa, Mamili, Zaza, Valérie, Glibette, Suzy, son mari Mr Esposito et Meyer, excusez du grand nombre, se sont rencontrés dans ce haut lieu de la gastronomie faisant fi de la moindre politesse due à notre chère Poupée qui fut mise à l’index pour je ne sais qu’elle raison.

Bref, sentant le coup fourré notre Poupée nationale n’en est pas restée là. Elle a donc décidé, derechef, d’assister à la grande parade-mascarade.
Sans s’annoncer et à la grande surprise de nos 8 bipèdes dont la seule priorité est de penser qu’à eux.

Sans rien dire, cachée derrière une colonne de La Bastille, elle a pu assister à la descente de nos valeureux bouffeurs en tout genre.
La première arrivée, Elsa, en limousine déca…féinè fut très remarquée.
Elle portait un jabot de fourrure masquant son joli cou. Des airs de diva qui auraient pu faire pâlir n’importe qu’elle chanteuse d’Opéra de Q’at sous… ! Bracelets rutilants et pantalon serré, qui laissait deviner qqs formes fessières assez délicates. Ajoutez à cela une démarche travaillée depuis six mois et vous avez devant vous une artiste qui ne lésine pas sur les moyens d’autant plus que ces derniers sont variqueux et circonstanciés.

Puis, arrive en grande pompe Mamili. Un chapeau en forme de couronne, une Debla légèrement bronzée.
Des cerceaux aux poignets qui à s’y méprendre ressemblaient à des yoyos, mais de gros yoyos. Ils m’ont rappelles les yoyos ratés de ma maman. Un collier d’un goût académique pendait à son cou, en réalité des nœuds d’akoud qui laissaient par moment une traînée de sauce rouge sur les escaliers du resto. Le liftier, un tune a reconnu à l’odeur ce met fort délicat et s’est mis a quatre pattes pour nettoyer ce long filet qui n’en finissait pas de couler. Une belle fourrure l’enveloppait. Renseignement pris, elle avait loué son bon manteau.
La grande dame voulant faire dans le grand look branché s’est décorée d’un large cerceau
Un grand beignet découpé à son centre qui faisait office de gros ceinturon. La bonne Mamili a vu large très large à un tel point que pour retenir son boyau de farine cuit, elle se devait d’imprégner des ronds circulaires par un déhanchement continu afin que ce dernier ne tombe à terre. Une gymnastique certes contraignante mais utile si elle devait être crédible.
Deux petits makrouds encore chauds étaient pendus à ses lobes. Deux grosses bagues, genre cakes relevaient ses gros doigts mielleux. Deux chaussons bourrées de confiture lui servaient de mules.
Bref, Mamili s’est accoutrée en pâtissière orientale.
Un grand couturier dira d’elle ‘…ELLE VIENT DE LANCER LA MODE FARINEUSE…!’
Paroles d’Elsa.

Glibette arrive en métro. Sa voiture était en panne. Un cabri OllEEEEE….Oui presque une chèvre son véhicule à barbiche. Clopinant, à cause de ses genoux, une vieille blessure de guerre mal cicatrisée, lui rappela, l’ingrate, qu’elle n’était plus en âge de marcher seule et
qu’ une béquille pouvait supporter son surplus de poids. A chaque pas qu’elle faisait elle disait’
Ah… ! Si ce goujat de Breitou était là, je n’aurai pas eu besoin de cette chose… !’
Coté vestimentaire, elle avait un grosse ceinture qui lui serrait sa fine taille, lorsque je parle de fine taille, comprenez qu’elle fait 150 de tour de hanches. Elle doit ce prêt de cuir avec plastron à une voisine compatissante et légèrement débile. Elle portait une robe échancrée en fourreau de couleur noir ceinte par ce genre de cerceau dégueulasse. Un joli chemisier couleur vert d’eau laissait apparaître ce que je scanne presque tous les jours, de jolis Saints pas tous religieux. Mais les siens peuvent damner un curé de campagne peu habitué à ce genre d’excentricité. Que voulez-vous l’age est ingrat parfois.
Ses lèvres maquillées rouge vermillon éclairaient le hall de l’entrée du resto.
Le liftier s’en souviendra. Elle lui badigeonna ses deux joues par un bisou fort audacieux.
Le mec mit une semaine pour effacer ces deux belles cocardes.


Poupée, tjs cachée, se délectait de cette mascarade à un tel point qu’elle cru que la colonne sur laquelle elle était adossée, frissonna par l’ampleur du ridicule que ses ‘amies’ portaient bien.

Arrive Suzy et Esposito. Ce dernier portait un chapeau des chasseurs alpins. Un melon à plume, trafiquait pour la bonne occasion et qui ressemblait à une pastèque défoncée sur les côtés tant il était large et il lui caché les yeux et si ce n’est sa femme qui le guidait, il aurait pu se retrouver à la Brasserie des Canons, à l’autre extrémité de la place de la Bastille.
Sa femme lui tenait le bras en lui chuchotant à son oreille ‘ Esposito.. ! Amore moi, siamo à LA TOUR D ARGENTO… !’
L’autre pensait être chez feu BENISTI. Il disait ‘…Ah jé sans el bueno casse-croûte tunisiano.. !’ Bref, un délire. Suzy portait une tenue marocaine. Je passe sur les détails.
En guise de boutons, elle a cousu huit petits points d’acné dont je ne dévoilera pas la source.

Arrive Meyer, le pauvre, il s’est trompé de station. Il est descendu quatre stations plus loin à Vincennes. Une erreur d’aiguillage. A son âge, c’est normal. Il était en costume avec un petit insigne agrafé au revers de son veston. Une vieille amulette péruvienne trouvée lors de son dernier tournage, un objet inca et le cas qui se présente en sueur devant ses amis avec un appareil photo en bandoulière s’excusa mille fois pour ce fâcheux retard dû à sa négligence.

Zaza la modératrice du chat qui vient que rarement dans ce lieu, par manque d’ambiance était habillée svelto. Coiffée, je ne sais par qui, elle ressemblait à une dada foufou sortie de son lit par un jour gris et maussade. Elle avait l’allure d’un mannequin manqué.
Deux tresses perdues dans ce magma chevelu allaient et venaient comme deux essuie-glace.
Elle était tout furie parce que sa coiffeuse ne les pas laquais. De là à penser au canard, il y a un pas que je ne franchirai pas par respect pour cette bonne pâte qui cultive le sourire à mon égard.

Enfin, après les bisous d’usage, le préposé aux tables, Monsieur Henriquez, un efféminé de bonne classe, touyiba, fit signe à nos con soeurs et frères de prendre place autour d’une grande table bien décorée avec vue sur la grande avenue.
Il n’avait pas prévu que Mamili et son cerceau en mouvement pouvait soulever un problème d’intendance car même assise, il fallait que la goulue tourne son rond de farine afin qu’il ne s’affaisse pas lamentablement sous ses fesses. Attardez vous sur cette situation peu courante
On lui inventa la chaise de bébé. Cette chaise haute donnait l’impression que Mamili était assise mais en réalité elle était debout pour influer sur les mouvements giratoires et cela afin de maintenir son cerceau à hauteur de ses hanches. Une vraie planète Saturne en mouvement debout autour d’une table à la TOUR D ARGENT.
De mémoire de Directeur de Salle, l’efféminé n’avait jamais vu cela.
Tout le monde s’arrangea avec bcp de dignité sauf Elsa qui murmura ‘…Hajteq dime bel hajèb… !’ ( Tes choses sont tjs surnaturelles.. !) On passa l’éponge sur cette réflexion afin de ne pas gâcher l’ambiance.


Mamili était près de Elsa. Séparée de deux mètres. Meyer était entre Zaza et Suzy, M. Esposito près de sa femme. Glibette était face à Mamili.
Les parfums des femmes se mêlaient à celui de Meyer. Qui s’était parfumé avec celui de sa femme. Une erreur encore sans grande importance.
Ils attendaient Valérie et Breitou. Elles ont pensé que ce dernier allait leur faire une surprise de dernière minute. Mais voilà la dernière minute ne vit pas Breitou arriver.
D’où la réflexion de Elsa, rapportée par Mamili ‘…Et bien mella raha… !’
Voilà comment on reconnaît ce qu’on aime si bien.

Le Maître de la salle présente le menu aux invités.

‘…Nous attendons encore une personne qui ne va pas tarder… !’
La personne en question Val arrive sur ces entre faits.
Et là, on voit débarquer comme une folle Valérie, habillée légèrement, quand je dis légèrement c’est légèrement. Arianè ( presque nue) selon les dires de Elsa. Qui à l’œil pour mesurer et peser le pensable de l’impensable. Valérie était habillée très sexy. Une chemisette blanche mais très échancrée sur une poitrine bronzée ( Elle était en vacances aux Antilles, elle adore les Antilles, sûrement pour son lait de coco). Un mini short laissait apparaître deux belles jambes, du vrai Halkoum mou, les mauvaises langues diront ‘ zouz bitarat’.
Des bas résilles bien ajustées et un maquillage à outrance lorsque je dis à outrance c’est à dire outrageant. Elsa a dit d’elle en chuchotant (…On dirait une Poupée Barbie Indienne.. !’)
Et encore le compliment vaut ce qu’il vaut c'est-à-dire rien parce que d’après Poupée qui l’a vue descendre du taxi elle m’a dit ‘…Albert, elle ressemblait à une….Majorette un peu déglinguée qui cherchait la cadence… !’

Valérie s’assoit près de la chaise vide de Poupée.
‘…Et celle qui est au bout, c’est pour qui… ?’
‘…Breitou…. !’
‘…Ah Breitou va venir, quelle joie…. !’ Ben la joie elle ne l’a pas eue ce soir là.
Breitou fut quitte de ses bisous sur son front.

L’aventure pouvait commencer.
Tout le monde était là au complet sauf….

La bande choisit son menu.

Elsa ‘…Un gratin de pommes Rodriguez à la sauce vénitienne…’ Trois pommes de terre sautées avec une sauce indigente’ Relevé au cumin.
Mamili ‘…Une enveloppe de viande de bœuf coiffée de filaments frais de Neuilly ( Une côtelette plus des haricots verts par-dessus avec un soupçon de mayonnaise).
Zaza…..’…Une forêt de languettes italiennes à la sauce milanaise sertie de diamants des bois (Spaghettis à la sauce aux champignons)
Meyer…’ Des boulets de viandes plongées dans une sauce méridionale assaisonnées par du vert des champs’ (Boulettes de viandes avec du basilic).
Suzy…..’ Castagnettes espagnoles de Séville à la crème viennoise’ (Deux morceaux de viande de boeuf baignés dans de la crème fraîche.)
Esposito…’…Makourade chinoise aux œufs frais d’Islande accompagnés de coquilles végétales) Une omelette avec deux avocats) Qui ne plaident pas. Ceux là.
Valerie…..’ Truffiade nippone aux vers du pays relevée aux pignons d’Istanbul.
( Deux banataches truffées de vers à soie assortis de pignons.)
Glibette …’ Baguette de morue chauffée à blanc revêtue de son costume de farine.
(Une tranche de bakalow avec de la chapelure.)

( Zebi, meqla mta zebi… !
Plus les noms des recettes sont ronflants plus il n’y a rien dans l’assiette.

Mais voilà que contre toute attente, Madame Poupée se plante devant eux.
En pyjama.
Moment de stupeur.
Les regards se croisent et se baissent.

‘…Vous avez cru peut être que j’allais me taire, faire comme si…. !Hein… ? Et bien non, me voilà bien vivante … !’

Elsa..

‘…Poupée…? Quelle joie mais assis toi enfin, il y une chaise pour toi qui t’attend… !’
‘…Toi l’hypo tais toi… !’

Mamili debout/assise.

‘…Poupée ourass …..Que je t’ai téléphoné dix fois mais tu m’as dis que tu ne sortais pas le soir… !’
‘…Toi tais toi…. !’

‘…Bienvenue Poupée, viens prends place près de moi, que je t’immortalise en pyjama.. !’ Meyer.
‘…Toi faux cul, tais toi…. !’

‘…Ah Poupée, on t’a attendu une demi-heure et tu … !’ Zaza.
‘…Toi tu ferais mieux de te nettoyer ce bout de rouge à lévres que tu as au bout du nez… !’

‘…Poupée, tu ne vas pas nous faire un scandale ici… ?’ Valou
‘…Toi la bronzée du film, ta gueule… !’

‘…Poupée vient prend ma place … !’ Glibette.
‘….Toi avale ta canne… !’

‘…Où est Jano ????’

‘…Il ne vient pas … !’ Elsa.


Arrive le serveur avec les plats.

Poupée s’assoit par terre.
‘ …Je vais squatter la table.. !’

Une grande gêne apparaît.

‘…Vous êtes avec eux, Madame…. ?’ L’efféminée.
‘…Servez et taisez vous… !’
‘…On ne me parle pas comme cela, Madame, sinon je vous traîne par les manches du pyjama.. !’

‘…Nous allons régler ce litige entre nous, Monsieur Enriquez… !’ Elsa.

‘…Poupée, lèves toi et viens t’asseoir sur mes genoux… !’ Mamili.
‘…Avec le cerceau que tu as au ventre, on dirait un manège, tu n’as pas le vertige… ?’
‘…J’enlève l’anneau pour toi… !’
‘…Comme cela ta robe s’ouvre et hein…?’

Suzy….’…Nous sommes venus pour deux heures et on t’offre une place et un menu… !’
‘…Je ne suis pas venue demander l’aumône Madame Suzy…!’
Enfin, elle daigne prendre place, celle de Breitou.

On lui apporte un couvert.

La conversation est gai, l’ambiance formidable.
Enfin, après deux heures de bouffe, Meyer demande l’addition.
Henriquez la lui présente et là…

‘…Je rêve…. !’
‘…Quoi Meyer…. ?’ Elsa.
‘…2500 €…. !’
‘…Je rends tout et je me barre… !’ Mamili.
‘…Tu es sur du chiffre… ?’ Gibette.
‘…Oui, 2 5 0 0… !’
‘…On aurait du demander un devis… !’ Zaza.
‘…Bon, écoutez les amis, nous allons négocier… !’ Elsa.
‘ ….Attendez les amis, j’ai une idée géniale… !’ Meyer.
‘…Laquelle, fais vite… !’
‘…J’ai la CB de Albert… !’
‘…Nous sommes sauvés… !’ Elsa.

Meyer tire la CB de Albert et il compose le code.
Une fois, deux fois, rien, il a oublié le code.

‘…Monsieur Henriquez, j’ai oublié le code, il est dans ma voiture… !’
Je ne sors pas seul la nuit, elles peuvent m’accompagner… ?’
‘…Bien sur la maison fait confiance…. !’

Elles se lèvent et suivent Meyer à la queue leu leu… !
Meyer prend la première station qui se présente à lui.
Mamili a abandonné ses pâtisseries : bijoux sur la table.
Les autres suivent.
Poupée est restée en otage.
Deux jours plus tard, on apprend au café des Dattes qu’elle est en garde à vue et une semaine plus tard, Sarko la mise pour le premier avion en partance pour Tunis.
Depuis, plus de nouvelles.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le dimanche 31 décembre 2006 - 21h42:

'...Mes amis, je vous ai donné il y a qqs jours une info capitale.
A savoir la rencontre d’un grand nombre d’harissiens dans la capitale française.
Du coté de la Bastille, LA TOUR D ARGENT.
Il faut six mois pour réserver et six heures pour bouffer....


A suivre dans un SKETCH...LA TOUR D ARGENT.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 décembre 2006 - 21h27:

'...Bienvenue Michka à bord...Du PTB...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 décembre 2006 - 21h12:

‘..Non, ce n’sont pas des radins
Encore moins des gens vilains
Ces harissiens pas coquins
Je le dis du fond du cœur
Du fond du cœur.

Ils surfent bien pénards
Et c’ n’est pas par hasard ….
Qu’ils s’appellent Emile Richard
Ou Michka, ces veinards

Ils sont le nec le plus ultra
D’la littérature du tracas
N’ en déplaise aux fouetteurs de tors
A tous ces roucouleurs
Qui s’appellent cacouleur
Un capitaine au long cours
Qui n’est pas un enfant d’salaud
Mais un ami de bon coeur
Contradicteur , quel bonheur.… !

Tous des harissiens de luxe
De grands Matadors de la plume
Des gens de bonne fortune
Ne s’gênent pas à le contredire
Comme des tunes.

Ce ne sont pas des anges non plus
La Boukha , ils l'ont presque tous bu
Mais ils la vante tout's voix dehors
Tout's voix dehors.

Nao, Mena et compagnie
La politique, leur seule credo
Leur litanie, leur Confiteor
Du bla bla d'abord…

Au moindre coup du Shoffar
La solidarité chez ces tocards
N’est jamais en retard
C'est lui qui leur montre le phare
Leur montre le phare.
Et quand ils sont en détresse
Qu'leurs voix balancent des S.O.S.
Breitou l’homme fort
Les égayent d'abord

Au rendez-vous des bons restos
Y’à Elsa, Mamili et puis Meyer
Mais rarement le jeune Jano
Qui leur pose souvent des p’tits lapins…

Quand l'un d'entre eux manquait à bord
C'est qu'il avait en avait marre
Oui, mais jamais, au grand jamais
Sa chaise dans le resto ne partait
Cent ans après, copains du sort
Il la retrouvait encore.

Des couillons y’’en a beaucoup
Mais le seul qu'ait tenu le coup
Qui n'ai jamais viré de bord
Mais jetè du bord
Parle en papy peinard
Sur la grand-scéne des fêtards
Et s'app'lait Breitou alors
Le Copain d'abord..§§§

PA PA PAPAPAPAPAPA…§§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le dimanche 31 décembre 2006 - 21h07:

You are the number one…///
For me, for alls, formidaAAAAble
You are my ladiIIIes…
Very, very, very, véritaAAAAAbleS
Et je voudrais vous le dire enfin vous le dIIIIIIre
Vous l'écrire……
Dans la….////

LaAAAngue de Shakespeare.////

You are EXCEPT, except, except,
ExceptionnNNNNNelles
Je suis malheureux d'avoir si peu de mots
À vous 'offrir en cadeaux
Darling i love you, love you, darling I wisch you
Many, Many, Many good time
Et puis c' est à peu près tout
You are the number one for me, for us, formidablesSSS

You are the number one for me,
For me, for me, formi..///DaAAAbles
But i know how can youUUU..§§§§§§§
See me, see me, see me, si inimitableSSSSS
Je ferais mieux d'aller choisir
Mon vocabuUUUlaiIIIIIIre
Pour vous plaiIIIIre..§§§§§
Dans la..////
Langue de MoliIIIère
You, your eyes, your nose, your voices adoraAAAbles
Vous avez compris ben oui
Que vous êtes inimitables mes chéries
Ne vous en faites pas vous serez toujours
Derrière les rideaUUUUux
Ces beaux draAAAAps
DarliIIIIng I love you, love you,
DarliIIIIng, your smiles sont extraordinaires
Et puis le reste on s'en foUUUUut
You are the number one for the PTB
For me, for us , formidaAAAAbleSSS
Je me demande même
PouUUUrquoi je vous aiIIIme
Vous qui vous moquez de moi et de tout
Avec vos airs canailles, canailles, canailles
How can I love yoOOOOOOOOOOOOOOOOOOu..§§§§§§§


http://carte8.dromadaire.com/card/1231/195949WKdo46970130h57r84j81.shtml

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le dimanche 31 décembre 2006 - 20h37:

happy new year

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 décembre 2006 - 20h37:

Par Albert (Albert), le dimanche 31 décembre 2006 - 20h35 :
Dans quelques heures,l'annèe 2006 aura vécu.
Nous aborderons alors les premières heures de l'an nouveau.

Je ressens toujours un pincement au coeur à la fin d'une annèe qui s'achève, et aussi une émotion particulière à l'approche de celle qui va entrer en jeu.

Chaque annèe qui passe est marquèe par son sceau particulier de joie, de tristesse, de chagrin, de deuil. Il en est ainsi.

Je suis toujours à me demander qu'est ce que sera demain. Un demain que je souhaite toujours heureux, plein de joie et avec moins de tristesse.

Dans tous les cas, ma mére me dit toujours ' Fiyel el mnih ye ouldi'....Souhaite toujours le meilleur mon fils...!' Donc...

'..... Je vous souhaite tout le bonheur du monde
Aux milliards d'êtres qui se trouvent à la ronde
Albert et Breitou vous tendent la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu’il mène vers des calmes matins.

Jano et Belebou vous souhaitent tout le bonheur du monde
Ils vous tendent la main pour aujourd’hui et pour demain
Que votre soleil éclaircisse l’ombre sans chagrin
Qu’il brille d’amour dans votre quotidien.
Qu’il soit miel et douceur pour cent mille lendemains
Qu’ils soient paisibles et sans trop de chagrin.
Que votre avenir soit toujours serein
Sans l’esquisse d’une angoisse enfin.

Le PTB vous souhaite ses meilleurs vœux
De santé de joie et de bonheur dans vos yeux
Et tous mes souhaits pour l’an nouveau.
Et si cela ne saurait vous suffire
Nous viendrons vous embrasser sur vos cœurs
Puisque l’amour que l’on vous porte est le meilleur.

Refrain.

Une nouvelle année s’offre devant nous
Que tous nos rêves et délires soient au bout
Sûrement pleins de projets et que vos choix
Soient accomplis dans la paix et la joie.
Nous espérons juste que vous prendrez le temps
De profiter de chaque instant que vous offre
Le PTB pour vous emmener sur les voies du rire.
De l’émotion gratuite et du tméniq sans retenue
Faites nous confiance, nous avons bonne conscience.
De vous plaire et distraire chers amis Harissiens
Dans ce monde du virtuel.


A suivre au PTB.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 décembre 2006 - 15h11:

En 2020, deux astronautes Israéliens arrivent sur Mars. Leur mission : vérifier si il y a de l'oxygène sur la planète...
- Passes moi la boîte d'allumettes, dit l'un d'eux…..
- Soit ça prouve qu'il y a de l'oxygène et il ne se passe rien… soit tout explose.
Il prend la boîte, s'apprête à gratter l'allumette, quand tout à coup un martien apparaît en agitant les bras....

-Non, Non, Non...il ne faut pas !!!
Les deux hommes se regardent, inquiets.....Y a t-il sur Mars un gaz explosif inconnu ?
- On ne va pas se laisser impressionner. C'est le but de notre mission, dit-il en reprenant une allumette....
Et là, 50 martiens hystériques arrivent en agitant les bras....

-Non, Non, Non...il ne faut pas !!!

Et la, nos deux Israéliens, stoïques, pas du tout impressionnés par la présence de 50 martiens….

- Ca à l'air sérieux !....Que redoutent-ils ? Après tout, on est là pour la science, pour savoir si l'homme peut respirer sur Mars !
Sur ce, il gratte une allumette qui s'enflamme.......et il ne se passe rien.
Mais enfin, dit-il en s'adressant aux martiens, pourquoi vous vouliez nous empêcher d'allumer une allumette.
- Parce qu'aujourd'hui, c'est Shabbat !!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le dimanche 31 décembre 2006 - 01h36:

mes condoleances sinceres et attristees aux familles des malheureux moutons qui se trouvent aujourd'hui au mauvais endroit au mauvais moment.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 décembre 2006 - 00h07:

Pour nos amis musulmans qui nous rendent visite

'...AIDQOM MABROUK OU QOL SNIN DEYMEN..!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 30 décembre 2006 - 22h45:

La fuite fiscale de Johnny …
Chanté sur un air de '...Diégo….'§§§§
Il a été rejoindre notre ami Suisse bien connu d'Adra mais disparu...LA DOUDA....

Qui a dit que les montagnes ne se rejoignaient pas..????

'...Dans le canton de Vaux
Il a placé ses lingots
A l’abri du fiscOOOO..§§§§
Qui se croit très fort
Là-bas il fait froid
Ses millions d’euroOOOOs
S’envolent sans accord.

Quel est ce pays
Où sévit l’impôt
Qui frappe le plus fort ?

JohnnyYYYYY, libre dans sa tête
Et pleins d'idées
Sur ses écoOOOts
S'endoOOOOrt peut-être...

Il danse sur ses sous
Fuyant le loup...§§§§§
Il chante et il rit
Je ne pense plus à lui

Johnny, heureux dans sa têEEEEte
Fait la grande fêEEEEte
Il n’est pas si bête
L’ami du SarkoOOOO….

Déjà élu peut-être...

Carrière d’un héroOOO
A qui il doit tout à la France
Il a ramasse son jackpot
Pour la Suisse meilleure
Là bas, à la bonne heure
Il peut compter le fruit
De son labeur sans penser
Au receveur….§§§§§