Archive jusqu'au 22/décembre/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives Decembre 2004: Archive jusqu'au 22/décembre/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 22 décembre 2004 - 21h32:

Quand on se retrouve seul et qu’un ami vous tend une main.....

A mon ami Felix..

Quand j’ai posé pied sur cette terre
Au début, en France, j’étais en galère
Pas un ami, cousin ou un frère
Qui ne m’a tendu la main, naguère.

Je n’étais pourtant pas indigent
Mais voilà , j’ n’avais pas de situation
Sans papier mais avec de l’argent
Caché dans un bel établissement.
On m’a tourné le dos bien poliment.

Je me rappelle de cette réflexion
De ma toute dernière, mon enfant
Qui me disait en pleurant
‘..Papa nous étions riche bien avant.. !’

J’ai pourtant frappe à toutes les portes
A mes anciens amis de toutes sortes
Qui m’offrait café et sourire en prime
En me disant que la France déprime
Et qu’il n’y a rien pour ce que j’imagine.

Et puis un jour, Dame Chance
Par un beau jour de Printemps
Dans une rue du Temple
Au Faubourg m’a accueillie
Et depuis j’ai revis.

D’un travail de pierre bien anoblie
Je me suis retrouvé dans les mises en plie
Perruques, touffes et tifs pour les assombris ( les noirs)
Et c’est bien grâce à eux que la lumière a jaillit.

Nul ne peut prétendre être servi
D ieu seul, notre seigneur peut attendrir
Le cœur d’un homme , Félix , sans soupir
Qui vous offre une chance sans contrepartie.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 21 décembre 2004 - 20h14:

'....ET ENTRE AUTRE DES POLICIERS DONT CELUI LA...'

Albert Simèoni

Paris le 8/10/2004.


Récit policier. POLAR. SERIAL KILLER.
Imaginaire.
Les faits racontés ici ne se rapportent à aucun évènement passe et ne peuvent constituer un plagiat de quelque œuvre qui soit.

Avertissement au lecteur.

Certains passages décrits dans cette nouvelle sont à caractère violent et peuvent choquer.


LE COLLECTIONNEUR.


-Hugo Mallais……………38 ans. Le serial killer. Gérant de son entreprise.
-Claire Lazar…………….. 22 ans, étudiante. Première victime.
-Reine Liu Hong………… 25 ans, informaticienne. Seconde victime.
-Marjorie Blaise………… 25ans, étudiante anglaise. Troisième victime.
-Brigitte Mécheche………23 ans, garde d’enfants. Quatrième victime.
-Mme Charlotte Bouix…...40 ans, journaliste dans un grand quotidien.
-Mr Ponce Gilbert………..65 ans directeur d’école.
-L’inspecteur Boulakia.
-Gilbert Chaldéra son collègue.


Avant…Dans une école du 11 iéme arrondissement…

-Mlle Charlotte Garnier….13 ans, élève en 5ième.
-Le jeune Hugo Mallais….11 ans élève de 6 ième.

Pendant la récréation….

Le jeune Hugo….

-‘…Charlotte…. ! Je t’en prie… ! Laisse moi voir… !’
-‘…Tu es fou…. ! Laisse moi faire pipi tranquillement.. !’
-‘…Juste ta virginité et ton clitoris… !’
-‘…Mais enfin, tu ne dois pas être normal, si tu ouvres la porte je cris, ok ????’

Les années passent. Le jeune Hugo Mallais après sa sortie de seconde, est admis dans un centre d’apprentissage. Au bout de 4 ans, il obtient son diplôme de plombier.
Mlle Charlotte Garnier quand à elle, réussit son bac et se destine au journalisme. A 25 ans, elle travaille dans un grand quotidien sur la place de Paris, se marie plus tard avec Monsieur BOUIX, un industriel.

De son côté, à 23 ans, Hugo est stagiaire dans une grande entreprise de bâtiment, tous corps de métiers. L’année suivante, il est embauché, dans sa spécialité. Sans problème. Cinq ans plus tard, grâce à ses compétences et à son ambition, il décide de s’envoler de ses propres ailes. Son papa lui paye un petit fond de commerce du côté de la porte d’Italie.

L’entreprise HUGO PLOMBERIE voit le jour. Son espace est réduit ( 50 M2 ) mais grâce à ses bons services, il parvient à se faire une bonne petite clientèle et pense , un an plus tard, à s’agrandir. La chance lui sourit. Un magasin de chaussures , jouxtant son étroit fond de commerce tombe en faillite. Une aubaine. L’acquisition de cet espace quadruple sa surface. Quatre jeunes plombiers sont embauchés pour répondre à la forte demande, suivi par trois autres. Il répond même à des appels d’offre étatiques et les contrats tombent.
Son entreprise prospère.....!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 21 décembre 2004 - 19h58:

VOUS LIREZ AUSSI EN COURS D ANNEE...


Albert Simèoni
Récit.
Le 6/11/2003.

Les évènements précipités ici ne peuvent en aucun constituer un plagiat ou à une inspiration quelconque d'une œuvre passée ou récente. Tous les noms citès ici sont imaginaires ainsi que les faits rapportés.

Première chapitre.

Le Pacte

Les deux amis.

La séparation.

Ils n'étaient pourtant pas jumeaux mais seulement deux amis liés par une très forte amitié. Temporairement.

Nés presque le même jour, ils grandirent simultanément à une heure près dans le même quartier, en Tunisie, à Ferry-Ville. (Menzel-Bourguiba)
Une paire d'enfant que le destin a mit sur son chemin.

La maternelle d'abord, puis l'école et le lycée ensuite, les avaient noués de plus belle. Même classes, même profs durant leurs courtes études.

Ces deux jeunes donnaient l'impression qu'ils étaient faits pour s'entendre, le restant de leur temps, de leur vie; à partager les mêmes épreuves, sans que personne ne puisse interférer dans leurs affaires.

Une amitié si forte, que certaines personnes mal avisées, traduisaient cette union, comme une liaison dangereuse; pour de l'amour du péché. Il n'en était rien, qu'une idylle amicale qui soulevait jalousies et médisances. Ils avaient les même compagnons mais pas de confidents. Les seuls confidents furent eux même Deux associés en sentiment qui partageaient leurs plus intimes secrets. D'enfance et d'adolescence. Cela le pouvait-il…? Oui, puisque les évènements qui s'en suivirent plus tard, confondirent mensonges et rumeurs. Ils étaient de vrais petits hommes avec des caractères presque semblables. Leur camaraderie avait pris l'allure d'une grande fraternité.
Mais la vie, malheureusement allait les séparer.

L'un ne pouvait 'vivre' sans l'autre. Quand l'un pleurait, l'autre suivait. La même émotion enfermée dans deux cages thoraciques différentes.....

A suivre..


A suivre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 21 décembre 2004 - 19h55:

Le Premier ministre vient d'annoncer au Sénat, au milieu du débat sur la Turquie, que les otages français en Irak, Georges MALBRUNOT et Christian CHESNOT, avaient été libérés à Bagdad où ils avaient été enlevés le 20 août dernier.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 21 décembre 2004 - 19h53:

NAO si tu repasses la même chose, on n a rien fait..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 21 décembre 2004 - 19h44:

Albert Simèoni



Paris le 22/4/2004

Récit imaginaire raconté par Breitou en XIII Chapitres.

Les faits rapportés ici sont imaginaires.


L’Oubliè...I.

Shirley et Simon.

Au début je voyais flou.

Que des ombres.Plus tard, les ombres s’estompaient. Les contours des visages se précisaient. Plus nets, voilà pourquoi les bébés répondent par des sourires à ceux qui leur sourient.
Le visage de ma maman, de mon père, de ma grand-mère ou grand père maternels, devenait familier.

J’avais le sens olfactif assez développé et cela m’aidait à les reconnaître aisément à leur odeur et parfum ; leur haleine aussi. Ne croyez surtout pas que les mômes de mon âge, manquent de sensibilité nasale ou d’acuité visuelle.

Mon environnement était donc composé de silhouettes, de senteurs. Autant vous confier que nous sommes aussi dotés du sens culinaire et savons distingués, un lait sein d’un lait factice.

Mes grands parents paternels habitaient le sud de la Franc, Nice.

Vers l’âge de deux ans, je m’attachais à mon grand père Simon et à ma grand-mère Tilda.
Ils habitaient à deux pâtés de notre maison. Quand mes parents vaquaient à leur travail, j’étais déposée chez eux. Ils étaient aux petits soins envers moi....

A suivre.
Programmèe pour Mars.2005 Si D ieu veut.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 21 décembre 2004 - 19h05:

réceptions
> La folie des grandeurs

Email de l'auteur : a-j-presse@actuj.com

> Un cheval entre sur scène. N’allez pas imaginer qu’il s’agit d’un cirque. Nous sommes à un mariage dernier cri, haut de gamme évidemment. En matière de cérémonies ostentatoires qui ont lieu à l’occasion de mariages ou de bar-mitsva, on ne manque pas d’imagination ces derniers temps. Mais, pour que l’imagination soit au pouvoir, encore faut-il que l’on puisse dépenser des sommes considérables. La pression sociale et l’envie de faire comme les copains incitent à organiser des fêtes parfois délirantes qui n’ont plus rien de commun avec ce qui se faisait d’avant, comme en attestent les personnes que nous avons interrogées. Dès lors l’esprit de la séouda (repas à l’occasion d’un événement juif marquant) est-il préservé ? Pas sûr. La question se pose, d’autant que certains rabbins ont émis des takanot (décisions religieuses) pour rappeler les intéressés à la raison. À l’étranger, des communautés ont également lancé des initiatives originales en ce sens.

Péril
> Savons-nous encore célébrer nos joies ?

Email de l'auteur : a-j-presse@actuj.com

> Pour décrire les qualités distinctives des descendants d’Avraham, nos Sages attribuent à ces derniers le fait d’être « baïchanim », autrement dit pleine de pudeur et de retenue. Or, il est souvent difficile de s’en rendre compte lors qu’on assiste de nos jours à certaines fêtes.

> Sur la piste, éclairées par des lumières clignotantes aux couleurs changeantes, deux à trois cents personnes s’agitent frénétiquement. Sur l’estrade, un orchestre s’en donne à cœur joie tandis que des chanteuses, vêtues de tenues qui conviendraient aux températures les plus intenses, « chauffent » les danseurs. Une soirée typique de discothèque parisienne ? Non, tout simplement le mariage de deux jeunes Juifs qui, quelques heures auparavant, étaient dans une synagogue pour célébrer leur union.S’il ne s’agit pas ici de jouer les rabat-joie, une telle scène - récurrente, il faut le souligner - suscite quand même quelques questions. Outre les impératifs de la Halacha qui voudraient que femmes et hommes, habillés correctement, dansent séparément et que la gent masculine ne voit pas les appâts des chanteuses et autres danseuses professionnelles, on peut se demander où, dans une telle instance, est passée l’expression de la joie, la sim’ha, censée donner un sens à toute célébration juive.En effet, cette ambiance disco chasse déjà de la piste toutes les personnes ayant dépassé un certain âge dont les muscles, un peu fatigués, ne leur permettent pas de suivre le tempo. A noter que cette réflexion s’applique souvent, aussi, aux mariages plus religieux où jeunes gens et jeunes filles, chacun de leur côté, imposent un rythme à la danse qui, bien que celle-ci reste décente, élimine de facto les grands-mères et même souvent la génération des parents.Certains diront : place aux jeunes, les vieux n’ont qu’à rester à table et s’adonner aux joies de la convivialité. Hélas, celle-ci n’est pas non plus au rendez-vous. Car, et cela vaut quasiment pour toutes les fêtes quelle que soit leur coloration religieuse, il est désormais très rare d’assister à un mariage ou à une bar-mitsva où la musique permet de se parler.Quand l’intensité des sons frise l’insupportable, trois attitudes sont possibles. Soit se taire en faisant un vague sourire à ses voisins et voisines en leur indiquant d’un geste navré que ce n’est pas le lieu pour dialoguer. Soit tenter de couvrir le bruit en s’époumonant. Mais, cette solution n’est praticable qu’avec retenue sinon gare à l’épuisement. Soit, comme cela se voit de plus en plus, se retrouver hors de la salle pour échanger quelques propos. Mais est-ce cela que l’on appelle participer à une sim’ha?En outre, même lorsque l’on sert les divers plats, et donc que la piste est désertée, la musique est de plus en plus rarement mise en sourdine. Alors, comme certains l’ont vu faire parfois, des invités excédés arrachent les fils de la sono. Dans le genre convivial, on repassera. Il y a, enfin, soit l’oubli total du motif qui a réuni les convives soit une volonté affichée de saboter les quelques pratiques (souvent toraniques) liées à l’événement. Pendant des semaines, le jeune bar-mitsva a préparé, avec tout son cœur, un discours. Or, à moins qu’il n’ait des dons exceptionnels d’élocution, une partie des invités ne se donne même la peine de l’écouter jusqu’au bout. Et il n’est probablement pas de spectacle plus pitoyable que de voir les parents et grands-parents du jeune homme tenter de faire taire ceux qui jouissent de ce rare moment de calme pour se parler.En ce qui concerne le mariage, ce n’est guère mieux. Ainsi, peu à peu, le pain mezonote remplace le pain motsi. Un traiteur a ainsi expliqué à son client médusé qu’il met le « vrai » pain dans une corbeille à part afin que ceux qui insistent pour faire motsi et birkat hamazone puissent se servir. Faut-il rappeler que les centaines de convives se sont en principe déplacés pour une séoudat mitsva lors de laquelle la consommation de pain réel est de mise ? D’ailleurs, il convient de s’arrêter sur cette séouda. Le dernier chic est de laisser les convives mourir de faim jusqu’à une heure avancée en servant le poisson le plus tard possible. Certes, certains d’entre eux se sont, au préalable, empiffrés au cocktail ce qui leur permet de tenir le coup... et de ne rien manger du repas. Ce qui provoque, soit dit en passant, un gâchis incroyable peu conforme avec une vision juive de l’existence.Avec un premier plat servi sur le coup de onze heures, la salle est pratiquement vide lorsqu’ arrive le moment de réciter les sheva bra’hote (sept bénédictions). Celles-ci sont pourtant là pour clore la séoudat mitsva, pour exprimer sa reconnaissance envers D-ieu qui a « présidé » à ce mariage et pour permettre aux présents d’exprimer leurs bénédictions aux jeunes mariés. L’essentiel se serait-il perdu ?

Catherine Garson

De mon correspondant au U.S.A.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 20 décembre 2004 - 22h15:

AU THEATRE CE SOIR…
PAR ALBERT SIMEONI.
Le Papy de Maisons-Alfort.

RITUEL

Paris le 24/06/2004.

Résumé du premier chapitre passe le 13 DECEMBRE SUR LE PTB A 20 33 l’heure d’HARISSA
Seifou, tailleur de son métier, dans son petit village de son Mali, tire la langue. Son cousin Aissa, éboueur à Paris, depuis 10 ans l’incite à venir près de lui afin d’y pratiquer la magie. Seifou, grâce à l’expérience de sa tante Mariama dans le domaine de la magie blanche, noire, et dans la fabrication d’onguents l’initie durant quelques semaines. Seifou débarque à Paris, à la grande surprise de son cousin Aissa. Son ami, Mamadou tombe en syncope dans la rue.


Récit.
Narration.

LE MARABOUT…..II


Seifou s’adressa à ses congénères….

-‘…Surtout n’appelez pas les pompiers, je vais le sortir d’affaire… !’

Le pauvre bougre tremblait de tout son corps…Seifou, sortit de sa poche, une petite fiole dans laquelle se trouvait un liquide noirâtre. Il fit boire lentement le breuvage au pauvre malheureux presque agonisant. Quelques minutes plus tard, le moribond se releva, retrouva ses esprits comme si de rien n’était devant les yeux éberlués des badauds, intrigués par le savoir faire du jeune Seifou.
Celui là sans être dénué d’intelligence avait réussit son coup grâce à cette mise en scène, car il avait mit dans sa collation matinale, à son insu , un mélange typique d’herbes africaines, une pincée de poudre, qui donnait des nausées, évanouissements, tremblements et maux d’estomac. Il ne lui suffisait plus qu’à faire absorber au sujet pressentit, sa ‘potion magique et le tour était joué. Ce fut un coup de maître.

La police arriva sur les lieux mais la foule s’évapora comme par enchantement.

Le ‘miraculé’ remercia humblement son compagnon de chambrée.

-‘…Vraiment tu as fait un miracle… !’ Il se porte à merveille… ! Mais dis moi qu’est ce que tu lui a donné… ?’ Lui dit son cousin Seifou.
-‘…Un breuvage que je porte toujours sur moi… ! Un remède de notre campagne… !’

La nouvelle de la guérison du jeune laveur de carreaux de vitre, fit le tour du quartier et arriva aux oreilles du sage Abdoulah.
Pendant qu’il discutait, on frappa à la porte, c’était le vieux sage…

-‘…La nouvelle de la guérison de Mamadou m’est parvenue Seifou… ! Tu es magicien… ?’
-‘…Je tiens des secrets de ma tante sur toutes sortes de magie et guérison… !’
-‘…Tu es marabout… ?’
-‘…Oui, et je veux venir en aide aux gens de mon pays… !’
-‘…De ton pays seulement… ?’
-‘…Pardon à tous les gens… !’
-‘…Je t’enverrais des compatriotes… !’

Il n’en fallait pas plus pour que le lendemain, une dame camerounaise se présente dans le misérable logement. Elle se plaignait de douleurs physiques. Seifou, lui dispensa de massages avec quelques onguents de son crû. Au bout de quelques jours, la dame fut rétablie .Elle n’en croyait pas ses yeux ; ses maux avaient disparus , volatilisés. Elle le paya grassement. Le tam- tam malien résonna dans le quartier, diffusant la bonne nouvelle. Le quartier avait à présent son grand guérisseur. Une seconde puis une troisième personne et ainsi de suite rendirent visite à Maître Seifou. Il s’en sortait habilement.

Ses premiers francs tombèrent et Seifou put ainsi payer sa cote part de loyer. Sa renommée s’affirmait.
Il se mit à dénouer et à renouer les affaires de cœur et à résoudre les petits soucis quotidiens d’un petite population noire, restée fidèle aux traditions ancestrales. Il pratiquait aussi la magie noire au grand dam de son cousin Aissa, qui ne tolérait pas ce genre de pratiques…

-‘….L’argent n’a pas d’odeur cousin, et c’est bien toi qui m’a soufflé ce mot de Maraboutage… ?’
-‘….Mais de là à pratiquer de la sorcellerie… !’
-‘….Tu veux peut être que je redevienne tailleur… ?’ Que je tire la langue à chaque fin de mois et que je ne te rembourse pas mes dettes … ! Je peux à présent me débrouiller seul… ! D’ailleurs, j’ai loué beaucoup plus grand du côte du quartier Voltaire… ! J’ai assez de clients pour bien vivre sans toi… !’

L’ingrat.

Il avait effectivement loué un grand appartement plus approprié pour ses voyances et ses remèdes miracles.

Aissa reçut l’affront comme un gifle en plein visage. Il ne dit mot et leurs relations cessèrent depuis ce jour.

Seifou recevait à présent, un éventail hétéroclite de gens venus de différents horizons et de toutes couches sociales mais n’avait toujours pas ses papiers en règle pour pratiquer, quant à la location de son nouveau cabinet, il la devait au concours d’ un client qui le prit en estime.

Par un matin ordinaire, il reçoit la visite d’ une bonne dame. Une ancienne retraitée de la Préfecture de Paris . Elle vient le consulter, pour la première fois. Elle avait 45 ans et vivait en concubinage avec son homme depuis plus de 25 ans. Elle s’en confia à Seifou qui lui assurait que son ‘malheur’ allait trouver une issue honorable. Mais la dame bien avertie dans ce genre de promesse, n’y croyait pas trop. Elle tenta donc sa dernière chance auprès de Seifou…

Elle voulut payer mais….

-‘….Vous paierez après résultats… !’

-‘…Tiens donc….. ! Lui dit elle ‘C’est bien la première fois que je sors d’un cabinet de marabout sans payer une fortune… !’

Quelques jours plus tard, la dame toute émue, vit son souhait se réaliser avec grand bonheur et stupéfaction…

Elle venait solder son compte quand….Aissa lui proposa…

-‘…Si vous pouvez m’aidez autrement… !’
-‘…Tout ce que vous désirez Maître Seifou… !’
-‘…Mes papiers…. ! Je voudrais, s’il vous est possible, que vous régularisez ma situation en France. Je suis là depuis bientôt deux ans, sans y être… !’
-‘…Qu’à cela ne tienne… ! Tenez… ! Voilà mon numéro de téléphone personnel et préparez tous ces documents, vous aurez tous vos papiers dans deux semaines au plus tard… !’

Chose promise, chose due. Deux semaines plus tard, il reçut sa carte de séjour d’un an, puis au bout de cette période et toujours avec l’aide Madame Christiane Bachaumont , celle de 10 ans. Profitant de cette bonne occasion, il demanda à être français et toujours avec les bons offices et la complicité de la retraitée, il obtint la nationalité française.

A SUIVRE…..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 20 décembre 2004 - 22h09:

CE SOIR LA SUITE DU MARABOUT II SOYEZ ATTENTIFS SEIFOU VA RENTRER CHEZ VOUS

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 20 décembre 2004 - 22h03:

SEIFOU LA MARABOUT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 20 décembre 2004 - 22h00:

OOOOOOOOOOOOOOOOOOHHH..§§§§§...MACUMMMMMBA...§§§§§§.....DOUG DOUG DOUG ...§§§§§..LES JNOUNS ONT PRIT D ASSAUT LE PTB.....DOUg doug doug Macumba....LES OFFRANDES......AHHHHHHHHH MAcumaba....baba chidi..§§§§§.....DOUG DOUG ..§§§..MACUMBA.....aweddah...§§§§§...AHAHAHA.....MACUMba...SACRIFICE D UN BOUC...SEIFOU LE MARABOUT ...BOUT DE FICELLE..§§§.....FICELLE DE CHEVAL..§§§§§§..DOUG DOUG AHHHH GOUBA DI LA DI MAYALOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO..§§§§§..LOL....doug doug....CONSECRATION DU SABRE...

doug doug doug..§§§§.....dans qq minutes doug ddoug ...§§§§§.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 20 décembre 2004 - 21h43:

DOUG DOUG doug doug ...§§§§..MACUMBA......§§§§§...DOUG DOUG doug doug ..§§§MA CUMMMMMMMMMMBAAAAAaaaa...§§§
AHAHAHAHAH..... LE MARABOUT Gouba di la di mayoLOOOOOOOOOOOOOOOO....§§§§§§.....MAAAAAA CUMBAAAA...§§§§.....DOUG DOUG.....§§§......OOOOO......MA AAAAAA...CUMBAAAAA..§§§§§.....GOUG GOUG doug doug Macumba...§§§§§......LE DIABLE MACUMBAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.....AHAHAHAH.....§§§§§.....DOUG DOUG....SEIFOU LA MARABOUT SERA LA CE SOIR DANS VOTRE CHAMBRE...AHAHAAH...§§§§....DOUG doug Macumba....§§§§§§§..... RITUEL DU FEU

Macumba...LE MARABOUT ...SEIFOUUUUU.....