Archive jusqu'au 26/décembre/2004

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2004: Archives Decembre 2004: Archive jusqu'au 26/décembre/2004
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 26 décembre 2004 - 14h04:

Michka

on commence à apprendre à raser les murs et on finit par se raser la barbe.

Et nos barbus alors ?

Tu charries ou quoi ? c'est pas dans la charia çà

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 26 décembre 2004 - 15h41:

Je connais le rabbin Bel Hassen de la Goulette.
Un monsieur digne et surtout un sacré fedleg, un pince sans rire qui 'égorge' les champignons Kacher et qui étete aussi cornichons, poivrons, artichauts de saison et carottes à longueur d'année. Je ne le connaissais pas CHOHET par contre. Cette ‘fine lame’ qui ne chômait pas puisqu'il était aussi notre seul rabbin à la Goulette qui faisait son bouleau avec conscience et abnégation. Il allait même réveiller, les matins de shabbat, les quelques réticents afin de compléter son minian.

Il est venu à Paris avec toute sa famille, il y a cinq ou six ans et malheureusement il n'a pas pu trouver du travail ; la communauté juive ayant jugée certainement qu'il n'avait pas les 'qualités requises françaises' pour égorger les végétaux. Il 'végète' donc depuis quelques années ayant seulement la foi pour subvenir aux charges familiales.
C'est cela être rabbin goulettois immigré sans emploi et rejeté par les siens.

C'est un brave homme et surtout un homme charitable.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 25 décembre 2004 - 20h32:

Michka,

Je viens de lire ce vaste programme avec sérieux et sans préjugè,après tout pourquoi pas...? Ca nous change un peu des feuilles de briks et de route.

Loin d'être déroutè par cette belle initatiative, je me garde bien de suivre à la lettre ce merdique programme à la sauce charia.

Je serai d'avis que ces résolutions soient introduites dans le MACHIN, O.N.U et il y a fort à parier qu'ils passeront HAUT leS MAINS sans abstention. Les kalinchakovs seront juste cachèes sous les pupitres au cas où....La MAJORITE ne serait pas requise.

En tout cas merci, cela nous change de Adra.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 25 décembre 2004 - 01h17:

Albert, voici les résolutions pour la nouvelle année. Bel avenir !!! En attendant Joyeux Nôël !


http://balagan.blog-city.com/


Sunday, 19 December 2004
Leçon de compromission…

Leçon # 1 : Baisser son sarouel.

Le ministre français de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres (HEU PARDON ! TOUFIQ AL RACHID DE VABRES) a annoncé le lancement d'une campagne de sensibilisation à la tolérance (AUTANT POUR MOI ! DE TOLÉRANCE À LA DOULEUR), baptisée ''vivre ensemble'' (À LA SAUCE CHARIA, CELA VA DE SOI) , via les établissements culturels et de l'audiovisuel public français (HEU PARDON ! LES SATELLITES DES ÉCOLES CORANIQUES DU CHIRAKISTAN) jusqu'à l'hiver 2006 (AU-DELÀ DE CETTE DATE, VOUS SEREZ CONVERTIS DE FORCE JUSQU'À CE QUE MORT S'ENSUIVE).

Rappel :
Ces opérations s'adressent exclusivement aux futurs dhimis et dhimettes de France et de Navarre — nos amis issus de l'émigration étant formés tout jeunes à ces nobles préceptes humanistes.
Voici le programme de ladite campagne :
1. Maniement des pages jaunes comme thérapeutique préventive et furtive contre l'adultère (ne laisse aucune trace, papier recyclé bio ayant reçu l'agrément Confédération Paysanne de France et conventionné par l'imam du Larzac, Youssouf Bové.
2. Cours de couture : J'apprends à me confectionner ma Bourkha bio.
3. Savoir déjouer un complot sioniste et décourager pacifiquement l'apostasie.
4. Cours de chimie appliquée : J'apprends à me confectionner une ceinture d'Islamikaze recyclable.
5. Un an d'abonnement gratuit au bouquet satellite Al Entorchonia, comprenant entre autre : Hrahoubouk TV, Al Manar, LCI (La Chaîne Islamiste), et beaucoup d'autres surprises !
6. Cour de rattrapage spécial pour les dhimis issus des rescapés de l'ancienne communauté israélite de la République Islamiste du Chirakistan :
a) j'apprends à raser les murs ;
b) l'arabe en 13 leçon
c) cours de tolérance au "sentiment" de mâchoire démise et autre contusions.

Nul doute que cette ambitieux programme de la France, oh pardon, de l'Eurabia conquérante, ayant reçu l'assentiment de Tariq Hramadan, l'apologiste véreux des fatwas light (moins d'1 % de pierre ponce dans le caillou à lapidation !), aboutira rapidement à un grand "sentiment" de "vivre ensemble" dans la tolérance et le respect de l'autre, oh pardon, de la charia coranique.

Emile Eustache Aliboron

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 23 décembre 2004 - 23h53:

Une erreur s est glissèe au début , il faut lire

'...MAITRE SEIFOU et NON AISSA...' Je m en excuse humblement.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 23 décembre 2004 - 22h14:

AU THEATRE CE SOIR…
PAR ALBERT SIMEONI.
}

Paris le 24/06/2004

Résumé des chapitres précédents
Seifou, tailleur de son métier, dans son petit village de son Mali, tire la langue. Son cousin Aissa, éboueur à Paris, depuis 10 ans l’incite à venir près de lui afin d’y pratiquer la magie. Seifou, grâce à l’expérience de sa tante Mariama dans le domaine de la magie blanche, noire, et dans la fabrication d’onguents l’initie durant quelques semaines. Seifou débarque à Paris, à la grande surprise de son cousin Aissa. Seifou désœuvré trouve un moyen ‘malsain’ pour se faire connaître. Il empoisonne presque son ami de chambre Mamadou à proximité du marché St Jean à Barbès dans le 18 ième. Seifou, devant la foule de badauds qui entoure le malheureux, lui ingurgite un antidote. Il est sauvé. On crie au miracle. Son coup à réussit . Son savoir faire fait le tour du quartier. Il reçoit ses premiers clients. Il se brouille avec son cousin et loue un appartement bien plus grand du côté de Voltaire pour ses pratiques. Une retraitée de la Préfecture de Paris , Madame Christiane Bachaumont lui vient en aide pour l’établissement de ses papiers. Il devient même français grâce à sa complicité.



Récit.
Narration.


LE MARABOUT…..III.



Maître Aissa put ainsi sortir de l’ombre et travailler au grand jour sans être inquiété outre mesure.

Son cabinet ne désemplissait pas. Il travaillait même très tard le soir, pour aider ‘ses ouailles’. Il ramassait le fric à la pelle ;

Vers les 18 heures d’un certain après midi, il vit descendre, en lorgnant par sa fenêtre, une dame habillée de haute couture; lui , qui s’y connaissait en vêtements, devina la griffe CACHAREL…La dame était fort élégante et portait un chapeau haute gamme. Elle attendit que son chauffeur lui ouvre la porte de la limousine, pour descendre. Il pressentit qu’elle venait le consulter.
Seifou regagna sa place puis entendit la porte sonner à cette heure matinale, sans rendez vous.

Il se leva lentement et alla ouvrir la porte…

‘….Bonjour Maître Seifou…. ! Je viens de la part d’une amie… !’
‘….Entrez donc madame… !’

La dame de bonne classe, s’installa dans le grand salon meublé de façon artisanale , décoré de quelques sculptures africaines en bois d’ébène, et toutes sortes de talismans et gris-gris accrochés au mur. Des icônes de saints africains trônaient en bon ordre aux coins de son cabinet. Du Touray ( encens à base da racine d’arbre) se consumait dans un encensoir électrique.

Elle semblait ravie de redécouvrir l’art nègre et se remémora cette odeur douce très parfumée.

‘….C’est du Touraye Sénégalais… ! J’ai passe plus de 10 ans en Afrique, un peu partout, mon défunt père était colonel dans l’armée française ; maman fut emportée par la malaria quand j’avais cet âge. Il décida après le décès de maman, de revenir vivre définitivement en France, en Lorraine plus précisément… ! J’y est passée une grande partie de mon adolescence avant que je ne rencontre Alfred… ! Mon mari trépassa, il y deux ans toujours en Afrique.’

Il comprit que la noble dame, âgée d’une cinquantaine d’année avait un besoin de se confier…Il la laissa parler poliment.

-‘….Je vis seule dans mon grand pavillon pas très loin de Paris. Mes enfants, Alice et Georges sont mariés.. ! Georges a épousé une petite fortune quand à Alice,
ma seconde fille, elle s’est acoquinée avec un modeste jeune homme ….. !’
-‘…Qu’est ce qui vous amène madame… !’

Il coupa court à la conversation qui n’avait pas trop d’importance à ses yeux..

-‘…Il s’agit de mon héritage… !
-‘…Votre héritage… ?’
-‘…Oui, je ne veux rien laisser à mes enfants et si je suis venue vers vous c’est pour que puissiez travailler à distance leurs esprits afin qu’ils renoncent à cela, je veux léguer ma fortune à ma fondation … !’
-‘…Mais travailler sur leurs esprits, demande beaucoup de temps… ! Et puis rien ne vous empêche de faire ce legs de votre vivant….. !’
-‘…Oh…. ! Ils trouveront un moyen pour me faire passer pour débile et ainsi partager mes biens. Je ne peux aussi venir ici pour mes consultations, ne vous serait -il pas possible de … !’
-‘…Oui, je me déplace aussi… ! Pas de problème… !’

Seifou instinctivement, flaira la bonne affaire juteuse….

-‘….Bon, il faut tout d ‘abord que je m’imprègne des lieux… !’
-‘….Mon chauffeur viendra vous prendre, quand vous serez prêt, vos honoraires seront les miens… !’

Elle se leva et salua le grand Marabout. Il la suivit du regard . Elle s’engouffra dans la limousine.
Elle laissa cependant ses coordonnées au Marabout.

Au bout de trois jours plus tard, ne voyant rien venir, elle téléphone au sorcier.

-‘….Maître Seifou… ?’
-‘….Bonjour Madame… !’
-‘….J’attends de vos nouvelles… ?’
-‘….Que pensez vous si je venais demain vers les 13 Heures… ?’
-‘….Disons plutôt 15 heures… ! Ma domestique sera partie… !’
-‘….Bien Madame…. ! Alors à votre heure dite… !’

Il fit sciemment le ‘mort’ pendant cette période. A toutes fins utiles.

Elle raccrocha..

Seifou réfléchissait. Il s’allongea un instant, décrocha le téléphone. Le sommeil l’emporta. Il dormit de tout son soul.

Le lendemain vers le coup des 15 heures sonnantes, Maître Seifou se présentait devant le seuil du grand pavillon de Madame Elisabeth Bouillet. Riche héritière, veuve depuis deux ans. Son domaine était situé à quelques 30 km de Paris, dans les Yvelines.

Il n’eut pas le temps de sonner au portillon de fer forgé, que celle ci s’ouvrit automatiquement comme par enchantement. Une caméra de surveillance signala sa présence. Elisabeth l’accueillit au pas de la porte..

-‘….Bonjour Maître.. ! Rentrez donc… !’

Ils se serrèrent la main courtoisement tandis qu’il franchissait le seuil du pavillon.

A SUIVRE….

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 23 décembre 2004 - 21h08:

LE MARABOUT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 23 décembre 2004 - 21h06:

A DROITE LA DEESSE LATCHMI, SARASVAT et à droite
DURGA( AMBAJI)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 23 décembre 2004 - 21h03:

LATCHMI..LA DEESSE...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 23 décembre 2004 - 19h47:

LE MARABOUT



Ce soir LE MARABOUT SEIFOU III.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 23 décembre 2004 - 13h59:

ETRE HARISSIEN…Qu’est ce que cela veut dire …Suite…

Peut on parler d’identité Harissienne… ? A mon humble avis non car cela ne constitue pas d’abord à une ethnie communautaire spécialement juive puisque nous avons vu des
non juifs écrire puis repartir sans laisser de traces ni d’adresses.. Donc qui peut se targuer d’ être vraiment un HARISSIEN… ? Est-ce lui qui écrit le plus .. ? Est- ce le lecteur incognito fidèle au forum et qui n’intervient que rarement ou pas du tout.. ? le seul fait d’écrire une seule ligne dans le forum fait t’il de celui là un HARISSIEN…. ? Non, puisque personnellement, j’ai déjà écrit ailleurs pour le simple principe qu’en tant que tune juif ,je partage ce qui peut être partagé. C’est l’essence même du tune juif.

Etre HARISSIEN c’est d’abord être fidèle à son KIF car comme tout le monde le sait nous sommes des KIFFEURS, oui, une race de Kiffeurs et cela depuis bien longtemps, culinairement parlant déjà, nous aimons la bonne table sans parler de la chaire ; donc écrire passe par le KIF s’il n’y a par de KIF il n’y a pas de plaisir et là où on lit UN KIF, il a plaisir, là où on lit un écrit de mémoire, il y a KIF. Je pense que ce mot fait partie de notre patrimoine car tout est KIFchez nous, juifs tunes. UN HARISSIEN doit être un KIFFEUR, s’il ne l’est pas il n’est pas ce premier. Une dame me dit ‘…Albert, je te lis après avoir terminer mes occupations….. !’ donc me lire est un KIF pour elle...Une autre me dit ‘…Albert est ce que ne pas être née en Tunisie, mais en Israël de parents tunes, donne t’il le droit à certains anciens tunes de paraître mesquins envers les jeunes femmes non tunes… ?’ Je cite de mémoire…. Et bien non, je dirais à cette dame, que nos époques sont différentes d’une part et que nous les anciens sommes restés spirituellement figés dans un cadre paysan’ entendez par là du pays…Avec nos traditions, nos superstitions et nos défauts, nous sommes surtout restés fidèles aux proverbes de nos aïeux que nous débitons pour faire valoir nos pensées… ! Une sorte de roue de secours qui bien souvent nous donne l’impression d’être sortis à bon compte, lors d’une remarque ‘désobligeante’. Il faut aussi tenir compte de la ‘Franchise de tous ces jeunes ‘ qui, pour nous les anciens constitue un acte ‘irrespectueux’ parce que nous avons été élevés selon des principes moraux sacrés ; celui de respecter l’ancien…Nous devons comprendre que notre esprit tune n’est plus d’actualité et qu’il faut, s’il n’est pas trop tard, se recycler, ce qui est impensable à mon avis.

Nous devons tenir compte de cette fraîcheur afin de ne pas être qualifié de ‘mauvais coucheurs’ parce qu’une jeune femme, où n’importe qui, nous a répondu d’une façon que nous jugeons peu ‘orthodoxe’ alors que le fond de sa pensée est cartésien et surtout bien claire. Certaines réflexions nous dérangent et nous en prenons ombrage alors qu’au contraire, il faut leur reconnaître l’esprit de culture avancée, qui est bien loin de notre pensée caduque.
Pour la plupart d’entre nous sans très grand bagage intellectuel, il nous faut sortir de ce ‘carcan spirituel ‘ imposé par nos géniteurs et reconnaître que nous ne sommes plus dans le coup……

A suivre, si je suis inspirè…

Comme je sais qu’il n’y aura pas de débats sur ce point de vue, ici, sur ces planches, je n’émets donc qu’un avis personnel sans qu’il soit philosophique…..


Albert

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mercredi 22 décembre 2004 - 21h52:

Harissien qu’est ce que cela veut dire.. ???

Une confrérie qui se rencontre tous les mois à la pleine lune au Bois de Boulogne.. ?
Une réunion d’ecclésiastiques qui sonnent les matines tous les matins en psalmodiant une liturgie d’enfer… ? Des gens en cagoule qui décident de ce qui est bon ou mauvais .. ?
Qui doit rester et qui doit partir… ? Ou alors qui se réunissent en conclave pour partager tous les ans des plats de lentilles et de fayot pour faire péter leur cul plus haut qu’il ne l’est.. ?
Non, rien de tout cela.

Un personnage d’age mûre, un tune ou une ‘tune’ qui un jour est tombé par hasard ou alors recommandé par un ami, sur un site qui se nomme HARISSA. Un tune avec son caractère, qui loin d’être stéréotypé, porte en lui les gênes de son ancien pays de Tunisie ; mor ou hlou, blid ou rkik rabou, myasben ou belle béqitè, hmoum ou brad, khraa ou me chkhroun, rajèl ou neyeq, kheyef rabi ou grimèlè, ââla ou bamada, bref la liste est incomplète.
Un tune qui n’est plus jeune et qui a dépassé allégrement l’âge de la circoncision et de la bar mitsvah.

Jusqu’au jour où il reconnaîtra qu’il devient inutile et il dira à ce moment là ‘…Yemchiou i naykou… ! J’ai autre chose à faire …. !’ Alors qu’en réalité, il s’emmerde à mourir.


Ce qui me désole un peu c’est la relève….Personne ne peut préjuger de ce que sera ADRA dans 5 ans, puisque les vieux tunes ne vont plus se raconter. Jusqu’à présent à part quelques uns qui osent, personne, il faut le reconnaître, ne peut imaginer même en ballout, nous raconter qq chose de consistant, à part les recettes qu’ils vont puiser dans les grimoires tunes.

Les jeunes nés et élevés de parents tunes ne sont pas enclins à prendre la relève. Ils sont nés ici, donc ils ne peuvent plus parler de ce qu’ils ne connaissent pas de l’ancien pays de leurs géniteurs. Mellah raha.
C’est évident puisque ne voulant pas assimiler les souvenirs de leurs aïeux, ils occulteront le patrimoine culturel de leurs parents. Le vrai juif tune aura disparu dans quelques années.
Il restera que le jeune tune français……