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Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2007: Archive Janvier 2007: Archive jusqu'au 26/janvier/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 26 janvier 2007 - 08h46:

CACOUBOULOU

Parmi ses frères d'armes dans le Khmis.....

KHMIS ââli comme il est beau dans cet accoutrement.

L'avez-vous reconnu dans ce simulacre de 'mascarati youdi bérbère' ...?


 LE CHEF CACOUBOULOU



Photo le Figaro.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 25 janvier 2007 - 21h47:

Ma chére Lza,

Bonsoir, je n'ai pas pu te répondre avant car j'étais dérrière la camèra.
Toi tu es devant la scéne.

Tu es voyagiste dans le réèl.
Moi dans l'imaginaire sans forfait.
Dans cet espace je fais tout, de la plomberie
de l'élèctricitè etc...et aussi je vends du rêve.

Portes-toi bien et bonne nuit.
Ma chérie.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le jeudi 25 janvier 2007 - 21h40:

 LE PTB VU PAR MICHKA



Albert Simèoni.
L'Enfant de la Goulette


Récit.

Waraba est confiée à 5 ans à la tante de sa mère, Oumi, divorcée. La jeune fille est maltraitée et subie des violences sexuelles par la domestique et des châtiments corporels par sa tante, au lever du jour. Elle ne dit mot à son papa qui vient de temps à autre la promener dans les bois. Elle fugue un jour mais et vite reprise. Sa tante lui tend un guet-apens, elle ne doit son salut qu'à ses cris. Un lointain cousin la remarque et veut l'épouser à 15 ans. Son père s'y oppose. La jeune fille, en robe de mariée prétexte un petit besoin et s'éclipse, juste une heure avant la cérémonie. Elle fuit, en tenue de cérémonie, dans la forêt à la recherche du marabout. Elle le rencontre et ce dernier lui conseille d'aller à Casamance, chez son père. Elle est prise en charge en camion par un commerçant se rendant dans cette ville. Elle se confie à lui.

LA LIONNE.


Chapitre III.

§§§§§…Sé megen tegui mani nièm. Degbi médjèm dafassari sakhar gofodjèm délsinè …..Africa…Africa…..§§§§§…..Nenniou lèn myoun sitè siè..§§§§§…Mounièm lola dal yallah bourbi dey natou diaman….§§§……
Le pays là où je vais est très loin. Le train qui m'a emmené est reparti. J'essaye de supporter la souffrance de la séparation. Je supporte tout, c'est D ieu qui l'a voulu car c'est mon destin


La route était bien longue. Plusieurs kilomètres à avaler, sous un soleil accablant, sans croiser âme qui vive, à part quelques caravanes de chameaux. Ou des camions qui remontaient la nationale 128.
Elle sombrait dans un profond sommeil. Quelques heures plus tard, le chauffeur bifurqua dans un sentier afin de se reposer laissant la jeune fille dans la cabine alors que lui s'installa à l'arrière pour se reposer et casser la croûte.

L'aube se leva. Waraba, se réveilla. Son chauffeur lui proposa de s'arrêter à une station d'essence pour déjeuner et surtout se rafraîchir un peu. Elle se contenta d'une miche de pain avec un bout de fromage de chèvre et juste une bouteille d'eau.

Finalement ce fut au bout de deux jours et demi, d'haltes et de départs, quelle lorgna sur le panneau annonçant la ville de Casamance. Le chauffeur, lui proposa de la déposer là où elle voulait. Elle indiqua la caserne de son père. Elle remercia son bienfaiteur et se dirigea vers la base. Elle demanda à la sentinelle, surpris par la présence de cette jeune fille en tenue de cérémonie, de rencontrer son papa, le colonel Moussa. Le jeune homme lui apprit qu'il était à l'étranger.
La jeune fille s'agenouilla et se mit à pleurer chaudement.

'..Mais pourquoi pleures-tu…?'
-'Je viens de faire plus de 1000 km pour retrouver mon père, je n'ai personne ici, personne..! ' Confia t'elle au vigile.

'Ecoutes, calmes-toi, dans une heure, je termine mon tour de garde, et demain, je rentre en permission, tu viendras chez nous…!'
'Comment ça chez toi…?'

'Va t'installer sous cette guérite, en face, elle est abandonnée, attends moi..!'

Elle alla s'asseoir sous l'abri, presque désabusée. Désespérée.

Une heure et demi, plus tard, le vigile, réapparaissait. Waraba, s'était assoupie.
Il lui tapota l'épaule. Elle sursauta et ouvrit les yeux.

'..Viens, lèves-toi, je viens d'avertir ma famille, elle nous attend…!'

Elle se laissa guider. Ils prirent un bus, bondé, et trois quarts d'heure plus tard, ils descendirent sur le bas côté de l'arrêt dit Arbatta. La maison était à quelques mètres de la station. Dans la campagne.
La famille presque au complet, les accueillit au pas de la porte. On lui indiqua la chambre qu'elle allait partager avec une des sœurs. Adam, le jeune garçon, était tout prévenant envers elle. La maman proposa à la jeune fille de se débarrasser de sa robe de mariée et de vêtir un boubou, un wax. Ce quelle fit avec soulagement après avoir fait une bonne douche. Elle déclina poliment le souper, trop fatiguée pour cette corvée. Elle émit le vœu de se coucher. Adam, la regardait avec assiduité.

Le lendemain, Adam, frappa à la porte de sa chambre. Waraba n'y était pas. Il paniqua un moment avant de se rendre compte, que la jeune fille s'amusait dans le jardin, bien matinale, avec le chat domestique. Elle l'aperçut et l'invita à le rejoindre.

'...Bonjour Waraba…!'
'...Bonjour Adam..!'
'…Alors et cette nuit…?'
'…Je me suis repue de sommeil..!'
'...As-tu mangé quelque chose..?'
'…Ta maman m'a préparée des gâteaux et un bol de sorgho..!'
'…Tu vois, tu es au petit soin, chez nous, je n'ai pas eu cette chance, elle ne m'a rien préparé, je dois faire mon breakfast tout seul…! Dit-il avec un sourire aux lèvres.
'…Il fait si beau ici…!'
'…Ce matin, je vais te faire visiter les alentours…!
'….Je te suis, tu seras mon guide, si tu le veux bien…!'
'…Oui, je ne vois personne d'autre le faire…!'

Elle en rit.

A suivre…..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le jeudi 25 janvier 2007 - 21h31:

La patience est synonyme de triomphe
Le bonheur n’est pas illusion pour ceux
Qui ont la rage au coeur.

Il n’est point de conteur qui ne sache conter
Il n’est point d’historien qui ne sache relater.
Il n’est point de troubadour qui ne sache chanter.
Il n’est point de danseur qui ne sache danser.

Un ciel sans nuages n’est pas un ciel.
Une mer sans vagues est stérile.
Un volcan qui ne souffle plus, se meurt.
Une montagne qui accouche n’existe pas.

Le solitaire trouve pour compagne le silence.
Alors qu’est ce qui a changé… ????

Le guerrier  GUERRIERn’est pas forcément un va t’en en guerre.
Il peut s’agir aussi d’un esprit guerrier, d’un battant.
D’un homme ou d’une femme qui se bat pour son avenir,
Pour son couple, sa famille, son travail.
Pour ses convictions, pour ses idées, pour sa religion, sa foi

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le jeudi 25 janvier 2007 - 21h29:

AFRICAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.§§§§
AFRICAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA§§§§§§§
DOUG ...DOUG....DOUG....


Waraba la lionne LIONNE s’est enfouie,
Le jour de ses noces, un matin
Elle a prit le maquis, vers son destin.
La révolte gronde dans son âme
Et son corps meurtri saigne à blanc.
La peur au ventre, et le cœur lourd
Ses yeux rougis par ses larmes de sang.

Les cris des ouistitis  OUSTITISl’accompagnent
Les serpents arrimés aux branches des arbres
La regardent.
Perdue dans ses idées noires,
L’esprit embrouillé, elle s’enfonce
Dans la foret.

Sur son chemin, une cabane.
Un vieux sage assis l’attend.
Paroles de marabout sans désespoir
Il lui indique au loin un horizon d’espoir.

La route est bien longue au loin.
Mais à qui sait attendre,
Nul sacrifice n’est vain.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le jeudi 25 janvier 2007 - 21h18:

§§§§§…..AFRICAAAAA……AFRICAAAAAAAAA…§§§§§….

§§§§§…Sé megen teguiIIIII maniIIIIIIIIIIIIII nièm.
DeEEEEgbi médjèm dafassari
SaAAAAAkhar gofodjèm délsinè …..Africa…AfricaAAAAAAAAAAAAAA…..§§§§§…..Nenniou lèn myounNNNNNNNNNNNNNNNN sitè siè..§§§§§…Mounièm lola dal yallah bourbi dey natou diaman….§§§……

Le pays là où je vais est très loin. Le train qui m'a emmené est reparti. J'essaye de supporter la souffrance de la séparation. Je supporte tout, c'est D ieu qui l'a voulu car c'est mon destin

‘…Afrique…. !Afrique…. ! Des fiers guerriers des savanes ancestrales…. !
Afrique…..Afrique…. ! Que chantait ma grand-mère au bord de son fleuve lointain… !
Je ne t’ai jamais connue mais mon regard est plein de ton sang, ton beau sang noir
A travers les champs, répandu…Le sang de la sueur de ton travail, le travail de l’esclavage, esclave de tes enfants….

Afrique…. ! Dis moi Afrique est ce donc toi ce dos qui se courbe et se couche sous le poids de l’humanité, ce dos tremblant qui ploie sous les coups des fouets sur les routes de midi… ? Alors vaillamment une voix me répond…

’ Fils irrespectueux cet arbre est jeune, cet arbre là bas splendidement seul au milieu des jeunes fleurs blanches et fanées… ! C’est l’Afrique, ton Afrique qui repousse qui repousse passionnément obstinément et dont les fruits ont la saveur de la liberté. … !’

Léopold Sedar Senghor.

‘…Sous les séquoias  SEQOIASd’Afrique.
Une végétation active vit.
Au rythme du tam tam qui s’effrite
Dans la brousse…
Les mangeurs d’hommes  TIGRES épient.
Tapis dans les vertes couvertures
De la prairie.

L’éléphant barrie. ELEPHANT
Le croco baille. CROCRO
Le zèbre paît. ZEBRE
Le taon pique. TAON

Le temps s’écoule.
Lentement au rythme
Des saisons…..

La girafe dresse l’oreille. GIRAFE
L’antilope craint. ANTILOPE
Le serpent repu dort. BOA
Le cormoran prend son envol. CORMORAN
Au dessus de la plaine paisible où il ne se passe jamais rien.

Et l'homme qui chasse ...GUERRIERS MASSAI
DOUG….DOUG….DOUGGGG….DOUGGGG…§§§§§§§….§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lza (Lza) le jeudi 25 janvier 2007 - 19h32:

Décidemment, on ne zappe aucune profession dans ce théatre !!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le jeudi 25 janvier 2007 - 20h39:

'§§§§§§...BOUMMMMMMM...BOUMMMMMM....*
BOUMMMMMMM....BOUMMMMM..BOUM....

BOUM....BOUM....BOUM.....BOUM....

.BOUMMMMM...BOUMMMMM........
AFRICAAAAAAAAAAAAAAAA.....AFRICA.///


AFRICAAAAAAAAAAAAAA....BOUMMMMM...
BOUM....BOUM......BOUM......OUGA DILA DI MAYALOO....§§§§§...BOUM......BOUM...
.BOUM....§§§§§§§§§§boum....boum....boum...bo...§§§§§...b..§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Jano (Mr_Jano) le jeudi 25 janvier 2007 - 18h15:

CHANSON.


Paris le 25/01/2007.
Passe au PTB.


LA PUTE.

'...EEEEElle va elle viIIIIIIIIent.

S’arrête et repaRRRRRrt.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Elle vAAAa elle viIIIIent..§§§§§§

S’adosse à un réverbère sans faRRRRrd

Tire sa cloOOOOpe et la fumée qui monte en l’air
Sous le ciel gris et blafaAAAArd.

§§§§§§§

Elle va, elle vieEEEEEnt.
Salue son homme, un habitué du violOOOOOon
Accoudé sur la vitre d’une boite à chansoOOOOns.
Qui sirote son alcool, sa boisson…§§§§

Elle s’arrête, tousse crache au pied d’un aRRRRrbre
Sa clope en traversant le passage à piétOOOOons.
Et son haleine dans la fumée
Qui stagne sous les lampiIIIIons.

Elle tapine aux mêmes heuUUUUres
Le tapIIIin c’est son vieux métiIIIIer
SoOOOOn gagne pain sa pitaAAAnce
Sa caAAAAme.//§§§§§§§§

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Elle va et elle vient… !

S’arrête et discuUUUte
Palabre sans fin, négocie son machIIIIin,
Sous les regards des passAAAants
EEEEt les enseignes clignotaAAAAAnts,
Son charme bien vieilli depuis des lendemaIIIIins.

Pour quelques dizaines d’EuroOOOOs, son prix s’est fixé
Dans la pupille du vieux client bienheureuUUUx qui s'offre.....////

Cinq minutes, et pas une de pluSSSSS…

Un amour délabREEEEEEEEEEEEEEEEE….§§§§§§§
Recouvert d’un plastic bien huilèEEE…..§§§§§§§
....'
Enfin.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 25 janvier 2007 - 17h43:

Il manquait un chapitre A MA RIME...
C'est ce qu'elle me dit...Donc la voilà nue et entière...

Rime, Crime, Brime…

‘…La RIME se plaint.
A qui ???
A moi, son auteur… !

D’être tordue, triturée, malmenée
Non respectée….Mal grimée
Par qui… ? Par moi.

De subir un calvaire.
Au quotidien.

Elle est désespérée me dit t’elle
Pour motif que je ne la compte pas
Ni par les pieds ni par les mains ;
Et son corps s’en trouve mutilé.

Elle veut que j’assure les syllabes
Que je les ordonne en bons alexandrins,
Moi le désordonné, j’ l’veux libre.
Je n’vais quand même pas mettre un frein
A mes vers ou à mes proses,
J’en fais ma cause.
Because…

Libre ok me dit t’elle … !
Mais pas à n’importe quel prix… !

La RIME libre se plaint, hurle crie, étouffe

Est-ce un CRIME d’en faire ce que j’en veux ??
De ma rime qui s’arrime par devant ou par derrière
Dans ma prose que je pose à tors et à travers.

Dois-je composer pour lui plaire
Consacrer plus de temps pour se faire. ????
Elle m’interdit que je rimaille avec MARMAILLE…PAPAYE…
Et même BAGAÏ*.. ;!!!!!

Et l’autre qui m’accuse
De bloquer l’espace.
D’avoir recours
Au grand marcassin… ?
Pour lui dire ASSASSIN…. ?

A qui ??? A qui veut l’entendre… ! Moi qui n’entends plus rien
Lorsque je suis en compagnie de ma RIME qui ME BRIME
De l’embrasser à fond perdu… ???
On bise bien les femmes éconduites ou pas ???
Alors de quoi se plaint t’elle cette organe… ?
Qui parle de délit… !
De crime à qui veut l’entendre … !
Mais qui l’entend ???
Lorsqu’elle est en ma compagnie et qu’elle me FRIME.

Je préfère me taire mon ami.
M’occuper de ma RIME qui me donne du bien.


*Toute chose en créole.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 25 janvier 2007 - 17h37:

CHANSONNETTE.

Rime, Crime, Brime…

‘…La RIME se plaint.
A qui ???
A moi, son auteur… !

D’être tordue, triturée, malmenée
Non respectée….Mal grimée
Par qui… ? Par moi.

De subir un calvaire.
Au quotidien.

Elle est désespérée me dit t’elle
Pour motif que je ne la compte pas
Ni par les pieds ni par les mains ;
Et son corps s’en trouve mutilé.

Elle veut que j’assure les syllabes
Que je les ordonne en bons alexandrins,
Moi le désordonné, j’ l’veux libre.
Je n’vais quand même pas mettre un frein
A mes vers ou à mes proses,
J’en fais ma cause.
Because…

Libre ok me dit t’elle … !
Mais pas à n’importe quel prix… !

La RIME libre se plaint, hurle crie, étouffe

Est-ce un CRIME d’en faire ce que j’en veux ??
De ma rime qui s’arrime par devant ou par derrière
Dans ma prose que je pose à tors et à travers.

Dois-je composer pour lui plaire
Consacrer plus de temps pour se faire. ????
Elle m’interdit que je rimaille avec MARMAILLE…PAPAYE… Et même BAGAÏ*.. ;!!!!!


*Toute chose en créole.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 25 janvier 2007 - 17h06:

'...Ce soir '...WALI...LA LIONNE...SUITE...!