Par Breitou (Breitou) le mercredi 05 janvier 2005 - 22h45: |
AU THEATRE CE SOIR…
PAR ALBERT SIMEONI.
Paris le 24/06/2004
Résumé des précédents chapitres passes.
Seifou, tailleur de son métier, dans son petit village de son Mali, tire la langue. Son cousin Aissa, éboueur à Paris, depuis 10 ans l’incite à venir près de lui afin d’y pratiquer la magie. Seifou, grâce à l’expérience de sa tante Mariama dans le domaine de la magie blanche, noire, et dans la fabrication d’onguents l’initie durant quelques semaines. Seifou débarque à Paris, à la grande surprise de son cousin Aissa. Seifou désœuvré trouve un moyen ‘malsain’ pour se faire connaître. Il empoisonne presque son ami de chambre Mamadou à proximité du marché St Jean à Barbès dans le 18 ième. Seifou, devant la foule de badauds qui entoure le malheureux, lui ingurgite un antidote. Il est sauvé. On crie au miracle. Son coup à réussit . Son savoir faire fait le tour du quartier. Il reçoit ses premiers clients. Il se brouille avec son cousin et loue un appartement bien plus grand du côté de Voltaire pour ses pratiques. Une retraitée de la Préfecture de Paris , Madame Christiane Bachaumont lui vient en aide pour l’établissement de ses papiers. Il devient même français grâce à sa complicité. Un après midi, il reçoit une dame de qualité. Veuve et riche héritière. Elle vient le consulter pour ‘une influence à distance’ ; détourner les pensées de ses deux enfants, Alice et Georges, tous deux mariés qui veulent forcer, leur mère, selon ses dires, à leur léguer une bonne partie de son héritage alors que cette dernière a couché tous ses biens en faveur de sa fondation. Seifou écoute et enregistre. Rendez vous est prit au pavillon de Madame Elisabeth. Il est emballe par la richesse de la dame. Il demande des ‘témoins-supports’ pour son travail de magie à distance. En vérité ,le Marabout à d’autres projets, bien précis, en tête. Il va procéder à un envoûtement d’amour sur la riche héritière. Cette dernière se voit et durant 7 nuits faire l’amour avec le sorcier Seifou. Elle tombe amoureuses de lui par ces échanges hors-du commun. Au 8ième jour, patatras plus rien et les jours suivants, son amoureux n’est plus à ses rendez- vous nocturnes. Elle veut en avoir le cœur net et décide d’aller à sa rencontre chez lui.
Récit
NARRATION
LE MARABOUT…VI
Seifou jugea que la prune était mure.
A 16 heures, ‘son amour de rêve’, le marabout Seifou se présente devant sa porte.
Elizabeth soigna plus que d’habitude sa tenue vestimentaire, s’épila les jambes avant d’aller chez son coiffure habituel bien avant l’arrivée de Seifou. Elle voulait paraître encore plus belle quand il se présenterait devant elle, avec une arrière pensée, celle de le charmer. Une fine couche de fond de teint, cachée par une poudre délicatement rosée, donnaient à ses joues ainsi maquillées sans outrance, mais avec goût par son esthéticienne, un atout supplémentaire de beauté à son minois.
Son maquillage relevait tant soit peu la douceur de ses jolies traits.
A l’intérieur, Elisabeth invita Seifou, à prendre place sur le même sofa de sa première visite. Elle demande à sa domestique de servir. Il remarque le soin qu’elle apporta à sa tenue.
-‘…Vous êtes magnifique…. ! Elisabeth.. !’
-‘... Oh merci… ! Vous aussi… !’
-‘…Tutoyions nous .. ! Ok ???
-‘…Ok… ! Tu es ravissante… !’
-‘…Deux éloges en si peu de temps, me font rougir Seifou… !’
-‘…Viens t’asseoir près de moi sur le sofa, nous serions plus à l’aise… !’
Il s’installa à ses côtés et Seifou devina par ce geste ce qu’il espérait depuis bientôt trois mois.
-‘…Tu sais je me sens bizarre en ce moment Seifou… !’
-‘…De quoi bizarre… ! Elisabeth… !’
-‘…Je ressens d ‘étranges sensations depuis quelques nuits… !’
Il feignit de ne pas comprendre, il lui prit la main à la manière africaine pour la rassurer. Elle laissa faire.
-‘Que vous arrive t’il…. ?’
-‘Des choses bizarres dans mon corps que je n’ai plus ressentis depuis longtemps même avec mon défunt mari… ! Dans des rêves… !
Elle sentait la pression de ses paumes sur ses mains et une intense chaleur recouvrit son corps, elle la retira poliment prétextant qu’elle allait servir les boissons que la domestique présenta. Mais elle s’arrêta pas pudeur dans sa narration afin de pas gêner Seifou.
-‘…Du bien être… ! Elisabeth… ?’
-‘…Oui un peu cela, exactement du bien être.. !’
-‘…Explique toi… !’
-‘…Il est encore trop tôt, je pense…N’écoute pas trop les délires d’un vieille dame.. !’
-‘…Vieille dame… ? Toi, mais Elisabeth tu es pleine d’énergie, laisse toi te guider par tes rêves … !’
-‘…Mais rêves tu as dis… ?’
-‘…Oui comme ça, tout le monde fait des rêves… !’
-‘…Oui les rêves nourrissent le corps parfois… ! Nous donne la sensation de revivre ailleurs, le rêve c’est tout ce qui reste quand la réalité nous paraît terne… !’
Elle se retint pour ne pas dévoiler son secret…
-‘…Donnes moi le temps et je te raconterai tout quand je serai prête… !’
-‘…Mais dis moi pourquoi suis –je venu alors… ?’
-‘…Je voulais te voir et savoir où tu en étais dans tes travaux… !’
-‘…Un caprice de dame, plutôt… ! Et bien, j’ai analyse les énergies de Georges ; il est sous l’ influence da sa grande sœur, il est fragile… !’
-‘….Depuis la mort de son père, il va de dépression en dépression.. … !’
-‘….Alice est dur d’esprit, difficilement malléable, mais je parviendrai à ‘convaincre son esprit.. !’
-‘….Elle, c’est une rebelle, une forte tête et je la crains d’autant plus qu’elle connaît du monde celle là… ! ‘
-‘….Es-tu … Fiancé ….. ? Seifou… ?’
-‘….Fiancé… ? Oui avec mon métier, cela fait beaucoup de temps que je n’ai pas touché un corps de femme.. !’
-‘….Oh pardon, j’ai été indiscrète à ce que je vois… !’
-‘…Non pas du tout…. ! Il fallait peut être que cela se sache … !’
-‘…Excuses- moi… !’
-‘…Je vais m’en aller Elisabeth, j’ai du travail qui m’attend … !’
-‘…Ok…. ! Pense à moi…. ! A mon travail… !….Bref, fait de ton mieux.. !’
Il se leva tout en la saluant et s’engouffra dans sa voiture.
A SUIVRE….
Par Breitou (Breitou) le mercredi 05 janvier 2005 - 22h39: |
Par Latitesse (Latitesse) le mercredi 05 janvier 2005 - 21h48: |
Des banataches et des briks aux pommes!!!!!
mon rêve!!!!!!!!! dans ce cas tu es excusé de
nous faire attendre
Par Albert (Albert) le mercredi 05 janvier 2005 - 22h15: |
LA SUITE DANS QUELQUES INSTANTS APRES LES MANDARINES, LES BANANES et le CHOCOLAT, je suis au régime tant l'émotion est trop grande
Par Breitou (Breitou) le mercredi 05 janvier 2005 - 22h10: |
AU THEATRE CE SOIR…
PAR ALBERT SIMEONI
Paris le 24/06/2004
Résumé des précédents chapitres passes.
Seifou, tailleur de son métier, dans son petit village de son Mali, tire la langue. Son cousin Aissa, éboueur à Paris, depuis 10 ans l’incite à venir près de lui afin d’y pratiquer la magie. Seifou, grâce à l’expérience de sa tante Mariama dans le domaine de la magie blanche, noire, et dans la fabrication d’onguents l’initie durant quelques semaines. Seifou débarque à Paris, à la grande surprise de son cousin Aissa. Seifou désœuvré trouve un moyen ‘malsain’ pour se faire connaître. Il empoisonne presque son ami de chambre Mamadou à proximité du marché St Jean à Barbès dans le 18 ième. Seifou, devant la foule de badauds qui entoure le malheureux, lui ingurgite un antidote. Il est sauvé. On crie au miracle. Son coup à réussit . Son savoir faire fait le tour du quartier. Il reçoit ses premiers clients. Il se brouille avec son cousin et loue un appartement bien plus grand du côté de Voltaire pour ses pratiques. Une retraitée de la Préfecture de Paris , Madame Christiane Bachaumont lui vient en aide pour l’établissement de ses papiers. Il devient même français grâce à sa complicité. Un après midi, il reçoit une dame de qualité. Veuve et riche héritière. Elle vient le consulter pour ‘une influence à distance’ ; détourner les pensées de ses deux enfants, Alice et Georges, tous deux mariés qui veulent forcer, leur mère, selon ses dires, à leur léguer une bonne partie de son héritage alors que cette dernière a couché tous ses biens en faveur de sa fondation. Seifou écoute et enregistre. Rendez vous est prit au pavillon de Madame Elisabeth. Il est emballe par la richesse de la dame. Il demande des ‘témoins-supports’ pour son travail de magie à distance. En vérité ,le Marabout à d’autres projets, bien précis, en tête. Il va procéder à un envoûtement d’amour sur la riche héritière.
Récit
NARRATION
LE MARABOUT…V
Maître Seifou, sur le coup de minuit commençait son œuvre d’attirance à distance. Sa concentration était telle et ses incantations si fortes qu’une des bougies rose fondait à vue d’œil sur son support. Il fixait avec insistance les yeux d’Elisabeth .
A cet instant précis, Elisabeth qui dormait, sentit son corps parcouru par un frisson. Elle se leva croyant être prise de fièvre, alla dans sa cuisine pour noyerr un cachet effervescent dans un volume d’eau et l’avala. Elle alla se rendormir.
Dans son second sommeil, elle ressentit d’étrange sensations , elle voyait aussi Maître Seifou lui tenir la main avec douceur. La vision s’accentua. Elle le voyait porter sa main délicatement à sa bouche pour la baiser puis le voir s’allonger près d ‘elle, la déshabiller lentement tout en la caressant de haut en bas. Elisabeth, avait oublie toutes ces sensations délicates qui ressemblaient à des touchers d’amour. Ses seins se mirent à gonfler sous les lèvres de son marabout. Elle se donnait à lui dans son rêve, dans son état de somnolence et d’inconscience. Elle gémissait de plaisir sans se rendre compte, sous les grandes pénétrations de ce MARABOUT’. Elle découvrait des jouissances insoupçonnées sous le corps d’ébène de ce jeune étalon de Maître. Elle jouissait réellement et se rendit compte en se réveillant subitement toute en sueur ,que sa culotte était mouillée.
Elle alla dans sa salle de bain pour constater ce fait. Elle était troublée par cet étrange rêve puis vint s’asseoir aux bords du lit, s’interrogeant sur cet évènement imprévu, qui la déstabilisait.
Durant 7 nuits à la même heure, Maître Seifou opérait à distance sur sa cliente et durant 7 nuits, Elisabeth subissait les assauts répètes de ‘son amant en rêve’. Elle faisait inconsciemment l’amour avec ‘son sorcier’.
Seifou pouvait jouir de son travail. Son plan prenait forme. Sa nasse était prête, elle n’attendait plus qu’ à se refermer sur la bonne et innocente femme qui ne se doutait de rien.
Madame Bouillet était une femme encore fort désirable ; son visage ne souffrait d’aucune ride du moins tant qu’elle en prenait soin. Son corps était bien fait et ferme. Sa coiffure, coupée à la garçonne avec quelques mèches dorées, relevait son joli minois ; elle ne paraissait pas son âge et si, ce n’est son ‘entêtement’ à ne plus fréquenter le beau monde, elle aurait trouvé facilement acquéreur. Elle avait un physique svelte, souple avec de légères rondeurs bien placées. Un physique très appréciable, qui n’avait plus connu de soubresauts avant ces nuits, depuis la mort de son mari. Elle était aussi assez grande de taille.
Elle réfléchissait à ces ‘soirées en rêve ‘ qui lui procuraient du bien tout en se disant que cela ne ressemblait pas à l’amour expéditif que lui donnait son cher mari. Avec Seifou, dans son délire, elle découvrait une autre forme d’amour. Plus délicat, plus pénétrant, subtil et surtout venant d’un jeune homme qui à première vue ne l’attirait pas.
Bref à la mesure de ce qu’elle ignorait avant ces soirs là. Elle était rayonnante de bonheur au petit matin, après ses actes d’amour. Elle qui pensait avoir raccrochée pour l’éternité, là voilà deux ans plus tard, prise comme jamais on l’a prise virtuellement.
Elle nageait dans ce petit bonheur fait d’ irréels échanges qui débouchaient sur des jouissances. Elle attendait avec impatience de sombrer dans le sommeil, pour retrouver une étreinte où elle s’abandonnait entièrement. Dans son désir de plaire, et de se faire prendre, elle s’allégeait de ses vêtements sous ses draps, laissant seulement sa petite étoffe afin de ne pas polluer les draps par son liquide qui dégoulinait comme une fontaine. Elle s’offrait , toujours en rêve, des attitudes et positions qu’elle n’avait jamais osé faire avec son défunt mari, qui lui avait autrefois imposé deux misérables soirées insipides d’amour et cela depuis 35 ans, comme une rituel. Lorsque qu’il était là. Même le temps était compté, 45 minutes de faux plaisirs pour ces deux nuits hebdomadaires d ‘amour. Elle feignait le coït sous l’œil de son mari.
A la 8 ième nuit, elle se fit encore plus belle pour ses ‘séances d’amour en rêve’. Pour son rendez vous secret et galant avec son sorcier. Elle ingurgita une bonne tisane pour être plus détendue quand son ‘sorcier’ viendrait troubler son sommeil dés qu’il se glisserait sous ses draps parfumés à la rose et qu’elle fermerait les yeux.
Ce fut un brutal réveil, rien ne se passa.
Elle reporta la faute à son maudit breuvage qui l’avait emporté dans son sommeil et qui lui fit rater son rendez-vous.
Elle décida de ne pas en prendre à la prochaine nuit.
Fiasco pour la 9ième et les autres nuits suivantes . Elle était complètement déboussolée ne comprenant pas ces faux bonds de son amant dans le virtuel.
Au 15 ième jour , par ‘ manque d’amour’ et ne tenant plus en place , prétextant de ne pas avoir de ses nouvelles…Elle lui téléphone..
-‘…Maître Seifou…. ?’
-‘…Oui, Madame Elisabeth… !’
-‘…Elisabeth tout court… ! Alors où en êtes vous….?’
-‘…Soyez patiente, je travaille et je dois aussi m’occuper de mes autres clients, mais vous vous passez en priorité, d’ailleurs les résultats vont commencer à se faire sentir… !’
-‘…Je voudrais vous voir demain, est -ce possible… ?’
-‘… Oui, comme il vous plait, Elisabeth… Mais rien ne presse… ! ’
-‘…A 16 heures, après ma séance de massage… !’
-‘…Je serai au rendez –vous.... !’
A suivre.....
Par Breitou (Breitou) le mercredi 05 janvier 2005 - 22h00: |
LA PREMIERE PHOTO C ETAIT DU LARD EPINGLE...AHAHAHAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH ...
Par Albert (Albert) le mercredi 05 janvier 2005 - 21h58: |
Par Breitou (Breitou) le mercredi 05 janvier 2005 - 21h56: |
MACUMBAAAAAAAAAAAAAAAAAAMACUMABA.....
LE MARABOUT SEIFOU.....AHAHAHAAHAHAHAHAHAH....
LATITESSE AHAHAHAHAAHAHahahahahah ATTENTION AU MARABOUT....IL VA VENIR HANTER VOS NUITS....COUVREZ VOUS....SEIFOU EST LAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA...AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Par Albert (Albert) le mercredi 05 janvier 2005 - 21h50: |
DOUG DOUG doug...doug....AtiboOOOOOOOOOOOOOOOOOOO..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ LegbaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ l’uvri bayoOOOOOOOOO pu mwe agoOOOOOOOOOOOOOOOOOOOs… ! §§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ Z’ami Jwe see
PapaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA.§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ Legba l’uvri bayo pu mwe PU MWEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE.§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ DOUG DOUG.......MACUMBAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA MACUMBA........................MACUMBAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ Aje ….sero
Pu mwe paso paso…. PU MWE PASOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
Lo ma tupo m’slie loa-go Z’amiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ pre se
Vodu Legba, l’uvri pu mwe Kuto de bo
Pu mwe sa entro
Lo m’a tuUUUUUUUUUUUUUUpe m’a remesye loa-go ababo Z’ami. Z’amiIIIIIIIIIIIIIIIIIIII..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
MACUMBA MACUMBA DOUG DOUG....doug.... O...O...O....MACUMBA MACUMBA..MACUMBA...
Par Latitesse (Latitesse) le mercredi 05 janvier 2005 - 21h44: |
D'accord, le Marabout est beau, mais on attend la suite!!!!!!!!!!!!!!!
Par Albert (Albert) le mercredi 05 janvier 2005 - 21h43: |
DE RIEN LAAAAAAAAAAAAAAALLLAAAAAAAAAAAAAAAAAA..
AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH.....LE MARABOUT DANS QQ INSTANTS LE TEMPS QUE JE BOUFFE MES BANATACHES ET MES BRIKS AUX POMMES.....BONNE ANNEE ET POMME
SANTE....................AHHHHHHHHHHHHAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHhaaaaaaaaaaa
Par Albert (Albert) le mercredi 05 janvier 2005 - 21h40: |