Par Mr_Germain (Mr_Germain) le mardi 30 janvier 2007 - 21h07: |
'....A Laréyè …
LaréyèEEEEEE….
EeEEEEEEEE….
Wali et Adam sont arrivés
A la rivière enchantée….§§§§§§§§§§§§§§§
EEeeeeEEEEEEEEEEEEEE…
La légende racontait
Qu’elle est née sous un rayon de clarté…
EeeeeEEEEEEE….§§§§§§
Le reflet de son visage
A fait frissonner
L’Ondé…..
EeeeeEEEEEEEEEEEEE…
Wali..IIIII….Toute émerveilléEEEe…
EeeeEEEEEEEEEEEEEEEEEE……§§§§§
Ecoutait Adam qui commence à l’aimer…
Qui commence à l’aimer…
EeeeeEEE….
Par-dessus la source de la rivière
LaréyèEEEEEEEEEEEEEEEEE…..
Par Mr_Germain (Mr_Germain) le mardi 30 janvier 2007 - 20h54: |
Par dessus les arbres séculaires...
Un long cri d'amour....
‘…..Deg’louUUUliiiiiIIIIIIIII
… ! Samia yaAAAAyeEEEE…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
….YeyèEEEE .....YaYeeeeeeeeeEEE.... OumIIIIi…. ! ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
Ki saAAAAAAAAA dome la WaliIIIIIiiiiii…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Boul’guene ‘bagaAAAAge’ ….. !
Gay’tou ba’khoOOOOOOOOOOOOOOOul
Yayè YAYEEEEE…OUMIIIIII…. ! ‘’’’’’’’’
iiIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii\-2\IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII}
Moye EubeEEEEe… !
Diou’romy Niety weEEEEre Doug DOUG…..DOUG…..
Fou’kel’be khat’ouè ka gaAAAAAA’gne….§§§§
‘…..Deg’louUUUliiiiiIIIIIIIII
DEGGGGGGGGGGGGGGG’LOUTIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…§§§§§§
… ! Samia yaAAAAyeEEEE…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’MamaAAAA…..
….YeyèEEEE OumIIIIi…. ! ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
Ki sa dome la WaliIIIIIiiiiii…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Par Mr_Germain (Mr_Germain) le mardi 30 janvier 2007 - 20h36: |
‘…Sous les séquoias d’Afrique.
Une végétation active vit.
Au rythme du tam tam qui s’effrite
Dans la brousse…
Les mangeurs d’hommes épient.
Tapis dans les vertes couvertures
De la prairie.
L’éléphant barrie.
Le croco baille.
Le zèbre paît.
Le taon pique.
Le temps s’écoule.
Lentement au rythme
Des saisons…..
La girafe dresse l’oreille.
L’antilope craint.
Le serpent repu dort.
Le cormoran prend son envol.
Au dessus de la plaine paisible où il ne se passe jamais rien.
DOUG….DOUG….DOUGGGG….DOUGGGG…§§§§§§§….§§§§
Waraba la lionne s’est enfouie,
Le jour de ses noces, un matin
Elle a prit le maquis, vers son destin.
La révolte gronde dans son âme
Et son corps meurtri saigne à blanc.
La peur au ventre, et le cœur lourd
Ses yeux rougis par ses larmes de sang.
Les cris des ouistitis l’accompagnent
Les serpents arrimés aux branches des arbres
La regardent.
Perdue dans ses idées noires,
L’esprit embrouillé, elle s’enfonce
Dans la foret.
Sur son chemin, une cabane.
Un vieux sage assis l’attend.
Paroles de marabout sans désespoir
Il lui indique au loin un horizon d’espoir.
La route est bien longue au loin.
Mais à qui sait attendre,
Nul sacrifice n’est vain.
La patience est synonyme de triomphe
Le bonheur n’est pas illusion pour ceux
Qui ont la rage au coeur.
Il n’est point de conteur qui ne sache conter
Il n’est point d’historien qui ne sache relater.
Il n’est point de troubadour qui ne sache chanter.
Il n’est point de danseur qui ne sache danser.
Un ciel sans nuages n’est pas un ciel.
Une mer sans vagues est stérile.
Un volcan qui ne souffle plus, se meurt.
Une montagne qui accouche n’existe pas.
Le solitaire trouve pour compagne le silence.
Alors qu’est-ce qui a changé… ????
Le guerrier n’est pas forcément un va t’en en guerre.
Il peut s’agir aussi d’un esprit guerrier, d’un battant.
D’un homme ou d’une femme qui se bat pour son avenir,
Pour son couple, sa famille, son travail.
Pour ses convictions, pour ses idées, pour sa religion, sa foi.
Sur la route…///
De CasamaAAAAAnce.
Roulent de jours comme de nuits
De grosses remorques, des camiIIIIIons
Chargés de tout et de semencEEEes
Et des poussièEEEEres charriants.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Sur le bas coté …/// D’la route..///
Qui mène à Casa…////…MAAAance
Une jeune fille de couleur noire, éplorée
Vêtue de sa robe blanche déchirée,
Et debout apeurée sur le bord de la route qui mène
…////// A CasaAAA..///…Mance.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Un gros camion s’est…///… Arrêté…/////
Est-ce la provideEEEEnce §§§§§
Qui s’est faite invitée…..§§§§§§
En partance pour CasaAAAmance.
Naïve et pleine de confiIIIIIance
Elle raconte son errAAAAance
Son enfaAAAAnce…§§§§§
Au chauffeur ému par sa confidence.
Arrivée au Pays de CasaMAAAAAAce…§§§§§
WaliIIIII perduUUUe et pleEEEine de méfiance…////
Est accueillit par un jeune surveillant
Une sentinelle, peut être sa chance
Qui lui parle avec convenAAAAAance.
Doug…//
Doug…//
DOUG…DOUG…DOUG…DOUDOUGDOUGDOUG….§§§
Doug….Doug….doug….doug…dou….do….d…
Breitou chante avec la choeur de la ‘Breïtos Band Africa.’
‘…..Deg’louUUUliiiiiIIIIIIIII
… ! Samia yaAAAAyeEEEE…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
….YeyèEEEE OumIIIIi…. ! ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
Ki sa dome la WaliIIIIIiiiiii…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Boul’guene ‘bagage’ ….. !
Gay’tou ba’khoOOOOul
Yayè YAYEEEEE…OUMIIIIII…. ! ‘’’’’’’’’
iiIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii\IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Moye EubeEEEEe… !
Diou’romy Niety weEEEEre Doug DOUG…..DOUG…..
Fou’kel’be khat’ouè ka gaAAAAAA’gne….§§§§
‘…..Deg’louUUUliiiiiIIIIIIIII
DEGGGGGGGGGGGGGGG’LOUTIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…§§§§§§
… ! Samia yaAAAAyeEEEE…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’MamaAAAA…..
….YeyèEEEE OumIIIIi…. ! ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
Ki sa dome la WaliIIIIIiiiiii…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Doug DOUG DOUG DOUG……
Paroles de Karim Abdoukarim. Mon employé.
Traduction et musique de Albert
‘…Entends MamAAAAan….Ma voiIIIx… !
Je suis ton enfant WaliIII …. ! Ne me renie pas
Ne jettes pas mes bagages dans la rue…§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Rappelles toi ÔÔÔÔÔ…..Maman….
Ma naissance, j’allais y passer….§§§§§§§§§§§§§§§§
Après neuf mois, tu m’as fais naître
Presque morte au début du dixième mois,
La peur au ventre et avec bcp d’angoisse… !
Tu as pleuré….. !
Par Mr_Germain (Mr_Germain) le mardi 30 janvier 2007 - 20h30: |
doug...doug...ddddoug...doug..
dougdougdoud...
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 30 janvier 2007 - 16h21: |
Mais Girelle voyons, vous n'y pensez pas !
Moi me disputer avec Albert c'est pas possible, si je lui dis qu'il est marabouté par tous les trafics de Barbes, il va répondre que je suis un pitre, alors qu'en fait je ne suis que le bouffon du Roi de Barbes.
Et, si je lui demande qui élève des barrages sur le cour du Fleuve Harissa, il est capable de m'en vouloir, en me disant que je l'ai traité de castor, alors le bouffon doit faire la grève du zèle, puisque le Roi ne comprend plus la plaisanterie,,, Tant pis,,,
Par Breitou (Breitou) le mardi 30 janvier 2007 - 19h02: |
La B.T.A a repondu.
Mamili a réagi sur mon mail privè.
Npus réglerons nos comptes ce soir aux Dattes en présence de Elsa.
Par Albert (Albert) le mardi 30 janvier 2007 - 18h58: |
Ma chére Girelle,
Je suis curieux de savoir quand est passe votre dernier post ici, en sachant qu'il reste 24 heures pile poil avant de rejopindre les archives...?
Je lis tout et rien n'échappe à ma vue.
Dites le moi merci.
Albert.
Par Girelle (Girelle) le mardi 30 janvier 2007 - 15h09: |
Vous voyez bien, Albert, quand je viens vous n'avez pas le temps de me remarquer, mes textes passent en fin de journée et on tourne la page !!
Trop pertinentes mes interventions !!
Bravo et Mazel Tov pour le bébé de la soeur de Nao.
Quand Tawfiq vient, il est court certes, mais excellent et drôle, drôle et encore drôle.
Les filles, venez, Albert se languit, comme on dit dans mon midi.
Cacouboulou et Breitou arrêtez de vous disputer pour des queues de cerises (Breitou, attention, là je ne te traite pas de queue de cerise...je ne me permettrais pas)
Meyer, après vos hurlement, Albert, concernant ce très modeste emprunt sur votre carte de crédit, je comprends qu'il vous boude.
Par Albert (Albert) le mardi 30 janvier 2007 - 14h32: |
Par Albert (Albert) le mardi 30 janvier 2007 - 14h27: |
Babba Sââdani, héro du livre de EMILE TUBIANA son petit-fils qui n’a pas oublié ‘…SES TRESORS CACHES… !’ A lire absolument.
Page 235 . Chapitre ‘…BABBA SAADANI, Que son âme repose en paix… !’
Las et fatigué, notre héro rentre au bercail, après avoir écumé les villages avoisinants pour écouler ses diverses marchandises portées sur le dos de son cheval ZABOUNA.
Sa femme Mcheïda, toute heureuse de voir son mari pousser la porte de son logis, se propose de lui faire chauffer une bassine d’eau.
Babba Sââdani se dévêt et va s’écrouler sur le ‘bank’. Harassé. Sa femme lui ôte ses bottes poussiéreuses, ses socquettes. Lui masse légèrement les orteils durant quelques minutes le temps que la bassine remplie d’eau chauffe. Son cheval est dans la cour, repu de fatigue.
Quinze minutes plus tard, les pieds de Babba Sââdani sont plongés dans cette bienfaisante ‘kinka’ . Sa femme y ajoute un peu de ‘zafran’ (safran). Le safran étant connu à l’époque pour soulager les fatigues des pieds et des cors.
Babba Sââdani sous l’effet bienfaiteur de la chaleur se laisse aller et s’endort tandis que son épouse, profitant du sommeil de son mari vêt un sef sari pour aller au marché faire ses courses. Demain c’est Chabath.
Les heures passent et notre Babba Sââdani ouvre enfin les yeux.
Il retire ses pieds de l’eau colorée et là surprise, ses premiers sont rouges, le zafran ayant coloré sa peau, jusqu’au mollet
Entre temps, durant son sommeil, ZABOURA, prit par une soif soudaine avait franchi le seuil du logis pour s’abreuver.
Fou de rage, il hurla le prénom de son épouse qui n’était pas là.£Et la de constater que le museau de son cheval avait prit la même couleur que ses ‘feets’.
Rentre la maîtresse de maison.
Babba Sââdani, contrôlant sa fureur.
‘…Qolli, YE MRAAAAA… ! Rit cha’mel’tli… ?’
(…Tu as vu FEEEEEMMMME… ! Ce que tu as fait… ?’
L’épouse sans se démonter lui répond.
‘…Ech’tèna, na’mél’èq stal a’khor bel mée chroun oun hat choui’yè KORKOB… !’
( Attends, je te refais un autre sceau d’eau chaude et j’y ajoutes un peu de CUMIN.. !’
‘…Ou hssa’ni… ?’
‘..Et pour mon cheval… ?’
‘…En hatlou, choui’yè FEL FEL EKHAL… !’)
‘…Je lui mets par contre un peu de POIVRE.…
Voilà, ceci termine Babba Sââdani.
Merci Emile de m’avoir autorisé à raconter mes délires.
Par Mr_Germain (Mr_Germain) le mardi 30 janvier 2007 - 13h57: |
Babba Sââdani, héro du livre de EMILE TUBIANA son petit-fils qui n’a pas oublié ‘…SES TRESORS CACHES… !’ A lire absolument.
Page 145 . Chapitre ‘…BABBA SAADANI, Que son âme repose en paix… !’
Babba Sââdani, de retour d’une affaire juteuse, gambade sur le chemin du retour.
Il fait beau en ce jour de Mai 1908. Il trottine sur son cheval Zabouna.
De son monticule, il peut voir la plaine de Beja s’étalait devant lui.
Les jeunes pousses de blé courber l’échine sous un frais et léger vent d’est.
Au loin, les cigognes commençaient leur migration. De temps à autre un bourdon venait titiller le museau de son cheval qu’il balayait par un coup de queue tout en broutant l’herbe verte et humide.
Babba Sââdani hume cet air embaumé par l’odeur des fagots de foin, celui de son creux pays. Aux milles vallons.
Il descend de son cheval, allume un feu tout en attachant sa belle bête à la branche d’un arbre séculaire. Il pose son antique théière sur la braise. Y ajoute un peu d’eau. L’eau ne tarde pas à bouillir dans un remous étourdissant. Il y jette une bonne cuillérée de thé du pays.
Il sirote son breuvage tout en admirant ce paysage magnifique endormit à ces pieds.
Il en était le maître.
Au loin, il pouvait apercevoir, la ferme de Sidi Mansour, un terrien, dont il connaissait tous les membres de sa famille. Il pouvait même reconnaître de là où il était le fils aîné HATAB de feu son ami SIDI MANSOUR penché sur sa charrue.
‘…Ah, ye HATTAB, ye hassra, net’fequar ââla Sidi Mansour, bouq, rajel si el rejelè él nâr elli jelli béch yech’ri sber’qa mta mèch’ha… !’
(‘….Ah HATTAB, je me souviens de feu ton père, un homme, un vrai, qui était venu, bien jeune, un jour m’acheter une queue de PELLE… !’ ( Et oui CACOUBOULOU Ca sert les queues de pelle dés fois… !)
Il parle tout seul le BABBA SAADANI.
Midi sonne à sa vielle montre à cadran qu’il tire de sa ‘cachabiye’ de laine.
Il y fait encore frais dans ses montagnes verdoyantes.
Il tire de sa sacoche quelques lames de saucissons qu’il assaisonne avec un jus d’harissa et d’huile du pays de Sfax. Le tout intercalè entre les deux fines mies de son pain tabouna déjà fendu.
Après sa légère collation, il pli en quatre un vieux sac qu’il pose au pied du vieil arbre.
Un coussin de fortune.
Il ferme les yeux pour goûter à un sommeil réparateur.
Soudain, quatre silhouettes enveloppent le corps allongé de Babba Sââdani prit dans son demi-sommeil.
Des ombres masquées.
Babba Sââdani s’en se démonter et sans peur se leva.
‘… Goum, ou ââtina morcha’ntèq flouss…Ou laqen… !’ Intime le jeune chef des brigands.
(Lèves-toi et donnes nous ta bourse, sinon… !’) Il tira un grand coutelas prêt à égorger le BABBA SAADANI au cas où….
Des bandits de grands chemins.
Babba Sââdani reconnu la voix de son interlocuteur.
‘….Enti ye chi Sbèb … ! Babaq essmou Aâm Gandour ha... ??’
Le bandit senti comme un bourdonnement dans ses oreilles.
En effet, il était le fils d’un de ses fournisseurs.
‘…Enti Babba Sââdani, AHHH…. ? Ye rassoul allah… ! Samahni, si Sââdani... !’
(… Mais tu es ……………. ! Ô mon D ieu…. ! Pardon ………)
‘..En semheq.. ? Khoud… !’
(Que je te pardonne..? Tiens...!’
Et de lui flanquer deux belles claques, devant le situation incongrue et présente à leurs yeux, les autres fuient devant ce qui allait apparaître, être une grande punition collective.
Le jeune bandit se confond en mille excuses, promettant de retrouver le droit chemin à la condition que Babba Sââdani ne rapporte pas l’incident à son papa qui était aussi le Cheikh du bled.
Note aux lecteurs.
Mes petites histoires sur Babba Sââdani z’al ne sont pas tirées du livre de Emile Tubiana, elles sont le fait de mon imagination.
Par Mr_Jano (Mr_Jano) le mardi 30 janvier 2007 - 12h52: |
Tu rentres rarement mon cher Tawfiq, selon ton expression sur ADRA.
Un constat qui ne met pas en doute ta dernière formule.
Tu es rentré 8 fois en Décembre sur Adra, trois fois au PTB.
Novembre c’est pire.
Janvier presque rien.
Oui, tu deviens rare, donc pas la peine de le dire.
Et même si tu rentres dans Adra ou au PTB c’est juste pour dire exactement trois mots.
Je reconnais là un effort certain qui doit te fatiguer au plus haut point.
Bref. Je souhaite que tu sois plus disert.
-Quant à toi mon cher CACOUBOULOU laisse moi te dire, que tu joues contre moi, donc contre le PTB. Il parait que tu as donné des directives pour empêcher certains d’écrire ici.
J’ai les preuves en main. Tu es un ASSASSIN de la culture et tu préfères pavoiser en haut qu’en bas, dommage, on ne t’a pas dis que le bas vaut mieux que le haut parfois… ?
Tu veux quoi exactement ??? La Douda à l’époque était plus intelligent surtout lorsqu’il nous envoyait ces photos merdiques.
Madame Girelle se plaint. C’est vrai, c’est son droit de se plaindre mais au fait où est t’elle….Passé… ?? Encore un blocage d’un modérateur qui s’acharne sur elle… ?
Son dernier passage ici, remonte, pardonnez-moi du peu, je ne me rappelle plus. Vous boudez le PTB n’est ce pas Madame… ? Le PTB en prend note.
AHHHH…. ! Ce cher MEYER….. ! Mais que diable, où donc est t’il passé… ??
Lui qui nous a gratifié d’une image pastorale….Papale, mais il y a bien longtemps.
Hier une certaine fleur sans épines, me disait qu’elle suivait rarement le PTB faute de temps.
Balivernes, elle a lu mes JOUETS mais pas LA LIONNE… ! Elle fait la mule et tu crois que je vais gober ton histoire….Ma chère que tu lises ou pas le PTB me fait ni chaud ni froid.
Ne perds pas ton temps, continue à chercher où se trouve l’avenue HOCHE et le café des NEGRES….Ils ne sont plus 10, mais plus rien, ce café n’existe que dans les vieux souvenirs.
Toi qui habites Israël, tu me parles de HOUACH… ? Quel ouache hein…. ? Tu crois qu’ils eux l’OUACHE de ne plus te voir… ? Que dois-je dire moi qui ai vécu là bas 45 ans. Je ne ressens plus rien aujourd’hui, tellement, ils m’ont gonflé les couilles par leur hypocrisie.
Ta remarque ‘…Tu te fous du livre d’Emile… ? Montre à quel point tu ignores l’esprit je baigne. Saches que parler de Babba Sââdani est un hommage que je rends à ce genre de personne d’avant. Ignorants, sans grandes instructions, ils avaient le mérite d’être de bons pères de famille, courageux et intelligents lorsqu’ils traitent des affaires verbales sans écrits.
‘…YE MESMAR…?? ALLAISH TEJRI… ? Ô CLOU … ? POURQUOI TE PRESSE…TU…!’
Essaye d’en comprendre ma chère le sens et tu verras plus clair.
-Elsa, je la comprends, elle ne sait pas lire ni écrire. Elle ne fréquente que la faune du soir au DATTES. Là bas, elle est dans son élèment comme un petit goujon qui barbotte dans une tasse vide de sauce tomate sans eau.
-Mamili par contre est plus entreprenant ici, elle fait ce qu’elle peut, c'est-à-dire rien. Elle est B.T.A. Bacouchè, Tarcha ou….Aâmiè.
-Je n’ai rien à dire sur mon amie Michka.
Bon, je voulais vous annoncer que dans quelques jours, je ne serai plus disponible pour vous.
Je dois passer un examen……..J’ai beaucoup perdu de……..
J’aurai juste le temps de finir la LIONNE et le film ‘…AU COUVENT DES CHARMELITES… !’ Ensuite D ieu y pourvoira.
Je vous demande de me supporter encore un peu, juste un peu.
Merci à monsieur Le WEBMASTER qui m'a ouvert une libre fenêtre ici mais laissè la porte fermèe en haut.
Soyez DES BIENHEUREUX.
LE PTB vous est reconnaissant pour toute l’éternité.
Si je me suis permis d'écrire en petits caractères c'est parce que je ne vois plus très grand.