Archive jusqu'au 14/janvier/2005

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Janvier 2005: Archive jusqu'au 14/janvier/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 14 janvier 2005 - 06h57:

c'est fou ce que seifou lui fout dans le foufou tout fou.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Latitesse (Latitesse) le jeudi 13 janvier 2005 - 12h54:

Albert,

Y a t il une nouvelle grève au théatre ?
Ou es tu ? Que fais tu ?
Tu dis qu'il y a 12 chapitres, alors on attend la suite !
Et puis ça manque de ne pas te lire !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 10 janvier 2005 - 23h18:

AU THEATRE CE SOIR…
PAR ALBERT SIMEONI..

Paris le 24/06/2004.
Résumé des précédents chapitres.
Seifou, tailleur de son métier, dans son petit village de son Mali, tire la langue. Son cousin Aissa, éboueur à Paris, depuis 10 ans l’incite à venir près de lui afin d’y pratiquer la magie. Seifou, grâce à l’expérience de sa tante Mariama dans le domaine de la magie blanche, noire, et dans la fabrication d’onguents l’initie durant quelques semaines. Seifou débarque à Paris, à la grande surprise de son cousin Aissa. Seifou désœuvré trouve un moyen ‘malsain’ pour se faire connaître. Il empoisonne presque son ami de chambre Mamadou à proximité du marché St Jean à Barbès dans le 18 ième. Seifou, devant la foule de badauds qui entoure le malheureux, lui ingurgite un antidote. Il est sauvé. On crie au miracle. Son coup à réussit . Son savoir faire fait le tour du quartier. Il reçoit ses premiers clients. Il se brouille avec son cousin et loue un appartement bien plus grand du côté de Voltaire pour ses pratiques. Une retraitée de la Préfecture de Paris , Madame Christiane Bachaumont lui vient en aide pour l’établissement de ses papiers. Il devient même français grâce à sa complicité. Un après midi, il reçoit une dame de qualité. Veuve et riche héritière. Elle vient le consulter pour ‘une influence à distance’ ; détourner les pensées de ses deux enfants, Alice et Georges, tous deux mariés qui veulent forcer, leur mère, selon ses dires, à leur léguer une bonne partie de son héritage alors que cette dernière a couché tous ses biens en faveur de sa fondation. Seifou écoute et enregistre. Rendez vous est prit au pavillon de Madame Elisabeth. Il est emballe par la richesse de la dame. Il demande des ‘témoins-supports’ pour son travail de magie à distance. En vérité ,le Marabout à d’autres projets, bien précis, en tête. Il va procéder à un envoûtement d’amour sur la riche héritière. Cette dernière se voit et durant 7 nuits faire l’amour avec le sorcier Seifou. Elle tombe amoureuses de lui par ces échanges hors-du commun. Au 8ième jour, patatras plus rien et les jours suivants, son amoureux n’est plus à ses rendez- vous nocturnes. Elle veut en avoir le cœur net et décide d’aller à sa rencontre chez lui. Elle n’ose pas , sur le champ, lui avouer ses nocturnes et bizarres étreintes en rêves avec lui. Mais, il a deviné ses pensées.


Récit.
NARRATION.

LE MARABOUT…VII


Seifou avait deviné dans le regard de sa cliente une envie d’assouvir réellement un besoin d’amour.

Elisabeth se mordit les lèvres. Elle s’en voulait de ne pas avoir tout avoué à son ‘amant de minuit.’ Elle resta un moment pensive tout en étant assise sur son canapé et sans trop réfléchir, elle commanda son chauffeur par téléphone.

-‘ Jean, je dois aller à Paris, pour quelques affaires urgentes, puis-je compter sur vous pour m’y accompagner… ?’

Jean était disponible.

Elle allait en vérité rejoindre sur un coup de tête Seifou, à l’improviste.

Plus tard, à Paris.

-‘…Je ne vais pas tarder, Jean, allez faire un tour dans Paris et revenez me rejoindre dans deux heures ici devant ce super-marche, je dois faire quelques achats… ! Merci… !’

Elle fit le tour du pâtée de maison avant de prendre les escaliers qui montent vers l’appartement du Marabout. Elle attendit un instant, juste le temps de repoudrer ses joues avant de sonner à la porte.
Seifou se déshabillait entre temps. Il était en cape de bain prêt à rentrer dans sa baignoire, il ouvrit le mitigeur d’eau quand il entendit sonner à la porte. …

-‘…Toi….. ? A cette heure ci…. ? Elisabeth… ?’
-‘…Oui… ! Comme tu peux le voir… ! Puis-je rentrer… ?’
-‘…Oui, bien sur, j’allais plonger dans mon bain… !’
-‘…Vas y, j’attendrais dans le salon… !’
-‘…Mais qu’est qui t’amènes ici sans me téléphoner… !’
-‘…Toi….. ! Rentre dans ton bain et ensuite nous parlerons… !’

Il obéit comme un enfant. Il rentra dans sa salle d'eau. Tira la cache en plastic et commença à se savonner tout en étant debout.
Elisabeth, prise soudain de grande curiosité se leva et se dirigea vers celle ci. Elle entendait le liquide couler et Seifou se laver. Elle entrebâilla légèrement la porte et là , elle put à loisir contempler à travers le flou du rideau en plastic, le corps de son Maître. Il était debout face au mur. Elisabeth commençait à se déshabiller sans bruit pour laisser apparaître son joli corps, mince et svelte aux seins fermes, malgré son âge. Ses vêtements gisaient à terre, en désordre comme l'étaient ses idées en ce moment. Elisabeth était dans son plus simple appareil, quand elle tira lentement ce rideau. Découvrant son sorcier tout nu.

Seifou, comme s'il l'attendait, l'aida à passer la jambe par dessus le rebord de la baignoire. Sans dire un mot, il la serra contre lui et lui dévora la bouche. Elisabeth retrouvait son amant dans le réel. Elle s'abandonnait à son étreinte en se collant avec plus d'énergie à son corps. Elle était comme ivre. Elle sentait entre ses jambes le beau et grand sexe de son homme noir.

Elle commençait à défaillir mais Seifou la soutenait par ses longs bras. Il la posa entre ses longues jambes tout en lui burinant le fond de sa gorge par sa grosse langue, qui allait par moment chatouiller sa luette. Elle en redemandait encore et Seifou l'honorait.
Elle recula et plongea sa tête dans l'eau savonneuse pour aller tâter par ses lèvres ce qu'elle prenait dans son subconscient durant 8 nuits sur sa couche.

Seifou, devinant son intention, souleva son torse hors de l'eau et là, Elisabeth soudain prise d'une crise d'hystérie contrôlée se mit à téter avec énergie ce que Seifou lui dévoilait. Elle baissa légèrement la cadence de ses mouvements de langue sur son gland afin que son Maître ne puisse éjaculer rapidement. Elle s'offrit toutes les positions et Seifou s'en donnait à cœur joie, pénétrant délicatement cinq à six fois son petit orifice. Elisabeth gémissait de plaisir sous les délicats et grands coups de boutoir de son amant. Sa croupe avait reçu son dû. Il la retourna et sans coup férir pénétra le fourré bien humide et savonneux de sa cliente qui perdait à présent tout contrôle de la situation. Elle était rassasiée et c'est dans un long et plaintif gémissement qu'elle pu enfin jouir en même temps que son sorcier.

Ils avaient passe plus d'une heure à boire à la source de l'amour. Elisabeth sortit du bain, accompagnée de Seifou. Elle se sécha et se rhabilla toujours sans rien dire sous le regard du sorcier. Elle était repue et heureuse d'avoir mis à exécution son phantasme. Toujours sans rien dire, elle s'en alla, laissant son amant dans son plus simple appareil.

Seifou retourna dans sa baignoire. Il posa sa tête sur le rebord et ferma un instant les yeux repensant dans sa tête ce qu’il avait vécu. Il concluait que sa riche héritière était tombée dans ses filets à présent, et que rien ne pouvait plus l’en sortir.

Le lendemain matin, le téléphone sonna.

A SUIVRE….

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 10 janvier 2005 - 23h14:

LE MARABOUT 7 TRES HOT.......EN LINE AHAHAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 10 janvier 2005 - 22h54:

OFFRANDE


MACUMBA ...§§§§MACUMBA....§§§§§MACUMBA..§§§§MACUMBA...§§§§§§§MACUMBA....§§§§TAWFK..§§§§MACUMBA..§§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 10 janvier 2005 - 22h30:

MACUMBAAAAAAAAAAAAAAAA....AHHHHA
MACUMBAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA....§§§§
MACUMBAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA AHAHAHAHAHAH
SEI FOU LE MARABOUT MACUMBA..................§§§§§§§§§§§§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 10 janvier 2005 - 22h10:

MMMeee

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 10 janvier 2005 - 21h36:

Merci Lalla pour vos bons voeux...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le lundi 10 janvier 2005 - 16h22:

pour rire un peu
Q:Quand est-il conseille a un martien de prendre sa soucoupe volante?
R:LORSQU'IL NE SE SENT PAS DANS SON ASSIETTE.
-------------------------------------------------
Q:Que risque t on a trop tirer la couverture a soi?
R: se retrouver dans de beaux draps.

avec toute mon amitie

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 09 janvier 2005 - 20h08:

En voici une autre de chansonnette ....Soufflèe par ma maman que je connaissais mais j'avais oubliè les paroles...

Barnou m’chè ghodban….§§§§§§§§§

Il s’agit d’une très belle jeune fille orpheline qui a perdu son chat, BARNOU ; tous les voisins sont atterrés et ils sont en effervescence. Ils vont à la recherche de l’animal.

Elle...Désespérée dans la rue….. chante…

‘…§§§§…BaAAAAAAArnou yèEEEE BaRRRRrnouUUUUUUU…Barnou
m’chè ghod’baAAAAAAAAAAAAAAn….§§§§….Yè landra ché’dou’ouchi el lorban
Barnou yè BarnouUUUUU arab ghob’ban….§§§

( Barnou o Barnou….Il est partit fâché…..
Peut être qu’il a été pris par la fourrière
……………………………….il a fuit contrit…)

Les voisins sont derrière elle et répète le couplet….

‘…§§§§…Barnou yèEEEE BarnouUUUUUUU…Barnou
m’chè ghod’baAAAAAAAAAAn….§§§§….Yè landra ché’dou’ouchi el lorban
Barnou yè BarnouUUUUU arab ghob’baAAAAAAAAAn….§§§


Passe le carrosse d’un prince qui entend la chansonnette de l’orpheline…Il arrête son cocher..Ebloui par la beautè de la jeune vierge…

‘…Eh’nè ness’tah bél kméEEEE’miIIIIIIII..§§§§
Ou jid nerkèj b’ gdé’miIII..§§§§§
Ché’bè jet’ni ko’daAAAAAAAAAAAAAmi..§§§§..
El lioum jeï’nè tââLLLLLLL..§§§….Khot’feq qal’bi……§§§§§…..


( Moi je danse sur mes pieds…
Et je sautille même sur mes talons…
La belle est venue devant moi
Et aujourd’hui je la découvre…
Elle a prit mon cœur….. !)

Elle se lamente devant le prince…

‘…Yè sidi …§§§§§§….. BarnOUUUUUU….Ghdob’liiiiIIIIIII…§§§§
Béliq’chi ché’dou lorbanNNN..§§§§….
Yè sidi mè âândi qén ouhè..§§§§….
Qol lilè nââ’nèq fi….§§§§§….
Yor’kod ââ’lla sédrIIII….§§§§§….
Sbah ou ââ’chiyè nah’lèm bi…§§§§§
BarNOUUUUUUUUUUUUUUU…§§§§§§….Mchè ghod’baAAAAAAAAn..
Yé landra chéd’ou’chi lorban….. ????? §§§§…..

( O Seigneur , Barnou a fuit, peut être a t’il été pris par la fourrière
Mon Seigneur je n’ai que lui.
Tous les soirs je l’enlace.
Il dort sur ma poitrine
Du matin au soir je rêve de lui.
Barnou a fuit,
Sans doute il a étè pris pas la fourrière…)

Le Prince répond à sa supplique…

‘…Yè lélla..§§§§§…BarnouUUUU qodaAAAAAAAAA’miIIIII…§§§§
Jé i naou’i taht ché’bèEEEEEEEEEEEEEEE’qiIIIII..§§§§§…
Rah qa’li ou hquéEEEEEEEEEEE’li..§§§§§§§§
Aâlla mââ’lita qél’mètIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII..§§§§§§…
Teb’ki ââla béEEEEEEEEEEEEEEEEbiIIIIIIIIIIIII…§§§§§…
Chkh’eft..§§§§….Ou hali’tlè qal’bi…§§§§§§§§§§§…..

(…Madame, Barnou est devant moi,
Il es venu miauler sous ma fenêtre.
Il s’est égaré m’a t’il dit et m’a tout raconté
Et de sa maîtresse, il m’a parle.
Il pleurait sur le seuil de ma porte
Il m’a fait de la peine et a apitoyé mon cœur..)

Le prince descend et se met à danser en prenant les mains de la jeune fille orpheline…

‘…Eh’nè ness’tah bél kméEEEE’miIIIIIIII..§§§§
Ou jid nerkèj b’ gdé’miIII..§§§§§
Ché’bè jet’ni ko’daAAAAAAAAAAAAAmi..§§§§..
El lioum jeï’nè tââLLLLLLL..§§§….Khot’feq qal’bi……§§§§§…..



Je vous laisse deviner la fin de ce conte…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 09 janvier 2005 - 20h02:

Paris le 8/01/2005.



Suite à la comptine en judèo arabe pour bébés juifs, qui leur était chantée en toutes occasions pour distraire et amuser l’enfant…je vous donne le mode d’emploi.


On commence d’abord par l’auriculaire de la main gauche et tout en chantant la première phrase on prend soin de lui plier ce premier doigt ensuite on passe au second puis au troisième cité puis le quatrième et enfin le cinquième, le pouce.

Les doigts de l’enfant ainsi tous repliés, on continue la chansonnette en terminant par ‘ DEB EL FAR…DEB EL FAR….tout longeant par la main droite le long du bras gauche du petit jusqu’à clore le chapitre en lui chatouillant l’aisselle

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 09 janvier 2005 - 19h56:

Je bois que du petit lait en poisson ye baba, mais c est bizarre que tu fasses autant de fotes, tu veux me piquer la première place dans l'orto.???
Ah c est sait se là???