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Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2007: Archive Fevrier 2007 : Archive jusqu'au 05/février/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 05 février 2007 - 22h37:

Elsa tu n'as pas répondu à ma question...?
Pourquoi????

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 05 février 2007 - 21h30:

Hello..!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 05 février 2007 - 08h24:

Michka...! j'ai bcp apprèciè ce 'QU'APPRENDS-JE'...J'ai eu la chair de poule et je me suis vite épluchè une ORANGE....! Ben grâce à toi, tu as fais passè le feu de L'ORANGE AU VERT...!

Tu as un sacrè coup de manivelle...!

- Lza tu m'as dit que tu allais envoyer un mot suite à la question que je t 'ai posèe...! où est t'elle ta réponse???? Si tu ne réponds pas je ne passerai pas le spectacle de RUE ' U 213 BD VOLTAIRE...!'

Seconde question...' Dans le film ' A LA RECHERCHE DU CLYSTERE PERDU....' Peux tu me dire qu'est-ce que tu as volè vers la fin du FILM...????

Mamili ne souffle pas, mon oeil te surveille...!

B. Journèe.

PS. Sans réponses de ta part Elsa, je te mets à l'amende.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 04 février 2007 - 22h00:


'...AU COUVENT DES CHARMELITES....'
PROGRAMME POUR CE JEUDI....

AVEC LA PARTICIPATION ACTIVE DE NOS CHERS ACTEURS ET ACTRICES TOUTES EN BEAUTE....EN SOEURS ET FRERES...
A NE PAS MANQUER.....

LES PHOTOS SONT DE MICHKA...POUR LA PLUPART D ENTRE ELLES...

D AUTRES PRISES DANS GOOGLE ET AUSSI JE REMERCIE BRAHAM POUR SA PARTICIPATION DANS LE DECOR....

UNE PHOTO QUI ON DIT LONG SUR SA GENEROSITE....:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 04 février 2007 - 21h37:

Les années passent comme passent les cigognes au-dessus des chaumières, comme les avions au- dessus de Koussanar et de Casamance comme passent les mauvaises années au- dessus des têtes des malheureux et les feuilles mortes que le vent emporte dans des charniers inconnus, à l'abri des regards, comme la mort passe sous les hou hou des pleureuses et la vie qui renaît sous les you-you des femmes voilées ou pas. Comme les saisons succèdent aux solstices d'été ou d'hiver tout comme les blés qui mûrissent sous des médailles dorées et éclatantes et que l'on fauche avant la saison des pluies ! Et les nuages qui filent sous les vents du nord sans but vers leur destin. Un destin que l'on ignore, tout comme on ignore sa chance qui passe un jour devant nous sans savoir qu'elle est celle là. Et devant nos yeux voilés, elle s'arrête un instant, à notre insu, puis repart déçue par trop d'attente. Et qu'on l'a tienne par surprise et la voilà qui pénètre l'âme du chanceux qui a su la retenir. Qui peut clamer, haut et fort, n'avoir pas eu de chance au moins une seule fois dans sa vie…? Qui peut prétendre, sans mentir, 'Ne pas l'avoir vue ..?' Alors qu'il suffisait de la titiller un peu. La chance serait-elle liée au destin…? Où alors le destin, chez certains, serait-il sans chance …Allez le savoir…?'


Merci d'avoir suivi le récit.
Merci.
Je vais poser des questions à Elsa.

Comment s'appelle le fiancèe de WALI??? Elsa....?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mamili (Mamili) le dimanche 04 février 2007 - 21h33:

mes images
mes images

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le dimanche 04 février 2007 - 21h24:

Albert Simèoni.
L'Enfant de la Goulette

Récit.

Résumé/

Waraba est confiée à 5 ans à la tante de sa mère, Oumi, divorcée. La jeune fille est maltraitée et subie des violences sexuelles par la domestique et des châtiments corporels par sa tante, au lever du jour. Elle ne dit mot à son papa qui vient de temps à autre la promener dans les bois. Elle fugue un jour mais et vite reprise. Sa tante lui tend un guet-apens, elle ne doit son salut qu'à ses cris. Un lointain cousin la remarque et veut l'épouser à 15 ans. Son père s'y oppose. La jeune fille, en robe de mariée prétexte un petit besoin et s'éclipse, juste une heure avant la cérémonie. Elle fuit, en tenue de cérémonie, dans la forêt à la recherche du marabout. Elle le rencontre et ce dernier lui conseille d'aller à Casamance, chez son père. Elle est prise en charge en camion par un commerçant se rendant dans cette ville. Elle se confie à lui. Elle arrive enfin devant la caserne de son père, qui n'est pas là. La sentinelle prise de pitié lui propose de l'héberger dans sa famille. Waraba fait la connaissance de la famille d'Adam. Ils font connaissance. Waraba se confie tant soit peu à Adam qui lui propose de lui montrer un joli coin, la source de la rivière Lérèyè. Adam, durant leurs échanges amicaux, lui propose une autre visite, le marché aux chameaux, pour le lendemain. Sur la place des enchères, elle reconnaît son cousin, le futur marié Abdou. Celui ci croit la reconnaître mais hélas Adam, lui confirme que ce n'est pas elle. Waraba dévoile sa vie à Adam qui prit de compassion se met à pleurer.


 LE PTB VU PAR MICHKA


LA LIONNE.
*

 LA LIONNE



Chapitre VII. FIN.

'…..Waraba…..? Je crois que c'est Allah qui t' as mis sur mon chemin….Il se pourrait que nos chemins se séparent. Mais, il se pourrait aussi qu'ils se croisent…!.L'univers est vaste et même si les montagnes ne se rencontrent pas, le vent est leur messager…!'

Elle ne dit rien. Elle écoutait attentivement.

Le surlendemain, qu'elle ne fut sa surprise en voyant son père, au retour d'une promenade, l'attendre assis dans le salon. Waraba était heureuse de retrouver son paternel. Toute la famille était là pour souhaiter un bon retour au père et à la fille. C'est avec des larmes aux yeux qu'Adam se sépara de Waraba….

Les années passent comme passent les cigognes au-dessus des chaumières, comme les avions au- dessus de Koussanar et de Casamance comme passent les mauvaises années au- dessus des têtes des malheureux et les feuilles mortes que le vent emporte dans des charniers inconnus, à l'abri des regards, comme la mort passe sous les hou hou des pleureuses et la vie qui renaît sous les you-you des femmes voilées ou pas. Comme les saisons succèdent aux solstices d'été ou d'hiver tout comme les blés qui mûrissent sous des médailles dorées et éclatantes et que l'on fauche avant la saison des pluies ! Et les nuages qui filent sous les vents du nord sans but vers leur destin. Un destin que l'on ignore, tout comme on ignore sa chance qui passe un jour devant nous sans savoir qu'elle est celle là. Et devant nos yeux voilés, elle s'arrête un instant, à notre insu, puis repart déçue par trop d'attente. Et qu'on l'a tienne par surprise et la voilà qui pénètre l'âme du chanceux qui a su la retenir. Qui peut clamer, haut et fort, n'avoir pas eu de chance au moins une seule fois dans sa vie…? Qui peut prétendre, sans mentir, 'Ne pas l'avoir vue ..?' Alors qu'il suffisait de la titiller un peu. La chance serait-elle liée au destin…? Où alors le destin, chez certains, serait-il sans chance …Allez le savoir…?'

Sur toutes les affiches et les écrans des Télés du monde, on ne parlait que du mannequin et chanteuse Wali, d'une grande beauté. Des States et des quatre coins du monde Wali était adulée. Les interviews se succédaient aux interviews. Son galbe s'étalait sur tous les magazines de mode. Une africaine issue d'un petit village du Sénégal faisait la une des grands tirages de mode. Wali était devenu la coqueluche du continent africain noire. Sa renommée était si grande que son pays d'origine la vénérait tant elle apportait charme, modestie et douceur dans les demeures sénégalaises. Le président du Sénégal l'accueillit et lui décerna la médaille de la meilleure ambassadrice de charme du pays à travers les états du monde. On l'a surnomma Wali la Lionne. On la courtisait de partout. On la voulait. On s'honorait de sa présence sur tous les plateaux de télé.
Mademoiselle Wali, et vous l'avez compris était en fait Waraba, la toute jeune fille qui fut martyrisée, il y a fort longtemps. Son père, quelque temps après la séparation d'avec la famille d'Adam, à cette époque l'avait confié à son frère vivant à New-York. Elle reprit ses études dans une School célèbre et un jour elle fut remarquée sur l'esplanade par un photographe de renom qui tomba en arrêt sur sa beauté, sa finesse et sa stature. La célébrité fit le reste.

Wali multiplia les œuvres de charité et un grand nombre d'établissement portait le nom W'ahlaï. Ces maisons s'occupaient de l'enfance maltraitée.
Wali n'avait jamais cessé de penser à son ami Adam, resté au pays. Il avait gravi les échelons dans les armes et fut nommé par la suite conseiller auprès du Président Ould Lamine Meta. Adam suivait avec sérénité et grande joie le parcours de Wali. Leurs échanges étaient toujours emprunts de respect. Ils se confiaient leurs impressions. Adam était très amoureux de Waraba mais il doutait que Wali soit toujours restée la même jeune fille, qu'il avait connu autrefois. Il s'était interdit de dévoiler ses sentiments. Par pudeur surtout, ne voulant pas embarrasser une jeune fille marquée par les affres de sa vie d'enfance. Et ainsi être un frein à sa belle carrière qui durait depuis 10 ans. Mais Wali, se sentait lasse de tous ces gens qui ne lui portaient tant d'intérêt sachant que cela ne serait qu'éphémère et qu'un jour, elle tomberait en désuète, comme la plupart des idoles qu'on adule un temps et qu'on oublie.

Lors de ses missions, à l'intérieur du pays, Adam ne manquait jamais d'aller voir ses frères et sœurs dans le village de Koussanar. La famille était toujours restée humble. Et unie.

Et il vous arrive parfois de ces matins de bonheur, qui ne ressemblent à aucun matin des mondes.

'…Adam…..! Mon fils… !'

Lui dit un jour sa maman, alors qu'il venait de se lever vers midi.

'..Va à la rivière Lérèyè….! Le rayon du soleil t'attend…!'

Il s'habilla correctement et sans rien demander, écouta les bonnes paroles de sa maman vieillissante.

Il se rendit à son endroit préfère et là, il vit l'impensable. Son rêve, assis en boubou les pieds dans l'onde si claire et si pure.

'…Wali…? Wali….?'

S'écria t'il.

'…Non Adam, c'est Waraba….!' Au début D ieu créa la terre….Les cieux…etc….Le vent…puis l'homme et enfin la femme…Il n'a pas créé l'argent, ni la fortune au départ, ni la gloire ni le succès…Et tu m'as dit un jour, sur une place de marché aux chameaux…….. Il arrive souvent que la vie commence par le mal pour qu'elle trouve une fin bien heureuse. Tu es encore jeune et belle..!'

Elle se leva, lui prit ses mains qu'elle porta à ses lèvres et les lui baisa comme elle avait fait ce jour là, alors qu'elle était assise sur la terre battue, sur la place du marché. Elle lui prit ses lèvres et les embrassa.

Adam laissait couler ses larmes sur sa joue tandis que Waraba, les lui essuyait tendrement.
Ils s'enlacèrent debout les pieds dans l'eau de la Lérèyè.

'..C'est ci que je veux vivre avec toi….Adam….!'

Fin.

Waraba veut dire Lionne en sénégalais.


La vérité.

Waraba existe, elle 23 ans, célibataire, vit auprès de sa maman Oumi, très grande et belle. Elle travaille dans un magasin de fringue, en jean, basket et débardeur. Elle est mon amie. Elle m'a fait part d'une partie de sa vie, le reste est romancé comme vous l'avez compris.

§§§§§…Sé megen tegui maniIIIIIIIIIIIIIIII nièm. Degbi médjèm dafassari sakhar gofodjèm délsinè …..Africa…AfricaAAAAAAAAAAAAA…..§§§§§…..Nenniou lèn myounNNNNNNNNNNNNNNNNNN sitè siè..§§§§§…Mounièm lola dal yallah bourbi dey natou diaman….§§§……
Le pays là où je vais est très loin. Le train qui m'a emmené est reparti. J'essaye de supporter la souffrance de la séparation. Je supporte tout, c'est D ieu qui l'a voulu car c'est mon destin


La Wali s’en est enfouie
Dans la brousse, elle est partie
Vêtue de sa robe blanche d’hyménée.
Par les ronces et les buissons déchirés.
Et le brouillard enveloppe son beau regard
Inondé par les larmes amères et noires.

Elle marche hagarde dans la forêt
Là où son destin l’attend.

Un vieux sorcier l’attendait.
Un sage dans sa hutte délabrée.
Il lui dit de ne pas désespérer.
Elle écoutait la Wali
Les paroles du vieux sorcier.
Confiante et rassurée
Elle s’en repartait sur les chemins
Guidée par son destin.
La Wali.


La Wali dans la rivière Lérèyè.
A plongé son regard bien fait
Dans l’onde clair apaisée.

Un frisson a ridé
La surface de l’eau de Lérèyè.

Le reflet de son destin a brillé
Comme une étoile sacrée
Traversant l’immensité
Il s’est réfléchi à ses pieds

Un océan d’espoir
S’est inscrit dans son destin.


Cent mille voix étrangères ondulent l’air
Par delà l’océan.
Cent milles et mille cœurs l’adulent en secret.
Par delà le monde.

La manne bien drue est tombée
Sur la jeune fille noire mannequin.
Qui n’a pas oubliée son pays où elle née.

La Wali forte de son succès
Mais fidèle à son cœur sacré
N’a pas reniée l’amour de son ami
Et sa contrée.

Gloire, paillettes et fortune n’ont pas brisées
Ce noble sentiment pour l’homme de son pays.

La Wali s’en est revenue
Vers ses plates prairies
Humble mais plus jolie
Au pays de ses ancêtres, le Mali
Epouser l’homme de sa vie
Grâce au p’tit conteur de récit
Celui qui se dit le Breitou, ici.
Il le doit par la grâce de Albert.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le dimanche 04 février 2007 - 21h15:

La WaliiiIII….


‘…Sous les séquoias d’Afrique.
Une végétation active vit.
Au rythme du tam tam qui s’effrite
Dans la brousse…
Les mangeurs d’hommes épient.
Tapis dans les vertes couvertures
De la prairie.

L’éléphant barrie.
Le croco baille.
Le zèbre paît.
Le taon pique.
Le temps s’écoule.
Lentement au rythme
Des saisons…..

La girafe dresse l’oreille.
L’antilope craint.
Le serpent repu dort.
Le cormoran prend son envol.
Au dessus de la plaine paisible où il ne se passe jamais rien.

DOUG….DOUG….DOUGGGG….DOUGGGG…§§§§§§§….§§§§


Waraba la lionne s’est enfouie,
Le jour de ses noces, un matin
Elle a prit le maquis, vers son destin.
La révolte gronde dans son âme
Et son corps meurtri saigne à blanc.
La peur au ventre, et le cœur lourd
Ses yeux rougis par ses larmes de sang.

Les cris des ouistitis l’accompagnent
Les serpents arrimés aux branches des arbres
La regardent.
Perdue dans ses idées noires,
L’esprit embrouillé, elle s’enfonce
Dans la foret.

Sur son chemin, une cabane.
Un vieux sage assis l’attend.
Paroles de marabout sans désespoir
Il lui indique au loin un horizon d’espoir.

La route est bien longue au loin.
Mais à qui sait attendre,
Nul sacrifice n’est vain.

La patience est synonyme de triomphe
Le bonheur n’est pas illusion pour ceux
Qui ont la rage au coeur.

Il n’est point de conteur qui ne sache conter
Il n’est point d’historien qui ne sache relater.
Il n’est point de troubadour qui ne sache chanter.
Il n’est point de danseur qui ne sache danser.

Un ciel sans nuages n’est pas un ciel.
Une mer sans vagues est stérile.
Un volcan qui ne souffle plus, se meurt.
Une montagne qui accouche n’existe pas.

Le solitaire trouve pour compagne le silence.
Alors qu’est ce qui a changé… ????

Le guerrier n’est pas forcément un va t’en en guerre.
Il peut s’agir aussi d’un esprit guerrier, d’un battant.
D’un homme ou d’une femme qui se bat pour son avenir,
Pour son couple, sa famille, son travail.
Pour ses convictions, pour ses idées, pour sa religion, sa foi.

Sur la route…///
De CasamaAAAAAnce.
Roulent de jours comme de nuits
De grosses remorques, des camiIIIIIons
Chargés de tout et de semencEEEes
Et des poussièEEEEres charriants.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Sur le bas coté …/// D’la route..///
Qui mène à Casa…////…MAAAance
Une jeune fille de couleur noire, éplorée
Vêtue de sa robe blanche déchirée,
Et debout apeurée sur le bord de la route qui mène
…////// A CasaAAA..///…Mance.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Un gros camion s’est…///… Arrêté…/////
Est-ce la provideEEEEnce §§§§§
Qui s’est faite invitée…..§§§§§§
En partance pour CasaAAAmance.

Naïve et pleine de confiIIIIIance
Elle raconte son errAAAAance
Son enfaAAAAnce…§§§§§
Au chauffeur ému par sa confidence.

Arrivée au Pays de CasaMAAAAAAce…§§§§§
WaliIIIII perduUUUe et pleEEEine de méfiance…////
Est accueillit par un jeune surveillant
Une sentinelle, peut être sa chance
Qui lui parle avec convenAAAAAance.

Doug…//
Doug…//
DOUG…DOUG…DOUG…DOUDOUGDOUGDOUG….§§§
Doug….Doug….doug….doug…dou….do….d…

Breitou chante avec la choeur de la ‘Breïtos Band Africa.’

‘…..Deg’louUUUliiiiiIIIIIIIII
… ! Samia yaAAAAyeEEEE…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
….YeyèEEEE OumIIIIi…. ! ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
Ki sa dome la WaliIIIIIiiiiii…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Boul’guene ‘bagage’ ….. !
Gay’tou ba’khoOOOOul
Yayè YAYEEEEE…OUMIIIIII…. ! ‘’’’’’’’’
iiIIIIIIIIIII
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Moye EubeEEEEe… !
Diou’romy Niety weEEEEre Doug DOUG…..DOUG…..
Fou’kel’be khat’ouè ka gaAAAAAA’gne….§§§§


‘…..Deg’louUUUliiiiiIIIIIIIII
DEGGGGGGGGGGGGGGG’LOUTIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…§§§§§§
… ! Samia yaAAAAyeEEEE…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’MamaAAAA…..
….YeyèEEEE OumIIIIi…. ! ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
Ki sa dome la WaliIIIIIiiiiii…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§


Doug DOUG DOUG DOUG……

Paroles de Karim Abdoukarim. Mon employé.
Traduction et musique de Albert

‘…Entends MamAAAAan….Ma voiIIIx… !
Je suis ton enfant WaliIII …. ! Ne me renie pas
Ne jettes pas mes bagages dans la rue…§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Rappelles toi ÔÔÔÔÔ…..Maman….
Ma naissance, j’allais y passer….§§§§§§§§§§§§§§§§
Après neuf mois, tu m’as fais naître
Presque morte au début du dixième mois,
La peur au ventre et avec bcp d’angoisse… !
Tu as pleuré….. !

A Laréyè …
LaréyèEEEEEE….
EeEEEEEEEE….
Wali et Adam sont arrivés
A la rivière enchantée….§§§§§§§§§§§§§§§

EEeeeeEEEEEEEEEEEEEE…
La légende racontait
Qu’elle est née sous un rayon de clarté…
EeeeeEEEEEEE….§§§§§§

Le reflet de son visage
A fait frissonner
L’Ondé…..
EeeeeEEEEEEEEEEEEE…
Wali..IIIII….Toute émerveilléEEEe…
EeeeEEEEEEEEEEEEEEEEEE……§§§§§
Ecoutait Adam qui commence à l’aimer…
Qui commence à l’aimer…
EeeeeEEE….
Par-dessus la source de la rivière
LaréyèEEEEEEEEEEEEEEEEE…..

‘…..Deg’louUUUliiiiiIIIIIIIII
… ! Samia yaAAAAyeEEEE…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
….YeyèEEEE OumIIIIi…. ! ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
Ki sa dome la WaliIIIIIiiiiii…’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le dimanche 04 février 2007 - 21h08:

WALI,

La noire vous est inconnue.
Elle est grande mais pas bossue.
Son cœur est vierge comme sa vertu,
Gentille à souhait ; nous en étions confondus.
Je l’ai connu.

Elle parle de tendresse
Avec de grands frissons
Du haut de ses talons.
Jamais un mot de travers
Que des rires, pour plaire.

Elle vient d’un pays noir
Le Sénégal, son fief, son terroir.
Des yeux en amande bien black
Qui nous parlent, sans blague.
De son monde, de ses semblables.

Sandaga, c’est son pauvre quartier.
Elle avait 20 ans ; elle nous racontait
Que son père sénégalais, l’avait reniée.
Et qu’elle était venue, un jour, travailler
Dans ce pays tant convoité.

Wali, ils l’avaient surnommée.
Sa famille et tous ses aînés
Restés aux pays.

Elle venait d’une contrée noire
Oubliée par le peintre Renoir.
Elle brillait comme un soleil
Cette belle fille, une merveille.

Son caractère était chaud comme laine.
Doux comme la soie tendre ; sans haine.
On l’aimait.

Puis, un jour, on ne l’a plus revue.
Sans doute, là bas, ils l’ont retenue.
On ne sait ce qu’il est advenu
De cette jeune noire.

Elle s’est peut être mariée
Dans ce pays si éloigné.
On s’était dit. Autrefois.

Puis un jour, on a reçu de ses nouvelles.
Elle parlait de son enfant, son bébé
Et qu’elle habitait du côté de Ouakam.
Son ancien quartier, Mesdames, Messieurs…!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le dimanche 04 février 2007 - 21h02:

DOUG...
DOUG....§§§
DOUG.....§§§§§§
DOUGGGGGGGGGGGGGGG....DOUG DOUG DOUG DOUG DOUGDOUGDOUGDOUGDOUG......

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Jano (Mr_Jano) le dimanche 04 février 2007 - 20h41:

J’improvise tout en mettant en marche le scénario.

Une simple petite carte invite nos chers acteurs et actrices à se rendre à l’agence de Voyage
TRADEL TRAVELLING ELSA BD VOLTAIRE METRO BOULETS…. DODO TRAVEL…OS…
Une réunion est prévue chez notre grande star du TOUR OPERA..TOR….Avec à la clef un voyage en Ecosse.
Ils sont tous venus à l’heure pile.

Elsa.

‘..Et bien lorsque c’est gratis, on ne perd pas de temps… !’ Bon voilà, le dirlo a eut une sublime idée… !’

‘…Je veux première classe près du hublot… !’ Mamili.
‘…Tu auras une place près des chiottes, ok….. ?’

Après une heure de divertissement, chacun et chacune voulant les meilleures places, le départ est prévu pour Le 1 AVRIL2007. Et ce n’est pas un canular Meyer. Quoique que tu en penses.
C’est pas du lard non plus.

Arrive le jour précipité plus haut.
Aéroport de Paris. Charles De Gaulle. Hall 36.
Ils sont tous présents avec leurs caméras.
Y’a même les fils de là bas, Braham, Jak, Girelle et W’ness.
En tenue de sport.
Les autres bien habillès.
La Comtesse de Paris Madame Michka est toute en fourrée comme un chocolat.
Mamili kolla diamante, Meyer avec un chapeau melon, Elsa mta kif, Girelle avec un chapeau de paon, Braham avec un jasmin au coin de son oreille gauche Maxiton en complet twid couleur orange, il adore les oranges, Breitou avec un sac en bandoulière, Albert en tenue macadamia,
C’est la couleur du crème pink pour cheveux au parfum fraise.

Elsa….’…Tu aurais pu choisir un autre parfum, granit par exemple, ye bim… !’

Etc…..

La bande passe la police des frontières. W’ness tarde à rentrer.
On attend. Enfin il apparaît.

‘….Ils m’ont prit pour un arabe terroriste… !’ Avec ce nom là, je ne passe pas inaperçu.. !’
‘…Justement, vous ne passez pour rien du tout…. !’ Michka. :) :) :)

Bon, je ne vais pas tout vous raconter qd même.

A suivre…..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le dimanche 04 février 2007 - 20h18:

Je ne vais pas tout mettre qd même.
J'ai peur de l'oeil. Zut.
Tu connais mon patri moine toi, alors...!
Et mes chaines de HI FI ....Et mes NINTENDO...
Et mes actions en BOURSES MOLLES....En ce moment...! Hein....Ne dévoiles plus rien.

Merci. Le fils du fisc écoute.