Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 27 janvier 2005 - 21h16: |
avec tes pointes d'humour tu n'auras aucun mal passer tous les chas du monde,du moment que tu gardes le fil.
Par Albert (Albert) le jeudi 27 janvier 2005 - 20h29: |
Tawfiq,
Si tu m 'avais dis celà il y a un mois, je n'aurais pas pu passer par ce petit trou du PARADIS, aujourd'hui, si cet orifice du PARADIS ressemble à UN CHAS D AIGUILLE , je passe aisement avec tous mes accessoires.
Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 27 janvier 2005 - 20h18: |
biber,rien ne vaut une bonne priere pour faire son trou.
avec les bons orifices du petit jesus la lumiere sera au bout du tunnel,pas besoin de se creuser la tete,avec la foi ,tout est possible car un petit trou est parfois la porte du paradis....
Par Albert (Albert) le jeudi 27 janvier 2005 - 19h05: |
Par Lalla (Lalla) le jeudi 27 janvier 2005 - 04h51: |
cher Albert
pour le meilleur et pour...de rire,bien sur!
Valerie est delicieuse mais toi ,que deviens-tu?
la curiosite est un vilain defaut;comme j'en ai tant d'autres avec la gourmandise aussi...
Par Valerie (Valerie) le mardi 25 janvier 2005 - 21h56: |
AU THEATRE CE SOIR…
PAR ALBERT SIMEONI.
Paris le 24/06/2004.
Résumé des précédents chapitres passes.
Seifou, tailleur de son métier, dans son petit village au Mali, tire la langue. Son cousin Aissa, éboueur à Paris, depuis 10 ans l’incite à venir près de lui afin d’y pratiquer la magie. Seifou, grâce à l’expérience de sa tante Mariama dans le domaine de la magie blanche, noire, et dans la fabrication d’onguents l’initie durant quelques semaines. Seifou débarque à Paris, à la grande surprise de son cousin Aissa. Seifou désœuvré trouve un moyen ‘malsain’ pour se faire connaître. Il empoisonne presque son ami de chambre Mamadou à proximité du marché St Jean à Barbès dans le 18 ième. Seifou, devant la foule de badauds qui entoure le malheureux, lui ingurgite un antidote. Il est sauvé. On crie au miracle. Son coup à réussit . Son savoir faire fait le tour du quartier. Il reçoit ses premiers clients. Il se brouille avec son cousin et loue un appartement bien plus grand du côté de Voltaire pour ses pratiques. Une retraitée de la Préfecture de Paris , Madame Christiane Bachaumont lui vient en aide pour l’établissement de ses papiers. Il devient même français grâce à sa complicité. Un après midi, il reçoit une dame de qualité. Veuve et riche héritière. Elle vient le consulter pour ‘une influence à distance’ ; détourner les pensées de ses deux enfants, Alice et Georges, tous deux mariés qui veulent forcer, leur mère, selon ses dires, à leur léguer une bonne partie de son héritage alors que cette dernière a couché tous ses biens en faveur de sa fondation. Seifou écoute et enregistre. Rendez vous est prit au pavillon de Madame Elisabeth. Il est emballe par la richesse de la dame. Il demande des ‘témoins-supports’ pour son travail de magie à distance. En vérité ,le Marabout à d’autres projets, bien précis, en tête. Il va procéder à un envoûtement d’amour sur la pas très vielle héritière. Cette dernière se voit et durant 7 nuits faire l’amour avec le sorcier Seifou. Elle tombe amoureuses de lui par ces échanges hors-du commun. Au 8ième jour, patatras plus rien et les jours suivants, son amoureux n’est plus à ses rendez- vous nocturnes. Elle veut en avoir le cœur net et décide d’aller à sa rencontre chez lui. Elle n’ose pas , sur le champ, lui avouer ses nocturnes et bizarres étreintes en rêves avec lui. Mais, il a deviné ses pensées. Déçue, elle regrette de ne pas avoir tout raconté. Elle se décide à le faire en allant chez lui, après son départ. Il est dans son bain quand elle frappe à sa porte. Elle profite de cette situation pour rentrer dans sa baignore et se donner entièrement à son ‘amant de minuit’. Elle est tombée dans son piège.
Récit.
NARRATION.
LE MARABOUT…VIII
Elle lui téléphone.
-‘…Seifou… ! Bonjour… !’
-‘…Bonjour Elisabeth… !’
-‘…Pour hier, c’était magnifique et j’en rêvais depuis pas mal de temps… !’
-‘…Ne dites plus rien, j’ai énormément apprécié et… !’
-‘…Demain, tu viens chez moi, je t’attends… !’
-‘…Je passe la nuit si tu veux… !’
-‘…Oui… ! Oui….. ! Ok pas de problème… ! Je suis ravie… !’
Et ce fut ainsi pendant trois mois. Elisabeth était très amoureuse de son Seifou au point qu’elle oublia ce dont elle l’avait commandé de faire. Puis, elle décida l’impensable….
-‘…Seifou, tu devrais emménager ici…. ! ‘
-‘…Et mon boulot.. ?’
-‘…Mais rien ne t’empêche de le pratiquer… !’
-‘…Je fais le va et vient alors… !’
-‘…Oui, tu apportes ta garde robe et tu vis là …Près de moi… !’
-‘…Mais tes enfants…. ?’
-‘…Je m’en contre fiche… ! Ils sont loin de nous… !’
Le dernier obstacle était aboli et rien ne pouvait plus nuire à leur relation. Seifou commençait à jubiler, il sentait que son projet allait enfin s’accomplir comme il l’avait prévu.
Tous les soirs, elle recevait comme une chatte en chaleur sa pitance et Seifou la rassasiait au delà de ce que peux recevoir une femme à son âge. Il l’achevait presque chaque nuit en amour.
Elisabeth était soumise corps et âme au sorcier à présent par sa queue comme on le dit.
Sans se faire annoncer, Alice sa fille, débarque à l’improviste au souper chez sa mère, un certain soir. Elle fut surprise de voir à table ‘ce noir en boubou’, cet indigène .
Sa maman toute prévenante et sans grande animosité lui présenta Seifou..
-‘…Je te présente Maître Seifou, mon amant… Alice… ! As- tu soupé… ?’
-‘…Ton amant… ? ‘
-‘...Comment dois-je te l’annoncer à cette heure là… ?’
-‘…Tu aurais pu trouver autre chose…. ! Que ce marabout… !’
-‘...Un blanc vous voulez dire Madame Alice… ?’ Répliqua Seifou, légèrement désappointé.
-‘…Sans doute… !’
-‘…Tu ne vas pas me dicter ma conduite et puis qu’est ce qui t’amènes ici ce soir sans me prévenir.. ?’
-‘...Non, je ne reste pas longtemps, c’est au sujet de Georges … ! Il est dans une mauvaise passe.. !’
-‘…Tu es venue pour me dire cela.. ? Pour m’annoncer des mauvaises nouvelles.. ! Les bonnes… ! Ne vous ne m’en parlez jamais.. !’
-‘…Je voulais t’en parler mais vu tes mauvaises dispositions à notre égard , j’ai préfère attendre un peu.. !’
-‘…M’en parler après de si longs silences, pas même un coup de fil… ! Son dernier coup de fil parlait d’héritage et depuis que je vous ai dévoilé celles là, vous manigancez entre vous. Ma décision est prise, ce sera pour ma fondation alors n’essayez pas de troubler mon esprit… !’
-‘…Tu maintiens donc ton projet… ?’
-‘…J’irais au bout de mon projet et peut être même que je vais changer certains paragraphes, à présent que je vais me marier avec Seifou…. !’
-‘…Te marier…. ?’
-‘…M’avez -vous laissé le choix… ?’
-‘…Je vais même tout remettre en question… !’
-‘…Tout remettre en question… ?’
-‘…Je réfléchis… ! Bon il se fait tard , nous allons au lit.. !’
Seifou sursauta, il était surpris par cette annonce dont il n’était pas au courant, il ne dit mot, préférant laisser la mère et la fille se débrouiller en tête à tête pour discuter d’affaires de famille ;
Seifou se leva de table…
-‘…Non reste Seifou, j’ai rien à perdre ni à cacher… ! Tout est entendu, il fallait que cela soit dit.. !’
Alice se leva et s’apprêtait à sortir mais avant elle lança envers sa maman….
‘….Et surtout réfléchit bien…. !’
A SUIVRE….
Par Valerie (Valerie) le mardi 25 janvier 2005 - 21h38: |
Par Valerie (Valerie) le mardi 25 janvier 2005 - 21h07: |
Par Breitou (Breitou) le mardi 25 janvier 2005 - 20h20: |
DE LALLA...
'...POUR LE MEILLEUR ET POUR LE .....RIRE OU LE PIRE...??????'
Par Albert (Albert) le mardi 25 janvier 2005 - 19h53: |
Vous vous souvenez du MARABOUT...????
Nous en étions où déjà..????
Essayez de vous en souvenir...?
Merci...
Par Albert (Albert) le mardi 25 janvier 2005 - 19h37: |
TAWIFIK.....
D'une Haitienne,
'...Bonjour monsieur ,je voudrais la PRIERE DU PETIT ORIFICE DE L ENFANT JESUS DE PRAGUE...!'
J'ai supposè que c'était la même prière que celle de l'OFFICE DU SAMEDI MATIN CHEZ LES JUIFS...D'un 'cul séc', j'ai dis que j'en avais pas...
Par Valerie (Valerie) le lundi 24 janvier 2005 - 21h57: |
Chers Harissiens et Harissiennes,
Je suis chargée durant quelques temps de publier certaines nouvelles de mon père selon son désir et sa volonté et mon emploi du temps.
Mon père, durant quelques jours, m’a indiquée la marche à suivre.
En attendant et à bientôt.
Valérie.