Par Douda (Douda) le mardi 01 février 2005 - 21h02: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Après l’exorciste, voici la méthode illustrée de l’envoyé du Vatican !
Conseils au Baabous :
Par Breitou (Breitou) le mardi 01 février 2005 - 21h03: |
TAWFIQ,
A moins que celà soit le TOUR DE BISE...
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 01 février 2005 - 20h47: |
c'est pas la meme recette pour les zobelisques?en tout cas le sujet n'aura qu'a bien se tenir.
Par Albert (Albert) le mardi 01 février 2005 - 19h20: |
Il ne pouvait avoir que celà pour voir 'glander' notre chér Douda, bon ce soir j'essaye ta recette pour voir ce que celà va donner mais si je m'aperçois que c'est UN BIDE....Alors là crois moi, je te ferai un scandale à moins que tu veuilles m'expliquer par un croquis la marche à suivre; comme tu as vécu dans le triangle de mon pays, je te laisse le soin de CHAPEAUTER l'emblême et vas y MOLLO surtout ne laisse pas ton imagination trop déborder, les meufs risquent d'en prendre un BON COUP.
Voyons voir, rien que pour le plaisir de la voye .
Par Douda (Douda) le mardi 01 février 2005 - 16h44: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Conseil du Vatican au Baabous ! Exorciste et encore exorciste !
L’envoyé du Vatican conseil au Baabous atteint de mollerie pénienne, le remède suivant :
1. Mettre le caoutchouc à l’index.
2. Allumer un canoun.
3. Mettre le pimento mollio appelé aussi membre mou au dessus du brasier.
4. Proférer au zobjet atteint de mollesse la menace suivante : “si tu tombes - tu te brûles”.
5. L’attribut en question sera condamné à durcire, sous peine de calcination du genre Merguez ou Baïds, sans harissa et sans boukha.
6. Si contre toutes attentes, le remède ne donnait pas satisfaction, se rendre chez Maistre Kolibango à Barbes, afin qu’il procède à un maraboutage en règles ! Avec poupées Barby percée d’épingles, ceci pour que la sorcière insatiable voit ses chaleurs se calmer, et ne réclame plus ses zoboles à un pauvre pimento mollio.
J’ai dit ! Zekch !
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le lundi 31 janvier 2005 - 22h41: |
AU THEATRE CE SOIR.....
LE 24/06/2004.
Résumé des précédents chapitres .
Seifou, tailleur de son métier, dans son petit village de son Mali, tire la langue. Son cousin Aissa, éboueur à Paris, depuis 10 ans l’incite à venir près de lui afin d’y pratiquer la magie. Seifou, grâce à l’expérience de sa tante Mariama dans le domaine de la magie blanche, noire, et dans la fabrication d’onguents l’initie durant quelques semaines. Seifou débarque à Paris, à la grande surprise de son cousin Aissa. Seifou désœuvré trouve un moyen ‘malsain’ pour se faire connaître. Il empoisonne presque son ami de chambre Mamadou à proximité du marché St Jean à Barbès dans le 18 ième. Seifou, devant la foule de badauds qui entoure le malheureux, lui ingurgite un antidote. Il est sauvé. On crie au miracle. Son coup à réussit . Son savoir faire fait le tour du quartier. Il reçoit ses premiers clients. Il se brouille avec son cousin et loue un appartement bien plus grand du côté de Voltaire pour ses pratiques. Une retraitée de la Préfecture de Paris , Madame Christiane Bachaumont lui vient en aide pour l’établissement de ses papiers. Il devient même français grâce à sa complicité. Un après midi, il reçoit une dame de qualité. Veuve et riche héritière. Elle vient le consulter pour ‘une influence à distance’ ; détourner les pensées de ses deux enfants, Alice et Georges, tous deux mariés qui veulent forcer, leur mère, selon ses dires, à leur léguer une bonne partie de son héritage alors que cette dernière a couché tous ses biens en faveur de sa fondation. Seifou écoute et enregistre. Rendez vous est prit au pavillon de Madame Elisabeth. Il est emballe par la richesse de la dame. Il demande des ‘témoins-supports’ pour son travail de magie à distance. En vérité ,le Marabout à d’autres projets, bien précis, en tête. Il va procéder à un envoûtement d’amour sur la riche héritière. Cette dernière se voit et durant 7 nuits faire l’amour avec le sorcier Seifou. Elle tombe amoureuses de lui par ces échanges hors-du commun. Au 8ième jour, patatras plus rien et les jours suivants, son amoureux n’est plus à ses rendez- vous nocturnes. Elle veut en avoir le cœur net et décide d’aller à sa rencontre chez lui. Elle n’ose pas , sur le champ, lui avouer ses nocturnes et bizarres étreintes en rêves avec lui. Mais, il a deviné ses pensées. Déçue, elle regrette de ne pas avoir tout raconté. Elle se décide à le faire en allant chez lui, après son départ. Il est dans son bain quand elle frappe à sa porte. Elle profite de cette situation pour rentrer dans son bain et se donner entièrement à son ‘amant de minuit’. Elle est tombée dans son piège. Au cours d’un souper agité, Alice, la fille s’entend dire par la bouche de sa maman que Seifou est son amant. Alice réagit mal d’autant plus que sa maman lui avoue aussi qu’elle va convoler en secondes noces avec son Marabout et qu’elle prendrait d’autres dispositions testamentaires. Seifou voit enfin ses plans, se concrétiser .
Récit.
NARRATION.
LE MARABOUT…IX.
Elle claqua la porte en signe de mauvaise humeur.
Seifou jubilait intérieurement. Son travail portait ses fruits. Ils étaient au lit …
-‘…Mais je ne connaissais pas ton décision de me prendre pour époux…. ?’
-‘…J’en ai parle à mon notaire et nous allons, si tu veux bien, procéder à la publication des bancs le plut tôt possible.. !’
Le lendemain dans son cabinet, Seifou jugea que le moment était propice pour s’attaquer à présent à Alice. D’autant plus qu’il fut blessé dans son amour propre devant sa ‘ future femme ‘par sa ‘belle-fille’.
Il allait procéder à des opérations de magie noires. Il choisit un jour de la semaine où la lune était dans sa phase finale, la lune noire. Il confectionna d’abord une poupée en tissu à l’effigie d’Alice qu’il nomma ainsi. Puis il prépara son autel en plaçant six bougies noires et inscrivit son nom , prénom, date de naissance, de sa mère sur un papier de parchemin en peau de mouton.
Il changea de costume, enfila un boubou noir cette fois ci. Il intercala dans le parchemin un clou rouillé prit dans un cimetière.
Il avait à présent une raison majeur de laver d’une part l’affront et aussi de se débarrasser d’elle à cause de ce qu’elle pouvait faire pour entraver la démarche de sa maman. D’autant plus que celle ci avait l’intention de coucher Seifou dans son testament.
Il enveloppa la photo, tissu, le témoin et le clou dans une pochette noire qu’il mit dans un bocal hermétiquement fermé.
Il brûla de l’encens dit ‘ Poudre de Mort..’ Il commença à invoquer Lucifer et ses sbires à haute voix, en levant les bras au ciel. Il recommença l’opération le lendemain encore à l’heure de Mars. Deux fois pas jour, à minuit et à 6 heures du matin, il psalmodiait sa liturgie avec force et concentration.
Alice, un soir, durant son profond sommeil, sentit comme des épines lui traverser le corps. Elle voyait aussi des masques nègres et des sagaies qui venaient vers elle. Elle se leva en pleine nuit toute en sueur, hagarde et mal en point. Son mari, se réveilla car Alice ne se sentait pas bien. De violentes secousses secouaient son corps, elle ne comprenait rien à ce soudain réveil brutal dû à un mauvais cauchemar, du moins le pensa t’elle. La raison de ce mauvais rêve, lui échappait d’autant plus que les nuits suivantes , elle rentrait encore en transe presque au seuil de l’évanouissement.
Elle décida d’aller consulter un psy. Ce qu’elle fit au bout d’une dizaine de jours de ‘harcèlements cauchemardesques’.
Son médecin la rassura en lui diagnostiquant un état de stress du à son travail et aux soucis quotidiens. Malgré les soins thérapeutiques qu’il lui prescrivit, rien n’avait change et les horreurs macabres revenaient comme auparavant.
Puis elle se mit à réfléchir sur son état, et là elle eut comme une vision avant de s’endormir durant une nuit. Elle voyait Seifou, le Marabout, agir sur elle. Elle avait tout compris. Le sorcier travaillait sur elle à distance. Elle en déduisit qu’il voulait la faire disparaître. Or, Alice dans son jeune age avait suivi des séances de Vaudou avec le concours d’un maître en sciences occultes. Le rite Vaudou dit ‘ Baron Ca me dit ceça…’ . Elle pratiqua dans une loge bien connue à Paris des rituels extrêmement puissants, durant trois ans et fit même un stage de 15 jours, à l’insu de ses parents, dans un Oufnor ( Temple Vaudou) à Port de France. Elle fut initiée aux GUEDES, l’appel des esprits macabres. Elle connaissait par cœur tous les VEVES …Talismans de protection contre les chocs de retour. Mais avant de prendre sa décision, elle préféra alla consulter un ami , grand adepte de magie noire. Et la conclusion était sans appel ; elle était sous l’emprise d’un mauvais esprit qui pouvait la tuer, si elle ne se protégeait pas.
Elle se mit à l’œuvre et réouvrit ses anciens bouquins de magie noire cachés dans sa cave.
Elle compléta ses connaissances en achetant d’autres bouquins contre ‘LES ENVOUETEMENTS ET DESENVOUETEMENTS A DISTANCE’, et d’autres nouvelles éditions qui complétaient ses connaissances. Quelques accessoires, dénichés dans les vieilles boutiques ésotériques , s’ajoutèrent à son matériel. Elle se débarrassa de son ancienne longue robe blanche pour la remplacer par une noire en toile légère de lin.
Il lui manquait les témoins essentiels à son travail. Elle découpa dans un magazine spécialisé la photo du Maître Seifou. Mais là encore, cela n’était pas assez suffisant pour donner plus de force à sa magie. Elle décida d’aller au pavillon de sa maman afin de prélever un morceau de tissu ou autre objet appartenant au Maître. Elle ne voulait rien laisser au hasard. Le lendemain ce fut chose faite, elle s’introduisit sans effraction, et en l’absence de sa maman car elle avait les clefs de la grande maison, pour acquérir un morceau d’étoffe de son boubou ; un petit carré de tissu multicolore. Elle tomba sur ce dernier, accroché à un porte manteau. Elle se dirigea ensuite dans la salle de bain pour prélever, entre les dents d’ un peigne, quelques cheveux appartenant au magicien. Son précieux bien en poche, elle s’en retourna chez elle. Soulagée et heureuse par sa moisson.
Elle fixa d’après son calendrier lunaire, le jour le mieux approprié pour son travail à distance.
Elle choisit le Mardi matin à l’heure de Saturne. Elle attendit selon un savant calcul l’heure propice et le moment adéquat où les astres Mars et Saturne seraient en conjonction. Elle tomba sur l’heure de 10 heures 26 exactement pour son opération. Elle avait 20 minutes pour ce faire.
Son mari était en voyage en région Marseillaise. Bien avant cette heure fatidique, le matin d’un dimanche , elle organisa sa cave, en la nettoyant à grande eau, y ajoutant un mélange d’ammoniaque et de soufre. Un coin propre fut choisit pour dresser son autel. Elle brûla tout ce qui pouvait la gêner dans son entreprise. Il est 10 heures, quand elle fit sonner le téléphone dans son cabinet s’assurant ainsi que Seifou était bien présent.
Elle entendit sa voix dans le combiné et raccrocha aussitôt sans parler. Elle se purifia avec de l’encens qui la pénétra de haut en bas en invoquant St Michel, puis se revêtit de son ample vêtement noir. Elle prit le chemin de sa cave où tout était prêt.
Elle attendit quelques minutes et jeta un coup d’œil à sa montre. Elle alluma entre temps ses bougies noires dans lesquelles étaient plantés 7 clous au nom de Seifou. Elle posa un morceau de lard épinglé aussi par des épingles à tête noire.
L’image d’ Urzulli Fredda ( La vierge noire) et de Ogu Ferraille ( St Georges) étaient accrochées à un pan du mur repeint…. L’heure précise arriva….Elle fixa les yeux du Marabout et tout en se concentrant sur sa photo……
A SUIVRE …..
Par Albert (Albert) le lundi 31 janvier 2005 - 22h17: |
Tawfiq,
Argumenter sur un membre de la famille '...Tiens toi droit et tais toi...' Relève de l'équilibrisme jusqu'à un certain âge et je ne crois pas que les vieux érudits, tout érudits qu'ils fussent, soient en mesure d'analyser avec doigtè la compléxitè de la chose à maintenir dans la plus stricte rigiditè dans leur intimitè mais s'ils décident de le faire, il y aura un ralentissement sérieux du cervelet dû à la molesse de ce nous avançons.
Sans doute que la DOUDA peut nous aider avec sa finesse d'esprit, lui il doit être au courant de ce fait.
Par Breitou (Breitou) le lundi 31 janvier 2005 - 22h06: |
Dans quelques instants le suite du MARABOUT VIII.......SEIFOU
Par Albert (Albert) le lundi 31 janvier 2005 - 21h50: |
Tawfiq alors YE A ZIZI veut dire mon cher ONCLE BIEN AIME OU MON CHER ZIZI ....ADORE....??
Par Toufiq (Toufiq) le lundi 31 janvier 2005 - 19h29: |
voici un sujet qui ne manquera pas de semer
la zizinie.savais tu qu'en kabyle "zizi" veut dire oncle?
il faudrait que les erudits se mettent d'accord pour couper court a la contreverse et qu'on arrive jusque au bout de cet argument.
Par Breitou (Breitou) le dimanche 30 janvier 2005 - 20h46: |
Mon cher Tawfiq,
Je n’ai pas perdu encore le fil d’Eriane, par contre je suis en droit fil sur la MUSIQUE.
Il y a qq jours, sur ADRA, il m’a semblé avoir lu tout une littérature sur le zizi des circoncis et chacun y est parti de son analyse ; doit t’on considérer un bébé né juif mais pas circoncis comme juif, doit on l’enterrer etc…. … Bref, comme c est une affaire de ZIZI donc très importante pour le reste de la vie d’un homme car sans cela pas de progéniture donc pas de renouvellement de l’espèce humaine donc bref, tu as compris, alors j’ai été revoir un de mes chanteurs préfères à l’époque où je courrais en culotte courte et je suis tombé sur sa chanson, du moins sur un couplet que je t ‘offre sans arrière pensée afin de t’instruire de la chose . Un voisin aimait à répéter à qui veut l’entendre
‘…TARF MEL LEHMI ME CHEDDOUCH AALIK… ! ‘
( Pour toi, je ne retiendrai pas un morceau de ma chair)
J’en ai compris le sens après qq mois et j’ai trouvé sa réflexion un peu déplacée.
Une plaisanterie d’après lui.
Voilà donc pour toi, pour t’inspirer de la chose ce couplet mis en COUPE par Mr Perret qui n'est pas CHOHET...
Saha ou farha…Ye khouyè….
Par Valerie (Valerie) le samedi 29 janvier 2005 - 23h00: |
Bonsoir chers amis harissiens,
Voici un morceau de la prochaine nouvelle de mon père '...L'OUBLIE....OU SHIRLEY ET SIMON...'
Racontée par mes soins à la place de BREITOU...
A moins qu'il veuille me pousser dehors pour vous la raconter....Je vous conseille de la suivre entièrement quand il se décidera de la faire passer…..Bye et CHAVOUAT TOV….
Dans ce paragraphe, une visite imprévue ...L'arrivèe du WEBAMSTER, Mr Halfon... dans l'hospice des vieillards où vit SIMON....
C'est la petite fille de SIMON, SHIRLEY qui raconte la scéne....
'.....Au même moment, rentrait un homme d’un certain âge avec dans ses mains un coffret.
Toute l’assistance s’arrêta de chanter quand le monsieur vint se positionner sur l’estrade près de mes acteurs\enfants et de Simon.....Un silence imposant prit place.
‘...Mesdames et Messieurs.....
Ce jour est important pour moi, et excusez moi si je bafouille un peu tant l’émotion m’étreint. Je suis venu aujourd’hui remettre la médaille d’or au meilleur acteur dans le virtuel qui soit et qui, depuis de nombreuses années nous a enchanté par tant de verve et par tant de chaleur. Au nom de toute l’équipe d’HARISSA,et en mon nom personnel, je vous remets monsieur Simon, la médaille d’or du PTB.....pour tous les services que vous lui avez rendu....etc.... !
Son discours dura dix minutes.
Mon Simon écoutait ce ‘blondinet’ qui ânonnait des paroles élogieuses sorties d’une boite à répétition...
Monsieur Jacques l’embrassa par la suite chaleureusement sur les joues et lui remit sa première récompense . Avec comme sigle le PTB.
Tout le monde fit la fête bien tard et nous nous apprêtions à partir quand mon papy me demanda à l’oreille.....
‘.....Mnih kolli echkoun el baleytchou ehda ?????’
(Mais dis moi qui est ce nain là.... !’)
Je m’évanouissais de rire.
A bientôt....