Par Albert (Albert) le lundi 14 février 2005 - 21h57: |
C EST BIBER...T' AS RIEN OUBLIE N EST CE PAS TAWFIQ....?
Par Albert (Albert) le lundi 14 février 2005 - 21h55: |
SALUT TAWFIQ...
Par Albert (Albert) le lundi 14 février 2005 - 21h54: |
Par Albert (Albert) le samedi 12 février 2005 - 21h33: |
CHAVOUAT TOV.
Merci Chantal, Latiteasse et Tawfik . R.M.
Albert
Par Chantal (Chantal) le vendredi 11 février 2005 - 20h06: |
Bon anniversaire ALBERT!!! on a bien pensé à toi ce jour-là!
Par Latitesse (Latitesse) le vendredi 11 février 2005 - 18h06: |
Chabbat Chalom, Albert.
Reposes toi et rapportes nous des bonnes
nouvelles
Par Lalla (Lalla) le mercredi 09 février 2005 - 16h52: |
merci Mikha, de tout coeur; j'en ris encore et je la raconte partout; mille fois merci pour le bien que ca nous fait
Par Lalla (Lalla) le mercredi 09 février 2005 - 16h41: |
permets moi de te tutoyer:Tu es la ,tu es revenu avec dans la voix un peu plus d'emotion et de serieux mais les fou-rire vont te retrouver et tu vas nous faire partager tout cela avec ta generosite si connue...
permets moi encore de te faire la bise;
Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 09 février 2005 - 02h34: |
Cher Braham merci pour ton éclaircissement de l'expression en judéo tune.
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 09 février 2005 - 04h16: |
fevrier,pas frvier.
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 09 février 2005 - 04h14: |
mercredi 9 frvier 2005
un p'tit beurre des touyous
HAPPY BIRTHDAY BIBER!
t'3ich mya ou 'echin sana ya khouya laaziz biber!
Par Albert (Albert) le mardi 08 février 2005 - 22h24: |
Récit.
NARRATION.
LE MARABOUT…IX. ( LE PRECEDENT CHAPITRE)
Elle claqua la porte en signe de mauvaise humeur.
Seifou jubilait intérieurement. Son travail portait ses fruits. Ils étaient au lit …
-‘…Mais je ne connaissais pas ton décision de me prendre pour époux…. ?’
-‘…J’en ai parle à mon notaire et nous allons, si tu veux bien, procéder à la publication des bancs le plut tôt possible.. !’
Le lendemain dans son cabinet, Seifou jugea que le moment était propice pour s’attaquer à présent à Alice. D’autant plus qu’il fut blessé dans son amour propre devant sa ‘ future femme ‘par sa ‘belle-fille’.
Il allait procéder à des opérations de magie noires. Il choisit un jour de la semaine où la lune était dans sa phase finale, la lune noire. Il confectionna d’abord une poupée en tissu à l’effigie d’Alice qu’il nomma ainsi. Puis il prépara son autel en plaçant six bougies noires et inscrivit son nom , prénom, date de naissance, de sa mère sur un papier de parchemin en peau de mouton.
Il changea de costume, enfila un boubou noir cette fois ci. Il intercala dans le parchemin un clou rouillé prit dans un cimetière.
Il avait à présent une raison majeur de laver d’une part l’affront et aussi de se débarrasser d’elle à cause de ce qu’elle pouvait faire pour entraver la démarche de sa maman. D’autant plus que celle ci avait l’intention de coucher Seifou dans son testament.
Il enveloppa la photo, tissu, le témoin et le clou dans une pochette noire qu’il mit dans un bocal hermétiquement fermé.
Il brûla de l’encens dit ‘ Poudre de Mort..’ Il commença à invoquer Lucifer et ses sbires à haute voix, en levant les bras au ciel. Il recommença l’opération le lendemain encore à l’heure de Mars. Deux fois pas jour, à minuit et à 6 heures du matin, il psalmodiait sa liturgie avec force et concentration.
Alice, un soir, durant son profond sommeil, sentit comme des épines lui traverser le corps. Elle voyait aussi des masques nègres et des sagaies qui venaient vers elle. Elle se leva en pleine nuit toute en sueur, hagarde et mal en point. Son mari, se réveilla car Alice ne se sentait pas bien. De violentes secousses secouaient son corps, elle ne comprenait rien à ce soudain réveil brutal dû à un mauvais cauchemar, du moins le pensa t’elle. La raison de ce mauvais rêve, lui échappait d’autant plus que les nuits suivantes , elle rentrait encore en transe presque au seuil de l’évanouissement.
Elle décida d’aller consulter un psy. Ce qu’elle fit au bout d’une dizaine de jours de ‘harcèlements cauchemardesques’.
Son médecin la rassura en lui diagnostiquant un état de stress du à son travail et aux soucis quotidiens. Malgré les soins thérapeutiques qu’il lui prescrivit, rien n’avait change et les horreurs macabres revenaient comme auparavant.
Puis elle se mit à réfléchir sur son état, et là elle eut comme une vision avant de s’endormir durant une nuit. Elle voyait Seifou, le Marabout, agir sur elle. Elle avait tout compris. Le sorcier travaillait sur elle à distance. Elle en déduisit qu’il voulait la faire disparaître. Or, Alice dans son jeune age avait suivi des séances de Vaudou avec le concours d’un maître en sciences occultes. Le rite Vaudou dit ‘ Baron Ca me dit ceça…’ . Elle pratiqua dans une loge bien connue à Paris des rituels extrêmement puissants, durant trois ans et fit même un stage de 15 jours, à l’insu de ses parents, dans un Oufnor ( Temple Vaudou) à Port de France. Elle fut initiée aux GUEDES, l’appel des esprits macabres. Elle connaissait par cœur tous les VEVES …Talismans de protection contre les chocs de retour. Mais avant de prendre sa décision, elle préféra alla consulter un ami , grand adepte de magie noire. Et la conclusion était sans appel ; elle était sous l’emprise d’un mauvais esprit qui pouvait la tuer, si elle ne se protégeait pas.
Elle se mit à l’œuvre et réouvrit ses anciens bouquins de magie noire cachés dans sa cave.
Elle compléta ses connaissances en achetant d’autres bouquins contre ‘LES ENVOUETEMENTS ET DESENVOUETEMENTS A DISTANCE’, et d’autres nouvelles éditions qui complétaient ses connaissances. Quelques accessoires, dénichés dans les vieilles boutiques ésotériques , s’ajoutèrent à son matériel. Elle se débarrassa de son ancienne longue robe blanche pour la remplacer par une noire en toile légère de lin.
Il lui manquait les témoins essentiels à son travail. Elle découpa dans un magazine spécialisé la photo du Maître Seifou. Mais là encore, cela n’était pas assez suffisant pour donner plus de force à sa magie. Elle décida d’aller au pavillon de sa maman afin de prélever un morceau de tissu ou autre objet appartenant au Maître. Elle ne voulait rien laisser au hasard. Le lendemain ce fut chose faite, elle s’introduisit sans effraction, et en l’absence de sa maman car elle avait les clefs de la grande maison, pour acquérir un morceau d’étoffe de son boubou ; un petit carré de tissu multicolore. Elle tomba sur ce dernier, accroché à un porte manteau. Elle se dirigea ensuite dans la salle de bain pour prélever, entre les dents d’ un peigne, quelques cheveux appartenant au magicien. Son précieux bien en poche, elle s’en retourna chez elle. Soulagée et heureuse par sa moisson.
Elle fixa d’après son calendrier lunaire, le jour le mieux approprié pour son travail à distance.
Elle choisit le Mardi matin à l’heure de Saturne. Elle attendit selon un savant calcul l’heure propice et le moment adéquat où les astres Mars et Saturne seraient en conjonction. Elle tomba sur l’heure de 10 heures 26 exactement pour son opération. Elle avait 20 minutes pour ce faire.
Son mari était en voyage en région Marseillaise. Bien avant cette heure fatidique, le matin d’un dimanche , elle organisa sa cave, en la nettoyant à grande eau, y ajoutant un mélange d’ammoniaque et de soufre. Un coin propre fut choisit pour dresser son autel. Elle brûla tout ce qui pouvait la gêner dans son entreprise. Il est 10 heures, quand elle fit sonner le téléphone dans son cabinet s’assurant ainsi que Seifou était bien présent.
Elle entendit sa voix dans le combiné et raccrocha aussitôt sans parler. Elle se purifia avec de l’encens qui la pénétra de haut en bas en invoquant St Michel, puis se revêtit de son ample vêtement noir. Elle prit le chemin de sa cave où tout était prêt.
Elle attendit quelques minutes et jeta un coup d’œil à sa montre. Elle alluma entre temps ses bougies noires dans lesquelles étaient plantés 7 clous au nom de Seifou. Elle posa un morceau de lard épinglé aussi par des épingles à tête noire.
L’image d’ Urzulli Fredda ( La vierge noire) et de Ogu Ferraille ( St Georges) étaient accrochées à un pan du mur repeint…. L’heure précise arriva….Elle fixa les yeux du Marabout et tout en se concentrant sur sa photo……}
A SUIVRE....
LA SUITE...
AU THEATRE CE SOIR…
PAR ALBERT SIMEONI.
Paris le 24/06/2004.
Résumé des précédents
Seifou, tailleur de son métier, dans son petit village de son Mali, tire la langue. Son cousin Aissa, éboueur à Paris, depuis 10 ans l’incite à venir près de lui afin d’y pratiquer la magie. Seifou, grâce à l’expérience de sa tante Mariama dans le domaine de la magie blanche, noire, et dans la fabrication d’onguents l’initie durant quelques semaines. Seifou débarque à Paris, à la grande surprise de son cousin Aissa. Seifou désœuvré trouve un moyen ‘malsain’ pour se faire connaître. Il empoisonne presque son ami de chambre Mamadou à proximité du marché St Jean à Barbès dans le 18 ième. Seifou, devant la foule de badauds qui entoure le malheureux, lui ingurgite un antidote. Il est sauvé. On crie au miracle. Son coup à réussit . Son savoir faire fait le tour du quartier. Il reçoit ses premiers clients. Il se brouille avec son cousin et loue un appartement bien plus grand du côté de Voltaire pour ses pratiques. Une retraitée de la Préfecture de Paris , Madame Christiane Bachaumont lui vient en aide pour l’établissement de ses papiers. Il devient même français grâce à sa complicité. Un après midi, il reçoit une dame de qualité. Veuve et riche héritière. Elle vient le consulter pour ‘une influence à distance’ ; détourner les pensées de ses deux enfants, Alice et Georges, tous deux mariés qui veulent forcer, leur mère, selon ses dires, à leur léguer une bonne partie de son héritage alors que cette dernière a couché tous ses biens en faveur de sa fondation. Seifou écoute et enregistre. Rendez vous est prit au pavillon de Madame Elisabeth. Il est emballe par la richesse de la dame. Il demande des ‘témoins-supports’ pour son travail de magie à distance. En vérité ,le Marabout à d’autres projets, bien précis, en tête. Il va procéder à un envoûtement d’amour sur la riche héritière. Cette dernière se voit et durant 7 nuits faire l’amour avec le sorcier Seifou. Elle tombe amoureuses de lui par ces échanges hors-du commun. Au 8ième jour, patatras plus rien et les jours suivants, son amoureux n’est plus à ses rendez- vous nocturnes. Elle veut en avoir le cœur net et décide d’aller à sa rencontre chez lui. Elle n’ose pas , sur le champ, lui avouer ses nocturnes et bizarres étreintes en rêves avec lui. Mais, il a deviné ses pensées. Déçue, elle regrette de ne pas avoir tout raconté. Elle se décide à le faire en allant chez lui, après son départ. Il est dans son bain quand elle frappe à sa porte. Elle profite de cette situation pour rentrer dans son bain et se donner entièrement à son ‘amant de minuit’. Elle est tombée dans son piège. Au cours d’un souper agité, Alice, la fille s’entend dire par la bouche de sa maman que Seifou est son amant. Alice réagit mal d’autant plus que sa maman lui avoue aussi qu’elle va convoler en secondes noces avec son Marabout et qu’elle prendrait d’autres dispositions testamentaires. Seifou voit enfin ses plans, se concrétiser . Seifou va pratiquer une magie noire sur Alice afin de la détruire à distance. Alice durant quelques nuits rentre en transe et ne comprend pas ses cauchemars qui la perturbe. Elle consulte un psy. Malgré les remèdes prescrits, elle ne s’en sort pas et elle comprend lors d’une vision que le ‘futur époux de sa maman pratique la magie noire sur elle, dans le seul but de la tuer. Ancienne adepte de cérémonies Vaudou, elle se décide à se protéger et à retourner le mal envers son expéditeur, Seifou. Elle commence ses cérémonies de magie noire dans sa cave.
Récit.
NARRATION.
LE MARABOUT…X