Par Fernand (Fernand) le jeudi 30 mai 2002 - 09h51: |
Ya si Breitou,
Ta pièce nous a beaucoup ému.
Les descriptions que tu fait de ta mère sont celles que nous voudrions avoir faites de nos parents car dans la peinture que tu fais de ta mère, certains traits évoquent ma mère, d’autres mon père.
Figure toi que j’ai passé cet après-midi, grâce aux conseils éclairés de notre ami Hai Taieb, à mettre sous forme de fichier informatique, les quelques minutes d’enregistrement phonique que je garde de mes parents ( Ils datent de 1970 et 1975).Merci Claude.
Je t’enverrai, si tu le permets, un passage dans lequel ma mère chante la chanson de Raoul : « Kabla Soussia ».
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 30 mai 2002 - 09h18: |
AU NOM DE TOUS LES MIENS
SHALLOM AAL KO AAM ISRAEL
BESMELLAH EL RAHAM EL RAHIM
AU THEATRE CE SOIR….
MUSIQUE……
NRJ/ RAOUL JOURNO.
Il est toujours sur les planches…..
Et comme il le fait toujours, il va inviter …
'Madame ARLETTE…..Je vous vois, ne vous cachez pas, venez je vous invite près de moi ma chère dame avec le consentement de votre mari ( il la pousse de son coude)
'Non….Je n'ose pas….'
'Mais si Madame…..Allez monter, nous sommes entre amis et frères et puis vous n'avez pas à parler, ou alors si vous le sentez allez-y…..'
Elle monte, elle trébuche, je la rattrape….Elle rit….
'……..Fi ghyèbèk, ya mâ ennèh marhouk
Yenèye ya mâ jrè fièm èl noum...( bis)
Fi baydèk qu'albi …… qualbi meghmoum
Enti lèyè yèz ahbib
Yè mâ ya mâ….'
'Par ton absence, maman, j'en suis meurtri
Mes larmes, maman, ont coulé durant mon sommeil..
Après toi mon cœur…..mon cœur est chagriné…
Tu es pour moi ma chérie….…'
Maman….Maman…..'
'Mais vous pleurez…..? ARLETTE….?'
'Oui…..Je m'excuse…je suis émotive….!'
'Vous avez donc compris les paroles…..?'
'O que oui….nètkèlèm bèl yarbi…..'
'Rabbi yallik yè madame FERNAND….. 5 X 5 pour vous….?'
'Cela vous rappelle votre maman….?.'
'Eye…..yè monsieur BREITOU…..merci…..emh….emh….!'
'Bon cessez de renifler…voilà un papier lotus…..!'
'Merci…..emh….emh….!'
'Mnih…..yejji mèl emh….emh…..!
‘…….MA MERE –CE TRAIT D’UNION…’
ARLETTE………….
Je ne suis pas allé passer mes vacances de juillet à Tunis, cette année. Mais à Juan-Yupin ( Juan Les Pins). Cela fait 6 ans que j’ai désértè cette jolie station balnéaire au littoral agréable- flanquée entre Cannes et Antibes. Petite perle de la Méditerranée, elle s’est payèe un joli lifting entre temps. J’en profitais pour inviter ma mère et à partager un coquet petit studio, au première étage face mer. Juste au-dessus du Neptunia, café à la mode de nos belles sexagénaires.
Ma vieille maman, sa jeune valise, la mienne et moi prirent donc, en ce matin du 9 juillet, le TGV Medi…
Tu sais…….Elle a vieilli ma mère. Son pas hésitant, entre- coupée de halètements, a largement entamé sa démarche.. Elle ne presse plus le pas, ce dernier est devenu pesant. Elle avance péniblement en s’essoufflant, s’arrêtant parfois pour reprendre son souffle court. Elle halète ma mère.
Son visage s’est flétri. Ses cheveux blancs, à la bonne coupe régulière m’invite au respect qu’elle n’a pas envers moi
Son rouge à lèvres rose pâle déborde sur ses lèvres et son coup de khol autour de ses paupières est si discret …
Je ne veux pas croire à sa vieillesse. Je la vois dans mon esprit comme dans ma jeunesse …Energique ….Forte…et pleine d’entrain. ‘La mort’ me dit ‘elle ‘Je n’ai pas peur d’elle….j’appréhende seulement la souffrance ….je ne veux pas vous angoisser…’.
Mon regard glisse sur ses mains aux dos ridés, aux doigts lisses sans doute d’avoir trop râpé, essoré, reprisé et lavé car ma mère aujourd’hui encore utilise rarement le progrès.
Elle vaque à ses occupations quotidiennes avec courage et à ses obligations les plus simples comme ingurgiter matin, midi et soir un tas de pilules technicolors dont elle connaît les noms et les fonctions de chacune.
ARLETTE………. Toutes nos mères sont des traits d’union. Des messagères de paix. Des porteuses d’espoir. Celles qui nous rapprochent quand nous nous querellons, entre frères, utilisant plus d’un stratagème pour aplanir nos différents. Allant même jusqu’à inventer des prétextes pour donner raison à l’un ou l’autre quand des frictions subviennent. Elles sont les racines qui font vivre les feuillages, les sèves qui irriguent nos esprits. Qu’elles viennent à manquer et nous voilà devenus des branches sèches et solitaires.
Le soir, elle respire fort, la bouche ouverte sans doute que ses narines se sont retrécies.
Pourquoi tout rétréci chez nos mères… chez les vieilles personnes… ?
-'Oui…..Breitou……la mienne elle était devenue si petite que je ne savais pas si elle était sur son lit ou sur le divan…..'
'O la mienne…….Il m'arrive de la chercher à la maison……'
'Vous vous moquez de moi…Breitou…?'
'Je ne me le permettrait pas Madame ARLETTE….! Je plaisante….Ma mère est une grande dame avec plus de qualités et moins de défauts….!'
'Mais c'est kif kif ce que vous dites là…..!
'Oui un pléonasme…..'
'Oui…..la pauvre, elle plait….Aux âmes…..!'
'Aux quiproquos surtout qu'elle plait ma mère……ARLETTE…..'
Elle ronfle ma mère….Ma chère ARLETTE….…des ronflements qui prennent la forme et le bruit, tour à tour, d’une grande calvacade de cosaques foulant les steppes mongoliennes à la poursuite d’un TGV Mèdi…ou d’une meute d’oie agressive et caquetante. Par moment, elle s’arrette. Plus rien. Silence radio. Je profite de ce moment de répit pour aiguiser mon sommeil. Puis…. Intrigué par ce brusque arrêt respiratoire, je prends peur et m’assois sur mon lit pour vérifier si elle n’a pas trépassée sans……….Me prévenir. Non…..Elle respire.
Je relatais cet épisode curieux à un ami de plage qui m’informait que ma mère rentrait en apnée. En apnée.. ? Voilà donc… ma mère, en plus de ce qu’elle a, faire de la plongée sous-marine, chaque soir sans tuba ni scaphandre. Elle plonge donc, à son insu, dans les profondeurs océanes et si un jour ……merde alors…. ?.. Et si en plus je devais aller la chercher à 150 mètres au fond de la grande bleue…. Je ne serai pas sorti de l’auberge. Il va falloir m’équiper pour l’avenir.
Je l’observe la vieille dans ce sommeil apnèique et meurs d’envie de lui timbrer sur son front crevassé, un baiser.
‘Peut être vais -je la faire sursauter… ? Je me trouve un prétexte fallacieux pour me dérober. Je suis perdu dans mes pensées…et n’arrive pas à croire qu’à 56 piges et quelques crottes je m’interdis de faire le geste le plus simple de la vie…. Celui qui ne mérite aucun effort….Embrasser ma mère. Aaaaaah…soupir.
' ARLETTE…..Attendez ….ne soyez pas si pressée de partir….j' offre toujours une chanson à mes invités….MUSIQUE.
Voilà pour vous un peu remanié…..
Yè marhaba bè madame Arlette….
Talyouââ yâl kerssi bèh déyiè
Yè jmââ…….Hadrou èl chmè
Yendi farh bèch yahdar…..
Yè marhaba benti RAHEL
Gââddouya…ou hèzouhè
Zarkhrèt yè NAO….MICHKA…JANET…..
( Soit la bienvenue o toi Arlette
Faites là monter sur la chaise…près de moi….
Et vous la bande…préparez les bougies
J'ai une fête qui s'annonce
Soit la bienvenue ma fille RAHEL
Faites là asseoir…et levez là….
Youyoutez mes amies……
'Yââââââ ……Raâââââââbiiiiiiiii…… Farèh…… kôl bnèyé….'
BREITOU.
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 30 mai 2002 - 09h15: |
ELLE QUI……
Elle qui est partie sans se retourner
De peur de voir son passé ressurgir
Et qui n'a jamais vraiment pensé
Qu'elle serait un jour d'amour tombé !
Sur son chemin, elle a côtoyé
Oui, elle a croisé un bel Aimé
Toute amoureuse comme jamais
Mais sans retour de son Jacquet.
Alors elle s 'est dit pourquoi
Vivre cet amour sans coït
Elle décida d'en finir cette fois
Sans réfléchir, se jeta par le toit.
On a dit d'elle,qu'elle fut dépressive.
Sa souffrance..?Personne ne l'a admise.
D ieu seul savait la vérité
Pas les gens…Ces 'crétinès'.
Par Albert Simeoni (Albert) le mercredi 29 mai 2002 - 00h32: |
A MILLE LIEUX D 'ICI
A mille lieux d'ici
6 mois sont déjà parti.
Au détour d'une fenêtre
J'ai rencontré 'une être.'
A mille lieux d'ici, SISSI
Je suis tombé sur une amie
Intelligente et sans chichi.
Et elle me parle depuis.
Mes paroles bien dites
Et aussi bien écrites
En poème, c'est chic
Pour elle qui me lit
Peut être sur son lit !
Dans mille ans, ma vie ne sera plus d'ici
Mais je la verrai pardi un jour au paradis.
ALBERT ne fait qu'écrire et ses poèmes ne s 'adressent à personne.
Qu'on se le dise ! Merci.
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 28 mai 2002 - 09h37: |
DAMNE
La vieillesse n'est pas une fatalité.
C'est ce fleuve, cette tranquillité
Qui arrive en fin de parcours
Pour se jeter dans cet immense solitude
Océan au fond plat, sans bleu, ni dunes.
Laissons couler nos jours, vous qui me lisez
Et n 'ayez crainte sur le restant du chemin
A faire, il sera plein de lumière, ce train
Qui nous porteras vers l' infinie éternité.
Je ne serai pas épargné
J'aurai quelques regrets
Ceux de n 'avoir pu inventer ma vie
Comme je l'aurai voulu, sur terre- ci.
Et quand mes yeux seront clos,
Le silence muet dans le clos
Jardin fleuri où les âmes
Fleurissent sans os
M'accompagnera. Damnè.
Par Albert Simeoni (Albert) le lundi 27 mai 2002 - 11h29: |
MISE AU POINT.
SABAH EL KHIR YE WARD OUL YASMINE…….Yè TOUENSSE…..
Derrière chaque écran, se trouve une personne jeune, vieille ou handicapée qui mérite le respect.
Je l 'ai toujours dis. Alors mesurons nos paroles afin qu'elles ne soient blessantes.
C'est une question d éducation de savoir-vivre. Ne les faisons pas fuir même si dès fois il y a peu
De TRAKHLOUIED. Ici, je compte que des amis. Et de vrais amis.
Je me porte garant sur leur honnêteté comme ils se portent garant sur la mienne.
Si je gêne ou nuis, je me ferai un plaisir de me retirer et de passer le témoin à d 'autre.
Je ne supporte ni les mauvais sous-entendus ni les médisances. La critique….? Oui si elle est appropriée. Je suis un Fedleg , c 'est presque un art que beaucoup ne peuvent y prétendre.
Hier j 'ai donné la définition caractériel de cette espèce en voie de disparition. D 'autre part, je ne me prévaux de rien du tout. Voilà .
Ariane, il y a un temps pour tout. Et quand quelque part une société vit dans la crainte et la mort au quotidien
Je dois respecter leur chagrin. C'est comme ça. Ma façon d 'être solidaire.
Le seul fumè qui ne brule pas et affectionne particulièrement et bien c'est......le Z......Mèybour...une sorte de poisson sans ècaille mais Cacher..
A VOS STYLOS MESSIEURS.
ALBERT l ' ENFANT DE LA GOULETTE.
LE RKHECHECH….’Le calembourien’
Ce mot appartient plus à la langue arabe populaire qu’au judéo-arabe…Les juifs emploient plutôt ‘Tmènikji’= le moqueur. Le rkhèchéch peut être traduit différemment suivant les circonstances. Si vous achetez, en toute confiance, un article et que ce dernier n’est pas bon, l’acheteur dira ‘Rkhèchni' (… il m’a entourloupé)…’In yaddin …oumou ’. Il s’accompagne toujours d’un juron de désapprobation. En d’autres occasions, il prend la forme, en bonne compagnie, de sous entendus…
Un père tient la main de son fils et croise un ami….
’Chnouè Amor…chèddou mnih loulaièd..’ ‘Alors Amor….Tiens le bien ton fils ‘…sous-entendu …ta … ) Ou alors s’adressant a une à sa voisine …
’ Fatma.. ? nèmchiou nessbou…. ?’
( Fatma .. ? On va s’étaler.. ? sous- entendu sortir ensemble. Réponse de la Fatma outrée.. ’.Bara…Hazouk…Yalléh hnèkèk..( indigestion dans tes entrailles ’), toujours celui du dessus infatigable…’Fatma…. ? tèfnéh yal lahliiiiiib.. ? ( Fatma … ?… tu affectionnes le lait… ? ….Réponse de la ’laitière..’ ‘ Bara Dègga…’ ? Les tunes, en général, aiment bien ‘El rkhèché ‘ dite avec calme et sourire aux lèvres. Loin d’être une méchanceté, elle prend l’allure d’une plaisanterie, rien que pour déstabiliser le respectueux. Il y a aussi une expression qui était fort courante là bas…’Youdi rchèchéch..’ (Le juif est un moqueur). Voilà Dunkra….si tu veux ajouter quelque chose d’autre…Caractère des hommes. PASSE LE 22/11/2001
Par Ariane (Ariane) le lundi 27 mai 2002 - 01h45: |
Albert, the show must go on, ce n'est pas parce que les canons tonnent en Israel que les muses doivent se taire a Paris, a moins bien sur que vous ne sentiez l'odeur du brule chez vous aussi...
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 26 mai 2002 - 18h14: |
LE FEDLAGJI…
Peut se traduire par l’humoriste….Celui qui fait rire la bande…..Mais pas le fou …celui que les rois et autres potentats exhibaient dans leur cour…..Celui là était payé pour dérider la galerie alors que le premier est un personnage communautaire qui s’intégrait parfaitement et partout sans distinction de race ni de religion. On cherchait sa compagnie pour ses histoires, bien souvent inventées, hilarantes et bon enfant. Celui là avait l’estime de tous…..On le cherchait pour passer du bon temps. Quand il s’asseyait seul au café, il se retrouvait en fin d’après midi entouré d’une bonne compagnie de joyeux attentionnée et surtout attentive. Le fedlagji improvise sur le champ. Il ne prépare ni texte ni chant. Il parle, se raconte et amuse. Ses histoires racontées en judéo- arabe sont souvent bourrées de ‘Kfir’ ( jurons- à ne pas confondre avec l’avion israélien) à l’encontre de tel ou tel ami. La règle veut que l’incriminé ne se sente en aucun cas blessé puisque le Fedlagji est connu pour sa gentillesse et surtout son ‘bon fond’. Le Fedlagji, en général, est généreux…et humain. Mon père en était un…..Putain de merde n’y aurait t’il pas un fedlagji dans commentaires qui nous fasse rire même à distance… ?
Passé dans commentaires le 31/10/2001
AU NOM DE TOUS LES MIENS.
SHALLOM AAL KOL AAM ISRAEL
BESMELLAH EL RAHAM EL RAHIM.
AU NOM DE D IEU TOUT PUISSANT.
LES MEMOIRES D’UN GOULETTOIS
L’ENFANT DE LA GOULETTE.
PAR ALBERT SIMEONI ( BEBERT).
18/6/89 /20/04/2001
‘……Alors dix nations avaient leur représentant à la Goulette, indépendant du personnel consulaire accrédité à Tunis ;Allemagne, Autriche-Hongrie, Belgique, Danemark, Espagne, France, Grande-Bretagne. Italie, Pays –-Bas, Suède et Norvège…’
MAITRE RAOUL DARMON. NOTULES.
‘LA GOULETTE ….MON PAYS…II’‘….HALQ – El-OUED…YA BLEDI..
‘Fakkarni ya babba kaydetèk
‘Rappelles moi père ton assise
Yâl bèb fèl dribbah.
Sur le seuil de notre porte
Mèchmoun fi guèrnék
Le jasmin collé à ton oreille
Nassèb yalla Hssirà.
Kiffant sur un paillasson.
C’était quoi la Goulette…. ? Mon voisin Jean- Jean Boccara qui, échouant son brevet s’est retrouvé assis sur les bancs de l’O.R.T. ( école des ratés.. ?). 3 ans plus tard promus parmi les bienheureux, il sortait major de sa promotion, ingénieur ? C’est les mamans qui attendaient à la Station T.G.M leurs progénitures qui réussissaient le bac ou le certif avec succès.. ? C’est Maître Raoul Darmon, avocat connu et apprécié, écrivain notoire, témoin de son temps qui a disserté sur notre ville avec humour, raison et sérieux.. ? Et les autres qui dorment dans les vieilles bibliothèques poussiéreuses.. ? C’est une famille italienne, les Gaspary qui, de génération en génération, à relaté les événements de son époque dans un petit livre généalogique qui fait apparaître des membres célèbres ; des généraux dans l’armée française et un Vice-Consul de France avec résidence à la Petite Sicile.. ? C’était la Goulette qui fût pendant quatre jours la capitale de la Tunisie… ? Et notre premier président de la Tunisie moderne… ? Ya Babà …Bourguiba chevauchant un pur sang- arabe rentré dans la légende , son premier moyen de locomotion sur la terre battue de notre port pour sa première escale à la Goulette. Ce n’est pas historique ça… ? C’était le président américain Eisenhower, sui survola la Goulette à partir de son élico qui décolla de son porte-avion de l’US. NAVY en rade, face au Casino. Alors quoi.. vous avez oublié cela.. ? Je ne vais pas aussi vous relatez que , ce jour là , je fus pris d’une diarrhée carabinée que j’ai assouvi sur les escaliers d’ une certaine porte cochère donnant sur la plage, près d’une véranda, coté plage Takkett’s connue par les goulettois , les chats et chiens qui venaient couler leurs petits bronzes à tout heure de la journée… ? Vous les reconnaissez au moins ces quatre escaliers aux bords ‘édentés’ ? Cet abri de fortune…plein de bouts de papier journal, ‘torchés ?
La Goulette des médecins dont un, Bérrébi, qui mit à l’honneur la radioscopie… ? Tous ses clients, même les plus sains, voulaient le portrait de leurs poumons. Accrochés comme un cadre au salon.. ? Des cadres zélés dans des administrations publiques.. ?
‘Ma tèbkich yà kâlbi yall’ èyémi.
‘Ne pleure pas mon cœur sur mes jours.
Doumouyi fi yanèiyé jarhouli
Mes larmes dans mes yeux ont blessé
Rkhoudoudi. Ouffè ouakti ya yamri.
Mes joues. Il est révolu mon temps, ma chérie.
C’était l’institution la plus prestigieuse que nous ayons eu, en 1956 avec l’Alliance Israélite. L’O.S.E qui nous secourait avec zèle et abnégation, nous ! Les indigents… ? La goutte de lait qui servait non seulement notre communauté mais les musulmans aussi.. ? Aujourd’hui un hospice pour les ‘quatre’ vieillards qui se meurent … ? Comment oublierais-je Monsieur Habib, Maître Allal, et rebbi Yakiva.. ? Nos maîtres hébraïques qui nous enseignaient le respect de l’autre sans jamais parler politique ou haine raciale. Monsieur Témim à l’économat, Traki à la batterie de cuisine.. Nelly à la salle et Monsieur Krief à la surveillance. Debout avec un bâton au seuil de la porte d’entrée de la cantine. Et nos maîtres et maîtresses de français… ? Souvent pas du crû qui, sans relâche, à longueur d’année, nous courtisaient pour apprendre cette langue française et ses matières sans lesquelles je ne serai pas aujourd’hui ‘Un grand écrivain ‘ bèl hafié yadioun ‘ connu dans mon seul territoire de 75 m2, peu respecté dans ma maison.. ? Et alors faut t’il dépasser les frontières pour être connu… ? Qui connaissait la Goulette à part les Goulettois et les pirates d’avant qu’on a chassé avec nos tire boulettes..Hein.. ? Un dévouement qui faisait honneur à notre cité.
Ektébli ya jarr’ èl hannine.
Ecris-moi cher voisin.
Ehnnini ou ahkili alla zèmélèti Rassures moi et relate moi mes amis
Elli rkhèlitém rhèddi. Ceux que j’ai laissé au pays.
Ou koullôm élli fi dakrayati
Et dis leur que, dans mes pensées
Saknali halquouèdi.
Elle vit encore ma Goulette.
Yélli rajjâh èl blédi
O Toi qui retournes dans mon pays
Mè tènsèch hallétti.
N’oublies pas mon état.
El msâffâr mèrir hâch
Le déraciné sans bruit ( en silence)
Raouèh ou yaiche fèl ouèch.
Et parti et vit dans la langueur.
Sur les fronts baptismaux,
j’ai gravé ton nom en lettres d’or.
Sur mon front dégarni, ton nom commence à s’évaporer, cependant pour te faire plaisir, je ne t’effacerai jamais de ma mémoire alors de temps à autre, oublies moi. ! Tu veux bien..ya halqu’etzèbi. ?
c’était c’la mon pays de cocagne que tu n’as pas eu la chance de connaître et que tu ne connaîtras jamais.. Notre minuscule point de bonheur que je ne vois plus mais Oui …..Réécoutes …toi l’étranger…Toi qui vis dans ta banlieue impersonnelle, celle qui laboure encore les méandres de ma cervelle. ……Aujourd’hui un désert aride qui ressemble à un rêve..perdu.
Point final.. On a tourné la page. Et la Goulette aussi. Vive Maisons –Alfort..
Mon patelin de vieillesse où il ne se passe jamais rien ..pas même un chat de gouttière
‘Alfortien’ qui ne vienne déranger mes ronflements.
Yà.. ! Haqueloued ..ya blèdi
O.. ! toi ma Goulette…mon pay
Yômri mè néssèk.
Jamais je n’oublierai
Mèl Casino èl Karaka
Du Casino à la Karaka
Hattè èl casse croûte bèl battata
Et même le sand-wich avec pomme de terre..
(Il fallait bien que je trouve une pomme de terre pour faire la rime… ? Ah..)
Paroles et musiques d’Albert
LITANIE ET INVOCATIONS EN RIRES MAJEURES.
Par Taieb Claude (Hai) le dimanche 26 mai 2002 - 13h10: |
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 21 mai
2002 - 13h00:
Cher ami HAI,
Cet éspace est consacrè aux gens de lettres.
Aux humoristes qui ont de la finesse et de l
esprit.Or, tu es un homme d 'esprit et je serai
fier que tu viennes ici, pour nous chanter des
vers ou des poèsies de ton cru.
Les portes du THEATRE te sont ouvertes. Va y
donc
annonce nous le MACHIAH en rimes.
Cher ami Albert.
Le poème est sur le site, il t'est dédié.
Haï
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 26 mai 2002 - 11h35: |
Messieurs et Mesdames,
Ce theatre est ouvert a tout le monde.
Et il me plait de vous entendre ici avec vers et poesie quelle soit votre couleur et vos tendances.
Faisons donc dans le simple et pas dans le complique, avec humour sans porter atteinte à nos fiertès et dignitès.D 'homme et de femme.
On peut faire de cet espace un haut lieu de chansons tunes, de souvenirs qui epateront tous les harissiens.Sans mesquineries.
Que de l ambiance et de la fraternite, c est de ca que je veux parler, sinon je ne peux raconter
avec sérènitè.
J ai besoin de toutes les bonnes volontès avec un esprit sain en sachant que ces premières ne doivent en aucun cas être inspirès par une quelquonque vangeance ou revanche.
Je ne me connais pas d ennemis et la jalousie n est pas de mon ressort.Au contraire, je trouve une certaine fiertè de vous lire avec respect.
Comme je l ai toujours ecrit,je suis modeste et humble par mes origines et il ne m est pas possible d avoir du mèpris envers qui ce soit.
C'est un pèche mortel qui tue les âmes et fait rougir les hommes et les femmes.
d où cette expression judeo...
'AMREK ME THAMAR EL KHEDEYN....HATTA I KOUN AADOUK...'
'NE FAIS JAMAIS ROUGIR LES JOUES DE QQ UN MEME S IL EST TON ENNEMI'.
Je suis peut être vieux jeu, mais je suis avant tout juif donc humain.
JEX, je ne crois plus aux clones.
Et puis meme s il y en avait ce n'est pas grave.
Respectons les je t en prie.Merci JEX.Sauf s 'ils deviennent virulants.
Fernand, je te présente mes excuses et je ne suis
plus en mesure de polemiquer sur quoi que se soit.
Je laisse la médisance pour les autres. Beaucoup me connaissent ici ou ailleurs, et j ai eu la chance et le bonheur de vous avoir rencontrè chez moi et vous aussi je crois.Donc vous connaissez l 'homme et moi aussi je connais vos caratères.
Et je suis extremement heureux de celà.
Attention, ne vous faites plus manipuler ici ou ailleurs. La plaisenterie doit avoir ses limites
et ses règles.A respecter. On peut rire de tout
mais à bon escient.Sans tomber dans le vulgaire et le miséribalisme.
Si vous voulez que votre frère ALBERT soit serein
et plein d entrain pour l avenir, respectez le.
Quelque soit son pseudo.
C e theatre est un lieu de distraction.
C'est pas du tmènik. De l humour et rien que cela.
-Pierre, je cherche toujours à savoir comment tu me connais, tu comprends que je suis très méfiant.
J'ai tellement parlè de la GOULETTE, que n 'importe qui, meme s'il n'es pas goulettois peut le prètendre.Je ne suis pas curieux par nature mais comme je te l ai dis, j ai connu deux BERDAH l'un vit a Nice et l'autre a PARIS.Le fils de l'ancien proprio du REX.Monsieur BERDAH.
Bon mais si tu dis me connaitre, je ne ne peux pas te démentir.
Tu es rentré ici avec de bonnes intentions.
Qu'il en soit ainsi. Mais je te demande de ne pas faire des allusions qui peuvent porter prèjudice.
Soit simple et convenant, cet espace doit rester
vierge. Afin que l on puisse être lu.MERCI.
Sinon c'est moi qui va en prendre plein la gueule.
Et personne ne me le pardonnera.Et je perdrais mes amis.
MERCI
RABBI MYAKOM.
Par Wnes (Wnes) le dimanche 26 mai 2002 - 01h19: |
Dans ses longues et cruelles litanies, Bébert a oublié un personnage des plus hautes importances :
C'est : Robavecchia !
Ciao Albert, je ne me lasse pas, continue à nous régaler, c'est excellent ! Fantastique !
Berdah
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 23 mai 2002 - 09h57: |
Par respect et solidaritè pour mes amis d 'Isarel,
Je m'interdis de passer des sketchs ou articles.
Le Theatre reviendra dans un semblant de calme
AU NOM DE TOUS LES MIENS.
ALBERT L'ENFANT DE LA GOULETTE
Par Janet (Janet) le mardi 21 mai 2002 - 21h12: |
M.ALbert
Reprenons-nous,si ca ne vous derange
pas..n'ajoutez pas le phantasme,a votre breve et
ironique reponse
Je suis sincere dans mes amities et quand on me
decoit,je le dis..
Je vais vous donner un extrait, de source integre,
de la caracteristion de mon MOI suivant des
affirmations de specialistes de la lecture et de
la transmission astro- solaire,a moi, revelee par
mon plus cher ami en qui j'ai toute confiance...
Scorpion (23 Oct.---22 Nov.),le mois de mon
entree dans ce monde
Seigneur de la nuit :Les mobiles caches lui sont
apparents...Les complots semblent a ses yeux
infrarouges,des masquarades enfantines,
Ses moindres intentions sont devoilees avant quil
ou elle en ait pleine conscience...C'est de sa
memoire emotionnelle et de sa capacite d'
introspection,qu'il ou elle tire ce pouvoir..
Dans une societe basee sur l'apparence,son regard
lucide derange,d'ou la volonte de le neutraliser
en disant de lui ou d'elle qu'il ou qu'elle est
mechant (e ).
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 21 mai 2002 - 15h55: |
Ma chére JANET,
Que me dites vous la, ne plus me lire et pourkoi...?
Mais je dis ami a tout le monde moi, meme ceux que je ne connais pas vraiment.Je vous rappelle que LE HAI est le ressucitè de notre vénère grand rabbin et il est sur le site depuis des lustres, alors je prèfere vous que lui...Vous n etes pas entrain de me faire une crise de JALOUSIE AU MOINS
SIONON JE VOUS RETIRE LES CITRONS.OK
ALBERT
Par Janet (Janet) le mardi 21 mai 2002 - 15h46: |
M.Albert SIMEONI
Si M.TAIEB est votre ami
Vous n'etes plus le mien..Je vous enleve de ma
liste des maintenant..Ne repondez pas a ce present
message..Moi,je ne lirai plus rien ni de Vous ni
des autres...
Lisez ce que Janet ecrit sur LUI dans CAFE
TMENICK Le Mercredi 21 Mai 2002 et
reflechissez.C'est un comedien mais dans la pire
description du terme.
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 21 mai 2002 - 13h00: |
Cher ami HAI,
Cet éspace est consacrè aux gens de lettres.
Aux humoristes qui ont de la finesse et de l esprit.Or, tu es un homme d 'esprit et je serai fier que tu viennes ici, pour nous chanter des vers ou des poèsies de ton cru.
Les portes du THEATRE te sont ouvertes. Va y donc
annonce nous le MACHIAH en rimes.
Après ton cafè bien sur.Je te suivrai en vers etn proses comme je l'entends.
RABBI MYAK?Tu es un farfelu comme moi sauf que toi tu es bardè de diplomes farfeluquesques et moi de rien du tout.
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 19 mai 2002 - 19h30: |
LA SUITE…………….
AU NOM DE TOUS LES MIENS
AU THEATRE CE SOIR.
SHALLOM AAL KOL AAM ISRAEL.
BESMELAH EL RAHAM EL RAHIM
Elle tousse donc LA EMMA.
Son presque parrain ALBERT, lui conseilla d 'aller voir son ami le Professeur PEDALO à l'hôpital
De VIILEJUIF. Dans le pavillon des cancéreux.
-'Rentrez Monsieur…..!'
-'Madame….!'
-'Pardon….!…….Mon ami ALBERT, m'a parle de vous avec beaucoup d 'affection…..!..'Bon ne perdons pas de temps….Montez là et allongez vous…..!'
-'Cela fait 35ans que je m'allonge Professeur…..!'
-Ah…! Mes amis j'oubliais de vous dire que la EMMA est un peu malentendante. Elle comprend tout de travers ..
Un quiproquo éloquent va s 'installer entre la 'patiente ' et son Professeur….
Le Professeur…….' Oui mais aujourd'hui là c 'est pour LA BONNE CAUSE….!'
EMMA…………...'Ahhhh…..Vous savez j'ai toujours aimé ces BONNE CHOSES…..!'
Le professeur…….'Mais nous sommes un groupe de bénévole pour ces choses...!'
EMMA……………'Ahhhhh…..!Vous aussi….Ca alors……?'
Le Professeur…….'Oui mais nous sommes discrets quand nous donnons...!'
EMMA……………'Ahhhhhhh….! C'est gratuit alors….?'
Le Professeur……..'Et on le fait avec bon cœur…….!'
EMMA……………'Ahhhhhhh…! Ca alors qui l'eu cru….!'
Le Professeur…….' Nous gardons quand même notre anonymat…..!'
EMME…………….'Ahhhhhh…..! Qui l'eut cru…..!'
Le Professeur…… 'Et oui vous comprenez nos positions…..!'
EMMA……………'Oui….Professeur….! Des positions comme celles là j'en ai eu plein…'!
Le Professeur.……'Nous nous attachons énormément à celles là…..'!
EMMA………… . .'Ahhhhhh…..! En plus des ligaments.....?!
Le Professeur…….'Nos principes et idéaux sont clairs….Donnez….. Donnez…. Donnez…..!'
EMMA…………....'Ahhhhhh…..! Ces échanges. Si profonds……!'
Le Professeur…….' Et puis si fertiles…..!
EMMA……………' Ahhhhhh…..Fertiles …! Quel joli mot....!'
Le Professeur…….' Si…….Si….Madame….! Comment dire….! Si sincères…..!'
EMMA…………... 'Mais dites moi PROFESSEUR….Entre nous ALBERT…..?'
Le Professeur…… .'Oui…..Il fait partie de notre groupe……!'
EMMA………….. .'QUOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…..ALBERT…..?'
Le Professeur…….'Ne criez pas comme ça…On va vous entendre….!'
EMMA……………'ALBERT TOUYEBAAAAAAA…….!'
Le Professeur…….' Quoi je n'ai pas compris…….?'
EMMA…………....'Et dites moi…Professeur….? .Et….BREITOU…..Ne me dites pas que Breitou…..?''
Le Professeur……. 'Mais oui aussi……!'
EMMA……………'BREITOU TOUYEBAAAAAAAAAAAA……JEDEEEEEEEHHHH…?'
Le Professeur…….'Mais…C 'est le releveur de compteurs…..! ( trèsorier)'
EMMA……………. QUOIIIIIIIIIIII……!.Jamais j'aurai cru ça de…..BREITOU…..!'
Le Professeur…….'Et le BELEBOU……..?
EMMA……………'.BELEBOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU…..Aussi…TOUYEBAAAAAAA…..?'
Le Professeur……..' NE CRIEZ PAS SI FORT …MA SECRETAIRE VA CROIRE…….!'
EMMA……………' Oui….Vous avez raison …..Soyons discrètes……..!'
Le professeur……..'Oui n'attirons pas l'attention sur nos échanges……!'
EMMA……………'Mais dites moi Professeur……! Albert, Breitou et Belebou……Ils sont comme ça depuis combien d 'années…….?'
Le Professeur…….' Depuis l'ouverture de notre association…….! 35 ans……!'
EMMA…………...' Ah …..! LES SALOPES DEPUIS 35 ANS ET MOI QUI CROYAIT QU'ILS ETAIENT.........!'
Le Professeur…….'……… De généreux donateurs…….!'
EMMA………….' …..Oui c 'est ça des DONATRICES…….Oui…..!'
Le Professeur……..' Bon allez …Tournez vous…..Je vais vous ausculter……?'
EMMA……………' Vous pouvez y aller sans gants……..!'
Le Professeur….….' Comment ça sans gant…..?'
EMMA……………' Oui…..A présent que nous avons fais ample connaissance…..!:'
Le Professeur……..'Mais ….! Attendez MADAME EMMA…..! Qu 'insinuez-vous……?'
EMMA…………….'Bon……Professeur…….Allez mettez le plastic si vous voulez……..!'
Le Professeur……..'ALLEZ….. TOUSSEZ…. FORT………….!'
EMMA……………' PAR OU…….?'
Le Professeur…….' Par la bouche……..?'
EMMA……………'Ah…….! Vous aimez par là…….!'
Le Professeur…… ' Allez……! Plus fort….Toussez plus fort……'
EMMA…………...'Vous ne voulez pas…..Que…….!'
Le Professeur….…'Oui….Bien sur……Vous pouvez entrer dans notre association….!'
EMMA…………...'Ahhhh…..Oui je veux…….!'
Le Professeur…… 'Ca va vous coûter 300 FRS PAR AN……!'
EMMA…………..' ET LES ORGIES COMPRISES……….!'
Le professeur……' QUELLES ORGIES EMMA……..?'
EMMA…………..'Mais pour 300 FRANC PAR AN IL FAUT AMORTIR MES CHARGES…..?'
Le Professeur…...'C 'est déductible des impôts……C 'est une ASSOCIATION CARICATIVE…. !'
EMMA………….' Ahhhhhhh…..!Vous les MEDECINS........Vous savez comment détourner les choses…..!'
Le Professeur….' EMMA……C 'EST QUOI CE QUE VOUS AVEZ LA EMMERGANT DE VOTRE…..?'
EMMA………..
'….DE MON ANUS……? C 'EST UN JASMIN…!…JE NE SAVAIS PAS COMMENT VOUS
L' OFFRIR……..PROFESSEUR PEDAAAA….. LOOOOO…..A T 'ON A IDEE…..DE PORTER UN NOM PAREIL…..! MES AMIS IL PRETE A CONFUSION.'
F I N.
EMMA avait finalement une méchante pneumonie. Elle a guéri.
MERCI DE VOTRE ATTENTION.
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 19 mai 2002 - 18h40: |
IL LAISSAIT COULER SON FILET D EAU SUR SES DOIGTS COMME LE GERBAGI LAISSER COULER UN FILET D EAU PAR SON OUTRE TROUEE SUR SES TALONS.
ALBERT
Par William_Jexpire (William_Jexpire) le dimanche 19 mai 2002 - 18h25: |
et ils devenaient propre ,bon appetit
Par Fernand (Fernand) le dimanche 19 mai 2002 - 18h09: |
Albert,
Chez nous, le brickagi allait régulièrement soulager sa vessie. Et quand il revenait, il ne manquait pas, avant de se saisir d’un nouveau pâton, de laisser couler un mince filet d’eau pour purifier l’extrémité de ses doigts.
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 19 mai 2002 - 17h59: |
CE SOIR LA SUITE DE LA VIE EMMA EN SKETCH
PREPAREZ VOS PAMPERS
ALBERT
Par William_Jexpire (William_Jexpire) le dimanche 19 mai 2002 - 13h14: |
attention Bebert ,tu parles à une LADY !!!
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 19 mai 2002 - 12h11: |
JANET,
Je viens d 'envoyer le premier volet sur ma ville.
Le second suivra la semaine prochaine autant vous dire que ce soir je vous enverrai la suite de EMMA( sa vie).
Janet, j'ai toujours respectè les gens.Qu'ils soient pauvres ou riches je les ai enterrès de la même façon. Nus comme des vers. A vec leur respect et leur vulgaritè.Pas un seul n'a bronchè dans son espace.
Alors j 'ai décidè de puis mon jeune âge de porter au firmament mon amitiè à ceux qui me respecte.
A LA GOULETTE, j'ai toujours entendu le chant des mouettes et des oiseaux mais jamais des oiseaux de mauvaise augure.
On pourrait tout me dire, j'assumerai parce je suis homme et je sais ce que je suis.
Mais, il y une chose que je détèste au plus au point, celle de toucher à l'honneur des gens, qu'ils fussent femmes, hommes ou homosexuelles.
Ne m 'en voulez JANET, d 'être comme ceci mais pas comme ceux là.
BREITOU.