Archive jusqu'au 20/février/2005

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Fevrier 2005: Archive jusqu'au 20/février/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le dimanche 20 février 2005 - 20h43:

Tirè de la nouvelle '...CLAIREFONTAINE...'à paraitre.

'....S'adressant au temps, un poète a dit un jour ‘ O Temps..…Suspend ton vol… !’ Et bien mes chers amis, le vœu de ce poète vient de se concrétiser au moment même où la fille et le père, après une séparation malheureuse surtout subordonnée à une sale machination, se retrouvent dans un décor de montagnes et de grisaille. Un temps suspendu comme les nuages arrêtés au dessus de Claire-Fontaine.
Un silence religieux s’est emparé de toute la campagne et l’impression qui vaut , à cette minute même, n’a pour seule explication que l’émotion qui naît entre la rencontre d’un père et de sa fille. Tous les éléments présents ont cessé de vibrer, par cette magie inaccoutumée. La nature semble s’être arrêtée de vivre . Claire-Fontaine, la rivière en contre bas, s’est figée comme la fameuse statue de sel de la bible. Les saules pleurent en silence sans larme.
Contre toute attente, alors que le soleil se fait rare en cette saison, dans ces hautes montagnes voilées de brume, souvent enneigées, un rayon de soleil s’est détaché sur le Pic du Tallion dans le cirque de Gavarnie. Malgré la distance, sa réverbération sur la poudreuse, semble illuminé le visage de Pascal qui a du mal à croire que sa fille est là, à une franche coudée de sa position cambrée. Un rayon de soleil providentiel que Pascal interprète comme un signe divin. Ce signe qui fait espérer toute l’humanité quand elle se trouve dans une impasse obscure.

Une petite clarté qui transperce le ciel, venue d’en haut pour rappeler qu’il faut espérer à des lendemains meilleurs, à un avenir radieux qui efface un passe qui n’a plus court… !

A la foi, à la patience, à la persévérance et au courage, de ceux qui se sentent blessés dans leur âme et dans leur corps, ce petit rayon céleste tombe à pic pour interpeller les hommes, les femmes et même les imbéciles de bonne volonté et de tous bords, pour leur dire que rien ne vaut l'espoir, quand tout semble fini… !’......

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 20 février 2005 - 20h01:

Hommage à Pierre Bachelet.

Loin des feux et du show business, l’homme au ‘ sourire cassé’ n’avait pas ce qu’on appelle
‘la gueule d’une grande’ vedette.
Sa voix pourtant l’était et malgré sa timidité, il charmait naturellement ses fidèles fans. Pierre Bachelet, auteur compositeur, était celui qui composa la musique du film érotique ‘Emmanuelle’ et de tant d’autres bandes sonores.

Délassant les plateaux de télévision, il préférait vivre auprès des siens, loin des tumultes de la vie parisienne mais plus souvent dans sa région du nord, sa ville de Calais.

Voici sa chanson ‘Les corons’ qui le propulsa au sommet des hits parades en son temps….

Le PTB se devait de lui rendre hommage.


Au nord, c'étaient les corons
La terre c'était le charbon
Le ciel c'était l'horizon
Les hommes des mineurs de fond

Nos fenêtres donnaient sur des f'nêtres semblables
Et la pluie mouillait mon cartable
Et mon père en rentrant avait les yeux si bleus
Que je croyais voir le ciel bleu
J'apprenais mes leçons, la joue contre son bras
Je crois qu'il était fier de moi
Il était généreux comme ceux du pays
Et je lui dois ce que je suis

{Refrain}

Et c'était mon enfance, et elle était heureuse
Dans la buée des lessiveuses
Et j'avais des terrils à défaut de montagnes
D'en haut je voyais la campagne
Mon père était "gueule noire" comme l'étaient ses parents
Ma mère avait les cheveux blancs
Ils étaient de la fosse, comme on est d'un pays
Grâce à eux je sais qui je suis

{Refrain}

Y avait à la mairie le jour de la kermesse
Une photo de Jean Jaures
Et chaque verre de vin était un diamant rose
Posé sur fond de silicose
Ils parlaient de 36 et des coups de grisou
Des accidents du fond du trou
Ils aimaient leur métier comme on aime un pays
C'est avec eux que j'ai compris

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 20 février 2005 - 16h51:

Bonjour....

Sketch…

LA DEMOISELLE DE L AGENCE JUIVE…

PASSE LE 15/06/2004

Sketch déjà paru…


Une fille de l’agence JUIVE frappe à ma porte. Elle s’appelle MARJOLAINE Lipowsky.

‘...De Monsieur Lipowsky....!'
'...Ah...! Evelyne...! Vient c'est la fille de Monsieur Lipow Sky..! Rentrez et dites moi ce qui vous amène, ma fille...! ValeRIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE....! Apporte lui un peu de boullou et moi du MAZARD....! Alors...! De quoi s'agit-il...?' Ma fille...?'
-De votre Alya en Israël...!'
-Evelyne apporte deux bouteilles de MAZAR et un peu de YATERCHIYE....! ' Donc...!
-Donc voilà, je suis déléguée par mon Agence..!
-ANPE...? Parce que ma femme est...!'
-Non de l'Agence juive....! Pour l'Alya...!
-Ah.....! Vous voulez que nous nous installons en Erezt....! C'est ça....?'
-Oui ...! Exactement....!'
-Tu veux un peu de boulou, ma fille...?'
-Non un prime cake...! S'i vous plait...!'
-Min en ji’ble el prime cake ehde..! Tu veux un cake sans prime...!'
-Oui..! Je veux bien...! Donc voilà ce que je vous propose...!'
-Mais rien ne presse ma fille, on a tout le temps pour remplir le dossier..!'
-Non...! Il ne faut plus attendre...! Donc, vous êtes combien ici...?'
-15 en tout...!'
-Ah c 'est une famille nombreuse, mais où sont les autres...?'
-Quels autres, ils sont tous là, ma femme mes trois filles, ma petite fille, mon gendre, ma bonne , mon garde manger, mon garde meuble, ma cuisine, mon rat, mes couverts, ma cuisine, ma salle de bain...!'
-Mais Monsieur Siméoni, on ne prend que les humains , la proche famille..!'
-Ah...! Je laisse tout ici alors et je retrouve la même chose là bas...?'
-'Oui vous aurez un CHIKOUN...!'
-Euchkoun ehda CHIKOUNNNN....! EvelyYYYYYYYYne...!'
-Monsieur Albert, un CHIKOUN est un H.L.M....! Bien Placé avec confort tout et tout, dés que vous arrivez vous dormez dans vos lits...!'
-Ah donc je n'emporte rien avec moi...?'
-Rien vous pouvez même venir demain...!'
-Evelyne....! PREPARE LES VALISESSSSSSSSSSSSSS.....On part en vacances dans UN CHIKOUN....OU CHIKOUN FINE YE MRAA....! Bââd el haj oul sarra ( Après notre respect et nos efforts..) On va nous jeter dans un CHIKOUNNNN....! Il y a la télé au moins..?'
-Avec vue PANORAMIQUE.....!'
-Evely ....YNEEEEEEEE....? La télé avec vue PANORAMIQUE....!'
-Non.....! LA VUE SUR TEL AVIV AVEC VUE PANORAMIQUE.....ET EN PLUS VOUS AVEZ DROIT A UN BALCON....!'
-'....Comme au cinéma REX....! On aura des glibettes....!'
- Oui si elle fait partie de la famille pourquoi pas...!'
-GLIBETTE PREPARE TOI....! Tu as une place dans le CHIKOUNNNNN....! Ne me jette pas les écorces par terre...!
-Et aussi vous aurez pendant six ans une bourse d'argent calculèe au prorata de ce vous allez dépenser...!'
-Combien ma fille....?'
-Ben pour vous environ 3035 SHEKEL...!'
-Oui béch en CHEKEL( draguer) Tita bent Frintè qui habite à NATANYA....!'
-En plus vous aurez droit à une bourse d'études..!'
-Ah je retourne à l'école alors....! A mon âge..!'
-Pour vos enfants...!
-Elles ne vont plus à l'école, alors je la prend quand même la bourse...! Ok...!'
-Je ferai mon possible pour que je transforme cette bourse en viager à vie...!'
-EVELYNEEEEE....? On a une bourse pour VO YAGIER...! En plus de mes bourses qui ne voyagent plus....! Euchkoun khir MENIII....!'
-Et en plus vous aurez droit à des avantages sociaux tels que la SECU.....!'
-AHHHH....! JE VAIS TOUCHER ENCORE L ALLOCATION DES ENFANTS.....?'
-Non...! Mais une sorte de prime pour les enfants...! DITES ALLOCATION D INSTALLATION...!'
-Ah, donc c'est avantageux tout ça...!C'est tout ma fille....?'
-Non, il y encore la prime VACANCE.....! Tous les ans, l'AGENCE vous offre gratuitement des bons pour aller visiter le PAYS...!'
-Ah mais qu'est ce que je vais faire comme travail....?'
-Vous ferez le travail que vous faites ici...!'
-PERRUQUIERSSSSSS????????!
-Quoi perruquier...?'
-Je vends les perruques pour les noires non KACHER....!'
-C'est pas grave, on vous installera une baraque près des CHIKOUNS des fallachas et vous leur vendrez vos perruques....!'
-Et pour les loubas...?'
-Vu que vous vendiez des pas KACHER ICI, à Paris, vous êtes ASSOUR......!'
-ASSOUR......? Mes perruques....? Moi qui les circoncis chaque jour par mon MOEL LA DOUDAAAA...?'
-On trouvera une solution...! On dira que vous les avez bénies au MIKVE...!'
-Et pour mon père qu'est ce que je fais...?'
-Il viendra avec vous....!'
-Mais il est à Tunis...?'
-On ira le chercher, donnez moi son adresse..?'
-CARRE GRENA PLACE 118.....Juste près de SAAD Le gardien.....? Au Borgel...!'
-Ah ...! Et vous croyez qu'il sera d'accord pour vous suivre, les vieux sont têtus...!'
-Je vais lui envoyer un fax spéciale spatiale...! Et je pense qu'il sera ravi de rejoindre son frère en Israël...!'
-Et il habite où son frère...!'
-FEL GBAR....A TEL AVIV....!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Valerie (Valerie) le jeudi 17 février 2005 - 22h38:

AU THEATRE CE SOIR…
PAR ALBERT SIMEONI.


Paris le 24/06/2004.
Résumé des précédents chapitres .
Seifou, tailleur de son métier, dans son petit village de son Mali, tire la langue. Son cousin Aissa, éboueur à Paris, depuis 10 ans l’incite à venir près de lui afin d’y pratiquer la magie. Seifou, grâce à l’expérience de sa tante Mariama dans le domaine de la magie blanche, noire, et dans la fabrication d’onguents l’initie durant quelques semaines. Seifou débarque à Paris, à la grande surprise de son cousin Aissa. Seifou désœuvré trouve un moyen ‘malsain’ pour se faire connaître. Il empoisonne presque son ami de chambre Mamadou à proximité du marché St Jean à Barbès dans le 18 ième. Seifou, devant la foule de badauds qui entoure le malheureux, lui ingurgite un antidote. Il est sauvé. On crie au miracle. Son coup à réussit . Son savoir faire fait le tour du quartier. Il reçoit ses premiers clients. Il se brouille avec son cousin et loue un appartement bien plus grand du côté de Voltaire pour ses pratiques. Une retraitée de la Préfecture de Paris , Madame Christiane Bachaumont lui vient en aide pour l’établissement de ses papiers. Il devient même français grâce à sa complicité. Un après midi, il reçoit une dame de qualité. Veuve et riche héritière. Elle vient le consulter pour ‘une influence à distance’ ; détourner les pensées de ses deux enfants, Alice et Georges, tous deux mariés qui veulent forcer, leur mère, selon ses dires, à leur léguer une bonne partie de son héritage alors que cette dernière a couché tous ses biens en faveur de sa fondation. Seifou écoute et enregistre. Rendez vous est prit au pavillon de Madame Elisabeth. Il est emballe par la richesse de la dame. Il demande des ‘témoins-supports’ pour son travail de magie à distance. En vérité ,le Marabout à d’autres projets, bien précis, en tête. Il va procéder à un envoûtement d’amour sur la riche héritière. Cette dernière se voit et durant 7 nuits faire l’amour avec le sorcier Seifou. Elle tombe amoureuses de lui par ces échanges hors-du commun. Au 8ième jour, patatras plus rien et les jours suivants, son amoureux n’est plus à ses rendez- vous nocturnes. Elle veut en avoir le cœur net et décide d’aller à sa rencontre chez lui. Elle n’ose pas , sur le champ, lui avouer ses nocturnes et bizarres étreintes en rêves avec lui. Mais, il a deviné ses pensées. Déçue, elle regrette de ne pas avoir tout raconté. Elle se décide à le faire en allant chez lui, après son départ. Il est dans son bain quand elle frappe à sa porte. Elle profite de cette situation pour rentrer dans son bain et se donner entièrement à son ‘amant de minuit’. Elle est tombée dans son piège. Au cours d’un souper agité, Alice, la fille s’entend dire par la bouche de sa maman que Seifou est son amant. Alice réagit mal d’autant plus que sa maman lui avoue aussi qu’elle va convoler en secondes noces avec son Marabout et qu’elle prendrait d’autres dispositions testamentaires. Seifou voit enfin ses plans, se concrétiser . Seifou va pratiquer une magie noire sur Alice afin de la détruire à distance. Alice durant quelques nuits rentre en transe et ne comprend pas ses cauchemars qui la perturbe. Elle consulte un psy. Malgré les remèdes prescrits, elle ne s’en sort pas et elle comprend lors d’une vision que le ‘futur époux de sa maman pratique la magie noire sur elle, dans le seul but de la tuer. Ancienne adepte de cérémonies Vaudou, elle se décide à se protéger et à retourner le mal envers son expéditeur, Seifou. Elle commence ses cérémonies de magie noire dans sa cave. Dans son cabinet, le Marabout, reçoit de plein fouet le choc de retour. Il est groggy quand Elisabeth , n’ayant pas de ses nouvelles, le trouve à terre dans un mauvais état. Georges, le frère d’Alice, tombe très malade, par la magie destructrice de Seifou, qui feint de vouloir quitter le pays, dans le seul but de sonder les intentions de sa ‘future femme’ mais devant la grave rechute en dépression de son fils, Elisabeth repousse le mariage. Sentant ses plans contrecarrer par cet évènement imprévu ; Seifou refait la magie inverse : guérir pour un moment Georges. Ce qui fut fait au grand bonheur d’Alice qui comprend que le sorcier en voulait aussi à son frère. Georges guérit, Elisabeth épouse Seifou. Elle prend rendez-vous avec son notaire, Maître Donavan, quelques semaines plus tard, pour coucher sur son testament , en cas de disparition, son époux Seifou. Elisabeth et son mari le Marabout Seifou sont devant le notaire Maître Donavan, pour régler les dernières formalités. Alice grâce à une indiscrétion du notaire de famille procède à distance à un rituel de mort au moment même des signatures…



Récit.
NARRATION.

LE MARABOUT…XIII.


Alice dans la cave, impose ses mains sur la photo de Seifou…Tout en ajoutant des pincées de mouches mortes dans la braise..

-‘….Par cette photo, c’est toi SEIFOU qui est présent à cette cérémonie ; c ‘est toi que je livre à Belzébuth, à toutes les légions qui le servent et à tous les esprits du mal afin qu’ils t’anéantissent en corps et en esprit, toi et ta descendance… !’

Chez le notaire…..

Seifou voit des mouches devant lui. Il fait le geste d’esquiver et de les éloigner. Maître Donavan est surprit. Elisabeth se penche vers lui et chuchote…

-‘…Qu’est- ce que tu as chéri….. ?’
-‘…Des mouches, il y a des mouches Elisabeth…. !’
-‘…Des mouches… ?’ Dis le notaire surpris….
-‘…Continuez Maître…. !’
-‘…Et bien vous allez signer les actes testamentaires….Madame…Monsieur…. !’

Chez Alice ….

-‘….Ego…Ego….Satanas…
-…..Ego…Ego….Bélzèbuth…
-…..Ego…Ego….Belai…
-…..Ego…Ego….Asmodée..
-…..Ego…Ego….Shatan..
-…..Ego…Ego….Meremim..
-…..Ego…Ego….Abladon…
-…..Ego…Ego….Asba litus…*

Seifou saisit le stylo pour apposer sa signature au bas des documents quand soudain sa main se crispe et malgré ses efforts, le stylo à encre ne marque pas…Le notaire s’aperçoit que quelque chose ne va pas chez Seifou, il ne dit rien mais lui redonne un nouveau stylo à Bic cette fois ci…

Chez Alice…

-‘…Ego…Ego…Astaroth…
-….Ego…Ego…Mammon..
-….Ego…Ego…Behemoth….
-….Ego…Ego…Zebus…*
-….Ego…Ego…Asbanus…* ( Cités pour la bonne cause.)

Et à chaque fois qu’elle invoquait les sbires du diable , elle plantait un clou dans la photo de Seifou.

Chez le notaire…

Seifou a du mal à signer, sa main est comme paralysée, puis, il penche sa tête de droite à gauche, devant sa femme et DONAVAN. Ils ne comprennent rien, Seifou bafouille des mots incompréhensibles. Il se lève, sa tête est coincée du côté droit.
Sa femme et le notaire viennent à son secours, Seifou tombe à terre comme une masse Paniqués, les témoins de la scène, appellent les secours par téléphone.

Chez Alice….

Elle plante la dernière épingle …

-‘…Esprit de mensonge… !Que le monde soit empli du bruit de ton déshonneur…. !
Afin que, pour la plus grande gloire de Belzébuth, il ne reste rien du bonheur, de la fortune ,de l’honneur, de la vie de Seifou Ibn Abdou et de ses descendants….Je vous conjure très puissantes forces du MAL…. !’


Chez le notaire….

Seifou est à terre, il gigote, ses yeux sont renversés, par la peur le notaire sort de son cabinet. Du sang apparaît dans les pupilles du sorcier, il saigne du nez. Ses mains se recroquevillent, ses pieds aussi, il a prit la position du fœtus…Elisabeth sort aussi,
laissant à son triste sort son mari…..

Chez Alice….

Elle lève son épée à deux mains et donne trois coups sur le portrait de Seifou ….

-‘…. ‘….PAR LUCIFER…..SATANAS…..BELZEBUTH…..ANGES DE LA MORT ….ENVOYEZ….. LA MORT A SEIFOU… !’


La Photo de Seifou, la MARABOUT prend feu sous les coups de l’épée de St Michel….

Du corps de MARABOUT, s’échappent des fumées, ses habits brûlent, il ne peut émettre aucun cri. Les pompiers arrivent sur place mais et constatent que le MARABOUT n’est plus qu’un corps calciné. Une horreur.

Chez Alice, les bougies explosent une à une ; elle est prise aussi de convulsions, elle titube, essaye de garder l’équilibre mais malheureusement, tombe presque évanouie ; sa longue robe noire prend feu et elle brûle aussi dans l’incendie de sa cave.

Telle est la rançon de ceux ou celles qui s’adonnent à la magie noire.

Quelques mois plus tard, Elisabeth décède par le chagrin causé par la mort ses deux êtres chers.

Elle lèguera tous ses biens pour moitié entre son fils Georges et aux petits- enfants d’Alice.

PAR PROCURATION.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 17 février 2005 - 22h33:

LE MARABOUT FIN DE LA NOUVELLE.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 17 février 2005 - 22h28:

EPILOGUE

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LE MARABOUT...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mercredi 16 février 2005 - 23h30:

Il reste encore un grand CHWIYA ...LALLA...
Préparez moi une chambre avec vue sur JARDIN et pas cotè COUR....ET SUR PISCINE...AVEC DES RHODINDRONS...DANS DES EDREDONS....EN ATTENDANT JE VAIS ALLER FAIRE DES DONS ..PARDON...A MEUDON D ABORD...POUR DE BON...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le mercredi 16 février 2005 - 22h54:

ca y est, cher Albert, vous l'avez retrouvee votre belle humeur et nous allons, tous, en profiter avec bonheur ! que Dieu vous protege.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 16 février 2005 - 23h11:

Ma chére ELSA...

 LA CORBEILLE DE FLEURS

Toutes les corbeilles de fleurs ou même les paniers ne suffisent pas pour te souhaiter du fond de mon coeur, un GRAND MAZEL TOV....A L OCCASION DU MARIAGE DE TES ENFANTS....

Je te souhaite de vivre auprès de tes futurs petits enfants, jusqu'à un âge avancè, de GRANDS MOMENTS DE BONHEUR ET DE JOIE.

QUE D IEU LES ACCOMPAGNE TOUT AU LONG DE LEUR CHEMIN AEMN. 5X5.


 LE CHARIOT DE FLEUR

JANO.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Valerie (Valerie) le mercredi 16 février 2005 - 22h44:

Paris le 30/01/2005.

SKETCH

BON ANNIVERSAIRE INSPECTEUR….

OU ……SUICIDES EN CASCADE….….


C’est au petit matin, que la brigade criminelle dirigée par l’inspecteur Boulakia avertie par un coup de fil anonyme découvre le corps sans vie de Mr Jean Fourcauld, négociant en textiles , dans un parking ouvert à plein ciel du côté du quartier du Sentier. L’homme gisait sur le ventre dans une marre de sang, la tête portant un trace de balle à hauteur de la nuque.
Tous les appartements qui donnaient sur la cour avaient une fenêtre de la cuisine surplombant cette aire de repos.

Mr Fourcauld était aussi le président de la copropriété de l’immeuble est les premières constatations font état d’un coup de feu tiré d’une certaine distance à hauteur d’homme par un inconnu.

‘…Ce qui me paraît bizarre, c’est la position de la balle, Gilbert…… ! Regarde bien la direction, elle semble avoir été tirée d’en haut… !’
‘….Un homme de grande taille alors… !’
‘…Plus de deux mètres de haut et en plus le projectile est rentré de côté donc il a du faire une gymnastique pour tirer , à moins que cela ne soit un voisin, un irascible comme il y en beaucoup qui a tiré par sa fenêtre……. !’
‘….Oui, j’ai tapé à la porte du voisin du rez-de-der, il n’est pas là, d’après la concierge depuis deux mois… !’
‘…Il est peut être venu commettre son forfait… Et repartir….!’
‘…Un tétraplégique en plus… Tout le temps avec sa maman…!’
‘…Ah dans ce cas, attendons le rapport de la balistique et du médecin légiste….!’
‘…Gilbert , tu te suiciderai à cette heure là, toi… ?’
‘…Pourquoi moi, chef… ?’
‘…Je parlais comme cela, par exemple… !’
‘…Vous n’avez trouvé que moi à prendre pour exemple, et puis vous dites que c’est un meurtre… !’
Donc… !’
‘…Oui, un meurtre et je persiste… ! Il n’y a pas de d’arme à côte… !

Gilbert prend à part son chef….

‘…Bon laissons l’équipe prélever les indices … ! Moi, je dis que cela est un suicide, chef….. ! Vous devriez parler à Azzou, en ce moment, il a des idées morbides… !’
‘….Quoi Azzou, qu’est ce qu’il a … ?’
‘….J’ai remarqué depuis quelques temps qu’il est peut être mûre au suicide.. !’
‘…Mûre au suicide… ?
‘…En sortant des toilettes, je l’ai vu ingurgiter plus de 6 cachets et il m’a regardé bizarrement en me disant ‘…J’espère que cette fois ci c ‘est la bonne… !’ En plus, il a de gros soucis d’argent donc, j’ai fais la relation entre ses cachets et ce qu’il a dit… !’
‘…Ah bon… ?’
‘…En plus, il m’a redit, plus tard , c’est une confidence secrète chef …’ …J’ai raté quelque chose sans doute… ! Mais je recommencerai en mieux avant que je cela ne déborde sur le carreau… ! Je l’ai aperçu en montant sur le petit escabeau … ! Il a reprit les même cachets ; il était assis sur la cuvette et il disait des mots en arabe ‘….Ye Ra….aides moi… !’
‘…Quoi tu l’as vu le pantalon baissé….. ? Tu es vraiment indiscret Gilbert… ! Bon , appelle le sur le portable, je veux le voir tout de suite… !’
‘…En plus, il a dit que ce soir, il refera cela une bonne foi pour toute … ! En mieux…. ! Plus intelligemment…. ! ’

Azzou est devant le Boulak…

‘…Azzou, écoutes mon fils….. ! Assieds toi d’abord…. ! Tu veux un café… ?’
‘…Non, chef…. !’
‘…Tu sais que je suis comme ton père et que tu peux tout me dire, sans restriction, si tu as besoin de quelque chose …. !
‘….C’est intime et je ne peux rien dire chef, c’est une affaire personnelle et je ne vois pas en quoi vous pourriez m’être utile…. !’
‘…Azzou, écoutes…. ! Nous sommes là pour tout partager ok… ?
‘…Partager.. ? Non, je souffre trop pour partager, ma douleur je dois l’assumer tout seul…. !Je veux en finir…. !’

Gilbert…

‘…Vas y Azzou, confie toi merde… !’
‘….Ah tu m’as balancé au chef, c’est toi …Alors…. ?’
‘…Azzou je n’ai pas le choix, je vais te mettre en garde à vue pour ce soir seulement et nous allons parler sérieusement demain matin dés que tu seras en mesure de parler…!’
‘…Mais je suis en mesure de parler, chef, j’ai rien à me reprocher enfin… !’
‘….Tu vois déjà tu mens alors repose toi un peu et on verra plus clair au petit matin… !’
‘…Au petit matIIIIIIIIIin….. ! Ici dans cette cellule mais chef, je ne pourrais pas dormir en plus, il y a deux zaïrois… !’

Les zaïrois s’avancent vers lui…et par delà les barreaux….

‘…Tu as qq chose contre les zaïrois toi le beurgeois…D’Algérie de nos fesses… ?’
‘…Non, pas du tout, ce sont tous mes copains…. !’
‘….Ben alors si on est tous tes copains qu’est ce qu’on fout ici, tu peux nous faire sortir… ?’
‘…Chef , faites les sortir…. !’

Boulakia…

‘…Non, ils vont te tenir compagnie…. !’
‘…Chef, si je vous dis qq chose d’important sur l’un des nôtres, un secret, vous me transféreriez à côté… ?’
‘…Près des sénégalais….. ? Ok, alors je t’écoute…. !’
‘….Non dans une cellule isolée…. ! Voilà, j’ai des infos concernant Roland, bien que vous m’aviez caché l’histoire de la vieille avec les deux chiens qu’on a retrouvé suicidés…. !’
‘…Mais enfin elle était folle, comment ses chiots peuvent t’ils se pendrent, si ce n’est pas elle qui les a aidés… ! Roland.. ? Notre photographe….. ! Bon je vois que tu ne veux rien me dire alors je te laisse deux jours avec les zaïrois ….?’
‘…Bon, mais si je vous dis……. le secret, vous me déplaceriez… ?’
‘…Ok…. ! Au vu de l’info…. ! Vas y…. !’
‘…Je ne veux pas aussi être jugé pour non DENONCIATION A PERSONNE EN DANGER…. ! Voilà, sa femme m’a appelée hier soir, et c’est au sujet de son fils Hubert, son aînée, il fréquente un dealer du quartier, et quand il a apprit, il a prit son revolver et il s’est tirè une balle dans la tête mais heureusement, le chargeur était vide et il a eut la vie sauve ; sa femme lui a prit le revolver de ses mains il lui a dit ‘…Je recommencerai avec la complicité de Azzou…. !’
‘…Bon en attendant , donne moi ton flingue, il vaut mieux être prévenant, et je vais l’appeler… !’


Il hèle Gilbert..

‘….Gilbert appelle Roland tout de suite, je le veux ici dans 20 minutes… !’
‘…Il habite à 250 km d’ici, et qu’est ce que je dois lui dire… ?’
‘…Dis lui qu’il va avoir une promotion, il attend cela depuis 25 ans, il sera ,dis lui, chef photographe ok… ?’
‘…Mais il est déjà tout seul enfin, il sera donc son propre chef de lui même à ce que j’ai compris…. !’
‘….Dis lui cela ok et fais vite, envoie lui une voiture de service , comme cela on gagnera du temps…. !’

Roland arrive après deux heures et va voir son chef Boulakia…

‘…Roland, mon fils, écoute, je dois prendre des précautions, pour ce soir, je te mets en garde à vue et demain nous parlerons de ta nouvelle situation , ok… ?’
‘….J’en ai marre ok, chef, je vais tout remettre en question… !’

Azzou en chuchotant à l’oreille de Boulak..

‘…Reg ardez ses yeux, n’est ce pas les yeux d’un futur candidat au suicide et puis, il veut tout remettre en question, donc sa vie… !’

Boulak s’adressant à Roland…..

‘…Roland, tu veux un café d’abord….. ?’
‘…Non, chef, je ne veux rien…. !’
‘…Je vais te placer en garde à vue, mais ne crains rien c’est une pure formalité, je vais prévenir ta femme et lui dire que tu travailles ce soir, faut pas l’inquiéter… !’
‘….Dans quelle cellule … ?’
‘….Celle des zaïrois … !’
‘…Non surtout pas celle là , okAYYYYY…. !’

Les deux zaïrois en grinçant des dents…

‘…Qu’est ce que tu as avec les zaïrois, toi le youpin, tu veux ne plus te reconnaître demain matin, chef vous pouvez le faire rentrer ici, on va lui faire sa fête…. ! Surtout que nous sommes dans la musique… !’
‘…Non, surtout pas avec eux chef… ! Je veux être avec les deux mouloud, ils sont plus polis… !’

Azzou…

‘…C’est des pédès, tu veux que ce soir il te…. !’
‘…Non chef, avec Azzou alors…. !’
‘…Oui pourquoi pas , après tout tu as l’air mignon, nous allons passer une bonne soirèe ensemble…. !’

Roland le regarde puis…

‘…Chef, je ne préfère pas, je vais rester là avec les menottes accrochées au radiateur, jusqu’à demain…. !’
‘…Oui, c’est plus sur… !’ Dit le Boulak….


Roland ….
‘…Chef, écoutez si je ne vous dis pas ce que je sais, je serai traité de traître, c’est au sujet de
Richard….. ! Il a découvert que sa femme avait un amant et il veut la trucider…. ! Puis il veut retourner l’arme contre lui…. ! En ce moment, il est planqué dans la voiture de service, prés d’un hôtel ; il la file depuis, j’ai pas envie d’avoir un MEURTRE AVEC PREMEDITATION SANS DENONCIATION…sur les épaules, déjà que je suis en garde à vue pour je ne sais quelle chose…. ! ’
‘…Mais c’est maintenant que tu me dis cela….. ?’

Il prend son portable….

‘…Allo…. ! Richard…. ? Tu es où en ce moment…. ?’
‘…Dans la voiture de service, je file qq ‘un d’important, une femme…. !’
‘…Ecoutes entre vite, nous avons un grave problème ici, tu as dix minutes pour venir, ok, tu laisses tout tomber et puis qui t’a donné cette mission, MERRRRRRRRRDE…. de surveiller qq , viens vite ……………….OK……………. !’
‘…Mais chef, c’est une affaire importante… !’
‘…Rien, tu rentres et mets tes gyrophares…. !’

Dix minutes plus tard…. !

‘…Ah enfin, D ieu est grand, Richard, mon fils écoutes ce soir, tu restes près de nous ok…
En garde à vue,juste pour ce soir, et demain, il fera soleil… !’
‘….Du soleil à Paris en hiver, et de toutes les façons, y’a plus de soleil ok, chef… !’

Roland en chuchotant à l’oreille de son chef..

‘…Je vous l’avez dis, ‘…Y’a plus de soleil…’ Donc, il veut mourir, il perd espoir .. ! Il veut aller dans le noir…. ! ’

‘…Richard, je vais appeler ta femme… !’
‘…Surtout pas, faut pas la déranger, elle est bien là où elle est… !’
‘…Et elle est où en ce moment… ?’
‘…Dans un hôtel, je suppose avec… !’
‘…Bon… ! Bon… !Ne dis rien, je vais mettre cette affaire au clair… !Tu prendras la cellule des zaïrois en attendant… !’

Les zaïrois…

‘…Surtout pas lui chef, Boulak, il est trop con, et il risque de nous contaminer… !’

Un travesti…Dans sa cellule…

‘…MoiIIII…. ! Je suis prête à l’héberger pour une nuit s’il veut, je m’ennuie tellement toute seule, sans rien, je suis vraiment au séc, alors si vous pouvez me rendre service inspecteur,
D ieu vous le rendra… !’
‘…Tu veux coucher dans sa cellule Richard… ?’
‘…Non, elle est mal fagotée, et puis on dirait un homme… !’
‘… Mais j’en suis un mon cher, sauf que moi je suis franche pas comme vous, si tu savais qui j’ai dans mon lit … !Que de la haute…. !Pas des minables policiers qui se prennent pour des inspecteurs et des commissaires….… !’

Au même moment le portable du Boulak sonne…

‘….Allo …. ? Inspecteur… ! C’est Rousseau, le commissaire du 15 ième arrondissment… ! j’ai un gros souci, il faut que vous veniez de toute vitesse ; un de vos policiers veut se jeter par la fenêtre, il veut apparemment se suicider…. ! Il dit s’appeler Freddy….. !’
‘…Merde, mais qu’est ce qu’ils ont tous à vouloir se tuer, je ne vais pas rester seul ici dans ce foutu commissariat, ok, j’arrive sirènes hurlantes…. !’


Toute la brigades est sur les lieux et en effet, Freddy Azria est sur le rebord de la fenêtre, prêt à sauter ;les pompiers sont là aussi….

Le Boulak descend de la voiture et se saisit d’un porte voix….

‘…Freddy, mon fils, c ‘est moi le Boulak…. ! Ecoutes, ne bouge pas, je viens te chercher… !’
Nous allons faire un brin de causette, ok… ?’

Freddy ne dis rien, il est sur le rebord de la fenêtre, il regarde la foule de badauds…

‘…Freddy, écoute, je te comprends, nous passons tous de mauvais moments, mais il faut savoir les gérer dignement, et cela ne t’apporte rien , as- tu pensé à tes enfants… ?

Azzou souffle à l’oreille de son chef…

‘…Dites lui que sa maman va venir… !’
‘….Freddy as tu pense à ta vieille maman, la pauvre, elle n’a que toi pourquoi lui faire du chagrin à son âge, elle m’a dit que tu était un bon fils et surtout un bon père de famille alors as vraiment pensé à elle….. ? Elle risque de mourir en apprenant cela….. ! ’

Freddy…Du haut de sa fenêtre du 5 ième étage…

‘…Ma mère est morte il y a deux ans…. !Alors c’est pas aujourd’hui qu’elle va se réveiller ok Boulak… !’

Boulak envers Azzou doucement……

‘…Crétin que tu es , tu ne peux pas vérifier tes infos avant de dire une connerie, sa mère…. ? Quel con tu es… !’
‘…Dites lui alors que son père… ?’

Boulak….

‘…Ton père va …. !’

Freddy…

‘…Il est là près de moi, n’essayez pas de m’apitoyer, je vais sauter si vous continuez encore à me mentir ok…. !’
‘…Bon, écoutes, je veux seulement parler avec toi, je monte avec nos amis, ok, juste deux minutes et on s’en va et après tu fais ce que tu veux mais ne précipite pas les choses ok… ? Merci Freddy… !’

Ils montent tous les escaliers des 5 étages et ils frappent à la porte…
Toute la famille est là, assise apeurée mais loin de Freddy qui est debout sur le rebord de la fenêtre…….

Lui..

‘…Si vous avancez je me jette…. !’

Azzou avance et Freddy se jette …

Boulak….

‘…NONNNNNNNNNNNNN…FREDDYYYYYYYYYYYYYYYYYYY….. !’
Toute le monde court pour constater que le corps de Freddy gît, disloquè sur le macadam….
‘…Tu l’as tué Azzou, il a dit de ne pas avancer et toi tu as avance, Gilbert mets lui les menottes et on descend … !Pauvre Freddy, il ne méritait pas une telle fin… !’

Il s’adresse à son épouse, à son père et aux enfants complètement effondrès…

‘….Pardon madame, les enfants, je ne sais que dire devant cette tragédie qui vous frappe, je suis désolé…. !’

Le Boulak est si ému qu’il laisse couler des larmes..

‘…Chef, au 4ième étage, il me semble sentir une odeur de gaz…. !
‘…C’est pas le moment, avertis les pompiers , nous en va voir Freddy, ok… ?
‘…Je vais voir quand même, juste deux minutes chef, on ne perd rien, les pompiers sont avec Freddy… !’
‘…Ok, mais vite… !’

Azzou frappe à la porte du 4 ième, et c’est une dame qui ouvre…

‘…Inspecteur, rentrez, je vais vous montrer le gaz…. !’

Et là toute la brigade …

‘…JOYEUX ANNIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIVERSAIRE PATRON….JOYEUX ANNIVERSAIREEEEEEEEEEEEEEEEE….. !’

‘…Merde Freddy, tu es vivant… ?’
‘…Ben oui, on préparait cela depuis une semaine, avec tous les ‘ futurs suicidés’ !’
‘…CA ALORS……. ! VOUS M EN AVEZ DONNE DES FRAYEURS…. !Vous avez fait une mise en scène , y ‘à même le filet mais alors qui est en bas, étalé mort…. ?’
‘…Mon sosie en peluche…. !’

Le portable de BOULAK sonne…

‘…Allo…. ? Inspecteur Boulak…. ? C’est Mr Le Préfet….. ! Je vous le passe… !’

Le Préfet Ramoni…

‘…Inspecteur, votre collègue MAROUANI vient de …. !’
‘…Il va bien Mr Le Préfet…. !J’en suis sur…. ! ’
‘…Ah bon, c’est bizarre, il vient de percuter une voiture…. !La mienne… ! Et on l’emmène aux urgences… !’
‘…J’arrive Mr Le Préfet… !’
‘…N’y allez pas Chef, Marouani est avec sa femme en vacances aux Caraïbes… !’
‘…Lui aussi, il s’y est mis alors notre Préfet… ?’
‘…C’était pas le Préfet, c’est Georges notre imitateur… !’
‘…MEME LE MORT DU PARKING ETAIT BIDON.. ?????’
‘…Oui, avec de la sauce rouge, genre Ketchup…. !’

‘….VOUS ME FAITES CHIER TOUS OKKKKKKKKKKKKK…… !’

‘…BON ANNIIIIIVERSAIRE …NOS VŒUX NOS PLUS SINCERES…..QUE L AN FINI NOUS SOYONS TOUS EN ……..VIE…………………………….§§§§§§§….

VALERIE ...PAR PROCURATION PATERNELLE.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mercredi 16 février 2005 - 21h44:

Emile,
Mon cher ami d'outre Atlantique, je fais partager ce merveilleux conte à nos amis du PTB...MERCI....Si tu en d'autres avec du poisson envoie les moi j'en raffole...


La cascade


Une mère poisson se promenait avec ses enfants pour leur montrer les environs de son royaume. Soudain elle fut surprise par une cascade. Son coeur battait pour ses petits enfants. Comment expliquer à ses petits poissons le danger de passer les eaux d'une cascade. L'émotion s'emparait d'elle car elle craignait que le passage ne s'attarde et que la patience de ses petits ne finisse avant la fin de l'excursion. Serrant contre soi ses petits de peur qu'ils ne s'échappent? Voilà une vague qui s'annonce de loin. Puis soudain elle est là, la maman poisson toute effrayée se débat, elle est emportée par les torrents en essayant toujours de garder ses enfants, et plan! Encore un courant, elle est renversée, puis avec un effort elle se redresse, sans jamais perdre de vue ses petits poissons, et soudain c'est la grande chute, les courants redoublent leurs efforts, elle crie, elle saute, elle entend les cris déchirants de ses enfants, ils pleurent, ils crient maman! Maman! Elle n'y peut rien, elle plonge dans le désespoir et l'abandon, elle se laisse emportée et Plouff! la cascade est passée. La maman revoit ses petits poissons tout contents, croyant à un grand amusement de la part de la maman ainsi se termine l'histoire de la maman poisson .le 6 Juin 2001

Emile Tubiana