Archive jusqu'au 21/février/2005

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Fevrier 2005: Archive jusqu'au 21/février/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le lundi 21 février 2005 - 23h53:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Glandeur : Le Moel au Baabous,

c:/


Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 21 février 2005 - 23h58:

Breitou Houta Ou Jerafa Alik. Je ne savais pas que tu sais si bien le francais Yakhouya moi j'ai n'est pas appris a l'ecole mais au cotab avec Rebbi Israel, mais heureusement que j'ai un ami comme toi. Embrasse ta fille ou Rabi Maaha, Amin.

Emile Khouk

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 21 février 2005 - 23h41:

Pour mémoire, je rappelle que l'idèe de ce sketch m'est venue lorsque l'AGENCE JUIVE avait l'intention de mettre sur pied ce qu'on appellait il y a six mois '..SARCELLES D ABORD...'

Il s'agissait d'envoyer des émissaires de L'Agence Juive dans les foyers juifs de France et de Navarre pour encourager l'ALYA des JUIFS DE FRANCE.

Où est l'affront...?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 21 février 2005 - 23h36:

Monsieur BRAHAM,

Et puis vous n'avez pas le monopole de l'amour que vous portez à Israel, sans le dire haut et fort comme vous le faites avec beaucoup de flonflon.
Apprenez à rire de tout Monsieur et dites à votre balance de tune qu'il ferait mieux d'être plus circonspect dans ses rapportages.

Basta.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 21 février 2005 - 23h29:

J’exècre l’odeur de l’hôpital.
Une odeur aseptisée, qui sent le formol mixé à de l’éther.
Ca vous prend, dans les narines d’abord et puis ça se dilue dans l’estomac en passant par la trachée artère pour atterrir dans les intestins et aller se noyer plus tard dans le fond de l’eau bien clair des wc. Et cela dés que vous franchissez le seuil aux baies vitrées électroniques qui s’ouvrent pour vous inviter rentrer dans ce sanctuaire des malades, et des souffrants.

Là où la misère humaine étale en silence son long manteau de douleur, là où la solidarité humaine se fait plus sentir dans la maladie que lorsqu’on est en bonne santé.

Du malade allongé aux yeux fermés, sans distinctions de taille, de condition ou d’âge encore moins d’identité, ils sont tous logés à la même enseigne, l’un la bouche ouverte en forme de O l’autre traînant ses béquilles en tirant sur une clope ou de celui ou de celle qui tire sa potence
chaussée de sa chlaka.

Vous trouverez, ici, tous les ingrédients pour réfléchir sur le sens de la vie quand vous êtes à l’horizontale et même à la verticale sans clopiner.

Monsieur Gasmi….

Il est là depuis, il ne sait pas lui même. Il est tune, la soixantaine environ. Il hurle dans les couloirs de l’hosto à l’envie et crache à souhait dans son mouchoir sans tenir compte que sa gorge va bientôt explosé, et cela à toutes heures de la journée. Il appelle sa Catherine, l’infirmière par un long trémolo…‘…CATHERINEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
EEEEEEEE….Je veux une BADOIT…… ! CATHERIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNE…. !’ J’ai faim….. ! Je veux manger…. !’

Les infirmières du bloc très compatissantes à son égard étaient aux petits soins. Ils s’accrochaient parfois avec elles pour 30 ou 40 centimes de rendu car dit il’…Je suis pauvre… !’ Il oubliait qu’ils lui furent rendus et son esclandre était gratuite.

Souvent debout, adossé au mur, dans le corridor au parquet recouvert de linoléum couleur orange ciré qui brille alors que les cœurs sont tristes.
Son pantalon, mal retroussé, lui donnait un air de SDF. Il avait fini d’ être blanc, mais gris, sa chemise aussi mais pas sa cravate qui était noire.

Il longeait les murs s’arrêtant de tant à autres pour tousser et cracher car Monsieur Gasmi est non voyant. Il tenait dans la main une SEBHA( chapelet ) et ses lèvres murmuraient les 99 noms de D ieu, le chapitre dit El Korssi. Il dialoguait avec tout venant dans son bon français.

Au 3 ième jour, j’ai été le voir. Je lui dévoilais mon identité de tune et là j’ai vu sortir de ses yeux clos qq chose qui ressemblait à des larmes de joie ; il a pris ma main entre ses mains et m’a invité dans sa chambre la 114. Et nous avons parle. Il était heureux que nous parlions en arabe …’ Me âândi hed … ! Albert… ! Iitime fèl déniyè ehdi… ! ( Je n’ai personne …Je suis orphelin dans ce monde… !) Je le réconfortais par des mots sages et il me serrait toujours la main en signe de reconnaissance. Je suis devenu son ami en un laps de temps. Et qd il avait besoin de qq chose, il hélait mon nom ‘…ALBERRRRRRRRRRRRRRRRRRRTTT… !’ Tous les malades de chambrées et les accompagnateurs connaissaient mon nom à la fin du séjour.

Je lui offrais six bouteilles de Badois au grand bonheur de CATHERINE son infirmière que je soulageais de cette corvée pour un temps.

Je lui annonçais deux jours auparavant, que je devais le quitter et là il a voulu prendre ma main pour l’embrasser ; je la retirais par déférence à son égard.

La veille de la fin du séjour, vers les 20 heures alors qu’il crachait ses poumons, une grande voix française lui jeta un ‘….TA GUEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUULLE…. !’
Il osa lui répondre par ‘…Pourquoi ma gueule … ? Parce que je suis un aveugle et seul… ?
Hein…. ?’ L’homme se tût.

Au soir du jeudi, j’allais lui dire au revoir, et là il prit ma tête entre ses mains et les passa sur mon visage sans doute pour modeler mon masque afin de le garder en souvenir en me disant ‘…YERHAM BOUK…ALBERT…. ! YERHAM BOUK ALBERT…. !’

‘….GASMI…ECHFE LIK…. !’

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 21 février 2005 - 22h33:

SKETCH.....LE 16/5/2004 PASSE CE JOUR SUR ADRA.

JACO ET BREITOU AU BB.


Breitou croise sur son chemin Jaco. Il est à proximité du BB.

‘...Jaco... ! Yè baba.... ! Qu’est ce que tu fais là... ?’
‘...Mais... ! Je ne te reconnais pas tu es qui.... ?’
‘...Ton ami Breitou... ! Je me suis changé un peu pour qu’on ne me reconnaisse pas ici... !’
‘...Heu, alors moi aussi je veux changer de structure, tu sais bien qu’au café des Dattes, il y a 24 inscrits mais je soupçonne qu’ils sont en vérité quatre ou cinq chatteurs et les autres pseudos sont les même sous de faux masques... ! Je viens donc contrôler les identités... !’
‘...Ici au BB.... ? Mais il faut aller au C.D pas là enfin... !’
‘...Ici, je dois contrôler les recettes... !’
‘...Tu as des doutes sur les consommations... ?’
‘...Non, pas du tout mais les Z ne correspondent pas avec les recettes... !’
‘...Bon, écoute on va rentrer, tiens affabule toi d’une perruque et met ce faux nez, ...... !’

Ils rentrent au BB.


‘...Gastounette, une bouteille de Champagne pour mon ami, un verre de lait pour Appolo, un perroquet pour mon perroquet et une boisson légère pour ma petite chienne RIRETTE... !’
Alors écoute, avant-hier au café des Dates, il y a une Ba BETE, elle s’est crue intéressante et voulant me faire sortir les vers du nez , elle a cru que j’allais tomber dans son piège bidon... !
‘...Ah ok... ! Mais toi tu es un malin... !’
‘...A qui le dis tu, je dois toujours prévenir c est mieux que guérir.... ! Elle a voulu semer la zizanie avec mes amis mais la pauvre elle s’est gourèe lamentablement.....J’ai relevé pour une fois toute la correspondance comme ça au moins si je la vois, je peux lui dire que c’est le DEBUT qui fait commencer les rancœur pas les fins... !’
‘...Oui tu as bien fais, après tout je ne vois pas pourquoi on te veux du mal franchement.. !’
‘...Gastounet apporte une autre bouteille de CHAMPAGNE, la Veuve CLIQUOT CACHER... ! Tiens bois Jaco, c’est moi qui paye... ! ‘
‘...Tu sais chanter JACO..... ? ‘
‘...Oui, un peu..... !’
‘...Ah ok, donc chante moi MARJOLAINE T ETAIS SI JOLIE... !’
‘...Ok.... ! Mais ne te moques pas de moi.... !’
‘...Moi me moquer HAJ VE CHALLOUM.... !’

Il commence à chanter....

‘..§§§§§...MARJO HAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIne....§§§§§...Toi si jolie......MARJO HAINEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE§§§§§§§....TOI SI JOLIE.......MARJO HAINEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
TOI SI JOLIEEEE...§§§§§...MARJOLAINE.....TOI SI ....§§§§§’

‘...Bon pourquoi ce MARJO HAINE SI LONGGGGGGGGGG....Tu ne peux pas le raccourcir...et un peu bas, tu vas réveiller tout le quartier... !’

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Latitesse (Latitesse) le lundi 21 février 2005 - 22h15:

Albert,
merci, si vous saviez combien je suis touchee
par le coeur que vous montrez toujours.
Je vous en remercie vraiment, beaucoup plus
que je ne sais le dire

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 21 février 2005 - 21h55:

Madame Latiteasse,

Votre pseudo sonne avec petitesse alors que vous êtes grande et noble d'esprit.

J'ai lu votre annonce sur le BB et je comprends votre fierté car au delà du symbole marqué sur le bronze ou la pierre, il y a des souvenirs qui, même sans être inscrits qq part , restent gravés dans les mémoires.

Henri Bellicha Z'AL fait partie de ceux là, tant sa culture, son talent, son érudition et son don de la peinture lui ont fait gagnés l’estime de tous.

Il y des hommes de talent qui partent trop tôt et d’autres trop tard, c’est la loi de la nature qui se veut parfois injuste.

Le CRIF l'honore pour ses mérites et nul éloge soit t'il, petit ou grand, ne peut réconforter ad posthume, celui qui fut votre compagnon depuis plus de trente ans.

La douleur et la souffrance ont cette chose de bien particulière, elles s’estompent difficilement et l’oubli de l’être cher ne fini jamais malgré le temps guérisseur.

Que son souvenir demeure dans de votre esprit et que sa mémoire soit la veilleuse qui ne s’éteint jamais dans votre cœur.

Annonce passe dans le BB.

Auteur: girelle
Date: 21-02-2005 16:50

Henri Bellicha membre d'honneur du CRIF régional.

J'ai le plaisir de vous annoncer que Henri Bellicha z'l a été nommé membre d'honneur du CRIF régional Provence Côte d'Azur pour services éminents rendus. A ce titre, il figurera sur la plaquette éditée par le CRIF à l'occasion de son diner du 19 Mars à Cannes au Carlton.
Ce diner rassemble comme à Paris les plus importantes personnalités de la Région: Députés et Sénateurs, Présidents du Conseil Régional et du Conseil Général, Maires qui, tous ont connu Henri Bellicha qui, avec sagesse, courtoisie et fermeté savait défendre son point de vue, notre point de vue. Je suis invitée à ce diner et vous en ferai un petit compte rendu.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Latitesse (Latitesse) le lundi 21 février 2005 - 13h58:

Quel joli poème Albert, Poème à une Dame qui le mérite bien, Elle qui au Café des Dattes nous fait le plaisir de son équilibre et de son charme.

Bon anniversaire Poupée

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 21 février 2005 - 08h34:

LE BOUQUET


A POUPEE DU CAFE DES DATTES….

Bon anniversaire ma chère DAME,



Elle a un nom bien joli
Poupée, dame de cœur
Sans pic mais qui se tient
A carreaux.

Elle fête son anniversaire
Près des siens , modestement
Aujourd’hui.

Elle est pleine de courage.
Le courage qu’ont ces mamans
Qui affrontent au quotidien
Sans se plaindre, la fatalité
Qui pèse sur leurs épaules,
Sans gémir ni geindre .

Elle est belle Poupée
Malgré ses cheveux blancs.
Elle incite au respect surtout
Et son regard bien pétillant
Fait penser à ses Barbies
Qui ne baissent jamais le regard
Ni les bras encore moi le moral.
Qui ne flanchent ni en aval
Ni en amont
Quelque soit les événements
Que la vie nous offre en silence
Dans la pénombre de nos solitudes.

Poupée, ma chère, toi que je taquine à tours de bras
Souvent au café, au salon de mes Dattes, ce chat,
De toutes les connaissances
Et de toutes les confidences
Je te souhaite de tout cœur un bon anniversaire
Et que tous les ans finis, tu sois toi la jolie mère
Parmi nous, toujours souriante
Et surtout toujours charmante.


Albert un de tes fans.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Valerie (Valerie) le dimanche 20 février 2005 - 22h08:

Sketch…

Le 20/02/2005…

ALI mon voisin…


‘…La certitude ce n’est ni plus ni moins que le doute ôté et je vous le dis sans l’ombre d’un doute…. !’

Je l’ai entendu à la télé par le non moins célèbre Raymond Devos, le grand humoriste, joueur de jeu de mots.

D’abord, je me présente je m’appelle ALI , le fils de Hamdan de Tajerouine. Je suis super épicier, ou plutôt je tiens une supérette à la croisée d’un carrefour pas loin de Maisons-Alfort entre la rue de …et des…. Je vends un peu de tout, tout ce que vendent les super marchés mais en restreint, je sers surtout les retardataires jusqu’à une heure tardive de la nuit qq soit le temps, c’est mon travail et je ne m’en plains pas ; un Mektoub qui fait vivre mon mektoub ( ma poche).
Je suis le copain d’Albert, il est mon voisin et dés fois, on parle un peu, juste un peu car il est souvent pressé Albert. Alors je lui raconte des anecdotes comme lui il me raconte les siennes et on se marre dans notre langue…..Pardon Albert..

Rentre une vieille grincheuse….

‘…Bonsoir madame Aurélie… ! Je vous sers qq chose… !’
‘…Oui Mouloud une baguette…. !’
‘…Voilà Madame Aurélie… !’
‘…C’est bizarre, elle est froide… !’
‘…Pourtant elle est enveloppée par du papier célephane , Madame Aurèlie, et à cette heure là, quelle baguette voulez vous qui soit chaude… !’

Et là je sens dans le regard de la vieille comme une grande déception mais la vieille ne peut se résoudre ; elle doit se contenter de son pain froid et rassis…

‘…Tu sais Albert, avant, il y avait mon père, allah yerhmou, il m’a fait arrêter les études à 16 ans, il a appliqué la loi en me disant ‘….Les français t’on au moins appris à rendre la monnaie et c’est suffisant, à présent tu viens travailler avec moi… !’ Pourtant je n’étais pas si bête que cela Albert, mais voilà, il voulait que je bosse, comme je suis son fils unique, il m’a coupé mes espérances scolaires comme vous on vous coupe le zizi à huit jours et il ajoutait ‘….Demain, tu changes de blouse blanche, tu mets la grise… !’ Alors je lui ai répondu ‘….Pourquoi papa faire une telle dépense, je vais la teindre.. !’ Et là, il a compris que j’avais l’esprit commerçant… !’
Il était content de ma réplique, et il a trouvé que je réfléchissais bien . Au début, il m’a mit dans la cave, à ranger les cageots et tous les cartons et avec le temps, quinze ans plus tard, j’ai gravi les échelons , je suis monté de la cave au magasin parce qu’entre temps, mon père était mort et que je devais assumer la marche de la supérette. C’était un bon père, mon père Albert, Allah yerhmou… ! Quand il allait au bled, tous les trois ans pour prendre des nouvelles de sa famille et de sa femme, il me disait ‘….Ali, tu as juste deux minutes pour me dire si tout va bien….’ J’avais juste le temps de décrocher que lui a raccroché déjà, sans me parler, il entendait juste ma voix…. ! Une fois, il m’a dit avant de partir ‘…J’ai le mal du pays mon fils…. !’ et puis qd il était là bas, il disait ‘…J’ai le bien du pays qui me manque… !En parlant de la France. Alors au lieu de rester trois semaines, il raccourcissait son séjour pour retrouver son bien… ! Allah yerhmou, mon père… !’ Je ne manquais de rien avec lui puisque j’avais tout ici, les biscuits, les nougats, les pâtisseries etc… Et un jour, il fut récompensé par le Maire de Maisons-Alfort, pour son travail, il a eu la médaille du TRAVAIL. A cause d’une voyelle plutôt…Oui une voyelle, une E à la fin, ils se sont trompes à la Mairie parce que la médaille revenait à un certain HAMDANE BOUZID qui aurait dû l’avoir et c’est mon père qui portait le même nom que lui qui l’a eu à sa place mais honnête comme il est, il a voulu la rendre et un matin au marché de Charentonneau, il a rencontré le Maire et il lui a dit la vérité avec le médaille dans les mains mais le Maire lui a dit en bon français ‘…Mais Monsieur Hamdan…. ! Quelle importance, puisque vous travaillez tard la nuit vous les arabes…alors gardez là, on n’en a beaucoup… !’ Aujourd’hui mon père est enterré au cimetière de Tajerouine, il ne voulait pas être enterré ici, à cause qu’il fait trop froid, il m’a dit, alors je l’ai embarqué sur le Habib un jour, et pour la première fois de sa vie de mort il a prit le bateau, lui qui avait le mal de mer.. !’

Ah la vie Albert, comme c’est bête, je te jure, tu sais on m’a présenté une kabyle pour me marier mais mes parents au bled m’ont dis non, ils veulent une de Tajerouine mais dis moi Albert, comment je vais faire, je travaille ici moi…. !Je ne vais pas faire comme mon père allez voir ma femme tous les trois ans et laisser mon fils ici…. ! Si j’en n’aurai…A 65 ans… ! ’

Par procuration.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 20 février 2005 - 22h05:

AATYOUHA L ASSIDA LES AMIS A CELLE D EN HAUT...SINON ON AURA UN AVORTEMENT SUR LA CONSCIENCE HAJ VECHALLOM....HEUREUSEMENT QU ELLE NOUS A PAS DEMANDE
LA BISSARA.....