Archive jusqu'au 02/mars/2005

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Mars 2005: Archive Mars 2005: Archive Mars 2005: Archive jusqu'au 02/mars/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 02 mars 2005 - 21h55:

CE SOIR '...MON EXAMEN DE CONSCIENCE..' SKETCH....


APRES MA SOUPE.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mercredi 02 mars 2005 - 21h36:

Sidi Braham c 'est pour toi lââziz..
(Je croyais que tu avais 45 ans mais bon, je me suis gourrè encore :) :) :)

Le modeste appartement de mon père…..
4 Rue Pasteur, la Goulette Casino.

Passe le 23/11/2004 sur Adra. Ecrit le jour même.

Loin de ressembler à la Petite Maison dans la Prairie, ce feuilleton bien connu, le petit appartement loué en 1945 par mon père n’avait ni de grandes baies vitrées donnant sur une pelouse, encore moins un hall d’entrée carrelle de marbre de Carrare avec ascenseur luxueux ; il avait juste un balcon qui donnait sur la rue Hamouda Pacha. Dernier étage qui en comptait deux. A droite en montant la volée d'escaliers avec rampe vétuste et ébréchée, et au fond de couloir .

Ce n’était pas un pavillon individuel avec jardin, espace vert et véranda où les parfums des fleurs s’introduisaient par les grandes portes vitrées.

Il n’était pas non plus, ce mas perdu dans la campagne, entouré de près verts où les chants des oiseaux matinaux venaient perturber le doux murmure d’une rivière allongée entre deux berges bordées de saules pleureurs ou rieurs.
Il n’était pas non plus surmonté d’un paratonnerre, ni d’un coq gaulois ou goulettois en fer rouillé qui indiquait la direction des vents. Il n’était pas ouvert à ceux là.

Point de grande cheminée qui vomit la fumée sortie d’un âtre bien chaud.

Point de piscine au fond carrelle de mosaïque romaine dans laquelle la fresque d’un D ieu mytho grec aurait trouvé refuge.

L’appartement de mon père se trouvait à la Goulette, un patelin coincé, un point sur la carte dans mon pays que J’AIME.

Juste deux chambres ORDINAIRES, petit cuisine, dohkana, wc 1 M2.

Nous y vivions chaudement , ORDINAIREMENT.

Il faisait bon d’être entouré par les siens sans que la télé ne vienne perturber notre ambiance familiale. Les odeurs de la ‘ Gnaouiyè’ ‘de la bsal ou loubia’ ou du couscous ‘ régnaient en maître à l’instar de ces beaux appartements qui sentaient la naphtaline et la lavande.

Dans ces appartements où l’on parlait sur un ton feutré.

Point d’horloge aux murs encore moins de canari mécanique siffleur, élevé et éduqué par ses oiseleurs que sont ces maîtres GRANAS, sorti par un coup de baguette magique pour leur rappeler l’heure du dîner ou du déjeuner ou alors le moment de jouer du piano ou du violon lorsque ce n’était pas l’heure de la broderie.

Ma grand-mère MEIHA z’al, ne jouait pas du piano encore moins de la ZOKRA ou du violoncelle, elle ne savait que repriser ou alors rouler des petites pattes dites HLALEM qu’elle jetait sur un tamis retourné près du SEKHEN.

Nous n’avions pas de tableaux de maîtres, ni de cadres représentants des scènes de chasse à COURRE…Juste la radiographie des poumons de mon père qu’il aimait regarder chaque soir avec extase.

La maison de mon père….Comme elle me manque… !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 02 mars 2005 - 21h25:

Oui Braham,

C'est celui là vaisseau spatial que tu as vu à 23 heures Breitou greenwitch...

Merci...Il est très beau car si je devais attendre la DOUDA ECHTENA YE DJEJJA HATTE I DJI ELKAMH MEL BEJE...MERCI....BCP...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mercredi 02 mars 2005 - 09h59:

fusee

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mercredi 02 mars 2005 - 09h58:

Albert

Hier soir, j'ai vu passer une lueur dorée dans le ciel clair de Tivo'n. J'ai pu distinguer quelques signes sur l'objet lumineux, j'en ai prix une photo. Serait-ce ta fusée ou un ballon météorologique qui s'est déguisé avant Pourim ?

Sans aucune intention de devancer notre ami Douda, je t'enverrai tout à l'heure la photo.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Valerie (Valerie) le mardi 01 mars 2005 - 21h19:

LE SHOFFAR ET LES MASQUES

Albert Simèoni



Paris le 22/4/2004

Récit raconté par Breitou et Valérie en XIII Chapitres.

Les faits rapportés ici sont imaginaires.


L’Oubliè...I.


Shirley et Simon.

Au début je voyais flou.

Que des ombres. Plus tard, les ombres s’estompaient. Les contours des visages se précisaient. Plus nets, voilà pourquoi les bébés répondent par des sourires à ceux qui leur sourient.
Le visage de ma maman, de mon père, de ma grand-mère ou grand père maternels, devenait familier.

J’avais le sens olfactif assez développé et cela m’aidait à les reconnaître aisément à leur odeur et parfum ; leur haleine aussi. Ne croyez surtout pas que les mômes de mon âge, manquent de sensibilité nasale ou d’acuité visuelle.

Mon environnement était donc composé de silhouettes, de senteurs. Autant vous confier que nous sommes aussi dotés du sens culinaire et savons distingués, un lait sein d’un lait factice.

Mes grands parents paternels habitaient le sud de la Franc, Nice.

Vers l’âge de deux ans, je m’attachais à mon grand père Simon et à ma grand-mère Tilda.
Ils habitaient à deux pâtés de notre maison. Quand mes parents vaquaient à leur travail, j’étais déposée chez eux. Ils étaient aux petits soins envers moi.

Ce qui ne les empêchait pas de venir nous rendre visite chez nous en m’offrant toutes sortes de petits présents.

A 3 ans, mes parents me casèrent dans une garderie, toujours pas loin de chez nous. Arriva la maternelle.

Mon grand-père Simon venait la plupart du temps me cherchait à la sortie des petites classes en attendant l’arrivée de mon père.

J’étais heureuse de la promenade qu’il m’offrait juste avant le coucher du soleil. Par beau temps. Je sentais qu’il était fier de moi et souvent, il en parlait avec ses amis avec entrain.

A 6 ans, alors que je faisais connaissance avec mes premières matières scolaires, dans la classe maternelle, ma grand-mère Tilda décéda, laissant mon Papy éploré. Elle avait 58 ans.

A mesure que les jours passaient, son chagrin augmentait. Il perdait quelques repaires et ne voulait plus vaquer à ses besoins les plus élémentaires. Il s’était, du moins, au début enfermé dans un mutisme de circonstance.

Ma maman décida de l’héberger. Une chambre lui était destinée mais il refusa l’offre, craignant d’être une gêne, une charge. Il avait 69 ans et surtout très indépendant.

Il émit le vœu d’aller dans un hospice de vieillard du coté de Vaucresson, un centre juif situé à quelques kilomètres de Paris. Nous allions le voir tous les dimanche et il était heureux par nos visites. Il était bien entretenu par le personnel, et ne se plaignait jamais de sa nouvelle condition.Puis, nos visites s’espacèrent pour se raréfier.

Ma maman se contentait de téléphoner de temps à autre pour avoir de ses nouvelles.
Je profitais pour entendre sa voix.Nous avions aussi changé d’appartement entre temps. Nous habitions le 15 ième arrondissement. Puis, nous ne l’appelions plus. L’oubli commençait à faire son œuvre. J’avais pensé qu’il était mort et que mes parents me l’avaient caché, afin de ne pas me perturber, au vu de mon attachement à sa présence. Mais ce qui m’intriguait le plus, était qu’aucun souvenir, cadre ou autre n’était accroché à nos murs. Je n’osais rien dire à ma maman afin de ne pas lui rappeler son père ‘décède’. D’autant plus que je ne me souviens pas, là aussi, m’être rendu à un quelconque enterrement. Dans mon jeune âge. Bref, on ne pose pas tellement de questions dans mon cas et même quand je demandais après lui, ma mère me répétait invariablement...

‘..Il va bien là où il est... !’.

Ma maman souffrait d’une dépression. Elle ne s’en sortait pas. Mon grand père était sorti de notre vie. On l’avait oublié lamentablement.
A la maison, nous n’en parlions même pas. Comme si le sujet était devenu tabou.

Donc je cessais de l’importuner par ma curiosité.

Passent les années.

J’étais dans les grandes classes. J’avais 18 ans.

Un jour, alors que je me promenais sur les berges de la Seine, à la recherche d’anciens bouquins, je poussais la porte d’une boutique, celle d’un vieux bouquiniste. Des centaines de livres et brochures étaient alignés dans de grands rangements. Des piles en tout genre se dressaient dans des coins de sa boutique. Je me hasardais à fouinier dans ces tas mis pèle –mêle. Tout à coup, je tombais par hasard, sur un fascicule dont la page de garde représentait le visage d’un bébé avec un titre ainsi libellé...

’ ...Recueils de Poèmes dédies à ma petite fille Shirley... !’
C’était mon visage de bébé scanné à l’âge de deux mois. Je le sais puisque je figurais dans le cadre accroché juste au dessus de notre télé. Je restais sur le coup hypnotisée par cette découverte. Le vieux bouquiniste vint vers moi...

‘...Si cela vous intéresse, j’ai encore quatre classeurs de récits et de mémoires de ce monsieur...’ Me dit t’il de sa voix rauque...

‘....Je voudrais bien les voir si cela ne vous dérange pas... !’

Il s’absenta quelques minutes pour réapparaître avec les classeurs en question. Il me laissa une instant toute seule. Je jetais un rapide coup d’œil dans ses feuillets tapés sur ordinateur.

Je demandais à les acheter. Je payais le prix qu’il me fixa et j’enfournais le tout dans un sac en plastic. Je rentrais chez moi, dans ma chambre pour découvrir l’auteur de ces écrits.

Le recueil était tout poussiéreux, écorné. Mon visage de bébé était taché par l’humidité. De grosses cocardes grises les avaient maculées. Par le temps.
Je dépoussiérais le petit fascicule tout en m’asseyant au bord du lit. Les pages qui me semblaient jaunies ne l’étaient pas en fait, elles étaient faites en parchemin. Assez épais dont le titre était fort révélateur, je relisais le titre plus attentivement...

‘...Recueils de poèmes composés pour SHIRLEY, ma petite fille....Le............19......Il était daté et paraphé.....’..... De la part de ton Papy Simon.... !’

Et là je compris que je venais de tomber sur une mine de lecture. Les écrits de mon grand-père Simon.

Je commençais à lire les premières pages et à mesure que je progressais, je me mis à buer des yeux même à sangloter comme une gamine.

Mes sanglots avaient pris leur vitesse de croisière et redoublaient à un tel point que je ne voyais plus rien. Je m’essuyais les yeux avec mon revers de manche.

Ca coulait comme une fontaine de jouvence.

A suivre...

ECRIRE PAR SES DEUX MAINS

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 01 mars 2005 - 21h13:

DEBUT DE LA GRANDE NOUVELLE CE SOIR.....

'...L OUBLIE ....OU SIMON ET SHIRLEY..


en 13 épisodes..Racontèe par ma fille Valèrie en collaboration avec BREITOU...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Valerie (Valerie) le mardi 01 mars 2005 - 21h02:

Coucou....Me revoilà pour vous annoncer que par procuration je vais vous envoyer le premier épisode de
'..L'OUBLIE OU SIMON ET SHIRLEY..!

A ne pas rater dans un aucun cas...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 01 mars 2005 - 20h54:

La planète BREITOUSTAR est composée par dix régions appelées des BREITOUSCANTON.

Elles sont toutes autonomes et gérées par des SAGES.
La capitale BREITOUSVILLE compte plus de 350 000 Breïtouniens.
La population totale est de 1 200 000 âmes.
La religion principale est appelée LA JUCHISL, qui prône le culte du D IEU unique.

Les lieux de prières sont appelles des JUCHISLAND, et les sermons se font tous les jours sans que personne ne trouve à redire.

La foi en D ieu étant la même pour tous, tout se passe dans le respect de ses croyances et identités.

La capitale est faite de grands ensembles architecturaux, tout en verre, inspires par de grands artistes tels que RAPHAEL, BRAHAM, HAI, HENRI BELLICHA Z’al etc….

L’ avenue principale se nomme AVENUE HENRI BELLICHA et le grand centre commercial se nomme JANET CASTRO Z’AL. Le centre des affaires se nomme ANNIE BOUKHRIS.

Il y règne dans ces régions une grande sérénité et les soucis n’existent pas encore moins les maladies. Les gens meurent de joie et de rire après plus de 120 ans ; ce sont les seules maladies connues que les professeurs n’ont pas pu guérir.

La monnaie principale dans la planète BREITOUSTAR est LE MEYERMONEY qui s’échange sur terre pour DEUX DOLLARS le MEYERMONEY.

La plus grande banque se nomme la MAXITON’S GREENWICH FLOUSS ; elle gère plus de 150 succursales dans tout le pays.

L’agriculture est très florissante. Les paysans cultivent tout sous serres, et le plus grand agronome connu et célèbre se nomme SIDI BRAHAM, professeur israélien très célèbre dans la culture des fleurs.

Un musée, LE MUSEE BEKHOR, tenu par son directeur MR HAI VICTOR spécialiste dans les JUDAI CAS ET AUTRE CARTES POSTALES ANCIENNES, présente tous les jours une série de gravure rares représentant des décors terriens anciens.

Dans ce musée, la salle RAPHAEL présente des croquis, des esquisses et des tableaux du grand maître disparu.

Madame Latitesse est la marraine de ce musée.

Le cheptel se compose surtout de vaches, d’agneaux, de brebis tous ‘cachers’ et ‘ hlels’ , quelques animaux dits non domestiques vivent en totale liberté, pas loin des fermes appelés BREITOUCOOPERATION.

La faune marine est composèe que de poissons cahers. Elevès dans de gigantesques aquariums.


Les impôts sont prélevés tous les six mois sans relance et sont calculés honnêtement selon un critère bien défini dans la constitution article 8 ‘…NUL NE PEUT CONTRAINDRE UN BREITOUNIEN A PAYER SES IMPOTS ET TAXES… !’

La principale réserve de gaz dit BREITOUNIAGAZPET suffit amplement à l’état pour gérer son budget ; ce gaz rare est vendu aux terriens pour 18 Dollars le baril de 15 kgs.
L’état en produit plus de 3 000 000 de barils/jour. Les bénéfices provenant de ses exportations sont immédiatement versés, en fin d’année, à tous les BREITOUNIENS sans distinction de race ou de couleur.

Le chômage n’existe pas car chaque citoyen est responsable de son prochain et doit dans tout les cas l’aider à trouver du travail. Chacun à le devoir dans ce pays de faire tout son possible à ne jamais laisser son semblable dans la merde. Une solidarité hors du commun, dite SOLIDARITEBREITOU fait des citoyens de ce pays, un cas à part.

Une assemblée de notables dite des sages se réunit tous les ans pour proposer et non pas imposer aux citoyens, les lois que seuls ces derniers acceptent, sans contrainte.

En cas de litige, la voix populi souveraine tranche.

VIVE LA REPUBLIQUE DE LA BREITOUSTAR.

Drapeau BLANC avec une bande verte en haut à l'horizontale, une bande noire en bas,une bande rouge en diagonale.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 01 mars 2005 - 19h27:

Paris le 1/03/2005.

Quelques précisons sur le vaisseau spatial BREITOU-ILAN-RAMON NUMBER ONE.

Caractéristiques.

Poids total hors -charges…. 13 000 Tonnes.
Longueur………………….188 m.
Largeur……………………45 M
Force de poussé de ses 4 turbo-réacteurs….1200 000 bits :tonnes au décollage.
Vitesse de croisière dans la stratosphère…. 250 000 Kms à la seconde.
Temps de décollage……..12 minutes 25 secondes.
Poids avec charge……….58 000 Tonnes.
Départ à la verticale……..Angle mort 0.
Rentrée dans l’atmosphère….2/10 de seconde.
Longueur de la piste d’atterrissage…. 3 kms.


Comme je vous l’ai annoncé par diverses bandes annonces le PTB va s’installer sur la PLANETE BREITOUSTAR qui se trouve entre les deux grandes ourses, vaut mieux qu’elle soit protégé par ces deux plantigrades, males et femelles…Lol…

La planète BREITOUSTAR se trouve dans la constellation dite BREITOUSIMONE, du nom de son inventeur. Elle fut découverte par hasard, il y a 56 ans , par un savant d’origine italienne du nom de Breitou Simonè, qui l’a offerte à son descendant, son petit fils Breitou.

Elle est à quelques années lumières de la terre, et elle fut colonisée par les BREITOUNIENS : Une population issue des ANCIENS HARISSIENS.

Elle mesure 120 Km de diamètre et son atmosphère ressemble étrangement à celui de la terre. Sur cette planète, tous les habitants vivent en harmonie et d’ailleurs, il n’y a ni police ni armée. Seuls des anciens harissiens, qu’on appelle SAGES dispensent par moment de leur justice qui n’est pas aveugle. Pour l’instant c’est le sage EMILE qui préside en séance plénière au tribunal populaire de cette planète. On compte pas moins de dix affaires sérieuses dans l’année. Des broutilles de voisinage.

Le cosmodrome BREITOUNOUR peut accueillir plus de 50 000 par jour et les liaisons sont directes sans passer par L’ AGENCE ELSA , BD VOLTAIRE DANS LE 11 ième.
Une flotte de dix fusées, la compagnie BREITOULINE, assure quotidiennement plus de 50 liaisons avec la terre patrie. La planète BREITOUSTAR possède le plus grand stade du monde, LE BREITOUSHARON, il peut contenir jusqu’à 250.000 personnes. Les gradins sont accessibles par des ascenseurs pouvant emporter plus de mille personnes toutes les cinq minutes. Il a plus de 12 étages.

Le premier vol inaugurale eut lieu le 2/4/2003 sous le commandement de vaisseau HALFONSO JACOMINO aujourd’hui à la retraite. Il réussit l’exploit de couvrir la distance TERRE- BREITOUNASTAR en moins de 12 heures 25 minutes et 13 secondes. Cet exploit lui a valu l’oscar du MEILLEUR FUSELEUR DE TOUS LES TEMPS.

Prochainement et pour la circonstance, dix fusées cargos pouvant emporter 2500 personnes seront mises gratuitement à la disposition des BREITOUNIENS-TERRIENS pour assister au grand événement qui aura lieu à partir du 3/04/ au soir ( le 2 étant Chabath).

Tout commencera par la réception des membres des gouvernements étrangers qui atterriront en grandes pompes sur le cosmodrome BREITOUNOUR, vers les 13 heures MERIDIEN BREITOUWICH.
Les hôtes voyageront dans le vaisseau spatial BREITOU-ILAN-RAMON, piloté par le COMMANDANT DE VAISSEAU LA DOUDA.

INFORMATION COMMUNIQUEE PAR L AGENCE SPATIALE BREITOUNASPACE. www.breitouspace@hotline.net.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le mardi 01 mars 2005 - 19h06:

'...Je peux monter avec vous Mr Albert...?'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 01 mars 2005 - 19h04:

Albert et Sharon se rendent à Roissy Charles de Gaulle, là d'où partent les vaisseaux spatiaux.

'...O Papi....! Que c'est beau...! Je peux faire un tour Papi...?'
'...Mais tu n'es pas encore montèe sur une fusée de manège et tu veux faire un tour sur ce vaisseau ma chérie...!'

Elle se met à pleurer...

'...Bon..! Bon...! Ye Commandant la Douda vient nous faire un tour au dessus de la tour Effel...! Ok..? Sinon je te vire de bord...!'