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Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Mars 2005: Archive jusqu'au 09/mars/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le mercredi 09 mars 2005 - 15h15:

Albert

le chou-fleur c'est tres bon, c'est meme delicieux; si tu savais tout ce que ma mere savait en tirer de ce legume; toutes ces facons de le cuisiner de l'accommoder...un regime au chou-fleur je m'y mets de bon coeur!

bon courage et nous sommes la pour te soutenir-a une seule condition-continue s'il te plait a nous faire partager..ton regime!!!


Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mardi 08 mars 2005 - 23h52:

rien de tel pour faire des economies,le yaourt aux petits ronds,en plus c'est tres bon pour la carrure.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Valerie (Valerie) le mardi 08 mars 2005 - 22h23:

 LE SHOFFAR ET LES MASQUES...



Albert Simèoni



Paris le 22/4/2004

Récit raconté par Breitou et Valérie en XIII Chapitres.

Les faits rapportés ici sont imaginaires.


L’Oubliè...I.

Shirley et Simon.

Au début je voyais flou.

Que des ombres. Plus tard, les ombres s’estompaient. Les contours des visages se précisaient. Plus nets, voilà pourquoi les bébés répondent par des sourires à ceux qui leur sourient.
Le visage de ma maman, de mon père, de ma grand-mère ou grand père maternels, devenait familier.

J’avais le sens olfactif assez développé et cela m’aidait à les reconnaître aisément à leur odeur et parfum ; leur haleine aussi. Ne croyez surtout pas que les mômes de mon âge, manquent de sensibilité nasale ou d’acuité visuelle.

Mon environnement était donc composé de silhouettes, de senteurs. Autant vous confier que nous sommes aussi dotés du sens culinaire et savons distingués, un lait sein d’un lait factice.

Mes grands parents paternels habitaient le sud de la Franc, Nice.

Vers l’âge de deux ans, je m’attachais à mon grand père Simon et à ma grand-mère Tilda.
Ils habitaient à deux pâtés de notre maison. Quand mes parents vaquaient à leur travail, j’étais déposée chez eux. Ils étaient aux petits soins envers moi.

Ce qui ne les empêchait pas de venir nous rendre visite chez nous en m’offrant toutes sortes de petits présents.

A 3 ans, mes parents me casèrent dans une garderie, toujours pas loin de chez nous. Arriva la maternelle.

Mon grand-père Simon venait la plupart du temps me cherchait à la sortie des petites classes en attendant l’arrivée de mon père.

J’étais heureuse de la promenade qu’il m’offrait juste avant le coucher du soleil. Par beau temps. Je sentais qu’il était fier de moi et souvent, il en parlait avec ses amis avec entrain.

A 6 ans, alors que je faisais connaissance avec mes premières matières scolaires, dans la classe maternelle, ma grand-mère Tilda décéda, laissant mon Papy éploré. Elle avait 58 ans.

A mesure que les jours passaient, son chagrin augmentait. Il perdait quelques repaires et ne voulait plus vaquer à ses besoins les plus élémentaires. Il s’était, du moins, au début enfermé dans un mutisme de circonstance.

Ma maman décida de l’héberger. Une chambre lui était destinée mais il refusa l’offre, craignant d’être une gêne, une charge. Il avait 69 ans et surtout très indépendant.

Il émit le vœu d’aller dans un hospice de vieillard du coté de Vaucresson, un centre juif situé à quelques kilomètres de Paris. Nous allions le voir tous les dimanche et il était heureux par nos visites. Il était bien entretenu par le personnel, et ne se plaignait jamais de sa nouvelle condition.Puis, nos visites s’espacèrent pour se raréfier.

Ma maman se contentait de téléphoner de temps à autre pour avoir de ses nouvelles.
Je profitais pour entendre sa voix.Nous avions aussi changé d’appartement entre temps. Nous habitions le 15 ième arrondissement. Puis, nous ne l’appelions plus. L’oubli commençait à faire son œuvre. J’avais pensé qu’il était mort et que mes parents me l’avaient caché, afin de ne pas me perturber, au vu de mon attachement à sa présence. Mais ce qui m’intriguait le plus, était qu’aucun souvenir, cadre ou autre n’était accroché à nos murs. Je n’osais rien dire à ma maman afin de ne pas lui rappeler son père ‘décède’. D’autant plus que je ne me souviens pas, là aussi, m’être rendu à un quelconque enterrement. Dans mon jeune âge. Bref, on ne pose pas tellement de questions dans mon cas et même quand je demandais après lui, ma mère me répétait invariablement...

‘..Il va bien là où il est... !’.

Ma maman souffrait d’une dépression. Elle ne s’en sortait pas. Mon grand père était sorti de notre vie. On l’avait oublié lamentablement.
A la maison, nous n’en parlions même pas. Comme si le sujet était devenu tabou.

Donc je cessais de l’importuner par ma curiosité.

Passent les années.

J’étais dans les grandes classes. J’avais 18 ans.

Un jour, alors que je me promenais sur les berges de la Seine, à la recherche d’anciens bouquins, je poussais la porte d’une boutique, celle d’un vieux bouquiniste. Des centaines de livres et brochures étaient alignés dans de grands rangements. Des piles en tout genre se dressaient dans des coins de sa boutique. Je me hasardais à fouinier dans ces tas mis pèle –mêle. Tout à coup, je tombais par hasard, sur un fascicule dont la page de garde représentait le visage d’un bébé avec un titre ainsi libellé...

’ ...Recueils de Poèmes dédies à ma petite fille Shirley... !’
C’était mon visage de bébé scanné à l’âge de deux mois. Je le sais puisque je figurais dans le cadre accroché juste au dessus de notre télé. Je restais sur le coup hypnotisée par cette découverte. Le vieux bouquiniste vint vers moi...

‘...Si cela vous intéresse, j’ai encore quatre classeurs de récits et de mémoires de ce monsieur...’ Me dit t’il de sa voix rauque...

‘....Je voudrais bien les voir si cela ne vous dérange pas... !’

Il s’absenta quelques minutes pour réapparaître avec les classeurs en question. Il me laissa une instant toute seule. Je jetais un rapide coup d’œil dans ses feuillets tapés sur ordinateur.

Je demandais à les acheter. Je payais le prix qu’il me fixa et j’enfournais le tout dans un sac en plastic. Je rentrais chez moi, dans ma chambre pour découvrir l’auteur de ces écrits.

Le recueil était tout poussiéreux, écorné. Mon visage de bébé était taché par l’humidité. De grosses cocardes grises les avaient maculées. Par le temps.
Je dépoussiérais le petit fascicule tout en m’asseyant au bord du lit. Les pages qui me semblaient jaunies ne l’étaient pas en fait, elles étaient faites en parchemin. Assez épais dont le titre était fort révélateur, je relisais le titre plus attentivement...

‘...Recueils de poèmes composés pour SHIRLEY, ma petite fille....Le............19......Il était daté et paraphé.....’..... De la part de ton Papy Simon.... !’

Et là je compris que je venais de tomber sur une mine de lecture. Les écrits de mon grand-père Simon.

Je commençais à lire les premières pages et à mesure que je progressais, je me mis à buer des yeux même à sangloter comme une gamine.

Mes sanglots avaient pris leur vitesse de croisière et redoublaient à un tel point que je ne voyais plus rien. Je m’essuyais les yeux avec mon revers de manche.

Ca coulait comme une fontaine de jouvence.

A suivre...}


Albert Simèoni


Paris le 22/4/2004

Récit imaginaire raconté par VALERIE.

Résumé / La jeune Shirley raconte sa vie de bébé et de son enfance. Elle est choyée par ses grands-parents. La grand-mère Tilda décède laissant son mari Simon dans état de grand chagrin. Le papy émet le souhait d’aller en maison de repos, refusant l’offre faite par ses enfants, d’être prit en charge. Les années passent et les visites au vieux s’espacent pour devenir rares sinon inexistantes. Elle le croyait décède. Vers ses dix huit ans, alors qu’elle se promenait sur les berges de la Seine, elle pousse la porte d’un vieux antiquaire de livres et là elle fait une découverte, un recueil de poèmes qui lui est dédié et des classeurs de son papy Simon. Elle est bouleversée par ce qu’elle découvre

L’Oubliè...II

Shirley et Simon.

Je m’arrêtais par moment pour revenir en arrière comme si je voulais assimiler et m’imprégner par tant de poèmes. Je dégustais en silence dans la pénombre chaude de ma chambre, ces morceaux de vers libres dédiés à ma personne, moi, l’enfant née, il y a 18 ans.

J’ignorais que mon grand père était poète à ses moments perdus, et mes parents ne m’en avaient jamais soufflé mot. Je découvrais aussi cinq grands classeurs. Des textes en récits, en sketch, monologue, aventures etc....bref en tout genre.Des poèmes dédiés à des amis et amies étaient enserrés entre les mâchoires de ces derniers. J’avais là entre les mains un trésor d’écriture.
J’étais toute remuée dans ma chambre. Ma maman vaquait à ses occupations. Je ne dis rien et m’enfermais à double tour craignant que l’on découvre mes albums.

Je commençais à découvrir mon papy sous un nouveau jour. Ses textes étaient agrémentés de photos de son pays, la Tunisie. Un nom revenait souvent dans ses écrits, la Goulette.

Je découvrais là encore un beau jeune homme entouré d’amis, de ses parents, de ses frères ; mes oncles que j’avais à peine connus. J’étais éblouie par tant de richesse que j’ignorais.

Ma maman inquiète de ne pas me voir à table pour dîner, frappa à ma porte. Je cachais le tout sous mon lit et faisait mine de rien. J’allais les rejoindre.Je restais très silencieuse à table. Mes parents, peu habitués à ce genre de situation, essayaient de deviner mon mutisme. Mon esprit était ailleurs, vers les écrits de mon papi jusqu’à la fin du repas. J’avais hâte de me lever et d’aller dans mon ‘home’ pour prendre d’assaut la suite de ses mémoires et narrations ; continuer à lire mon papy Simon. L’oublié, le défunt peut être.

Mais avant, je lançais envers ma maman...

‘...J’ignorais que nous avions eu un poète et un écrivain dans la famille...’

Ma réflexion attira leur attention et les fit sortir de leurs plats. Ils n’avaient pas compris l’allusion.

‘...De qui veux tu parler, chérie... ? ‘ Me lança maman...

‘...Non rien du tout... ! Je divaguais....’

Mon repas terminé, je montais dans ma chambre. Je me déshabillais et allumais ma lampe de chevet.
J’étais encore une fois seule avec les pages de mon grand père. Son visage remonta à la surface. J’étais plongée dans son monde. Les heures défilaient et je ne me rendais pas compte que le matin s’était levé. Les bruits des voitures devenaient de plus en plus fréquents. J’avais passe toute la nuite à lire et à m’instruire sur l’aïeul.
Par moment je fermais les yeux par la fatigue mais je me forçais à tenir bon.

Je lisais et relisais. J’étais immergé dans son monde réel et irréel dans lequel l’imaginaire prenait une place prépondérante dans ses écrits. Puis, là, tout d’un coup, une photo intercalée tomba d’entre les feuillets ; une photo d’une dame distinguée au visage ridé du nom de Janet ( Z’al).

Je concluais assez rapidement qu’elle était peut être sa maîtresse mais les faits me démentirent bien vite.

Il y avait d’inscrit.... ‘JANET...HARISSA.COM....MARS 2003... pour Simon, mon poète N.Y 19....!’
La photo était scannée.

Je retenais le nom du site Harissa. Et aussi un vague nom de PTB....Je poussais mes investigations plus loin et soudain, je déchiffrais le sigle du Petit Théâtre de Breitou....Mais là où je me perdais en conjecture, c’est que mon papy s’appelait Simon et non pas Breitou mais approfondissant ma curiosité, je tombais sur le nom de son père qui lui s’appelait Breitou Abraham. La boucle était bouclée.

Le puzzle se reconstituait. Je compris que mon grand père fût hébergé, autrefois, dans un site, tenu par un certain Jacques Halfon, et que ses pseudos étaient Breitou Belebou, Abraham, Shirley. J’ai ressenti à cet instant précis, des dards qui me pourfendaient le corps ; j’étais saisi par l’émotion.

Une nouvelle fois, je me laissais aller à pleurer.

Au petit matin. Je m’habillais en toute vitesse. Maman, comme elle fait à la même heure, tous les matins, posa ma tasse de lait taché de café sur la table avec deux tranches de biscotte.

‘....Nous n’avons pas compris ta remarque d’hier soir, Shirley... !’
‘...Ce n’était pas une remarque mais une constatation, une découverte... ! Que vous m’avez cachée... !’
‘...Expliques toi ma chérie.... !’
‘...Plus tard, je dois chercher... ! D’abord... !’
‘...Mais qui.... !’
‘...Mon poète... ! Celui qui parle aux muses... !’

A suivre....

les deux mains

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 08 mars 2005 - 21h58:

Après mon yaourt au potiron préparè par des mains expertes, Tawfiq...! Et vous toutes...! Je vais vous envoyer la suite de la nouvelle...! Pour ne pas que vous oubliez la trame, elle passera depuis le début....Il en sera ainsi pour le reste de l'histoire....!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 08 mars 2005 - 21h46:

SKETCH….PORTRAIT SANS COMPLAISANCE D’UN CHOUX FLEUR….

Paris le 7/03/2005…

Si ma foi, vous passez un matin du côté du boulevard de Barbès ne vous étonnez pas de voir à la sortie du métro une sorte de légumineuse qui ressemble à un choux en fleur affabulé d’une queue d’haricot….

C’est moi.

Soyez surtout indulgent envers ce végétarien que je suis devenu par la faute du glucose et du ‘salus’ en ces jours de Pluviôse et qui mange à présent tout en bouillie et dés fois crû.

J’ai quand même de la chance de ne pas ressembler à tous ces poireaux qui essaiment Adra et qui s’ignorent… Ne pas le reconnaître c’est faire preuve d’aveuglement …N’en souffrez pas mes amis, je plaisante envers vous…

Sans vouloir tomber dans l’excès…de poids , je mesure l’étroit chemin parcouru depuis ces interdictions ; le résultat est effarant.

En tout cas je ne risque pas de tomber dans les pommes tant que s’épanouissent les poires
dans le bla bla supérieur…Celui qui se trouve au dessus de ma tête.

Voyez vous, depuis que j’ai fui le grand miroir de ma chambre à coucher, de crainte de sursauter sur mon prétentieux reflet qui n’est que l’ombre de lui même, je sens comme une lassitude de croquer des biscottes Eudebert tant j’hésite encore à projeter , sans pitié, mon physique .

Réflexion faite après mûrissement, j’ai décidé avant hier de l’affronter sans complaisance mais avec beaucoup de maturité saupoudrée de quelques pincées de sincérité en ballout..

Je ne vous raconte pas l’horreur mais je vous laisse deviner le grand APOLLON que je suis devenu ...Face à ce O mon beau miroir… ! Et là, un rapide coup d’œil me fait découvrir le bel être maigrichon qui se reflète sur la glace collée à mon armoire…

Je me suis retenu pour ne pas me baffer…Devant cette chose mobile mais béate.

Sans grand respect pour ce que je fus, cette chose ‘qui s’est réfléchit’, à projeté devant mes yeux, une autre chose…Ma belle stature debout sur le carreaux, sans piédestal…

Mes deux feuilles ( oreilles) ont poussé d’une manière insolente et ajoutez à cela mes huit poils récidivistes logeant dans mes pavillons qui se sont agrippées comme du lierre sur mes temps. Autant pour moi.

Ma tête ressemble à un potiron bien que la saison est loin d’être là mais tout en étant choux.

Je ressemble à un choux.

Mes épaules ont tellement maigri qu’ils n’y a plus de salières Latitesse… ! Vous me comprenez Lalla… ? Normal, le sel m’est interdit.

Mes bras se sont épluchés de leurs poils….Allez savoir pourquoi…Tawfiq.. ! et vous autres peut être parce qu’ils étaient nourris au glucose…

Mon bassin d’AQUITAIN….à prit la forme d’un entonnoir bien plus qu’à une cuvette de Paris.

Mes jambes sont devenues des béquilles quant à leurs supports, mes orteils rabougris et accessoires, elles ont fondu comme neige au soleil….Ce régime est trop contraignant…. !

Par contre, j’ai découvert quelque chose que je ne voyais plus depuis longtemps, une lueur d’espérance dans ce portrait gris…. Mes attributs et son épithète…Mon ancien ventre ayant disparu, ils ont émergé de dessous mon kangourou en culotte…Le constat fut amer, il ressemble à un vermisseau imberbe qu’à une carotte remplie.

L’ingrat se rebiffe sans honneur au fond de sa calotte… J J J Il suit mon régime.

Bref, sans plus attendre car je dois conclure , j’ai décidé de me relooker aux CHAMPS DE MARS..…..Avec sagesse et dignité.

Pour couronner le tout, dans ma nudité de solitaire, je glissais sur une peau de banane abandonnée sur le marbre. Je me suis retrouvé allongé le visage à proximité d’une serpillière. Mon nez humant l’odeur de la Javel tandis que ma fraise était légèrement tuméfiée.

A part cela tout va bien dans le meilleur régime du monde..

Latitesse sans faute… :) :) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 08 mars 2005 - 21h32:

LE SKETCH...PORTRAIT D UN CHOUX EN FLEURS...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 08 mars 2005 - 21h28:

Une histoire..

Samuel vivait en Allemagne et fuyant son pays durant la seconde guerre mondiale, il fit son Alya en Israël…..Bref, plus de trente après, il éprouve le besoin de revoir son ancienne maison , son ancien quartier à Berlin. Le ou’ach ( alanguissement ) surtout le rongeait.

Il prend l’avion et le lendemain retrouve sa maison, habité bien sur par une famille allemande..

Il tape à la porte et c’est le proprio qui lui ouvre la porte, il explique sa démarche et l’honorable allemand…

‘…Je suis venu voir ma maison.. !’
‘…Mais elle n’est plus à vous aujourd’hui.. !’
‘…Malheureusement… !’
‘…Vous êtes donc juif alors… ?’
‘…Oui malheureusement… ! Sinon je serai encore dans ma maison.. !’
‘…Oui mais à présent, je suis le nouveau propriétaire.. !’
‘…Bon, je dois repartir et comme je vois que vous ne voulez pas que je rentre, je vous dis adieu… !’

Samuel repartit avec de la peine au cœur….

Les années passent et toujours cette envie de revoir sa maison.

Il retourne et là, il voit une maison en ruines, délabrée, la sienne, alors curieux, il demande à une voisine le motif de cette destruction…

‘…Vous savez .. !’ Lui dit la voisine ‘…..Depuis qu’un juif est passe par là, il y a qq années, Mr Schlumberger s’est mit dans la tête que son ancien propriétaire avait caché un magot entre les murs alors il a tout cassé pour chercher… !’

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 08 mars 2005 - 20h22:

Comme promis, je vais vous envoyer mon sketch '..PORTRAIT D UN CHOUX EN FLEUR..!' Puis si vous n'avez pas oubliè le second épisode de la nouvelle... nouvelle '..L'OUBLIE OU SIMON ET SHIRLEY..!'

Je vous conseille de la suivre avec assiduitè car je n'ai pas pu trouver la fin de l'histoire alors si qq un parmi vous peut m'aider à la complèter il y gagnerait une bénèdiction made ALBERT....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 08 mars 2005 - 20h16:

:) :) :) Ok tu peux être considérè comme un bon acteur, le PTB s'honore de ta présence, tu as passe avec succés ton bizutage....SALUT A TOI BRAHAM...GRAND SEIGNEUR DES PHOTOS...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mardi 08 mars 2005 - 18h48:

le chou de la voisine

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 08 mars 2005 - 18h50:

Elle a le SANG CHOU...? Ta voisine, est t'elle NAPOLITAINE...BRAHAM....?

Il me convient ton pique chou, je vais le chouchouter ce soir avec mon 'pics à dort' par dessus.. enfin tu as compris...:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mardi 08 mars 2005 - 17h47:

pique-chou