Par William_Jexpire (William_Jexpire) le jeudi 22 août 2002 - 10h22: |
Merci cher Toufiq ,mais un petit reproche ,c´est
bien dommage que tu te fais rare ces derniers temps !
Par Toufiq (Toufiq) le jeudi 22 août 2002 - 03h09: |
happy birthday jex,dieu te prothese!
Par William_Jexpire (William_Jexpire) le jeudi 22 août 2002 - 00h15: |
Albert merci ya aziz
Par Albert Simeoni (Albert) le mercredi 21 août 2002 - 21h54: |
Cachotier de JEX, il fait son anniversaire
Et il ne me le dit pas, j'en suis tout revers.
Mais bon, il a sans doute oubliè ce détail
Qui fait de mon ami un beau et viel éventail
Tout juste bon à chasser les mouches.
Il ne me tiendras pas rigueur
Car tel qu'il est, bon joueur
Il sait que LE BREITOU l'aime bien
Et qu'il lui souhaite de bons demains
Aussi beaux qu'il est vraiment humain.
Il fait 69 ans notre JEXOU.
C'est pas rien ce bout de chemin.
Je lui souhaite d 'être près des siens
Pour des lunes et surtout de l'entrain.
RABBY MYAK YE KHOUYE.
Bon anniversaire JEX..LE TITAN.
ALBERT
Par Janet (Janet) le mercredi 21 août 2002 - 21h40: |
Albert
Vous vous depassez en psychologie
Bon, nous acceptons vos critiques de la foule > qui envahit Djerba,pour prier ou s'amuser ???
Leur conduite,si l'on vous croit, a depasse les limites de l'indecence.... croyez-vous que ce soit plus decent de les critiquer sur le site ??
ce genre de bonnes femmes ,j'en ai rencontre a Tunis
je dois dire qu'a ce moment-la, elles n'avaient pas encore les moyens de se payer des voyages ou que ce soit..
elles devaient travailler comme femmes de menage chez des israelites plus munies en pognon,mais aussi demunies en manieres des milieux classiques britanniques
Aussi leurs manieres leur ont ete enseignees a coup de torchons et de balais de crin
puis,le depart en exil........
elle sont pauvres,ignorantes,mais elle savent nettoyer et faire les fameuses feuilles de brique dont tous les tunisiens raffolent
alors,elles s'y mettent et s'enrichissent
ce sont elles que l'on voit sur les rives de la mediterranee,qui ont achete les chaises longues de Cannes et de Dauville de leur sueur
maintenant elles ont de l'argent et une revanche a prendre sur leurs patrons et patronnes qui les ont faites travailler comme des esclaves
D'accord........
mais personne ne leur a enseigne,ce que l'on appelle,les bonnes manieres...la Tunisie n'etait pas la Grande Bretagne ou les domestiques portent des gants blancs
Alors,sans le savoir,j'en suis persuadee,elles doivent avoir fait des voeux et jurer leurs grands dieux qu'un jour elles prendraient ces memes avions qu'elles n'avaient jamais pu se permettre.....
et c'est ce qu'elles font.....
Pourquoi et qui etes-vous pour en faire des Precieuses Ridicules??
Albert,please,pardonnez-moi,mais ne tuez pas les pauvres gens et ne jetez pas le bebe avec l'eau de la baignoire....
Nous parlons ici de parents pauvres,peut-etre a qui nous ne voulions pas parler,par snobisme et que nous nous defendions de savoir que oui,elles ont existe,et elles vivent le moment de leur vie
je suis contente que parcequ'elles ne savent pas encore lire peut-etre,elles ne liront pas votre petit tableau...mais,si elles ont des enfants qui eux sont enfin alles a l'ecole,et peut-etre ont quelques manieres a la francaoui,doivent-ils leur jeter la pierre ???
Par Albert Simeoni (Albert) le mercredi 21 août 2002 - 20h29: |
Mon D ieu ….! Que de bonheur dans cet espace, moi qui me morfondait en pensant que peut être, je n'aurai pas de descendance quand je ne serai plus là à cent vingt ans, voilà que se forment des couples si frais, si énergiques si affriolants si………O que de si
inutiles…… j'en suis presque ému…..Janet fait la cour à Wnes et la Divo après m'avoir déclaré son amour pour ma voix va me laisser tomber comme une chiffe molle, sans voix….Bref, la relève est assurée quand on sait la moyenne d 'âge de mes acteurs. Je vous aime tous et toutes et faites moi beaucoup d'enfants qui joueront sur mes planches ….Merci….
Le comité du théâtre est toujours en délibère pour les nominations des OSCARS.
Soyez patients et patientes, vous aurez tous votre joujou en mains.
Rémchè oul khmiss âll tiatrou ta BRETOU…..
Bon, juste un petit texte à vous mettre sous la dents, en attendant le retour de nos frères vacanciers.
LES MEMOIRES D’UN GOULETTOIS
L’ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT)
23/06/2000
“La vulgarité et l’indécence font parties du quotidien chez certains .....es”
‘..Au pays de Godzilla..’
Pèlerinage de Jerba .Mai en 2000.
Le pèlerinage à Jerbà pour certaines 'ferventes' n’est rien d’autre qu’un étalage de vulgarité venu d’un autre âge que je croyais révolu. Dans l’avion déjà, la mauvaise tenue, le fort langage qui n’a rien de mielleux, l’inconduite et l’indiscipline qui y règnent- pendant ces deux heures- sont indignes tant sur le plan respect vis à vis des autres voyageurs et personnel naviguant que moral pour notre communauté. Cette image 'de bruyance' porte préjudice.
A l’hôtel, c’est pire. Des bonnes femmes toutes ‘gluantes de sueur et de bassesse’ se comportent de telle façon que beaucoup de nos corrélègionaires ont la honte par le spectacle qu’elles nous offrent.
Cette juiverie ‘mal odorante’ nuit gravement à notre image au point que certain directeur d’hôtel commence à réfléchir pour ne plus recevoir cette ‘gente en sabots’ qui sèment sous leurs talons, le discrédit.
“Ya monsieur .......Tra......moi j’ai payé 2000 frs ....et on m’a donné une chambre face poubelle “
Comment se peut- il qu’au 20 ieme siècle, il existe ‘ des Godzilla’ sans pudeur, qui hurlent sur les bords des piscines leurs insatisfactions envers les promoteurs de voyage sans tenir compte de l’environnement ? d’autant plus qu’elles voyagent à crédit.....un crédit qu’elles payent avec beaucoup de relance en coup de fils et chèques impayés ......yà hobi. Au restaurant ....le spectacle est affligeant, et, est à la mesure de leur inconscience......ya yozi. On a l’impression qu’elles n’ont jamais bu ni mangé de leur vie et qu’elles profitent de cette semaine sainte pour assouvir ‘gargantuellement’ leurs gros ventres qui ressemblent à leur derrière empiffré. Ce genre de personnage n’est pas fréquentable. Les agences ne peuvent pas empêcher ces ‘matrones’ de voyager ou de refuser l’accès de leur comptoir sinon elles cassent tout. Ce constat est malheureux. J’ai beaucoup voyagé et côtoyé des groupes étrangers en villégiature. Je n’ai jamais observé de tels débordements. Cette sorte de juif éclabousse. Il faut qu’elle cesse leur cirque....de quoi avons-nous peur .... ? qu’elles aillent bronzer leur cellulite aux îles Bikinis ......même s’il faut leur porter là - bas des bougies ou des menoras .....pas à Jerbà.
NB/ Dernière nouvelle, à PUNTA CANA, Saint DOMINGUE. les hôteliers ont été surpris de la façon dont se sont comportés nos 'BELLEVILLOIS'…..Aâr ou chouè….Ils ont tellement fait scandale que le gouvernement de PUNTA CANNA SUCRE, à décidé de fermer ses frontières pour l'an prochain aux juifs de PARIS. Il paraît que les insultes et les bagarres ont été quotidienne …..Quelle merveille !
Par Wnes (Wnes) le mercredi 21 août 2002 - 16h39: |
Bien Chère Janet.
Merci de votre dernier commentaire, comme vous l’avez probablement constaté, j’ai définitivement ( Peut-on écrire cela ? ) quitté la section, que je qualifierai bien volontiers de Boule…Itik, et n’y voyez pas la moindre idée de provocation, il s’agit là d’un sentiment bien sincère une fois n’est pas coutume, afin de consacrer mes chroniques uniquement au Grand Théâtre De La Vie, celui de Breitou – Sfaxia – El Fenech.
Merci encore d’avoir mordu à l’hameçon, me fournissant ainsi, l’occasion de devenir la critique de la critique, car ce que vous semblez ignorer, c’est que cette dernière chronique inspirée d’écrits très anciens, se voulait justement et à desseins faire un petit clin d’ œil, aux désastres économiques auxquels j’ai précédemment fait allusion.
Mais bien Chère Janet, mettons peut être un bémol à la critique qui risque de fatiguer le lecteur, et faites nous je vous en prie, le plaisir de devenir actrice du Théâtre, en nous faisant lire vos propres chroniques, qui je l’espère seront en forme de Figues de Barbaries, ne manquant ainsi pas de piquants, à la sauce Harrissa formule et recette Goulettoise oblige.
D’avance soyez en remerciée.
Berdah
Par Divo (Divo) le mercredi 21 août 2002 - 12h13: |
Raphael,
je rajoute au message précédent : illusions de femme qui est séduite par le silence et le mystère et n'attend que le prince qu'elle croit percevoir sous la glace....illusions qui laissent percevoir de la tendresse dans l'attitude de ce gentleman.... ce n'est pas méchant raphy...je viens de me rendre compte que mon message pouvait être mal interprété.... bien à toi
Par Divo (Divo) le mercredi 21 août 2002 - 11h48: |
cher albert et cher wnes ,
comme je l'ai dit a darmon j'avance la somme de 500 000$ et toute ma créativité pour entrer dans la société LA BREITOUNA ET DARMON compagnie Entertainement Anc C°.......
A défaut d'une actrice à la taille "fine" voici une associée au porte feuille virtuel bien rempli et à l'imgination bien plus fertile qu'on ne le soupçonne....
Je trouve de plus qu'une petite main féminine dans votre bande à trois ne ferait pas de mal et pas de risque de se faire bobo à mon contact :
Jex est là à me couver (je l'adore)
et je suis amoureuse du "bo raphy" si silencieux qu'il me trouble lorsqu'il ose me parler.... même pour anéantir mes efforts d'approche ;) en détruisant mes quelques illusions sur lui...
A bientot......divona
ps que les dames de ses messieurs me pardonnent : je ne suis qu'une diva virtuelle!
Par Janet (Janet) le mercredi 21 août 2002 - 06h22: |
M.B.
Vous etes un bon joueur !!
vous acceptez le fait que ce que vous decriviez,comme un conte honnete,puisque votre personnage aide en general ceux qui en ont besoin... est cette fois-ci alle un peu trop loin et n'avait pas de morale...je suis certaine que votre bagout,que j'apprecie,entre parentheses, n'est pas plus qu'un petit acte de theatre pour la plupart des harissiens,qui,bien que d'une excellente intelligence,veulent juste rigoler quelques secondes en lisant vos ecrits,bien tournes,entre parentheses....
mais aucun,je pense, ne les juge ou ne les note avec un X, ou deux X, ou non rated comme les films de cinema....a ce que je crois......
Apres tout qui eut ose juger les contes du pauvre Cha'h,n'est-ce pas ??
Mais vous ne voulez jamais perdre et vous rapprochez,ce non fameux conte avec des faits actuels et americains qui ne nous font pas bonne reputation........De fameuses faillites,en verite, frauduleuses..oui,j'en conviens !!!
mais ne dites pas que vous aviez fait ce rapprochement quand vous ecriviez votre petite histoire !!
Vous etes un bon jouteur et j'admire votre esprit d'initiative..je vous mets un A+...c'est la meilleure note que l'on peut obtenir quand on a su elegamment lever son chapeau devant une lady a qui on ne la fait pas !!Nous nous retrouverons je pense.......
N'oubliez pas que Albert m'a nommee CRITIQUE SUR LE PETIT THEATRE ET QUE MON ROLE ,JE LE PRENDS SERIEUSEMENT......
Par Wnes (Wnes) le mercredi 21 août 2002 - 00h05: |
Bien Chère Janet.
J'adore tout ce qui est caricaturèsque, et surtout l’invention de ce mot merveilleux, qui m’en rappelle un autre, le mot « Félinesque« dont Felini s’est lui même affublé, ce qui devrait vous rendre digne de la bien trop fameuse Académie Française, encore une fois Bravo ou Bravissimo !
Mais revenons à nos moutons, la dernière chronique, à laquelle vous faites si justement allusion, et bien je suis en accord parfait avec vos conclusions.
Il va s’en dire que dans mon esprit, qui l’a mise au goût et à la sauce Goulettoise du jour, cette chronique qui en fait date à peu prés du onzième siècle de l’ère vulgaire, c’est à dire la notre, ne devait pas être prise au premier degrés, ceci tous les Harissiens Goulettois l’ont bien compris, surtout le plus célèbre d’entre eux, mais au troisième ou au quatrième ou au cinquième… etc …, car ici nous sommes bien « Au théâtre ce soir « !
Mais comme vous semblez vouloir me faire l’honneur le prendre au premier, et bien joutons maintenant, et dites moi s’il vous plait de ces entreprises, et je m’en excuse par avance, dites moi bien si cette chronique particulière ne vous rappelle pas, ne serais-ce que très modestement à la mesure de notre Bled Hak El Ouet, les très grosses affaires ENRON, WORLDCOM… etc …, qui par l’incompétence, ou la rapacité, et surtout la cupidité de leurs dirigeants, ont non seulement dilapidé les fonds de leur actionnaires, et littéralement bouffé les retraites de leurs employés, quitte à falsifier les bilans, pour finalement vouloir se réclamer de la loi sur protection contre les faillites, n’y voyez vous pas un parallèle ? et dans votre esprit la Justice serait donc à deux vitesses, ou à géométrie variable ?
Vous voyez donc, que cette chronique, si modeste soit-elle peut en cacher une autre bien plus grosse, mais dont vous parlez assez peu, somme toute !
Alors Madame, joutez maintenant, ne serait-ce que pour l’enrichissement, de notre entré théâtrale, Rideau !
Entracte : « Cacahouètes, Glibettes, Frigolos Bébert !…etc…
Berdah
Par Janet (Janet) le mardi 20 août 2002 - 16h55: |
M.B
J'aimerai savoir si l'histoire que vous avez affichee aujourd'hui devrait nous faire rire ou pleurer..
je ne suis pas ironique,mais je ne suis pas avocate non-plus et loin d'etre une conseillere des grands de votre monde caricaturesque
Que dit votre conte,apres tout??????
Si l'on est a la veille d'une faillite,on essaie de la regler frauduleusement et avec les applaudissements du public ??
de plus,pour profiter de biens financiers,bien ou mal acquis,on peut preferer avoir la reputation d'etre un fou incapable??et alors plus de remords??
et le tour est joue......
si j'ai mal compris la morale ????de votre conte,je vous prierai de jouter mon opinion
Vous choisirez les armes..
Par Wnes (Wnes) le mardi 20 août 2002 - 12h32: |
Chronique d’El Fenech le Jurisconsult : Comment échapper à la faillite :
Un habitant du Kram qui avait contracté des dettes considérables, dont la somme totale dépassait le million de dinars, fut par ses créancier, assigné devant le juge du Kram, fort de juridiction oblige !
Craignant de les rencontrer tous ensemble, il s’en vint à Hak El Ouet consulter notre Jurisconsult El Fenech, qui comme chacun le sait, est très rusé ainsi que ses cousins les Fenecs, renards des sables du Grand Désert.
Il parla ainsi à El Fenech :
- Si je vends toutes mes propriétés, il me restera quand même une partie de mes dettes à régler, et je vivrai pauvre avec la renommée d’un homme infidèle à sa parole. J’accepte de supporter la faim en payant tout ce que je dois sans exception à mes créanciers, mais ils ne me donneront pas le temps de le faire, ya El Fenech ya Houia que vais-je devenir ?
Et El Fenech :
- Affaire bien trop simple pour moi, ignorant que tu es, paye cent dinars et je t’arrange ça tout de suite !
Le pauvre débiteur paya, et El Fenech lui donna le conseil suivant :
- Tu présenteras les dettes que tu as contracté comme des sommes dont tu n’avais pas besoin. Dans ce cas tu as dilapidé l’argent d’une manière folle, ce qui montre bien que tu es insensé. Nous aurons alors besoin du témoignage de quelqu’un qui connaisse ton état particulier. L’état de folie sera alors déclaré par le juge du Kram, qui te frappera d’incapacité d’exercice, et te défendra de disposer toi-même de ton bien, le confiant à ses secrétaires qui s’interposeront entre toi et lui. Dés lors, ils n’emploieront que les revenus de tes biens, pour payer tes dettes, aussi pour assurer tes moyens de subsistance, et le capital te restera. Je viendrai assister à l’audience à titre gratuit, car ce n’est pas tous les jours, que j’ai une telle occasion de me divertir !
Le débiteur se mit à la disposition du juge du Kram, qui appliqua cette procédure et fit établir d’une façon légale, son nouvel état. Sa situation financière s’améliora par la suite, il finit par s’enrichir, et ses relations avec ses créanciers furent comme il le souhaitait.
Extrait du livre : La Jurisprudence de notre Bey – Que salut soit avec lui.
Berdah
Par Albert Simeoni (Albert) le lundi 19 août 2002 - 23h51: |
HARISSIENS, HARISSIENNES,
La direction duj THEATRE DE SIDI MARDOUM, réunie en séance plénière, et en présence de ses membres
le jeunot DARMON et LE MOINS JEUNOT WNES, a décidè ce qui suit:
A savoir la création d'un OSCAR qui se nomme
'HARRISSA OSCAR'.Cette distinction aura le mérite
de récompenser chaque annèe les acteurs,actrices qui ont bien voulu jouer bénèvolement
ainsi que les 'hommes politiques' D 'ADRA,sans oublier les PHOTO/COPIEUR. Dans quelques jours, le résultat vous sera donnè ici meme sur les planches du THEATRE, en présence des hauts dignitaires de la République CHIRAQUIENNE.
A BIENTOT.
ALBERT vous prépare aussi un récit qui s'intitule
'Un bout de mon Vie ' et qui concerne une mes amies.
Suzy,
C 'etait moi qui t 'a salue ne PV ce soir au cafè des dattes, bien tard?
Par Albert Simeoni (Albert) le lundi 19 août 2002 - 23h39: |
LUCIA,,
Elle est mon amie JANET.
Alors si dés fois tu veux faire connaissance avec mon jeune actrice qui nous a fait tant tire un jour avec des citrons, sonne moi OK???
ALBERT
Par Wnes (Wnes) le dimanche 18 août 2002 - 23h32: |
Ya Darmon Fils !
El Fenech te remercie de l'accueil ! en compensation des 3 millions de dinars, il apporte dans la corbeille de mariage, en guise de sénario pour le films, toutes les chroniques de El Fenech le Jurisconsult.
Consulte le c'est seulement cent dinars, et il te diras que c'est un marché en nature des plus honnête, ya oueldi.
Fi lamen
Berdah
Par Wnes (Wnes) le dimanche 18 août 2002 - 23h27: |
Chronique d’El Fenech le Jurisconsult : Un contrat sur parole :
Un commerçant Marzoubane s’installa un jour à Hak El Ouet.
Comme chacun le sait les Marzoubanes sont les habitants de la Marzoubanie, une province du Sahara où il ne pousse pas grand chose, excepté peut-être des épines, et de la gomme arabique.
Notre Marzoubane avait émigré à Hak El Ouet, car histoire de voire si l’herbe y était bien plus verte que dans son Bled perdu, entre le fin fond du Grand Erg et la Hamada El Hamra, autrement dit en patois Goulettois « Fel Bled M’neïkine «, et en bon anglais « In the middle of nowhere «.
Or le Marzoubane avait traité une affaire sur parole, avec un jeune goulettois à peine sorti des jupons de sa mêre , qui sans témoins et sans écrits avait remis à notre Marzoubane, un lot de marchandises contre promesse de paiement à trente jours, d’une somme de trois mille dinars.
Au bout de trois mois ne voyant toujours pas la couleur de son argent, notre jeune Goulettois sur les conseils de ses parents, se rendit chez El Fenech notre Jurisconsult lui conter son affaire, celui-ci lui dit :
- Fils ! ton affaire est très simple, paye moi cent dinars, et je règle cette affaire en vingt quatre heure.
Le jeune paya et El Fenech lui donna les instructions suivantes :
- Tu vas te rendre en compagnie de trois Goulettois, dignes de fois, des hommes libres et de bonne mœurs, des hommes d’honneurs et de probité, des hommes bien connus pour leur haute notoriété et leur bonne réputation, et devant ces trois compagnons tu dira au Marzoubane, qu’il te paie mille dinars au titre de l’avance sur les trois mille qu’il te dois, car tu dois partir en voyage de pèlerinage, et que tu as pour se faire, impérativement besoin de ces mille dinars. S’il te paye, tu prends l’argent, et tu lui dis que j’aimerais le rencontrer chez moi le lendemain vers quinze heures, je l’y attendrai en compagnie des trois témoins.
Il fut ainsi fait, le Marzoubane impressionné par la délégation paya les mille dinars, pensant chouraver le reste, et quand il se présenta à El Fenech, celui-ci lui dit :
- Paye moi cent dinars !
- Et pourquoi donc ? répondit le Marzoubane.
- Pour le jugement que je vais prononcer à ton encontre, car je suis le Jurisconsult officiel de Hak El Ouet, parce que pour avoir essayer d’escroquer un fils de Hak El Ouet, ce pays qui t’a accueilli, t’a ouvert les bras, sans arrière pensée, tu te comportes comme un vulgaire brigand, et n’essaie pas de nier, les témoins ici présents ont tous attesté, que tu avais reconnu devant eux que les mille dinars, que tu as payé chichement au jeune commerçant qui t’a fait confiance, et dont tu essaies de profiter de l’inexpérience en matière commerciale, pour ne pas payer le reste de ce que tu lui dois ! aimerais tu peut-être connaître les tourments des Janissaires, et finir aux galères, ou mieux que nous te fassions une telle réputations, que tu pourrais bien finir par crever de faim ?
- Non ya Baba, voici les deux mille dinars pour le jeune homme, cent pour toi et encore cent pour tes enfants ! Je te promets de m’amender et de ne plus recommencer.
- Allons donc repris El Fenech, je vois que tu commence à comprendre qu’à Hak El Ouet, on est entre gens civilisés, je prends donc acte de ta promesse, prends un bon départ et passes ton chemin, j’ai dit fils !
Depuis cet incident, on raconte à Hak El Ouet, que le Marzoubane devint le plus honnête des hommes, un riche et estimé commerçant, qui fit souche, et contribua à la grande richesse de notre cité.
Extrait du livre : La Jurisprudence de notre Bey – Que salut soit avec lui.
Berdah
Par Darmon (Darmon) le dimanche 18 août 2002 - 22h54: |
cher breitou!
ça arrive, ça arrive, ne t'inquiète pas! c'est juste que j'ai oublié le scripte chez moi et je ne sais pas quand je rentrerai chez moi et de toute façon, je ne l'ai pas fini!
De plus, on ne va pas brader notre film comme ça!
Je refuse de mettre des stip teasers, a l'américaine! non, je ne veux pas mettre des aires de seins siliconées de des baisers a en plus finir (avec gros plan sur les langues, etc..)!
Nous faisons du GRAND CINEMA, comme le cinéma lyrique, et un peu comme du cinéma français, c'est bien, c'est considéré comme de l'art, mais personne regarde, parceque c'est chiant!
On pourra toujours pleurer "C'est de l'art, vous n'avez rien compis" ou encore "C'est sûr les américains se contentent d'une peire de fesses", ou autre, selon ton inspiration!
Alors patience!!
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 18 août 2002 - 19h44: |
LA DAR-BREIT-FITNECH ( esse) c 'est bon comme ca DARMOUNI
????? AAND BABBA AANDOU BOU AND C°.
Pour les maquilleuses et le maquignons en tout genre, ils n'ont qu'à aller se farder ailleurs.
Pour le camèraman qui confondait son oeil de verre
avec l'optique de la camèra, il peut toujours courrir pour se faire payer, on lui a déjà dis qu'il travaillait à l'oeil, alors ce n'est pas la peine qu'il vienne nous mordre notre vue OK....?
On a déja assez de soucis pour trouver un nom convenable pour notre sociétè bidon pour qu'une
bande de travellos de nuit viennent nous perturber...
Bon, je convoque Wness qui va mettre de l'ordre parmi ces 'monte en l'air'...Vraiment ils ne manquent d'aire ceux la.
Je vais aller boire un cafè avec les autres karakouss des dattes avec BREITOU et la Bichette
qui attend son LOUP à cordes...OK...?
Darmouni,ne me perds pas les clefs, on attend la musique de ton film.j'éspère qu'on sera toujours vivant avant que tu nous l'envoie...HEIN....?
Non ,je te dis celà pour ne pas te démoraliser.
Si tu va mettre cent sept ans pour un script, moi j'engage des STREAP PISSEUSES....OK???
Ca va aller plus vite et celà rapporte.Toutes jambes en l'air c 'est du bénèf par ces temps maussades qui courrent..OK
Y aiche ouldi fait vite.
ALBERT
Par Darmon (Darmon) le dimanche 18 août 2002 - 17h20: |
Wnes, je suis heutreux de t'avoir comme associé dans notre "biziiiiniisss"!
Merci de tes $ 3 000 000 que tu as offert aux studios, ça fait du bien, d'autant que le film que je suis en train de réaliser (à paraitre bientôt) et de co-produire avec toi et breitou via notre solide entreprise, avait du mal a démarrer,les acteurs voulaient se faire payer et refusaient de continuer le tournage tant que la paye ne serai pas versé... et je ne te parle pas de camera-men et maquilleuses!! Elles m'énervent ces maquilleuses, toujours a se plaindre...
Alors vive notre collaboration, mais néamoins il faudra changer de nom, c'est trop long, et ça ne tiendra jamais sur une seule ligne!!
J'attends tes propositions!!
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 18 août 2002 - 15h46: |
Wnes OK
La compagnie devient alors LA BREITOUNA-FNECH- DARMON AND ENTERTEINEMENT.C°.Si ca continue je n aurai plus de place.
ALBERT
Par Wnes (Wnes) le dimanche 18 août 2002 - 15h21: |
Ya Bébert !
Dans ta compagnie Breitouna Darmon Inc., tu oublies El Fenech ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ! Stop, autrement certains vont encore se facher et m'en vouloir, suivez mon regard !
Fi Lamen !
Berdah
Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 18 août 2002 - 07h41: |
Ma chère DIVO,
Tant d'éloquence dans le verbe me font aussi chavirer, au moment même où par curiosité j'ouvre le théâtre pour donner quelques coups de plumeau à mon bureau et voilà que contre toute attente, je lis votre missive.
J'en suis baba ( pas au rhum , bien sur) mais porté presque aux nues( habillé bien sur) devant tant je faconde amicale. 'Oh mon D ieu ' me suis je dis' Que vont t'elles penser mes amies JANET, MICHKA et les autres NOA...... et ma femme……pardi…..! s'il lui venait de lire votre impression sur ma voix timbrée.......Vous allez leur donner cette envie de vouloir m'entendre ....Devrais je donc la commercialiser en bouteille comme du Nectar de D ieu où au contraire la réserver pour une autre cuvée
.
Divo, votre appréciation me touche profondément et je suis bien ravi que vous ayez passe d'excellentes vacances....A part ce jeune accroc et votre paire de lunettes bouffée, je vois que vous n'avez pas perdu de votre verve et je crois aussi avoir trouvé , pour ma compagnie LA BREITOUNA ET DARMON compagnie Entertainement Anc C°( c'est trop long Darmon ce nom ) une actrice de taille (fine ) j'espère.
Ma chère DIVO, votre présence ici me réchauffe comme toutes celles de mes amis qui commence timidement à pousser la porte de cet espace.
Alors , c 'est plus que ma voix que je vous offre, c'est mon coeur qui vous demande d'étaler votre expression et impression de toute sorte.
Moi, je vous prête mes oreilles, et je vous accompagne par ma voix, le reste n'a pas d'importance.
Divo, exagère peut être un peu mes amis……! mais vous savez si ma façon de parler lui rappelle d'autres voix d'ailleurs, un peu anciennes, celle de nos vieux d 'avant, de notre ancien pays alors DIVO, cette voix là que vous avez eu au bout du fil est pareille à toutes celles que vous avez entendu avant, reste qu'elle vous a parle en français et pas en judèo arabe. Estampillée et bien plus que timbrée.
Rabby myak DIVO
BREITOU .
Par Divo (Divo) le dimanche 18 août 2002 - 03h10: |
Cher Albert,
Je viens de rentrer avec pleins d'aventures en mémoire...
4 jours et me voilà de retour avec une paire de lunettes de soleil mangées par le chien de mon hôtesse, avec l'impossibilité aussi d'éloigner un prétendant très accroc, avec une voiture tombée en panne à la sortie de l'autoroute à Cahors(34 km de chez moi)!!! et j'en passe...Tu vois pas le temps de m'ennuyer.
Mais quand même le temps de penser à toi et à la jolie surprise de ce lundi 12 ... Ai je le droit de dire que votre voix monsieur Breitou m'a émue et qu'elle est merveilleusement timbrée....Je croyais ce timbre réservé aux hommes de ma famille et je découvre que les juifs de Tunisie le possèdent aussi... Là je serais presque prête à tomber sous le charme d'une telle voix!
Et oui mesdames, sa voix est si chaleureuse et semble si protectrice que vous n'auriez qu'un désir: l'entendre plus souvent!(comme moi d'ailleurs)...
Et n'en déplaise aux messieurs de Harissa, vous avez Albert une voix très....comment dirais-je?....très sensuelle...oui c'est cela : sensuelle !
Ne rougissez pas Albert...mais souriez que je puisse voir votre sourire!
Le "vous" est musique à mes oreilles lorsque je m'adresse à une personne que j'apprécie....
Merci pour cet appel Albert...Sais tu que j'étais si émue que je ne savais que dire...De plus nous démarrions la voiture pour partir.... Des larmes perlaient aux coins de mes yeux ....Tu vois il suffit de bien peu, juste un petit appel et je chavire!
Je voulais t'envoyer une carte de Perpignan mais tu as oublié de me laisser ton adresse et ton n°...
Voilà, c'est assez pour ce soir...Il est 2h58 mais je viens de rentrer d'un spectacle où j'ai pu entendre François Feldman....
Bisous à toi (et à madame qui m'a fait rire avec la carte de tunisie!!! ;) et à tes filles)
Par Wnes (Wnes) le vendredi 16 août 2002 - 16h50: |
Chronique d’El Fenech : Une richesse Bidon !
Un jeune homme de Hak El Ouet, s’en vint trouver notre Jurisconsult officiel le Sir El Fenech, et lui teint ce propos :
- Ya Baba El Fenech, que le salut et la prospérité soient sur toi et toute ta descendance !
- Pas de salamaleks Fils, je sais déjà ce qui t’amène, tu es un jeune homme qui aime sa Belle de Tunis, mais ses parents grands bourgeois Tunisois, cherchent pour elle bien meilleur parti ! J’ai déjà la solution à ton problème, paie c’est cent dinars, et tu épouseras ta belle.
Le jeune homme paya et El Fenech lui dit :
- Reviens donc cette après midi, vers quinze heures fils afin que mes témoins puissent constater ta richesse, tu poseras ta main droite sur ta tête, et dans ta main gauche tu tiendra fermement un sac bien clos.
Quand le jeune homme revint, il y avait du monde dans la boutique des coups tordus, il fit exactement ce que El Fenech lui avait commandé, et El Fenech parla ainsi :
- La Paix soit en toi Fils, j’ai bien un client prêt à te payer au moins cent mille or ce que tu as sous la main, es tu vendeur ?
- Jamais de la vie Ya Baba, cela vaut bien plus.
- Alors vas t-en, ya ras marbout, tu me fais perdre mon temps ! ( Les Ras Marbout étant les Bretons ou les Bernois de la Tunisie selon votre choix ).
Les témoins présents éberlués, s’en allèrent raconter à tout Hak El Ouet, à quel point le jeune homme était riche, et le tout Hak El Ouet le raconta à tout Tunis, les parents de la Belle de Tunis apprenant la chose, prirent la calèche appelée déjà à l’époque « La T’J’Aime « pour venir consulter EL Fenech, qui leur parla ainsi :
- Je sais bien ce qui vous amène, payez chacun cent dinars, et vous connaîtrez la vérité.
Ils payèrent et El Fenech leur dit :
- Ce jeune homme bien sous tous rapports, est venu me trouver avec sous la main, quelque chose qui lui appartient, et qu’il a refusé de vendre pour cent mille dinars or ! Il possède par ailleurs bien d’autres richesses qui me semblent inestimables !
Les parents consentirent donc aux épousailles, qui furent célébrées en grand apparat, dans le palais des parents de la Belle, les deux tourtereaux s’aimèrent, et eurent une nombreuse et prospère descendance.
L’Amour était sauf.
Extrait du livre : La Chronique des Dotes.
Berdah
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 15 août 2002 - 16h54: |
KTOLNI BEL DAHK YE WNES....AVEC TON HISTOIRE...
IMAGINE TOI MON VOISIN A LA GOULETTE UN JOUR M' A DIT 'TAREF ENNEH JETLI MINOUPOUSE'.
iL NE FAUT PAS QUE LES SFAXIA LE SACHE OU SINON..
ALBERT
Par Wnes (Wnes) le jeudi 15 août 2002 - 15h19: |
Chronique d’El Fenech : Les règles du Jurisconsult !
Les Fils de Hak El Ouet avaient une foire annuelle où ils se rassemblaient pour acheter et vendre. Un homme y vint monté sur une jument qui lui appartenait. Celle-ci était suivie par son poulain.
Un autre homme lui vola le poulain, et fit allaiter le poulain par une vache qui était à lui. A la foire de l’année suivante, le propriétaire du poulain vit celui-ci chez le voleur et le reconnut.
- C’est mon poulain, il est le petit de cette jument que je monte cria-t-il.
Le voleur nia les faits, et ils s’en vinrent tous les deux présenter l’affaire à notre Bey, le salut soit sur lui. Le poulain suivait la vache partout comme s’il était son petit, et les gens s’émerveillaient.
Notre Bey dans sa grande sagesse leur dit :
- Votre histoire ne concerne pas, séparation des pouvoirs oblige ! Allez donc voire El Fenech notre Jurisconsult, de ma part, il saura bien régler votre affaire, car je lui ai confié les pleins pouvoirs judiciaires.
El Fenech leur parla ainsi :
- D’abord payez cent dinars chacun, c’est pas cher pour un poulain qui en vaut plus de mille !
Ils s’exécutèrent immédiatement et El Fenech le rusé de leur dire :
- Venez me voire demain que je décide lequel de vous deux a raison, car aujourd’hui j’ai mes règles .
- Les homme de Hak El Ouet ont-ils leurs règles comme les femmes ? demanda le propriétaire de la vache.
- Oui répliqua le Jurisconsult ! Dans un Bled où l’on voit une vache donner naissance à un poulain, est-il étonnant d’y voire les hommes mâles avoir leurs règles ?
Ayant dit cela, il fit rendre le poulain à son vrai propriétaire, qui le prit et alla son chemin.
Extrait du livre : Les Ruses des Voleurs.
Berdah
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 15 août 2002 - 10h49: |
LES MEMOIRES D’UN GOULETTOIS
L’ ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT)
POEME SUR LA MADONA DI TRAPANI
Ricordatevi la vostra chiesa Souvenez-vous de votre église
A la Goletta sulla piazza. A la Goulette sur la place.
La vostra messa la domenica Et votre messe le dimanche
Con padre Chini O Saliba En compagnie de père Chini ou Saliba.
.
E poi a l’ agosto, il quindici Et puis vers le 15 Août
Sui balconi, finestre , a piedi Sur les balcons, a pieds
E anche sulle scale seduti Ou assis sur les escaliers
Aspettando tutti con patienza. Attendant patiemment.
E quando apparice la Virgina Et quand dans la nuit elle apparaît
Cercandola con i vostri occhi Vous la cherchez par vos yeux
Levando tut’ insieme le braccia Levant tous ensemble vos bras
Con molto rumore e auguri. Avec beaucoup de bruit et souhaits.
‘ Viva la Madona e Gesù suo figlio …’ Vive la Madone et son fils Jèsus.
Grida la gente che la portano. Hurlent les gens qui la porte
Bella , vestita e modesta camina Belle, vêtue et modeste , elle avance
Su le teste con suo Gésu abraciata. Sur les têtes (des gens) avec Jésus dans ses bras.
‘ … Madona…. ..Madona..’ ‘….Madone…Madone....
Adesso che ti vedo Santa A présent que je t’aperçois Sainte
Fai qualque cosa per Julia Intercède en faveur de Julie
Mia figlia a letto, e malata.’ Ma fille au lit est malade.’
Questa sera è molto santa Cette nuit est sainte
Pièna di maliconia e gioia. Pleine de tristesse et de joie.
Ma domani a l’alba sarà Mais demain à l’aube se sera
Lavoro, apèritivo e pasta. Travail, apéritif et pâte.
‘Madona..che non mai dimenticata ‘ Madone…que je n’ai pas oublièe
Su Dio e la mia anima… Sur D.ieu et mon âme
Ancora oggi ti ‘ama’. Aujourd’hui encore je t’aime.
Tu che non echi più su la piazza Toi qui n’apparaît plus sur la place
Gia molti anni fà ,’Veglià’ su nostra città.’ Depuis très longtemps, Veilles sur notre citè.’
Per i miei amici italiani la santa Madona di Trapani sempre nei loro cuori et anche nei miei ricordi.
Pour mes amis italiens la Madona …. reste toujours dans leur cœurs et aussi dans mes souvenirs.
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 15 août 2002 - 01h06: |
DARMON,
S'il te plait demande a ALLEN pour les manchots qu'est ce qu 'il leur propose de faire pour la masturbation....?
Ce serait interresant de le savoir
Par Wnes (Wnes) le jeudi 15 août 2002 - 00h10: |
Ya Si Bébert Ma Trafch !
Tous les Woody Allen Sfaxiens peuvent bien se masser le Mokh, mais quel qu’effort qu’ils fassent, il ne peut en sortir que le sempiternel jus du noyau mt’a zarour.
El Fenech n’est pas prêt de tirer le rideau ! car ses perles ont fait des petits.
Berdah
Par Rahelina (Rahelina) le mercredi 14 août 2002 - 21h44: |
bonjour a vous tous mes chers amis!!!
non non non ,je ne vous ai pas oublie,je suis cependant tres occupe par les preparatifs de mon mariage,grace a D... ce sont des bonnes occupations;)
je pense a vous ,vous me manquez tous ,une pensee particuliere pour mon deuxieme papa harissien
je vais bientot ecrire si D veut un petit poeme gaie pour changer du precedent,he oui je suis enfin heureuse!!!
Albert ,tu t'es bien fait du soucis pour moi ,t'inquiete maintenant la petite rahel21 est enfin casee!!!
bisous a tous et slaut jojo
rahel21
Par Albert Simeoni (Albert) le mercredi 14 août 2002 - 17h55: |
DARMON,
Voilà comme promis le texte d'ALEBERT COHEN approximativement traduit.J'ai fais un effort alors ne soit npas exigeant envers moi et surtout lis le à haute voix , si tu sis chanter cette langue de nos pères.
Ô mon passé, ma petite enfance, ô chambrette, coussins brodés de chats rassurants,
Ah Yè kbèl, yè zôghri , yè beîti, mchénèd métrouzin bèl ktattèss mètènïm, ….
conforts et confitures, tisanes, pâtes pectorales, arnica, papillon du gaz dans la cuisine,
rïïad ou mââjènn, tronjiè, makarouna sèdriè, ernika, sbebèl tâ èl gaz fèl koujinnè,
sirop d'orgeat, antiques dentelles, odeurs, naphtalines, veilleuses de porcelaine, petits baisers du soir,
rouzatta , bella roba guedimââ, rouaïeh, nafatalina, knadel fokhar, bawchèt zghar fèl lil, bawchèt
baisers de Maman qui me disait, après avoir bordé mon lit, que maintenant j'allais faire mon petit
ta omi élli kennèt tkôlli, bâad mè hadret farchi , élli tèwé bèch en saffar fèl gamra mâa
voyage dans la lune avec mon ami un écureuil. Ô petite enfance, gelées de coing, bougies roses,
sahbi èl arnab, Yè zôghri, mââjèn sferjèl, chmââ wardi, jéridèt tè jouani
journeaux illustrés du jeudi, ours en peluche,convalescence chéries, anniversaires, lettre de Nouvel An
mta nââr khèmiss, dbébèt souf, bariyât yè amirati, ââïdet miled, jwébet mtâ rass èl ââm ââlla
sur du papier à dentelures, dindes de Noël, fables de la Fontaine idiotement récitées debout sur la table,
awrak méssnounin, djèj tââ Nouil, hkaïït mta la Fontine mghronièn bèl bémââ wakfin fouk èl midè,
bonbons a fleurette, attentes des vacances, cerceaux, diabolos, petites mains sales, genoux écorchés et
konfaïït mèghloufin bèl sélefan nawar, nésstènew fèl facance, chirkouèt hdid, tfètèf , ideïn zghar ou masskhin, rkaïeb mèjrouhin ou kent
j'arrachais la croute toujours trop tôt, balancoires des foires, cirque Alexandre où elle memenait une fois
nejbèt él kââssra t'èl khobz dimè bekri, dèrdeïhèt tâ ferjâât, circou mtâ Alexandre win kennèt tèzni marra fèl âm ou
par an et auquel je pensais des mois à l'avance, cahiers neufs de la rentrée, sac d'école en faux léopard,
ehnè elli kent en khémen âali bèl mssébèk charrinèt kbèl, kaïïèt jdèd mtâ dèkhlèt èl mèktèb, skarra mta l'ascoula bèl kmèch falssou lèopard
plumier japonais, plumiers à plusieurs étages, plumes Sergent-Major, plumes baïonettes de Planzy Poure*
, hkèk japonni, hkèk tikân, klèmèt hbar Sergent Majour, klèmèt bayounitte ta Planzy Pour,
,goûters de pain et de chocolat, noyeaux d'abricots thésaurisés***, boîte à herboriser, billes d'agate,
goutiète kobz ou choucalata, nouïïeït méchmèch mkhèbièn……., hkikè tâ hchichèt, boutchièt hjar khdèr ……
chanson de Maman, leçons qu'elle me faisait repasser le matin, heures passées à la regaredr cuisiner
ghnèïïet tâ Ommi, droussat élli kénèt tââwèdli kôl sbah, awkât élli âaditèm nchouffè taïëb
avec importance, enfance, petite paix, petits bonheurs, gâteaux de Maman, sourires de Maman,
bèl ghrâm, zorghti, yè èhnè mèrtahè, frâïïhat zghar ,gatouèt mtâ Ommi, dahkèta ,
ô tout ce que je n'aurai plus, ô charmes, ô sons morts du passé, fumées enfuies et dissoutes saisons
ehdè koullou élli mââ ââtch ïïèbka i jini, , yè chikhèt, ah yè hass mètfïïn tââ kbèl, rwèïïèh élli arbou ou taks élli dèb
. Les rives s'éloignent. La mort approche"
El ahrouf arbin. El mout kâârba