Par Albert (Albert) le mardi 05 avril 2005 - 19h37: |
Jeudi SECONDE passation de la nouvelle policière
'..LA MALCHANCE...!'
Par Albert (Albert) le mardi 05 avril 2005 - 19h03: |
Toute l'annèe même ma chére....Ahahah..
Mais eux ils le savent...
Par Latitesse (Latitesse) le mardi 05 avril 2005 - 15h53: |
Un poisson d'avril, Albert !?!?!? le 4 avril!?!?!?
pour vous c'est tout le mois d'avril?
Attention les amis Albert , directeur émérite du
Petit Théatre de Breitou, auteur et metteur en
scène, comédien aussi (oh combien!) est
capable de tout pendant le reste du mois!!
Latitesse prudente
Par Albert (Albert) le mardi 05 avril 2005 - 14h11: |
Latiteasse, c'était mon poisson d'Avril,
Je ne peux suspendre une nouvelle commencèe telle est la loi du théatre...Donc à ce soir, soyez à l'écoute...Merci...
Par Latitesse (Latitesse) le mardi 05 avril 2005 - 13h43: |
Vous nous enchantez Albert, par votre diversité, c'est un festival!! Merci de l'avoir dédié à Henri z'al en même temps qu'à des amies qu'il aimait beaucoup et dont il m'avait parlé.
Désolée pour la suite de l'oublié, je suis sure qu'on l'attendait avec impatience,mais je crois comprendre pourquoi, vous avez raison.
Vous savez je n'ose pas vous interrompre, mais à l'entr'acte on peut féliciter les artistes, non?
Votre fidèle spectatrice
Latitesse
Par Albert (Albert) le lundi 04 avril 2005 - 22h49: |
Le préfet………………….Mr Charles Lander.
Le directeur de Boulakia…Robert Chetboun.
La concierge…………… .Mme Emmanuelle Alvarez.
La production……………Atlas-Production.
Le projectionniste……….Richard Assouline.
Le directeur de Boulakia…Robert Sultan.
Le commandant Foucault…Alain Roche.
On va garder un seul directeur..Au choix..AHAHAHA
Erreur de transcription.
Par Breitou (Breitou) le lundi 04 avril 2005 - 22h44: |
ANNIVERSAIRE DU PTB ..AN III...
Albert Siméoni
Récit policier.
Paris le 4/09/2004.
LA MALCHANCE.
Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.
Dans les principaux rôles
L’actrice………………….Jeanne Sullivan.
La jeune fille……………. Claude Chaveau.
La maman………………. Sandra Chaveau.
Le papa…………………. Bernard Chaveau.
Le copain de Claude……..Guillaume Goujon
La maman de Guillaume…Germaine Goujon.
Le vieux retraité………… Armando Santoni.
Le chauffeur……………. Vincenzo Maldini.
Le bras droit maffieux……Enrico Valdez….Alias ‘Il luppo..’
Le préfet………………….Mr Charles Lander.
Le directeur de Boulakia…Robert Chetboun.
La concierge…………… .Mme Emmanuelle Alvarez.
La production……………Atlas-Production.
Le projectionniste……….Richard Assouline.
Le directeur de Boulakia…Robert Sultan.
Le commandant Foucault…Alain Roche.
Le directeur de production ARGUS PRODUCTION…..Mr Alibert Jean.
Le jeune caméraman……..Guy Barin.
L’inspecteur Boulakia.
Son collègue Gilbert.
Rue de Rennes. A Paris. 14 heures 58.
Une équipe de la télévision française tourne le dernier plan de son film ‘ ….LA MALCHANCE… !’ La principale actrice aperçoit son amoureux de loin. Gros plan sur son visage puis, la caméra s’éloigne tout en suivant sa course ; elle va rejoindre son fiancé, à travers la cohue de figurants. Ils s’enlacent et la caméra s’éloigne pour montrer toute la rue en perspective.
A cet instant, une voiture démarre lentement du côté paire de la rue, juste au moment où le plan est termine une jeune fille, étrangère au film , tombe à terre, derrière une voiture en arrêt. Toute la production plie bagages.
Quelques minutes plus tard, les badauds s’aperçoivent que la jeune fille, allongée sur l’asphalte est inerte. Un médecin présent sur les lieux, se rend compte que la jeune fille saigne du côté de la nuque. Comme foudroyée . Il appelle sur son portable les services d’urgence. Les secours, sur place, constatent que celle ci est décédée d’une balle dans la tête, à hauteur de la nuque.
La police est sur les lieux. Un cordon de sécurité est établit , toute la rue est barrée. Trois cars de policiers sont stationnes et l’inspecteur Boulakia est appelle en renfort. Pendant ce temps, les flics interrogent les premiers badauds qui ne sont rendus compte de rien ; plus occupés à suivre la fin du tournage alors que la jeune fille gisait sur le sol dans un petit ruisseau de sang.
L’équipe de Boulak commence son travail préliminaire. On photographie le corps de la jeune fille sous tous les angles ; la position de la jeune défunte, allongée , est tracée par de la craie, sur le bitume. L’inspecteur conclut que la demoiselle est morte sur le coup par un coup de feu tiré à faible distance, par un silencieux puisque personne n’a entendu de détonation.
‘…Gilbert vérifie les papiers de la jeune fille … ! Tu me donnes l’adresse de son home….Ou de ses parents… ! ’
Une heure plus tard…A Maisons-Alfort.
‘…Je suis bien chez Mr et Mme Chaveau… ?’
‘…Oui Monsieur… !’
‘…Inspecteur Boulakia, Monsieur… ! Puis-je entrer…. ?’
‘…Oui, bien sur, rentrez donc… !’
‘…Je suis venu expressément vous voir avant que les journaux s’emparent de l’affaire… ! Il est arrivé quelque chose de grave, Monsieur Chaveau… ! Votre fille… !’
‘…Ma fille …. ?’
‘…Oui monsieur…. ! Claude, votre fille a été tué il y a une heure trente….Sur le coup… ! Rue de Rennes… !’
Le père à la nouvelle s’effondre. Sa femme appelle de toute urgence le SAMU. Quand il se réveille à la salle d’urgence, il ne peut parler, il a perdu la parole sous le choc. Un autre drame s’ajoutait à la tragédie. C’est sa femme Sandra, le lendemain matin qui courageuse, doit répondre aux premières questions de l’inspecteur. A l’hôpital, le cas de mon monsieur Bernard est très sérieux. Il est transféré dans un service spécialisé pour soins intensifs dû à un traumatisme approfondi.
‘…Madame Chaveau, parlez moi de votre fille… ? Ce genre de meurtre est une exécution… !’
‘…Tout le monde vous parlera d ‘elle en bien, pas de dérive, rien, ma fille est ce qu’on appelle une fille rangée, aucune compagnie qui puisse soulever des doutes sur elle… ! Rien pas le moindre doute… ! Je ne comprends pas, elle est sortie acheter des fringues ce jour là… !’
‘…En effet, nous avons trouvé ça, près d’elle, des vêtements de marque. Nous avons interrogé le commerçant , elle était seule.. ! A t’elle un ami, un flirt… ?’
‘…Oui , Guillaume, quelqu’un de bien … ! ils s‘aiment très fort… ! Sa famille habite de l’autre côté de la route, le pavillon d’en face… !’
‘…Je vais en profiter, pour les interroger… ! J’ai encore besoin de vous, il vous faut du courage… ! Madame Chaveau… ! La reconnaissance du corps.. à la morgue ! Une règle dans ce genre d’affaire, ensuite on vous le restituera… !’
‘…Vous me parlez d’exécution, je n’ai pas compris… ?’
‘…Ce genre d’assassinat, n’est pas courant. Il n’y a que le milieu qui puisse agir ainsi…. ! Et encore, en général ils tirent par devant, jamais par derrière, c’est une règle d’honneur chez eux , et là, je me perds en conjectures… ! En plein midi, devant témoins…. ! Quoique cela leur arrive de le faire en toutes circonstances…. ! C’est étrange… !’
‘…Que vient faire ma fille, dans ces réglementes de compte… !’
‘…Que fait votre mari, comme travail…. ?’
‘…Il est responsable chez DARTY, depuis plus de 25 ans… ! Un homme tranquille, aimant ses enfants, nous en avons trois… ! Deux à présent… !’
Elle se mit à pleurer. ‘…Nous sommes désespérés… !
A suivre….
Par Albert (Albert) le lundi 04 avril 2005 - 22h19: |
Paris le 4/04/2005.
L’Oncle.
Il portait un nom de guérisseur
Feu Fragi, notre célèbre boucher déconneur.
Sa démarche toute en balancée
Donnait à sa silhouette des figures imposées.
Il était connu pour ses colères et son humour
Et nul ne pouvait se permettre de ne point le respecter.
Il avait ce don particulier
De tirer profit à ceux qu’il connaissait.
Joueur de cartes, émérite
Il lui arrivait souvent de tricher
En famille ou en compagnie sans jamais se rétracter.
Des ramis.. ? Des dix à la douzaine
Cachés dans ses manches pas retroussées.
Il était sans qu’il le sache tout en zen.
Pas pour ses protégées apeurées
Qui n’osait l’interpeller.
L’Oncle Fragi Z'al était ce qu’il était
Une figure emblématique
Jamais ignoré mais toujours fréquenté.
Par Albert (Albert) le lundi 04 avril 2005 - 22h01: |
L'anniversaire continue....AN III.
Tout en vers ou en prose.
Paris le 4/04/2005.
Ma’hou.
Sortilèges et grigris.
Mauvais sorts et conneries.
Chez Ma’hou, la ‘jumat’ *Ancienne boisson gazeuse.
Se transformait en potion magique
Pour les falots que le mal a pris.
Sachets et colliers en nombre proposés comme porte bonheur
Qu’elle disait avec sincérité, elle en vendait à toutes les heures
A celles que le démon a pénètre à leur insu pour leur malheur.
Toujours à bon marché, selon la tête du client et de sa couleur.
Faiseuse de patte de briks aussi
Pour boucler ses mois finis.
Elle se vantait de fabriquer
La meilleure en se curant les narines
Aussi épaisses que les mollets de ma Titine.
Saïd* ( le lion) son compagnon attitré au faciès irrégulier
Tanneur de son métier certaines après-midis d’été
L’aidait dans sa noble tache avec assiduité.
Paumes et ongles, tout de noir maculés
Il pétrissait la pâte avec sérénité.
Il était souvent récompensé
Par de longs jurons ordonnés.
L’encastrée dans son divan pourri
20 ans sans se lever, invectivait
Tous ceux qui abondamment la narguait.
Son compagnon aussi barjot que la Ma’hou
S’aliénait les invités à la Tébah
Tous les samedis à la lecture de la Torah
Car ils oubliaient de lui donner
Sa côte-part sacrée mais imposée.
Du côté de Goulette neuve
La maquerelle enfermée, la gueuse
Dans son grand studio dégueulasse
Proposait avec ses doigts pleins de mélasse
Ses menus services, à certains gueux
Solitaires, ces désœuvrés sans haut de forme
Ni habit à queue.
De la magie à la sorcellerie
En passant par la feuille de brik
L’adorable grosse créature pourvue d’une trique
Tirait son épingle du jeu sans moquerie.
Par Albert (Albert) le lundi 04 avril 2005 - 08h32: |
Pour des raisons de sécuritè la nouvelle L'Oublie ou Simon et Shirley ne passera plus. A la place nouvelle policière LA MALCHANCE...Avec
L'inspecteur BOULAKIA.
Par Albert (Albert) le dimanche 03 avril 2005 - 19h10: |
LE SPECTACLE TOUCHE A SA FIN. TOUS LES CHANTEURS VIENNENT SALUER LES SPECTATEURS ENCHANTES PAS LE SPECTACLE. ILS SONT IVRES DE JOIE ET DE BONHEUR.
LES LUMIERES DU THEATRE MTANA S ‘ETEIGNENT. ON VOIT UNE COLONNE SORTIR DE SOUS TERRE JUSTE AU CENTRE DE LA SCENE. ELLE MONTE …… MONTE …….MONTE ET S ARRETTE A PLUS DE DIX METRES DE HAUTEUR.
DES ELEMENTS RESSEMBLANTS A DES BRANCHES SORTENT PAR TOUS LES COTES.
LA COLONNE A PRIT LA FORME D’UN ARBRE ET ON VOIT DES COLOMBES BLANCHES SORTIRENT DES BRANCHES POUR ALLER S’ENVOLER PAR DESSUS LES TETES DES SPECTATEURS. C EST FEERIQUE…. DES TROMBES DE CONFETTIS EXPLOSENT EN L’AIR EJECTEES PAR LES BOUCHES DES STATUES. LES PETITS PAPIERS SE TRANSFORMENT EN PETITS FEUX D ARTIFICE…..QUI ILLUMINENT TOUT LE CIEL DE PARIS. TOUT LE STADE EST EN EFFERVESCENCE. C ‘ EST MAGIQUE………..FEERIQUE……GRANDIOSE….SUBLIME….
Comme quoi avec un peu d’imagination, on peut construite l’impensable. Tous les plans des systèmes et appareillages sont brevetés et déposés chez HARISSA .COM.
Voila. FIN.
OTIS READING…….Un cadeau pour vous en prime…a emporté…
THE DOCK OF THE BAY….
SiIIIIttin' in the mornin' sun…….§§§§§……..I'll be sittin' when the evenin' come…..WatTTTTching the ships roll in……§§§§§……And then I watch 'em roll away again, yeah….I'm sittin' on the dock of the bay…….Watching the tide roll away…..Ooo, I'm just sittin' on the dock of the…..bayYYYY…§§§§…………Wastin' time…..I left my home in Georgia….Headed for the 'Frisco bay…..'Cause I've had nothing to live for…..And look like nothin's gonna come my way ….§§§§…...So I'm just gonna sit on the dock of the bay….§§§§§§§§§§§§……Watching the tide roll away……Ooo, I'm sittin' on the dock of the bay…..Wastin' time….like nothing's gonna change…….Everything still remains the same….§§§§§§§§§§§§§§…..I can't do what ten people tell me to do …….So I guess I'll remain the same, yes alone……Sittin' here resting my bones …..And this loneliness won't leave me ….It's two thousand miles I roamed…..Just to make this dock my home ……§§§§§§§§§§§§….Now, I'm just gonna sit at the dock of the bay….Watching the tide roll …§§§§§§§…..away…………………
Par Albert (Albert) le dimanche 03 avril 2005 - 19h07: |
O my god….…§§§§§……Je veux bien encore echpérer malgré toutes tes promesses tu perchistes encore à me rendre jalouse…§§§……HOUSE HOUSE HOUSE…§§§§§§§……Je veux bien te pardonner une chentième fois et oublier tes menchonges mais combien de temps vas-tu me rouler dans la farine…§§…….J'ai donc déchidé de te faire un amant pour me venger et tu ne le chaura pas, mon petit chéri. …§§§……Ah tu me crois incapable de te le faire…? C 'est ça…? Baby……! DAB DAB DOUBA…..§§§§……AH AH AHAHAHAHAH…..Je vais te faire baver Darling… j'ai trop négligé ma vie et ma vie tu l'as boufféYYYYYY….§§§….. Je vais passer de l'autre côté de la barrière et il va t en coûter mon petit trésor….Je vais faire les 401 coups pendant que tu te prélache dans les bras de tes maîtresses et m'éclater mon cocoYE..§§§…..….Comme une belle huître que je suis…§§§§§§§…… DU DUDU DUU…..
Breitou…….. S'est fait noircir le visage ….
Sur les gradins, les présents sont hilares tant par la tenue de BREITOU que par ses mimiques..
'…Franchir la barrière…..?…§§§§…..Maria…????? AH AH AH…..Je ne crois pas que tu puicche le faire avec ton gabarit…§§…..Tou ne peut même pas chauter sur tes talons Darling..§§§§§§…..Vaut mieux pour toi que tu fache le tour….§§…..Yes…Yes… But you dont cry on your infidelity….§§…….
Ella dans le rôle de Maria….
'…..Y'a des mecs qui me courent après Darling..§§§§§§…. Des tas, des tonnes de mecs de tout gabarits…§§…..Et je n'ay qu'à lever le petit orteil pour qu'ils viennent touche à mes pieds..§§§..'
Breitou…..
'….Touche à tes pieds..??????….Ah AH ah….Darling….! Je ne crois pas un cheul mot à ce que tu me dis Baby…§§§§…You are crazy….§§§§§…Yes folle….§§§§…
Maria…..
'…..CRAZYYYYYYYYYYYYYYYYYY….§§§…..O O O Imbéchile que tou es….§§§§§…Che pas che qui me retiens de te foutre mon talon dans le calbache…§§§§…Mon coco…§§§§ But je réfléchis chérieusement la qwestione ..§§§§§….Chéri…§§§§….You are a great very Great SALAUD….§§§……..
Breitou….
'…CHALAUDDDDD….??? MEEEEEE……??? WHAT………WHAT WHAT…..§§§§§….WHAT….WHAT….WHY…..WHY….WHY…YYYYYYY..§§§§§…
Come her too KISSS YOUUUUUUUUUUUUUUUUUU….§§§§§§…Come here to….KISS YOU…..§§§§….I LOVE YOU ….§§§….I LOVE YOU…§§§§§…AND I NOW YOU
LOVE ME….§§§….YOU LOVE ME….§§§§……'
Maria…
'….Yes……It's véry..§§§….Vrai ……Chè là le hic…..§§§§……..ch'est que je n'ai pas le courage de le faire mon amour my LOVEEEEE…§§……MMMMMmmmmm..§§§§§§§
Alors….§§§§…..je resteréy à t'attendre comme je le fais depuis 30 ans, mon petit cœur adoré….§§§….!
Breitou….
'….KISS ME……§§§§§…O MY BABY KISSSSSSSSSSSSS ME….
§§§….O MY BABY…KISS ME….I promes de ne plous aller ailleurs…§§…..Je te le joure…..§§§§§….Sour…..§§§§§…
Maria..
'….RIEN DU TOUUUUUUUUUUUUU….§§§……BALLOUTTTTTTTTTT…….
§§§§§§§§§…
O YES…..
Albert a voix basse envers Belebou…
‘…Mnih ehdè Breitou, fi qol khar’ya yéc’hi fiyè lchènou….’ C’était pas prévu au programme…. !’
( Bon, je ne comprends pas ce Breitou, dans chaque merde il fourre sa langue… !’)
Belebou…
‘…Mou i hab yamèl el hloulou… !’
(…Mais tu sais bien qu’il veut se rendre sympathique… !’
Les deux chanteurs sortent enlacés tandis que …
Des milliers de roses tombent sur la scène du STADE ….. C ‘est l’extase parmi la foule qui applaudit debout, à tout rompre la prestation des deux artistes et aussi cette magie du spectacle.