Par Mr_Germain (Mr_Germain) le dimanche 10 avril 2005 - 13h16: |
'...Tu devrais leur faire un SKETCH...! Albert..!'
Par Albert (Albert) le dimanche 10 avril 2005 - 13h05: |
Par Albert (Albert) le dimanche 10 avril 2005 - 12h45: |
Deux jours que je lis avec le dictio entre mes mains, j'ai perdu plus de temps déchiffrer les mots savants que de lire les deux textes en entiers, j'ai abandonnè à la fin..
LA DOUDA...
-Tawfiq, je t'ai langui, qu'un intérmèdiaire le lui dise, son mail ne répond pas...Toi tu m'aurai tout expliquè...Lââziz..
Par Breitou (Breitou) le dimanche 10 avril 2005 - 12h42: |
Excellente analyse de la MENA sur le Pape..
Chey me femt....
( J'ai rien compris )
Par Breitou (Breitou) le dimanche 10 avril 2005 - 11h40: |
Par Albert (Albert) le dimanche 10 avril 2005 - 09h57: |
ElsaAAAA....! Tu dors..? Mais celà ne t'empêche pas de m'envoyer mon FRIC....!!!
Après la bonne nouvelle d 'en bas, béch en sabah ââliq...!
Par Albert (Albert) le dimanche 10 avril 2005 - 09h33: |
Mariage CHARLES/CAMILLA BOWLES...
Quel BOL ce mariage entre deux enterrements
et deux deuils.
Mejelem gbir...( Kif le khrââ)
Par Breitou (Breitou) le jeudi 07 avril 2005 - 22h26: |
ANNIVERSAIRE DU PTB ..AN III...
Albert Siméoni
Récit policier.
Paris le 4/09/2004.
Passe le 4/04/2005.
LA MALCHANCE.
Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.
Dans les principaux rôles
L’actrice………………….Jeanne Sullivan.
La jeune fille……………. Claude Chaveau.
La maman………………. Sandra Chaveau.
Le papa…………………. Bernard Chaveau.
Le copain de Claude……..Guillaume Goujon
La maman de Guillaume…Germaine Goujon.
Le vieux retraité………… Armando Santoni.
Le chauffeur……………. Vincenzo Maldini.
Le bras droit maffieux……Enrico Valdez….Alias ‘Il luppo..’
Le préfet………………….Mr Charles Lander.
Le directeur de Boulakia…Robert Chetboun.
La concierge…………… .Mme Emmanuelle Alvarez.
La production……………Atlas-Production.
Le projectionniste……….Richard Assouline.
Le commandant Foucault…Alain Roche.
Le directeur de production ARGUS PRODUCTION…..Mr Alibert Jean.
Le jeune caméraman……..Guy Barin.
L’inspecteur Boulakia.
Son collègue Gilbert.
Rue de Rennes. A Paris. 14 heures 58.
Une équipe de la télévision française tourne le dernier plan de son film ‘ ….LA MALCHANCE… !’ La principale actrice aperçoit son amoureux de loin. Gros plan sur son visage puis, la caméra s’éloigne tout en suivant sa course ; elle va rejoindre son fiancé, à travers la cohue de figurants. Ils s’enlacent et la caméra s’éloigne pour montrer toute la rue en perspective.
A cet instant, une voiture démarre lentement du côté paire de la rue, juste au moment où le plan est termine une jeune fille, étrangère au film , tombe à terre, derrière une voiture en arrêt. Toute la production plie bagages.
Quelques minutes plus tard, les badauds s’aperçoivent que la jeune fille, allongée sur l’asphalte est inerte. Un médecin présent sur les lieux, se rend compte que la jeune fille saigne du côté de la nuque. Comme foudroyée . Il appelle sur son portable les services d’urgence. Les secours, sur place, constatent que celle ci est décédée d’une balle dans la tête, à hauteur de la nuque.
La police est sur les lieux. Un cordon de sécurité est établit , toute la rue est barrée. Trois cars de policiers sont stationnes et l’inspecteur Boulakia est appelle en renfort. Pendant ce temps, les flics interrogent les premiers badauds qui ne sont rendus compte de rien ; plus occupés à suivre la fin du tournage alors que la jeune fille gisait sur le sol dans un petit ruisseau de sang.
L’équipe de Boulak commence son travail préliminaire. On photographie le corps de la jeune fille sous tous les angles ; la position de la jeune défunte, allongée , est tracée par de la craie, sur le bitume. L’inspecteur conclut que la demoiselle est morte sur le coup par un coup de feu tiré à faible distance, par un silencieux puisque personne n’a entendu de détonation.
‘…Gilbert vérifie les papiers de la jeune fille … ! Tu me donnes l’adresse de son home….Ou de ses parents… ! ’
Une heure plus tard…A Maisons-Alfort.
‘…Je suis bien chez Mr et Mme Chaveau… ?’
‘…Oui Monsieur… !’
‘…Inspecteur Boulakia, Monsieur… ! Puis-je entrer…. ?’
‘…Oui, bien sur, rentrez donc… !’
‘…Je suis venu expressément vous voir avant que les journaux s’emparent de l’affaire… ! Il est arrivé quelque chose de grave, Monsieur Chaveau… ! Votre fille… !’
‘…Ma fille …. ?’
‘…Oui monsieur…. ! Claude, votre fille a été tué il y a une heure trente….Sur le coup… ! Rue de Rennes… !’
Le père à la nouvelle s’effondre. Sa femme appelle de toute urgence le SAMU. Quand il se réveille à la salle d’urgence, il ne peut parler, il a perdu la parole sous le choc. Un autre drame s’ajoutait à la tragédie. C’est sa femme Sandra, le lendemain matin qui courageuse, doit répondre aux premières questions de l’inspecteur. A l’hôpital, le cas de mon monsieur Bernard est très sérieux. Il est transféré dans un service spécialisé pour soins intensifs dû à un traumatisme approfondi.
‘…Madame Chaveau, parlez moi de votre fille… ? Ce genre de meurtre est une exécution… !’
‘…Tout le monde vous parlera d ‘elle en bien, pas de dérive, rien, ma fille est ce qu’on appelle une fille rangée, aucune compagnie qui puisse soulever des doutes sur elle… ! Rien pas le moindre doute… ! Je ne comprends pas, elle est sortie acheter des fringues ce jour là… !’
‘…En effet, nous avons trouvé ça, près d’elle, des vêtements de marque. Nous avons interrogé le commerçant , elle était seule.. ! A t’elle un ami, un flirt… ?’
‘…Oui , Guillaume, quelqu’un de bien … ! ils s‘aiment très fort… ! Sa famille habite de l’autre côté de la route, le pavillon d’en face… !’
‘…Je vais en profiter, pour les interroger… ! J’ai encore besoin de vous, il vous faut du courage… ! Madame Chaveau… ! La reconnaissance du corps.. à la morgue ! Une règle dans ce genre d’affaire, ensuite on vous le restituera… !’
‘…Vous me parlez d’exécution, je n’ai pas compris… ?’
‘…Ce genre d’assassinat, n’est pas courant. Il n’y a que le milieu qui puisse agir ainsi…. ! Et encore, en général ils tirent par devant, jamais par derrière, c’est une règle d’honneur chez eux , et là, je me perds en conjectures… ! En plein midi, devant témoins…. ! Quoique cela leur arrive de le faire en toutes circonstances…. ! C’est étrange… !’
‘…Que vient faire ma fille, dans ces réglementes de compte… !’
‘…Que fait votre mari, comme travail…. ?’
‘…Il est responsable chez DARTY, depuis plus de 25 ans… ! Un homme tranquille, aimant ses enfants, nous en avons trois… ! Deux à présent… !’
Elle se mit à pleurer. ‘…Nous sommes désespérés… !
A suivre….
Albert Siméoni
Récit policier.
Paris le 4/09/2004.
LA MALCHANCE II
Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.
‘…Je comprends votre douleur… ! Mais j’aurai les ou l’assassin de votre fille.. !’
Demain, donc à la morgue, Madame… ! Courage… !’
Mme Chaveau prit congé de son hôte.
L’inspecteur se dirigea vers la famille de Guillaume Goujon.
Il sonne à la porte du pavillon.
La porte s’ouvre automatiquement.
‘…Bonjour Madame, excusez moi, je suis l’inspecteur Boulakia… !’
‘…Entrez inspecteur… !’
‘…Etes vous au courant…. ?’
‘…Non…. ? Que se passe t ‘il… ?’
‘…Guillaume est il là, Madame… ?’
‘…Oui, il vient de rentrer, et il téléphone à sa copine Claude depuis une heure, il lui a laissé au moins plus de dix messages… !’
‘…Dites lui de venir… !’
Le jeune homme descend de sa chambre avec le portable collé à l’oreille…
‘…Réponds merde… ! Réponds…Enfin… !’
‘…Elle ne répondra plus Guillaume… !’
‘…Qui êtes vous… ?’
‘…C’est l’inspecteur Boulakia… ! Guillaume… !’
‘…Enchanté Inspecteur… ! Je dois …. ! Comment ça plus…. ?’
‘…Elle a été tué, il y a une heure…. ! Rue de Rennes… !’
Guillaume lâcha le portable qui se désossa sur le sol…
‘…Comment dites vous…. ?’
L’inspecteur lui relata les faits…
‘…Guillaume, vous sentez vous bien… ?’
Le jeune homme le regard hagard avait peine à comprendre ce que lui racontait l’inspecteur…
Sa maman..
‘…Guillaume, tu ne te sens pas bien… ?’
‘…Non… !Non.. ! Ca va… ! Tuée… ? Mais qu’est ce qu’elle a fait pour être tuée… ?’
‘…Rien, c’est ce que nous cherchons à savoir, mon équipe et moi… ! Fumait t’elle de la drogue…. ? Nous ne devons rien laisse au hasard… ! ’
‘…Claude… ??? De la drogue… ? Où avez vous trouvé ça… ?’
‘…Je suis désolé d’en parler, je dois explorer toutes les pistes… ! Je me dis que peut être à votre insu… ! Elle aurait pu en prendre et ne pas payer son fournisseur… !Un hypothèse parmi tant d’autres… !’
‘…Non, pas du tout, elle était saine… ! Excusez moi, je ne me sens pas bien… !’
‘…Bon, je vais vous laissez… ! Si j’ai besoin de vous, je vous en ferais part, Guillaume.. !’
L’état de Bernard, le papa de Claude, n’évoluait pas dans le bon sens. Bien qu’il fut prit en charge par le meilleur spécialiste du moment, le professeur Bertrand, connu dans ce genre de traumatismes. Il estima que son patient était dans une phase sérieuse et qu’il fallait patienter. Ce qui bien sur était catastrophique pour la famille qui espérait un rétablissement rapide de leur père et mari.
A suivre..
Par Albert (Albert) le jeudi 07 avril 2005 - 20h04: |
Par Albert (Albert) le jeudi 07 avril 2005 - 14h56: |
Tawfiq dis moi, ne serait tu pas descendant de ces juifs INDIENS..???? Dés fois...A cause de ton nez et en plus avec ton HUMOUR JUIF...je me pose cette pathètique question..
Par Breitou (Breitou) le jeudi 07 avril 2005 - 14h52: |
LES MEMOIRES D’ UN GOULETTOIS
L’ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT)
A CHACUN SA GOULETTE.
18/6/89
‘…..L’HONNEUR DU BRAS….’
LES QUATRE SIGNES DE l’APOCALYPSE
Bien que déplaçè et offensant, le bras d’honneur, comme tous les autres signes qui vont suivre, se traduit littéralement par un ‘Va te faire fou…lancé de loin ( jamais de près) par toute personne polie ou ‘ vertueuse’ envers celle ou celui qui s’est senti vexé dans un moment de colère.
Il est pratiquement unisexe. Et de tout âge. Les manchots et les culs jattes malheureusement, échappent à la règle. Faire un pied d’honneur – à ne pas confondre avec un pied de nez ou un pied de biche - relève du trapèze. Inexistant. Ce geste déplacé se fait en général dans les lieux publics et sur les terrains omnisports. Toujours à distance. Le bras d’honneur en voiture est monnaie courante pour celui qui se fait doubler, éblouir ou ‘klaxonner’. Plus pratique si celle çi possède un toit ouvrant- En sort le bras gauche et on signe coté chauffeur. En Angleterre, c’est à droite. Aujourd’hui ce bras est peu d’actualité, rarissime, puisqu’il est remplacé par le majeur ‘en érection’ sur un poing fermé pour les hommes et…… les femmes aussi. Etrange.
Il faut reconnaître que cela ne nécessite pas un grand effort.
Deux signes ont cependant disparus. Adolescent nous levions le majeur -en lui ‘insufflant’ quelques vas -et- viens -d’entre les autres doigts repliés ce qui voulait dire ‘Va te faire niq….’ Une variante était de former un rond avec le pouce et l’index de la main droite tandis que le majeur gauche, toujours en érection venait pénétrer par devant le trou. Ce qui signifiait ‘Espèce de tata..’ ‘Pédè..’ Touyabèh’ ‘Encu…’….Gestes répétés à l’envie. Ces ‘figurines imposées ’ font partie de notre patrimoine que je me devais d’honorer. Nous en avons usé et abusé dans notre jeunesse. L’école n’ètant pour rien dans cet apprentissage, les cours de récrés en firent les frais. Témoins silencieux et consentants. Les cafés en souffrirent aussi.
Parfois pour préserver un individu ‘sain’ d’un ‘efféminé’, les avertis faisaient à son encontre et insu le geste fatidique. Attention danger.
Certains, proches de l’apoplexie, ‘s’ingéniaient ‘, pour marquer encore plus leur colère, à croiser les mains à hauteur de la braguette, couvrant ainsi leur ‘ attributs épithètes’ tout en lançant envers le préposé ‘Aouwe rkhoud Zè..i’ ( Tiens prends ma bi….). Une marque de distinction. Comme si cette chose pouvait s’offrir.
La ‘Fakoussa’ ou (concombre) consistait a tenir son poignet tout en le ‘frétillant’ Il s’accompagnant en général de clins d’œil et de quelques ‘Tlek el Fess’ ( cuire un œuf) faits avec la langue pincée entre les dents et les lèvres envers le ‘mal éduqué.
D’autres plus entreprenants, et voulant signifier à ‘l’adversaire’ que c’est un ‘encul…’ n’hésitent pas à ‘tourniquer a moitié ‘ sur eux même en se tapotant la fesse avec grimaces et convictions. Un regard méchant accompagnait le geste. Mimique encore courante chez certains préposés.
‘Le bapsage ‘ ou ‘passer une datte ‘ était un amusement pour jeunes écoliers en mal de distraction. A cette époque.
Toutes ces délicatesses ont disparu de nos jours puisque nos enfants sont bien élevés et que nous avons proscrit ces ‘mal séances’.
On ne gesticule plus. On invective. Quelques bras d’honneur et beaucoup d’index en érection ont survécu à cette gestuelle .Ils ont encore de beaux jours devant eux.
Il faut bien sauvegarder quand même une certaine espèce. Signe des anciens temps modernes.
ANECDOTE/
Voulant ramasser un outil tombé et présentant mon postérieur face à mon ouvrier, un noir,
Ce dernier eut une réflexion pertinente et délicate …..
‘MAYATCHE TABESS EKKEH…….BABOUSS EL CHITAN HEY…’
(NE TE COURBES PLUS AINSI… LA QUEUE DU DIABLE EST VIVANTE)
Autrement dit, une mauvaise intention l’a effleurée.. moi… son patron. On veut niquer que les riches. A défaut de prêter le flanc.
Pour les absents, qu’ils se consolent, l’article repassera dans six mois ‘Ourass baba Fartouk.’.
Par Albert (Albert) le jeudi 07 avril 2005 - 14h39: |
LA DOUDA Ecoute, tu nous a trompe ce n'est pas une brik, mais un BRAS D 'HONNEUR que tu nous fais...FOKT BIK....