Archive jusqu'au 26/avril/2005

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archives 2005: Archive Avril 2005: Archive jusqu'au 26/avril/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 26 avril 2005 - 20h40:

....L 'OUBLIE...OU SIMON ET SHIRLEY...IX..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 26 avril 2005 - 13h15:

Ma chére Lalla afin de vous conforter dans mes gouts culinaires sachez que j'ignore comment sont les CARPES...:) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 26 avril 2005 - 09h10:

....Ce soir...Compte rendu d'une visite GUIDEE par LALLATOLA ET SHIRATOLA, nos deux jeunes guides SPIROU..TUELS CENTS.....Dans un KIBOUTZ.....RANCH LETSION HARISSA..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 26 avril 2005 - 09h07:

Je mets MES CAPRES SUR MES CARPES.....Tawfiq..
Mon texte lui a tellement plus au modérateur qu'il a laissé son doigt bloquè sur LA CARPIER...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mardi 26 avril 2005 - 04h33:

bon,biber,comme il ne faut pas trop deconner sur adra je te rejoins ici chez nous pour continuer avec les carpes.
d'abord,tu en as des petites ou bien des grandes?
les petites bien entendu ce sont des carpettes,ou bien ce sont des turques qui viennent des carpates (a quatre pattes).ou bien a quatre pates,comme tu veux tu choise,spaghetti,rav ioli ect....
et les capres.qu'es ce que tu en fais?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 25 avril 2005 - 23h51:

AVEC DEUX GUIDES....MTA RABI....Je vois d'ici la scéne....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 25 avril 2005 - 23h50:

DEMAIN...SKETCH....JACOUMINOU EN SHORT ET BERET BASQUE EN ISRAEL....MTA KIF...JE LE VOIS D ICI AVEC SES PETITES GAMBETTES BLANCHES...Une pioche à la main et un sceau d'eau entrain d'irriguer un SILLON....AHAHAHA...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 25 avril 2005 - 23h30:

HONNI SOIT QUI CARPE Y PENSE....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 25 avril 2005 - 23h25:

YE TAWFIQQQQQQQQQQQQQ...ESDALLEK AAL CARPES LEJEUJ EHDOU...?????N Il n'y a que toi qui a échapper AU CARPAGE...Parce que toi tu ES UN BON MULET ...COMME MOI JE SUIS UN ANE BATE....:) :):)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 25 avril 2005 - 23h21:

Je ne parle pas des CARPES ELSA ou Mamili, ces deux là sont bonnes pour la COCOTTE MINUTE….

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le lundi 25 avril 2005 - 23h12:

..HISTOIRE DE CARPES SUR ADRA....J'ESPERE QU ELLE PASSERA...!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le lundi 25 avril 2005 - 23h09:

Albert Siméoni

Récit policier.

Paris le 4/09/2004.
Passe le 4/04/2005.


LA MALCHANCE.

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Dans les principaux rôles

L’actrice………………….Jeanne Sullivan.
La jeune fille……………. Claude Chaveau.
La maman………………. Sandra Chaveau.
Le papa…………………. Bernard Chaveau.
Le copain de Claude……..Guillaume Goujon
La maman de Guillaume…Germaine Goujon.
Le vieux retraité………… Armando Santoni.
Le chauffeur……………. Vincenzo Maldini.
Le bras droit maffieux……Enrico Valdez….Alias ‘Il luppo..’
Le préfet………………….Mr Charles Lander.
Le directeur de Boulakia…Robert Chetboun.
La concierge…………… .Mme Emmanuelle Alvarez.
La production……………Atlas-Production.
Le projectionniste……….Richard Assouline.
Le commandant Foucault…Alain Roche.
Le directeur de production ARGUS PRODUCTION…..Mr Alibert Jean.
Le jeune caméraman……..Guy Barin.
L’inspecteur Boulakia.
Son collègue Gilbert.


Rue de Rennes. A Paris. 14 heures 58.

Une équipe de la télévision française tourne le dernier plan de son film ‘ ….LA MALCHANCE… !’ La principale actrice aperçoit son amoureux de loin. Gros plan sur son visage puis, la caméra s’éloigne tout en suivant sa course ; elle va rejoindre son fiancé, à travers la cohue de figurants. Ils s’enlacent et la caméra s’éloigne pour montrer toute la rue en perspective.
A cet instant, une voiture démarre lentement du côté paire de la rue, juste au moment où le plan est termine une jeune fille, étrangère au film , tombe à terre, derrière une voiture en arrêt. Toute la production plie bagages.

Quelques minutes plus tard, les badauds s’aperçoivent que la jeune fille, allongée sur l’asphalte est inerte. Un médecin présent sur les lieux, se rend compte que la jeune fille saigne du côté de la nuque. Comme foudroyée . Il appelle sur son portable les services d’urgence. Les secours, sur place, constatent que celle ci est décédée d’une balle dans la tête, à hauteur de la nuque.

La police est sur les lieux. Un cordon de sécurité est établit , toute la rue est barrée. Trois cars de policiers sont stationnes et l’inspecteur Boulakia est appelle en renfort. Pendant ce temps, les flics interrogent les premiers badauds qui ne sont rendus compte de rien ; plus occupés à suivre la fin du tournage alors que la jeune fille gisait sur le sol dans un petit ruisseau de sang.
L’équipe de Boulak commence son travail préliminaire. On photographie le corps de la jeune fille sous tous les angles ; la position de la jeune défunte, allongée , est tracée par de la craie, sur le bitume. L’inspecteur conclut que la demoiselle est morte sur le coup par un coup de feu tiré à faible distance, par un silencieux puisque personne n’a entendu de détonation.

‘…Gilbert vérifie les papiers de la jeune fille … ! Tu me donnes l’adresse de son home….Ou de ses parents… ! ’

Une heure plus tard…A Maisons-Alfort.

‘…Je suis bien chez Mr et Mme Chaveau… ?’
‘…Oui Monsieur… !’
‘…Inspecteur Boulakia, Monsieur… ! Puis-je entrer…. ?’
‘…Oui, bien sur, rentrez donc… !’
‘…Je suis venu expressément vous voir avant que les journaux s’emparent de l’affaire… ! Il est arrivé quelque chose de grave, Monsieur Chaveau… ! Votre fille… !’
‘…Ma fille …. ?’
‘…Oui monsieur…. ! Claude, votre fille a été tué il y a une heure trente….Sur le coup… ! Rue de Rennes… !’

Le père à la nouvelle s’effondre. Sa femme appelle de toute urgence le SAMU. Quand il se réveille à la salle d’urgence, il ne peut parler, il a perdu la parole sous le choc. Un autre drame s’ajoutait à la tragédie. C’est sa femme Sandra, le lendemain matin qui courageuse, doit répondre aux premières questions de l’inspecteur. A l’hôpital, le cas de mon monsieur Bernard est très sérieux. Il est transféré dans un service spécialisé pour soins intensifs dû à un traumatisme approfondi.

‘…Madame Chaveau, parlez moi de votre fille… ? Ce genre de meurtre est une exécution… !’
‘…Tout le monde vous parlera d ‘elle en bien, pas de dérive, rien, ma fille est ce qu’on appelle une fille rangée, aucune compagnie qui puisse soulever des doutes sur elle… ! Rien pas le moindre doute… ! Je ne comprends pas, elle est sortie acheter des fringues ce jour là… !’
‘…En effet, nous avons trouvé ça, près d’elle, des vêtements de marque. Nous avons interrogé le commerçant , elle était seule.. ! A t’elle un ami, un flirt… ?’
‘…Oui , Guillaume, quelqu’un de bien … ! ils s‘aiment très fort… ! Sa famille habite de l’autre côté de la route, le pavillon d’en face… !’
‘…Je vais en profiter, pour les interroger… ! J’ai encore besoin de vous, il vous faut du courage… ! Madame Chaveau… ! La reconnaissance du corps.. à la morgue ! Une règle dans ce genre d’affaire, ensuite on vous le restituera… !’
‘…Vous me parlez d’exécution, je n’ai pas compris… ?’
‘…Ce genre d’assassinat, n’est pas courant. Il n’y a que le milieu qui puisse agir ainsi…. ! Et encore, en général ils tirent par devant, jamais par derrière, c’est une règle d’honneur chez eux , et là, je me perds en conjectures… ! En plein midi, devant témoins…. ! Quoique cela leur arrive de le faire en toutes circonstances…. ! C’est étrange… !’
‘…Que vient faire ma fille, dans ces réglementes de compte… !’
‘…Que fait votre mari, comme travail…. ?’
‘…Il est responsable chez DARTY, depuis plus de 25 ans… ! Un homme tranquille, aimant ses enfants, nous en avons trois… ! Deux à présent… !’

Elle se mit à pleurer. ‘…Nous sommes désespérés… !

A suivre….

Albert Siméoni

Récit policier.

Paris le 4/09/2004.


LA MALCHANCE II

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Résumé du chapitre précèdent…
Lors d’une fin de tournage, une jeune fille Claude Goujon, tombe, foudroyée derrière une voiture. Pour une raison inconnue. L’inspecteur Boulak est sur les lieux. Il commence ses investigations. Le père de la jeune fille s’effondre sous le choc, il perd la parole. L’inspecteur parle d’exécution’….

‘…Je comprends votre douleur… ! Mais j’aurai les ou l’assassin de votre fille.. !’
Demain, donc à la morgue, Madame… ! Courage… !’

Mme Chaveau prit congé de son hôte.
L’inspecteur se dirigea vers la famille de Guillaume Goujon.
Il sonne à la porte du pavillon.
La porte s’ouvre automatiquement.

‘…Bonjour Madame, excusez moi, je suis l’inspecteur Boulakia… !’
‘…Entrez inspecteur… !’
‘…Etes vous au courant…. ?’
‘…Non…. ? Que se passe t ‘il… ?’
‘…Guillaume est il là, Madame… ?’
‘…Oui, il vient de rentrer, et il téléphone à sa copine Claude depuis une heure, il lui a laissé au moins plus de dix messages… !’
‘…Dites lui de venir… !’

Le jeune homme descend de sa chambre avec le portable collé à l’oreille…
‘…Réponds merde… ! Réponds…Enfin… !’
‘…Elle ne répondra plus Guillaume… !’
‘…Qui êtes vous… ?’
‘…C’est l’inspecteur Boulakia… ! Guillaume… !’
‘…Enchanté Inspecteur… ! Je dois …. ! Comment ça plus…. ?’
‘…Elle a été tué, il y a une heure…. ! Rue de Rennes… !’

Guillaume lâcha le portable qui se désossa sur le sol…

‘…Comment dites vous…. ?’

L’inspecteur lui relata les faits…

‘…Guillaume, vous sentez vous bien… ?’

Le jeune homme le regard hagard avait peine à comprendre ce que lui racontait l’inspecteur…

Sa maman..

‘…Guillaume, tu ne te sens pas bien… ?’
‘…Non… !Non.. ! Ca va… ! Tuée… ? Mais qu’est ce qu’elle a fait pour être tuée… ?’
‘…Rien, c’est ce que nous cherchons à savoir, mon équipe et moi… ! Fumait t’elle de la drogue…. ? Nous ne devons rien laisse au hasard… ! ’
‘…Claude… ??? De la drogue… ? Où avez vous trouvé ça… ?’
‘…Je suis désolé d’en parler, je dois explorer toutes les pistes… ! Je me dis que peut être à votre insu… ! Elle aurait pu en prendre et ne pas payer son fournisseur… !Un hypothèse parmi tant d’autres… !’
‘…Non, pas du tout, elle était saine… ! Excusez moi, je ne me sens pas bien… !’
‘…Bon, je vais vous laissez… ! Si j’ai besoin de vous, je vous en ferais part, Guillaume.. !’

L’état de Bernard, le papa de Claude, n’évoluait pas dans le bon sens. Bien qu’il fut prit en charge par le meilleur spécialiste du moment, le professeur Bertrand, connu dans ce genre de traumatismes. Il estima que son patient était dans une phase sérieuse et qu’il fallait patienter. Ce qui bien sur était catastrophique pour la famille qui espérait un rétablissement rapide de leur père et mari.

A suivre..

Albert Siméoni

Récit policier.

Paris le 4/09/2004.


LA MALCHANCE III

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Résumé des chapitres précédents…
Lors d’une fin de tournage, une jeune fille Claude Goujon, tombe, foudroyée derrière une voiture. Pour une raison inconnue. L’inspecteur Boulak est sur les lieux. Il commence ses investigations. Le père de la jeune fille s’effondre sous le choc, il perd la parole. L’inspecteur parle d’exécution. Il annonce le décès de la jeune fille à la famille de son copain Guillaume, qui n’en revient pas par cette nouvelle….’

L’inspecteur, dans son bureau, mit plus de dix agents sur l’affaire.

‘…Gilbert… ! Tu vas t’occuper à chercher dans le ‘ milieu’. Je veux des indices, quelque chose pour orienter l’enquête. Le préfet me harcèle, presque heure par heure, Il veut être tenu au courant de l’affaire. L’assassinat de cette jeune fille en plein midi et en pleine rue, l’empêche de ‘dormir ‘ comme il me l’a dit…. ! Nous n’avons rien pour l’instant, la fille est clean, rien qui ne puisse m’orienter vers une quelconque affaire précise… ! Quel mystère… ! Je nage dans le brouillard… !’

Boulakia délaissa toutes les affaires en cours pour s’occuper exclusivement de celle là. Aucun mobile apparent ne venait effleurer son esprit.

Il décida d’aller sur le lieux du drame. Avec les photos de la jeune fille en main, gisant à terre.
Pour essayer de vérifier certains éléments qui auraient pu échapper à la vigilance de son équipe dans la cohue.
Les terrasses des cafés étaient bondées de monde. Des jeunes couples sirotaient, le regard caché sous des lunettes de soleil, des sodas et autres boissons alcoolisées. Sans se douter qu’il y à peine deux jours, une jeune fille était assassinée, sans doute pour rien. Pas très loin de leurs boissons rafraîchissantes. Les traces de craie du corps de la jeune fille dessinée dans la position allongée ne s’étaient pas effacées. Il lisait le rapport de son ami Gilbert. Il recalcula la distance approximative entre le corps et le coup de feu supposé.
Surtout que ce dernier a été tiré à hauteur d’homme. Il sonna à la porte d’un immeuble cossu. Un dame vient lui ouvrir..

‘…Pardon, Madame, je voudrais parler à la concierge de l’immeuble… !’
‘…C’est moi… ! Qui êtes vous.. ?’
‘…Inspecteur Boulakia… ! Madame…… !’
‘…Madame Alvarez… !’
‘…Oui Madame Alvarez… ! Je voulais vous poser quelques questions au sujet de l’incident d’il y a deux jours… !Avez vu ou entendu quelque chose… ?’
‘…Vous savez, je suis une femme accrochée à la télé, je regardais mon feuilleton, le télé film à cette heure là, les FEUX DE L AMOUR… ! Je me rappelle seulement que lorsque j’ai fermé les volets à cause du soleil qui inonde ma chambre, je ne supporte pas la chaleur, j’ai vu une voiture grise qui démarrait lentement, elle était en stationnement… Là de ce côté pas loin de ma fenêtre…!’
‘…Grise… ? La marque… ?’
‘…Oh pour moi, elle se ressemble toutes, inspecteur… ! Je vais vous montrer.. !’

Ils sortirent dans la rue et la portugaise lui désigna sur place l’endroit d’où la voiture démarra….

L’inspecteur jaugea que la distance entre le départ du coup de feu et l’impacte était bonne mais de là à conclure qu’elle venait de la voiture, il y avait un pas qu’il s’interdisait de franchir, cependant il était perplexe…Cette voiture le chiffonnait, une étrange coïncidence…
Se dit il…

‘…Le coup de feu est parti de là… !’
‘…Je ne comprends rien à tout cela, inspecteur… !’
‘…Cette voiture grise était petite ou grande… ?’
‘…Une voiture de luxe, comme celle que l’on voit dans les films de gangsters… ! ‘
‘…Comme celles que l’on voit dans les films de bandits… ? De la maffia vous voulez dire… ?’
‘…Oui exactement… !’
‘…Ecoutez si je vous montre demain des photos de voiture sauriez vous la reconnaître.. ?’
‘…Oui, pourquoi pas.. !’
‘…Demain à 11 heures au bureau, tenez voici ma carte de visite, merci madame… ! Ah… ! Si vous vous souvenez autre chose, appelez moi… ! N’hésitez pas … ! Encore merci... !’

L’enquêteur Boulakia tenait, enfin, peut être quelque chose.

Le lendemain matin, Madame Alvarez, était dans le bureau de l’inspecteur.

‘…Bonjour, Madame Alvarez, asseyez vous là , mon collègue que vous voyez , Richard, va vous proposez une série d’images de voitures, prenez votre temps et essayez de vous rappeler,
prenez votre temps, c’est important… !’
‘…Ca fait deux fois que vous me le dites, je ne suis pas sénile inspecteur… !’
‘…Allons y… ! Richard envoie les diapositives… !’

A suivre…

Albert Siméoni

Récit policier.

Paris le 4/09/2004.


LA MALCHANCE IV

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Résumé des chapitres précédents…
Lors d’une fin de tournage, une jeune fille Claude Goujon, tombe, foudroyée derrière une voiture. Pour une raison inconnue. L’inspecteur Boulak est sur les lieux. Il commence ses investigations. Le père de la jeune fille s’effondre sous le choc, il perd la parole. L’inspecteur parle d’exécution. Il annonce le décès de la jeune fille à la famille de son copain Guillaume, qui n’en revient pas par cette nouvelle. L’inspecteur retourne sur les lieux de l’affaire. Il se hasarde à parler à la concierge de l’immeuble, Mme Alvarez. Elle lui apprend qu’une voiture grise, dont elle ne connaît pas la marque, démarrait juste au moment de l’incident. La portugaise est dans le bureau de l’inspecteur. On va lui faire visionner des modèles de voitures. ’

Richard, lentement commença sa projection. L’inspecteur toisait la concierge essayant de lire dans ses yeux, un début de reconnaissance d’indice. Les images défilaient une à une. Puis…

‘…Attendez inspecteur… !’
‘…Oui, madame Alvarez… !’ L’inspecteur bondit de sa chaise.
‘…Là celle là, c’est bizarre, on dirait elle… !’
‘…Agrandit Richard… !’
‘…Oui, c’est comme ça…Comme celle là… !Mais grise…. !’
‘…Métallisée vous voulez dire… ?’
‘…Oui grise, je vous dis… !’
‘…Une limousine 19…., dernier cri, ça alors, décapotable, elle vaut une fortune… !’
‘…Ah bon… ?’ Répondit la concierge…
‘…Vous êtes bien sure, Madame… ?’
‘….ALVAREZZZZ…….. ! Si vous commencez à oublier mon nom de famille… !’
‘…Non… !Non… ! Pas du tout… ! Merci… !C’est tout pour aujourd’hui… !’
‘…Et…. ! C’est tout… ?’
‘…Oui, merci pour votre collaboration… !’
‘…Dans mon pays on m’aurait donné de l’argent, ici en France, les collaborateurs ne sont pas payés… !’
‘…Mais vous venez de faire un acte civique…,’
‘…J’ai besoin d’argent pas d’acte civile…. !’
‘…Nous allons y réfléchir… !’
‘…Vous les français quand vous réfléchissez, c’est à dire que rien n’arrivera… !’
‘…Alors on y pensera… !’
‘…C’est pire… !’

Elle prit son couffin et salua les inspecteurs.

‘…Gilbert…. ! Des modèles comme ceux là, ne doivent pas courir les rues, à ce que je sache… ! Je veux la liste de tous les concessionnaires qui commercialisent cette marque… ! Dans deux heures, sur mon bureau… !’
‘…Il n’y a qu’un seul dans toute la France, le concessionnaire ZANETO…. !’
‘…Ok, ça va faciliter notre tache… ! Appelle le … !’

Quelques minutes plus tard, le fax grésille..

‘…Tiens nous avons la liste de tous les propriétaires de voitures de ce modèle.. ! Il y en a cinquante dans toute la France…. !’
‘…Vas y Gilbert, donne à chacun de nos amis, dix noms, et dis leur de les appeler, je veux connaître leur emploi du temps de ce jour là , avec précision, informe aussi les gendarmeries, je vois que certains d’entre eux sont loin d’ici, par contre, nous avons quatre modèles à Paris… !

Le préfet…Au téléphone.

‘…Alors, inspecteur, où en êtes vous…. ! Dans cette enquête… ?’
‘…Nous avançons à petits pas… ! Monsieur le Préfet… !’
‘…Je veux un condensé… !’
‘…Vous l’aurez demain… !
‘…Merci, inspecteur… !’

Le lendemain matin…

‘…Bon, Boulak, pour les modèles parisiens, deux d’entre eux, avaient leur voiture chez le concessionnaire pour la visite annuelle, l’un était en vacances, quand au quatrième, il est retraité, il ne conduit pas la voiture, c’est son chauffeur qui le guide, et hier il l’avait donné pour un réglage de phare, très tôt le matin pour l’a retirée le soir ; le concessionnaire l’atteste… !’
‘…Bon du côté des gendarmes…. ?’
‘…Il en manque quelques-uns… !’

L’inspecteur avait, sous les yeux, les trois quart des rapports de gendarmerie. Certains d’entre eux n’ont pas pu être rédigés de rapport et pour cause, ils étaient à l’étranger.

‘…Bon, travaillez sur ce que vous avez d’ abord, épluchez les… ! Très précisément… !
Bon, nous verrons pour le reste… ! Je vais aller voir le vieux retraité.. !’
‘…Mais il ne conduit pas… !’
‘…Oui, je sais, comment s’appelle t’il déjà…. ?’
‘…Santoni Armand… Il habite la région parisienne…!’
‘…Ca sonne comme l’Italia ça non.. ???’
‘…Oui, mais où est le rapport, des noms italiens, nous en avons des millions en France.. !’
‘…Son chauffeur… ?’
‘…Ah, ça je ne lui ai pas demandé.. !’
‘…Vas y appelle… !’

Trois minutes plus tard….

‘…Vincenzo Maldini… !’
‘…Encore un nom italien… ! J’ai rien contre les noms italiens, Gilbert, donc pas la peine de me poser de questions… !’
‘..Tiens, regarde le fax, il crépite… !’
‘…Encore des rapports de gendarmerie, sans doute quelques informations supplémentaires… ! Vérifie… ! Gilbert ces noms italiens me font chier… ! Va fouiller dans l’ordinateur et apporte moi ce qu’il te tombe dans les mains…J’ai comme un pressentiment… !’
‘…Ah .. !Bon .. ! Sur le meurtre…. ?’
‘…Va fouiner… ! Ah tiens le reste des rapports de gendarmerie, je veux que nos amis, les vérifient virgule par virgule, point par point… ! Je veux des condensés pour chacun d’entre eux dés fois que les gendarmes oublient un point essentiel…. ! On ne sais jamais… ! Je leur donne trois heures pour ce faire… !’

A suivre… PASSE LE 18/05/2005.


Albert Siméoni

Récit policier.

Paris le 4/09/2004.


LA MALCHANCE V

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Résumé des chapitres précédents…
Lors d’une fin de tournage, une jeune fille Claude Goujon, tombe, foudroyée derrière une voiture. Pour une raison inconnue. L’inspecteur Boulak est sur les lieux. Il commence ses investigations. Le père de la jeune fille s’effondre sous le choc, il perd la parole. L’inspecteur parle d’exécution. Il annonce le décès de la jeune fille à la famille de son copain Guillaume, qui n’en revient pas par cette nouvelle. L’inspecteur retourne sur les lieux de l’affaire. Il se hasarde à parler à la concierge de l’immeuble, Mme Alvarez. Elle lui apprend qu’une voiture grise, dont elle ne connaît pas la marque, démarrait juste au moment de l’incident. La portugaise est dans le bureau de l’inspecteur. On va lui faire visionner des modèles de voitures. Madame Alvarez reconnaît la voiture, une limousine 19…récente. Plus d’une cinquantaine circulent dans l’hexagone, qu’à cela ne tienne, l’inspecteur exige des informations sur les propriétaires. L’un d’entre eux intéresse l’inspecteur, il s’agit de la voiture d’un riche retraité, habitant la région parisienne, un italien du nom de Armando Santoni...Le téléphone sonne… ’


Dring….Dring…

‘…Oui, monsieur le Préfet…. ! Bien, pour l’instant nous sommes en pleine synthèse, nous avons une voiture métallisée de luxe de grande marque…Une limousine…!’
‘…Oui, vous me l’aviez dis déjà, c’est maigre… !’
‘…Nous allons interroger son proprio, un riche retraité italien.. !’
‘…Bien, jouez finement et surtout, ne communiquez à personne vos recherches.. !’
‘…Pas même à mon directeur Robert… ?’
‘…Surtout pas lui, c’est un ordre…. !’
‘…Je ne sais quoi dire… !’
‘…Ne dites rien… ! Au revoir… !’

Le Boulak raccroche le combiné. Il est perturbe par l’ordre du préfet. Cette étrange démarche le surprend…’ Surtout pas à lui… ! ‘ Comment ça surtout pas à lui… ! L’inspecteur parle tout seul quand son directeur rentre…

‘…Vous parlez tout seul, Boulakia… ?’
‘…Ecoutez, je vais passer outre, chef, le préfet me demande de ne pas vous informer sur le déroulement de l’enquête, il veut que je vous cache ma progression… !’
‘…Faites ce qu’il vous dit, et tu as eu beaucoup de courage de me le dire, et je vais te confier un secret. Nous avons lieu de croire qu’il trafique, il blanchit de l’argent sale, mais nous n’avons pas assez de preuves pour le faire tomber… !’
‘…De l’argent sale… ?’
‘…Une équipe spécialisée, dirigée par le Commandant Foucault enquête sur ces sociétés off-shore… ! Gardez ça pour vous… ! Bon, donnez lui donc ce qu’il désire et faites moi des copies… !’
‘…Merci… ! Robert, tu me soulages… !’
‘…Bon, alors où en es tu .. ?’
‘…Je peaufine… ! Tu en saura plus très bientôt.. !’
‘…Comment va le père de la jeune fille… ?
‘…La maman a reconnu le corps de sa fille…. ! C’était un insoutenable… ! Quelle dignité et courage… ! Son mari est encore à l’hôpital, mais je doute fort qu’il retrouve la parole. Son professeur espère… ! Il pense l’envoyer en Suisse dans le service du professeur Azenberg… !’
‘…Il faut un miracle…’
‘…Souhaitons lui ce miracle… !’


Tous les rapports sont sur le bureau du Boulak, établis par son groupe. Rien qui puisse soupçonner ces propriétaires d’être impliqués dans le meurtre.

‘…C’est désespérant… ! Gilbert… ! Nous allons tout droit vers la catastrophe… ! Si rien n’arrive… ! As tu trouvé quelque chose sur le chauffeur… ?’
‘…Il travaille chez son patron depuis 15 ans….43 ans… ! Nous n’avons aucun antécédent judiciaire sur lui… ! Il est natif de Armanza, un village de Sardaigne, pas loin de Cagliari… !’
‘…As tu sa photo… ?’
‘…Signe particulier, une calvitie au centre de son crane… !’
‘…J’aime pas ça car je ne connais pas de natifs en Sardaigne qui ne soit pas de près ou de loin mêlés à la maffia… ! Bon donne moi tout ça, je vais aller faire un tour… !’

L’inspecteur se rend une nouvelle fois chez la concierge…

‘…Madame, pouvez vous me dire, gratuitement, si vous avez vu le nombre de personne qui étaient dans la voiture… ?’
‘…Vous me l’avez pas demande, inspecteur… ?’
‘…Oui, j’en conviens, un oubli…. !’
‘…Deux, un devant, et un derrière, celui qui était derrière avait un trou dans la tête… !’
‘…Un trou ???? Vous voulez dire une calvitie… ?
‘…Oui, un trou sans cheveux… !’
‘…Attendez… ! Comme celui là…. ?’
‘…Oui, exactement… !’
‘…C’est lui alors… !’
‘…Mais je n’ai pas vu son visage, enfin…. !’
‘…Pardon, vous avez raison… ! C’est tout, merci pour votre gratuité… !’

Au bureau….

‘…Gilbert, on avance, pour la calvitie, madame Alvarez me confie que celui qui était par derrière assis dans la voiture avait une calvitie… !’
‘…Ils étaient deux… ?’
‘…Comment tu ne l’avait pas compris, un qui conduit et l’autre qui vise… ! ‘
‘…Qui vise qui enfin… ????
‘…Je ne sais pas…. !’
‘…Alors… !’
‘…Alors rien…. ! Je vais encore faire un tour… !’
‘…Oui, pour contrôler tous les chauves de Paris… !’
‘…Imbécile… !’

L’inspecteur n’en tenant plus va à la rencontre du vieux et riche retraité…
Il est devant un grand pavillon, à Garges-lès-gonesse, avec un immense jardin. Des tuyaux d’arrosage balaient la surface du gazon. Un jardinier entretien la pelouse.
L’inspecteur sonne. Une voix à l’accent italien…
‘…Si… ?’
‘…Pardon, monsieur Santoni… !’
‘…Ji ne suis pas Monsieur Santoni, qui vou êtes… ?’
‘…L’inspecteur Boulakia… ! Je voudrais parler à monsieur… !’
‘…Prègo, oun instant.. !’

A suivre….

Albert Siméoni

Récit policier.

Paris le 4/09/2004.


LA MALCHANCE VI

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Résumé des chapitres précédents…
Lors d’une fin de tournage, une jeune fille Claude Goujon, tombe, foudroyée derrière une voiture. Pour une raison inconnue. L’inspecteur Boulak est sur les lieux. Il commence ses investigations. Le père de la jeune fille s’effondre sous le choc, il perd la parole. L’inspecteur parle d’exécution. Il annonce le décès de la jeune fille à la famille de son copain Guillaume, qui n’en revient pas par cette nouvelle. L’inspecteur retourne sur les lieux de l’affaire. Il se hasarde à parler à la concierge de l’immeuble, Mme Alvarez. Elle lui apprend qu’une voiture grise, dont elle ne connaît pas la marque, démarrait juste au moment de l’incident. La portugaise est dans le bureau de l’inspecteur. On va lui faire visionner des modèles de voitures. Madame Alvarez reconnaît la voiture, une limousine 19…récente. Plus d’une cinquantaine circulent dans l’hexagone, qu’à cela ne tienne, l’inspecteur exigedes informations sur les propriétaires. L’un d’entre eux intéresse l’inspecteur, il s’agit de la voiture d’un riche retraité, habitant la région parisienne, un italien du nom de Armando Santoni...Le téléphone sonne…C’est le préfet, qui lui demande de garder le secret de l’instruction. L’inspecteur passe outre et se confie à son directeur hiérarchique, Robert. Boulak apprend par la bouche de son directeur, que le Préfet est un trafiquant et qu’il est suivi par une équipe indépendante de leur service. Il retourne voir la concierge et là , il apprend encore que deux hommes se trouvaient dans la voiture cet après midi là. L’un d’eux porte une calvitie.
Boulak est chez Mr Santini’


Au bout de trois minutes, le portail s’ouvre automatiquement…
Il rentre et se trouve en présence d’un majordome…

‘…Quelle est l’objet de votre visite, inspecteur.. ?’
‘…Juste quelques précisions, je ne serai pas long… !’
‘…Va bene… ! Je vè informè mon maestro… ! Attendez dans lè vestiboule… !’

Dans le vestibule l’inspecteur fait la connaissance des peintures naïves de grands maîtres ; il s’approche d’une armoire vitrée dans laquelle sont exposées de vieilles armes à feu de l’époque ancienne, des couteaux, poignards etc…Bien entretenues…Deux photos de la sainte Vierge aux visage de madone sont accrochées l’une face à l’autre, se dévisageant comme pour l’éternité. Il n’entend pas les pas du maître…

‘…Vous aimez les vieilles choses inspecteur… ?’
‘…Oh… ! Pardon, je ne vous ai pas entendu, c’est très beau… !’
‘…Je suis collectionneur d’armes à feu, une vieille passion ancestrale… ! Regardez cette arquebuse, elle date de 1492, je l’ai dénichée aux puces pour une bouchée de pain, … ! C’est mon plus beau spécimen… ! Aujourd’hui elle vaut une fortune… !’
‘…Je n’en doute pas… !’
‘…Quelle est l’objet de votre visite, inspecteur… ? Votre collègue m’a déjà interrogé sur ma voiture… ! je n’ai pas compris la raison d’ailleurs… !’
‘…Voilà… ! Je vais aller droit au sujet, il s’agit d’un meurtre qui est survenu à la rue de Rennes le …….vers les 15 heures… !’
‘…Oui, une malheureuse affaire, les journaux ont en parle… ! Pauvre jeune fille… !’
‘…Il s’agit d’un meurtre… ! Gratuit … ! Cet après midi là, une limousine grise métallisée est sortie d’un stationnement, à l’opposé, juste après le coup de feu… ! Un témoin me l’a certifié… ! Il a vu deux hommes assis dans la voiture… !’
‘…Oui, mais je crois avoir dis à votre collègue que ma voiture était chez le concessionnaire pour une vulgaire réparation … !’
‘…A quelle heure, votre chauffeur l’a remise et reprise.. ?’
‘…Mais je crois aussi, le lui avoir dis… ?
‘…Etes vous sur de l’heure de la reprise… ?’
‘…Oui… ! Mon chauffeur peut vous l’attestez encore une fois en votre présence… !
Attendez, je vais l’appelez… !’

Le vieux appuie deux fois sur une touche installé sous son bureau…Deux minutes plus tard, le chauffeur est là, devant eux..

‘…Vincenzo, dimi, tu m’as bien dis que tu avais remise la Mercedes le …vers les 9 heure du matin et que tu l’as reprises le soir même Alle 18 heures… ! He.. !’
‘…Si, maestro, je vous ai même donné la cartolina del garagio… !’
‘…Ah… ! Si, un momento… ! Je cherhe… !’

Le vieux farfouille dans l’un de ses tiroirs et là, il tire un bordereau…

‘…Tenez , Inspecteur, vérifiez par vous même… !’

L’inspecteur ne peut que lire la véracité des horaires.

‘…En effet, je constate… ! Je suis désolé de vous avoir dérangé… ! Je m’en excuse.. !’
‘…Mais de rien, je suis enchanté d’avoir fait la connaissance du plus fameux célèbre inspecteur de France.. ! Au revoir inspecteur… !’’


L’inspecteur déçu sort et se retrouve dans la rue…Il allume une clope et maugrée contre lui même..

‘…Quel con que je suis, mais quel con… ! Quelle bourde, ils doivent bien se marrer ces deux là, je les entends rire.. !’

Il rentre dans sa voiture…Son portable sonne…Le préfet..

‘…Merde, mais il me suit à la trace celui là… !’
‘…Bonsoir Monsieur le Préfet… !’
‘…Alors… ? Du nouveau…. ?’
‘…Je viens d’interroger monsieur Santini Armando… !’
‘…Comment le richissime collectionneur… ? Mais pourquoi donc… ?
‘…Pour rien, juste pour compléter quelques informations, je vous annonce que je vais me désister de l’affaire, je suis trop impliqué dedans et je ne vois plus clair.. !’
‘…A ce point… ?
‘…Oui, je n’ai aucun élément décisif en main qui puisse m’éclairer… ! Vous connaissez monsieur Santini, monsieur le Préfet… ?’
‘…Oui, je l’ai rencontré à une vente aux enchères, il y a longtemps, un vrai passionné des armes… ! Vous soupçonnez quelque chose à son égard… ?’
‘…Le chauffeur me paraît bien calme et sur de lui… !’
‘…Et…. ?’
‘…J’en déduis que… !’
‘…Que…. ?’
‘…C’est un homme bon… !’
‘…C’est tout… ?’
‘…Même très bon… !’
‘…C’est tout, vous me l’avez répète deux fois… ! Si vous le dites, bon je vous laisse…. ! Révisez votre copie, inspecteur… ! Il se peut que vous fassiez fausse route… !’
‘…Oui, je vais la réviser… !’

L’inspecteur informe son chef de la conversation.

A suivre…