Archive jusqu'au 23/mars/2007

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2007: Archive Mars 2007: Archive jusqu'au 23/mars/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 23 mars 2007 - 16h08:

Cette photo a étè prise sur le trottoir d'en face de la marbrerie de mon papa, rue Bab Souika et non Bab Carthagène.

A quelques métres en amont se trouve le magasin du papa de Jo FLACK. Dérrière nous,les indiens sans chevaux, le garage de Popaule Perez.

 LES INDIENS


Ici, la COMMUNION d'un cousin KAKICHE dans sa terrasse rue DELOUETI quartier de la HAFSIA.
Admirez la pose à ce fert.
A PARIS, depuis 35 ans, il était représentant des chocolats LEONIDAS. Il avait le monopole.

 COMMUNION DU FERT


Ici, avec mon papa et mon oncle Jo z'al.
Au pélerinage de Nabeul. Ziara. 7/10/952.

 ZIARA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 23 mars 2007 - 15h45:

ALBUM DE FAMILLE.


Mon papa ne nous refusait rien.

Ballade nocturne sur l'avenue Jules Ferry, mon frère Sauveur, le cadet.

 PROMENADE


Sur un sulky au Bélvèdaire.

 SULKY


Un tour de manége installè sur l'avenue Jules Ferry avec mon frère Sauveur.

 MANEGE


A l'aquarium de Salambo en compagnie de mon frère Sauveur, le cadet.

 AQUARIUM

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 23 mars 2007 - 15h01:

Elsa,

Je brule à petit feu.
Je vais exploser de l'interieur.
Dis lui que je ne cesserai pas de l'invoquer.
Si DIEULEVEUT non par DIEUDONE mais DEPARDIEU.

Je ne lacherai pas prise.
Et je te jure, que celà ne fait que commencer.

La patience est la vertu des SEIGNEURS.

Je vais lui faire des ODES...!

Impliques toi à fond et tu verras ce que je t'offre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lza (Lza) le vendredi 23 mars 2007 - 13h48:

C'EST DEVENU LA COMEDIE FRANCAISE ICI !!

REVIENS MAMILI !! YEJI MEL RKAIKA MTAAK !!!
IL EN PEUX PLUS LE MEC !! JEBTLOU L'ASSOB !!

DEMANDE UNE DISPENSE A PAPILI !!!

PLAIDE LA CAUSE DE L'INCONSCIENT !!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le vendredi 23 mars 2007 - 13h13:

Où est passè le GRUE MOT????


Sans doute qu'il se cache sous les lambris de la honte....!!!

Que l'on ne me dise pas qu'un sursaut de pudeur l'accable....!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 23 mars 2007 - 10h56:

Qu’eue été la justice
Par vos propos… ?
Que belles dames
Ressemblent à votre forme,
J’y consens, et j’en viens
Mais pas sur le fond de l’affaire.

J’ai cru un court instant
Avec justesse et équité
Que votre noble avis serait bien porté.
A la faveur de mon rang
Et de notre belle amitié.
Point de faveur mais un regard plus juste.
Et appropriè.


D’un décès annoncé
Sans réflexion,
On crucifia le sacripant
Comme une portée
Bien née avec haine
Et vilitude.


Deux vétérances
Actrices en errance
Qui ont un renom
Par ma grâce
Ont succombé aux charmes de la vengeance.


Mon ire ne s’est pas fait attendre
Madame de Girelle de la Prestance.
J’en ai fais des éclats sur le seuil du théâtre.
Car à choisir pour défendre mon honneur
Entre fuir et me taire, devant ce choix imposé
Ne point répondre, nul humain ne l’aurait fait sans détour,
J’ai tranché sur la réplique.


Du coup, bons amis apôtres
Hommes, femmes et enfants,
Se souvenant d’une pendaison de crémaillère
S’envolèrent à tire d’ailes, laissant sur le champ
La victime gisante, inconsciente
Sur son lit de détresse.

Un tel courroux, Madame,
Me fut insupportable.

Qu’aurais je aimé un certain réconfort
De vous au moins sur l’ombre de mon ombre
Mais voilà que la menue plèbe aussi s’est tue.

On m’entretint de frits cassés
Sous prétexte que l’excuse y était.
Au lieu et place de vulgaires condiments.

De Michka j’eus la compassion
D’Elsa la compréhension
De Mamili la réprobation.
De vous l’attention.


Votre luth à la main
Et genou à terre
Je vous suggère
De répandre sous leurs pas divins
Pétale de roses et jasmin.


Trop peu de choses
Que ces insignifiances.
J’ai pensé à des brouettes de bijoux et pierres précieuses
En olive pour la forme pour dénouer
Les faits mais au lieu, on fit main basse sur mon théâtre.
Je fus exproprié, excommunié.

Hélas Madame, aujourd’hui encore
Le salut ne m’es point parvenu.

Sur un rideau, j’ai pisse aux p’tits matins
M’abstenant d’en faire plus.
Retenant ma giclée de bronze sur le seuil
D’un certain champ.

Madame, je veille sur mes bons sentiments.
Par vous, l’approche de la joufflue me sera
Nécessaire, faites en part à la dame d’honneur
Puisque à ses yeux j’ai commis une horreur.
Vous en fûtes témoin à cette heure

D’innocent, je passe pour agresseur
Par la faute d’un frère assesseur
Assassin dans sa foulée
Qui m’a porté le coup de grâce
En un lieu de plaisance, semant trouble
Et deformation en cet espace de convenance
Par un écrit composé sous l’esprit de la tragèdie
Alors que la comédie ne faisait que débuter.
En ce lieu dit.
.

Albert de Lévinas.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le vendredi 23 mars 2007 - 09h43:

http://fr.news.yahoo.com/22032007/202/handicape-le-jour-karateka-le-soir.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 23 mars 2007 - 09h38:

Ils auraient étè cul cul la praline. :) :) :)
Je ne laisserai point paroles sans réponse.


Albert de Levinas.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le vendredi 23 mars 2007 - 00h28:

Qu'eut été Molière
Sans Madeleine
Qu'eut été Molière
Sans Armande
Je vous le demande?

Je vous le demande
A vous le saltimbanque
Le troubadour, le ménestrel
Vous qui laissâtes s'enfuir
Nobles dames qui de ce théâtre
Furent le sel.

Entêté que vous êtes
N'est il pas impudence
A vouloir contre nobles dames
Avoir raison?

Eûtes vous une fois, une seule
Raison face à votre mère?
Vîtes vous votre père
En pleine rébellion?
Allons depuis le berceau
Vous savez que vous n'avez pas raison.

Impudent que vous êtes
Vous osâtes dans votre pièce
Leur donner un rôle de muettes
A elle dont la verve et la drôlerie
Sont régal de l'esprit.

Qu'est ce théâtre,
Je vous le demande
Sans Elsa et Mamili?
Une journée sans soleil,
Un repas sans pain.

Votre luth à la main
Et genou à terre
Je vous suggère
De répandre sous leurs pas divins
Pétale de roses et jasmin.

Puissent vos talent de poète
De ménestrel, de troubadour
De Elsa et de Mamili
Nous rendre l'amour.

Impudent que vous êtes,
Qu'eût été Molière
Sans Madeleine
Qu'eût été Molière
Sans Armande
Je vous le demande?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 22 mars 2007 - 23h33:

'....Rabbi Breitou (ca vous va bien) MERCI mille fois de votre action pour les miskenim de Bet Shemesh. Je dois dire que je suis un peu etonnee de ton choix de photos. Chez nous a Bet Shemesh, les americains nous ont demande de surtout photographier les ethiopiens il parait que ca touche le public americain plus. blechi & tant pis pour les kahlouchim!!
petite precision: mercredi prochain c'est quelques 300 paquets qui vont etre distribues le matin et mercredi apres midi c'est 600 kgs de viande et de poulet que l'on va donner (et c'est neto gratos avec en prime 2 bouteilles de jus de raisin a chacun des inscrits). j'espere que des photos seront prises pour que je te les envois.
Kol Ha Kavod et que Dieu fasse que nous sortions tous veritablement d'Egypte avec le Machiah NOW!!

Sarah Lewkowicz....!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 22 mars 2007 - 23h28:

Mais vous ne savez pas pourquoi Mamili ne veut plus rentrer ici??? Moi je le sais à présent.
Depuis qqs heures.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 22 mars 2007 - 23h26:

Jo c'est moi parce que Mamili ne veut plus rentrer chez nous.

Je me sens si triste.