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Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Mai 2005: Archive jusqu'au 20/mai/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Latitesse (Latitesse) le vendredi 20 mai 2005 - 00h32:

L'hotesse de lundi vous attend avec votre canari. Mamili a reserve une chambre pour elle seule. Un conseil: arrivez la veille avec votre bagage.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mamili (Mamili) le jeudi 19 mai 2005 - 21h21:

MR.JANO
Arretez svp de me comparer à notre hotesse de Lundi!!!! Celà la flatte énormément !
Vous allez voir et bien sur vous rendre compte de votre erreur !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ins_Boulakia (Ins_Boulakia) le jeudi 19 mai 2005 - 21h31:

...BOULAK MENE L ENQUETTE.'



Albert Siméoni

Récit policier.
PASSE LE 5/05/2005…11/05/2005

Paris le 13/09/2004.

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Dans les principaux rôles…

Fabien Bellard……………………Le P.D.G. de la SARL…CONFIFRUITS.
Agnès Bellard……………………L’épouse du directeur.
Sylvia Jolie………………………La secrétaire du PDG.
Herbert Tibi…………………… Le directeur.
Monsieur Marouani Jean-Claude…Le directeur de ‘FORMESGLACE’
L’inspecteur Boulakia.
Gilbert son collègue.
Le singe Ouistiti.


2{LE SINGE. I
}

18 heures. Dans le siége d’une grande SARL de confiseries…

L’inspecteur Boulakia est accompagné, à la suite d’un appel du directeur d’une grande fabrique de confiseries à Drancy, d’un serrurier pour ouvrir la porte blindée du bureau du PDG.
Ce dernier n’avait pas donné signe de vie depuis 10 heures du matin. Sa femme, inquiète, est présente sur les lieux, la secrétaire est debout attendant l’issue de la manœuvre.

Après plus d’une heure de labeur, la porte cède enfin et là, l’inspecteur aperçoit le PDG, monsieur Fabien Bellard, la tête posée sur son bureau, apparemment inerte, le front ensanglanté.
Il fait reculer tout le monde et risque de glisser sur une flaque d’eau. Il fait très chaud dans le bureau du PDG.

‘…Qu’est ce que cela… ? Dit-il à la secrétaire…Madame Joli
‘…Je n’en sais rien…. !’
‘…Vous avez une fuite d’eau ici…. ! Ne rentrez pas Mademoiselle avant que je ne donne l’ordre….. ! Richard prend tous les plans, même la flaque d’eau….Avec le pistolet qui s’y trouve… Et ce bâton aussi…! Ne touchez pas à l’escabeau…Laissez tout en l’état…. ! ’
‘…Mademoiselle…. ! Qui a les clefs de son bureau… ?’
‘…Monsieur l’inspecteur, il ne donne à personne ses clefs… !’ Reprend son directeur principal, Monsieur Herbert.
‘…Vous voulez dire que personne n’est rentré ni sorti d’ici…. ?’
‘…Oui…. !
‘…La porte était fermée de l’intérieur en effet… ! Bon, s’il vous plait, reculez, et laissez mon équipe travailler… ! Retournez à vos places… ! Merci… !’
‘…J’aurai besoin de vous, Mademoiselle… !’
‘…Oui, inspecteur… !’


Dans un salon à part….

‘…Mademoiselle… ! L’avez vous rencontrée ce matin…. ?’
‘…Oui, vers les 9 heures 20, pour lui remettre un colis…. ! Ensuite, M. le directeur est rentré le voir comme tous les matins, pour lui faire le rapport de la veille…. !’
‘..Ensuite….. ?’
‘…Il m’a rappelle pour me dire de ne pas le déranger jusqu’à ce qu’il m’appelle par l’interphone. Il a même décroché son téléphone… !’
‘…Je vois… !’
‘…Sa femme m’a appelle au moins dix fois mais je lui ai répondu que son époux était en réunion… !’
‘…Avez-vous vu quelque chose d’anormal en lui…. ? Ce matin…. ?’
‘…Non….. ! Mais je ne vois pas son singe Ouistiti…. !’
‘…Quel singe…. ?’
‘…M. Fabien ne se sépare jamais de sa mascotte, un singe qu’il a recueillit en Afrique. Il l’a baptise Ouistiti…. ! Je ne l’ai pas vu dans son bureau…. !’
‘…Bon allons voir ça… ! Il était bien à l’intérieur avec lui… !’
‘…Ca fait 15 ans qu’il le trimbale, c’est un singe bien poli et domestiqué… !’

Ils retournent dans le bureau pendant que Gilbert et ses collègues relèvent les indices..
La secrétaire…

‘…OUISTITI…. ! OUISTITI…. !’

Et là, on voit sortir d’un placard mal fermé le singe.

‘…Ca alors… ! Il a du voir quelque chose…. !’ Dis Gilbert.
‘…Essaye de le faire parler Gilbert…. !’

Gilbert regarde médusé son chef….

‘…Le faire parler…. ? Vous vous fichez de moi chef… ?’
‘…Emmènes-le… ! Il est effrayé par la vue de son maître mort… !’

Arrive sur ces entre-faits, Madame Agnès Bellard…

‘…Que se passe t’il ici….. ? Mademoiselle Jolie… ?’
‘…Votre mari, Madame…. !’
‘…Nous l’avons trouvé dans cette position, madame, mort… !’ Répond le Boulak
‘…Oh....! Mon D ieu…. ! Fabien…. ! Fabien… !’

A suivre….


Albert Siméoni

Récit policier.

Paris le 13/09/2004.

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Dans les principaux rôles…

Fabien Bellard……………………Le P.D.G. de la SARL…CONFIFRUITS.
Agnès Bellard……………………L’épouse du directeur.
Sylvia Jolie………………………La secrétaire du PDG.
Herbert Tibi…………………… Le directeur.
Monsieur Marouani Jean-Claude…Le directeur de ‘FORMESGLACE’
L’inspecteur Boulakia.
Gilbert son collègue.
Le singe Ouistiti.


LE SINGE.II

Résumé du premier chapitre.
Le PDG d’une grande société est retrouvé mort dans son bureau fermé de l’intérieur. L’inspecteur Boulakia découvre quelques indices troublants. Un singe, mascotte du PDG, est trouvé, caché dans une armoire. Madame Bellard, l’épouse vient d’arriver..

Elle risque de s’évanouir…
On la fait asseoir….L’inspecteur en fait de même, auprès d’elle, et la laisse quelques minutes reprendre ses esprits….

‘…Je ne comprends rien…. ! Qui l’a tué… ?’
‘…Personne apparemment, on dirait qu’il s’est suicidé… ?’
‘…J’ai appelle cent fois sans succès…. ! Mademoiselle Jolie, n’a même pas prit la précaution de m’avertir… !’
‘…Si elle l’a fait mais apparemment vous n’étiez plus chez vous, sans doute en route… !’
‘….Je suis venue à toute vitesse… ! Quelle malchance… !’
‘…J’aimerai vous poser quelques questions, madame Bellard…. ! Avez vu quelque chose d’anormal dans le comportement de votre mari ce matin…,’
‘…Non…. ! Absolument rien d’anormal… ! Il a pris son Ouistiti dans ses bras, et il est sortit comme d’habitude… ! Je suis à bout… !’
‘…Ecoutez voulez-vous que nous continuons demain cet interrogatoire pour comprendre ce qui s’est vraiment passe… ?’
‘…Oui, je préfère, je ne me sens pas bien… !’
‘…Ok, à demain, voulez-vous que mon chauffeur vous raccompagne… ?’
‘…Non…. ! Non… ! Je vais prendre un taxi… ! Mademoiselle Jolie sera à même de me ramener la voiture chez moi…. ! Que vais-je dire à mes enfants, ils ne comprendront pas … !’

Le lendemain matin…Chez Madame Bellard…

‘…Voilà Madame Bellard… ! Je vous apporte quelques précisions, le médecin légiste m’apprend que votre mari a été tué sur le coup, par une balle tirée en plein front, ce qui ne lui a pas laissé le temps de souffrir. La balle a été tirée d’une distance d’environ 4 mètres, et à une hauteur de 80 cm. Mais ce qui étrange, c’est que le revolver à été trouvé dans une flaque d’eau, or une personne qui se suicide n’a pas le temps de jeter son revolver si loin que cela, ce n'est pas possible, qui l’a donc déplacé pour le mettre à cette distance…. ! Le singe… ? Est t’il dépressif votre mari …. ?’
‘…Par moment, il sombre dans un état de lassitude, mais de là à dire qu’il était dépressif…. ! II n’a jamais été suivi pour ce genre de maladie… ! Nous devions partir en vacances d’hiver à St Moritz…. ! Tout était réservé depuis quinze jours…. ! Avec le singe aussi… !’
‘…Ce singe, madame… ! Ouistiti, sa mascotte, parlez-moi d’elle… !’
‘…Un con, ce singe, soumis à ces caprices bien plus que moi, sa femme, Ils étaient comme deux amoureux et souvent il me disait prend exemple sur lui. Il voulait que j’apprenne ses grimaces… !’
‘…Il était bien domestiqué…. !’
‘…Domestiqué… ? Mais il était plus que cela, c’est lui qui lui rangeait ses souliers dans le placard, lui qui lui allumait ses cigares, d’ailleurs, ils fumaient ensemble le HAVANE, un comble, bien plus que cela Ouistiti me narguait devant lui en me montrant du doigt et mon mari qui étouffait de rire. Au bureau, tous nos employés lui serraient la main dés qu’ils entraient chez lui, Mademoiselle Jolie, lui servait son petit déjeuner, il assistait même, le comble, au conseil d’administration sans que personne ne puisse rien dire, c’était le dixième membre de l’assemblée, un jour il est tombé malade et bien mon cher époux a annule la réunion sous prétexte que son singe n’allait pas bien… ! Ils étaient cul et chemise… !’
‘…Lui avait-il appris à se servir d’une arme… ?’
‘…Oui, tous les dimanches matin, il lui apprenait à viser une cible qu’il avait plantée dans le jardin…Seulement Ouistiti était maladroit, alors mon mari le grondait et le traitait d’âne. Dans ces moments là, Ouistiti allait se cacher dans la réserve sous les escaliers ; il comprenait ce mot d’âne… ! Ah...! En fin de compte, il lui apprit à tirer en lui posant un trépied planté sur le gazon comme point d’appui comme ça, le singe pouvait mieux cadrer la cible et l’a touchée à chaque fois. Au grand bonheur de mon mari. Fabien est aussi un grand farceur. Il adore les mises en scène. Il était déroutant. Un vrai gamin qui n’a pas peur de prendre des risques. Tenez, le soir de nos 30 ans de mariage, savez vous comment il m’a offert mon bracelet en diamant… ? Devant les enfants et mes gendres…. ? Il nous a dit…’ Zut, j’ai oublie ton cadeau, chérie…. ! Au bureau… !’ Je n’ai rien dit, bien sur, alors que tout le monde m’avait honorée d’un petit quelque chose, nous sommes arrivés à la coupe de la dinde et là, une fois découpée nous voyons dans le creux de son ventre, dans la farce, un paquet enveloppé ; le singe s’est mit à rire et à taper des mains, mon mari était hilare…J’ouvre le paquet et là je vois mon bracelet briller de mille feux. Une très jolie façon de m’offrir son cadeau dans un anus de dinde farcie, vous vous imaginez… ! Et ce fameux soir….. ? Où je croyais avoir vu un fantôme passer dans ma cuisine, c’était son singe, que je croyais alité près de nous alors que mon mari avait mit à la place un coussin et quand, il m’a dit ‘ …Chérie, il y a du bruit dans la cuisine, je crois… !’ Je me lève pour apercevoir une forme toute blanche s’envoler par la fenêtre…. ! Je ne vous parle même pas de cette sortie en mer, dans le yacht… ! Nous étions à quelques encablures du port, en pleine mer quand soudain, mes enfants et mes gendres, voyons de l’eau se faufiler en surface, l’eau montait lentement mais sûrement. Je dis à mon mari…’ …Fabien, nous avons une avarie, l’eau ne fait que monter dans l’embarcadère… !Nous allons sombrer… !’ Et l’eau qui montait jusqu’à nos chevilles…’Là, je lui demande de mettre le zodiac à la mer, il me répond, qu’il est en réparation, alors je lui demande d’appeler les secours par radio, il me répond que là aussi, la radio est en panne, nous étions tous angoissés à l’idée de rejoindre la terre ferme à la nage et encore, nous avions notre petit-fils…Finalement, sous le regard de son singe qui jubilait par cette situation, il nous apprend une heure plus tard, qu’il avait installé sous la coque un système pour nous faire croire que l’eau allait nous inonder et que nous allions couler.. ! Voilà le genre de mari que j’avais …. ! Monsieur l’inspecteur… !’
‘…Un papy à risques, comme on le dit… !’
‘…Ah...! Pour ça qu’oui…. !’
‘…Bon merci, je vais retourner au bureau pour reconstituer tout cela…Car là aussi, je crois qu’il s’est fait une farce qui a mal tourné… ! Je vous remercie.. !’
‘…Vous pensez que…… ? ’
‘…Je vous aviserai… !’

A suivre…

Albert Siméoni corrige ici.

Récit policier.

Paris le 13/09/2004.

Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.

Dans les principaux rôles…

Fabien Bellard……………………Le P.D.G. de la SARL…CONFIFRUITS.
Agnès Bellard……………………L’épouse du directeur.
Sylvia Jolie………………………La secrétaire du PDG.
Herbert Tibi…………………… Le directeur.
Monsieur Marouani Jean-Claude…Le directeur de ‘FORMESGLACE’
L’inspecteur Boulakia.
Gilbert son collègue.
Le singe Ouistiti.


LE SINGE.III.

Le PDG d’une grande société est retrouvé mort dans son bureau fermé de l’intérieur. L’inspecteur Boulakia découvre quelques indices troublants. Un singe, mascotte du PDG est trouvée, caché dans une armoire. Madame Bellard, l’épouse vient d’arriver. Elle découvre à son tour son mari mort. Madame Bellard se confie à l’inspecteur qui apprend que le PDG est un farceur, très attaché à son singe. Un papy à risques.

Le Boulak retourne au bureau du PDG…..

Il farfouille dans les papiers et là, il tombe sur une facture d’un marchand de glace…Il lit..
‘…Carotte de glace de 0, 80 cm de haut sur 7 cm de diamètre de tronc, suivant devis, avec une entaille à l’extrémité de 5 cm de large sur 15 cm de hauteur. Livrée sur socle en glace de 25 cm de circonférence pour un prix de 700 frs ttc… !’ Tiens, fort intéressant tout cela… !’

Il appelle la secrétaire …

‘…Mademoiselle Jolie, vous m’avez dit avoir réceptionné un colis… !’
‘…Oui assez long, je n'ai pas osé demander à monsieur Fabien de quoi il s’agissait, j’ai seulement dit qu’il avait un colis… ! Il me répond de payer la facture par chèque… !’
‘…Vous n’avez rien entendu ce matin là…. ?’
‘…La porte de Monsieur Fabien est capitonnée, le bruit des machines le gêne, donc, rien ne transpire de chez lui…. !’
‘…Merci….. !’ Mademoiselle… !’

L’inspecteur se rend à la fabrique de glace…’FORMESGLACE’…Il demande à voir le directeur Monsieur Marouani Jean-Claude…

‘…Bonjour Monsieur Marouani… ! Je suis l’inspecteur Boulakia de la criminelle, voilà, je viens vous voir au sujet de cette facture… !’
‘…Ah, monsieur Fabien Bellard, oui, qui a t’il donc de spécial dans cette facture… ?’
‘…Il vous a commandé une carotte dont voici la forme… ! Vous avez beaucoup de gens qui vous commandent de tels objets en glace….,’
‘…Oui, surtout pour les soirées juives de mariage, c’est la mode de décorer les salles aujourd’hui par toutes sortes de formes ; des bouteilles de vin ou d’alcool en forme de glace, des fontaines d’eau, des bars romains, des chevaux, bref, tout ce que demande les traiteurs. Nous avons des sculpteurs pour ce genre de choses, des professionnels en la matière… !’
Monsieur Bellard nous a remis un dessin et nous l’avons exécuté non sans mal… !’
‘…Ca lui a coûté la vie… ?’
‘…Comment…. ?’
‘…Non rien, je vous remercie de ces précisions, au revoir… !’

Il rentre au bureau avec la conviction absolue que cette carotte a servi au suicidé..

‘…Gilbert, c’est à peine croyable… ! Ce monsieur Fabien est un vrai casse cou, je dirais même un cascadeur, il a porté la farce jusqu’à en mourir.. !’
‘…Comment ça….. ? ‘

‘..Ecoutes, tu te souviens, nous sommes rentrés dans le bureau, et là nous marchons sur une flaque d’eau qui a imbibé toute la moquette, puis il y a un escabeau, ensuite un bâton et un revolver dans l’eau. …Ok…. ? Jusque là…. ?’
‘…Oui…. ?’
‘…Ce qui m’a chiffonné c’est ce revolver dans l’eau sans aucune empreinte, à quatre mètres de distance… !’
‘…Oui, la porte était fermé de l’intérieur… Donc personne n’a pu le mettre …!’
‘…Exact…. ! Après le coup de feu, le singe voit son patron inerte…Il se cache, craintif et apeuré …! Comme s’il avait compris que quelque chose de mal est arrivé… !’
‘…Mais il est maladroit, il n’a pas pu tirer avec précision sur le front de son maître… ?’
‘…Oui, il n’a pas pu, sauf si son maître l’y a aidé… !’
‘…Comment ça aidé…. ?’
‘…Voilà l’explication de l’énigme…. ! Monsieur Fabien commande une carotte de glace.
Il ouvre le colis et place celle là à environ quatre mètres de son bureau. Il sort son pistolet avec une seule balle dans le barillet….Il introduit le revolver là, ici dans la fente, à l’extrémité de la carotte, donc celui ci est bien calé, il pose à côte de la carotte de glace, l’escabeau, il dit à son singe de monter dessus et lui indique la marche à suivre, puisque le singe est habitué à tirer sur une cible. Monsieur Fabien, va s’asseoir et il lui donne l’ordre de tirer, le coup part comme à la roulette russe, manque de chance, il y avait la balle. La chaleur du bureau fait fondre la glace et au bout de 10 heures, nous avons la flaque d’eau… ! Avec le revolver, et le bâton qui servait de colonne vertébrale dans la carotte afin qu’elle tienne l’équilibre… !’
‘…Mais c’est démentiel…. !’
‘…Ce genre de personnes aime se donner de la frayeur, il a payé pour cela… !’
‘…le singe est donc l’assassin… ?’
‘…Non, il est victime comme lui, il a obéit à son maître afin de ne pas se faire traiter de ‘BIM’ d’âne… !’

Fin.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 19 mai 2005 - 20h41:

Spectacle de rue.


Il me plait parfois de photographier par les yeux certains décor qui font la vie dans les ruelles de Paris.


Ma ligne Porte de Clignancourt en passant par la correspondance République me donne le temps, vu la longueur du trajet, de croquer quelques spectacles qui passent incognitos aux yeux des milliers de voyageurs dans les couloirs du Métro.

Métro, boulot dodo, à cela il me faut ajouter…Pinceau. Sans en avoir, j’ai donc chargé mon regard de le remplacer car je n’y connais rien à la ‘gouacherie’ ni à la palette, d’où divers articles enregistrés sous le titre

‘…Spectacles de Rue..’

Aujourd’hui

‘L’Etaleur’ d’images.

Il est jeune, toujours le même. Un pakistanais aux chevaux couleur jais, qui étale avec précision des posters. De grandes images d’artistes, de bébé, d’animaux qui se côtoient sans aucun ordre. L’image d’ Alain Delon touche celle de Jean Gabin, Marilyne Monroe dans sa fameuse pose a toujours le jupon l’air, un bébé (en noir et blanc) est assis devant son jouet tandis que Madonna immobile pour une fois toise les passants avec son sourire malicieux.

La longueur de ces posters, mi-bout à bout sur le sol et près du mur, est d’environ une dizaine de mètres.

Consciencieux, notre vendeur, s’applique à décorner certaines photos.
Conscience du métier oblige.

Une fois son étalage termine, il s’adosse au mur et lève un pied qu'il pose sur le mur crasseux.

Il attend qu’un passant amateur d’art passe pour lui acheter une de ces icônes.

Il guette du regard l’intéresse mais hélas, tout le monde passe sans jeter un coup d’œil à toute cette galerie d’art en papier brillant. Aucun intéressement pour ces posters.
A croire que les anciennes vedettes n’attirent plus personne.

Il change les photos de place avec la conviction que ce déplacement plus judicieux pourrait allécher le probable acheteur. Mais nenni. Ils sont, pour la grande majorité, occupés à cavaler et l’art mit à terre n’ait pas leur tasse de café.

Je l’imagine, las d’attendre, rempiler par manque de clientèle au bout de quelques heures et relever ses artistes immobiles et figés dans leur pose habituelle ; déchus ou morts pour l’éternité, il enroulera une à une, ses iconographies qu’il enserre par un petit cerceau d’élastique avec la bonne intention de revenir demain pour les réouvrir et les ré-ètaler certainement demain.

Albert.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Jano (Mr_Jano) le jeudi 19 mai 2005 - 18h30:

Salut les Meufs,

Alors les meufs, on se prépare pour recevoir Jano et sa valise, attention toi, tu n'oublies pas mes sous-sous, sinon, on va la touner à la mortadelle ta soirèe poisson et surtout dit à l'autre Mamili, ton clone, de bien hacher la salade sinon je lui envoie un panier de fleurs comme tu les aimes.... Ok....? Et surtout,j'aime dormir sous des draps qui sentent la lavande comme celà tu seras dans de beaux draps.

Le Jano est exigeant ma belle et pas d'emtourlou petes surtout...OK....? Ma vieille...Au bois dormant...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 19 mai 2005 - 18h19:

...CE SOIR L INSPECTEUR BOULAK MENE L'ENQUETE DANS LE .....'SINGE'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ins_Boulakia (Ins_Boulakia) le jeudi 19 mai 2005 - 18h01:

LE POLICIER DU JEUDI....

SUITE DU POLARD DE MR LA DOUDA... A LA SAUCE BREITOU....


Suite du policier de la DOUDA…..’...POLARD FACON MARABOUTAGE…

Dans les principaux rôles…

Mamabouba……………Le Majordome.
LA DOUDA……………Charles le Magnat, ancien homme d’affaire durant la période coloniale, retraité vivant à Marseille. LE MARSEILLAIS.
Albert………………….Albert le Propriétaire de la bijouterie ‘…A L’OR QUI LUIT... !’
La vendeuse…………….Suzanne Estropié.
Baabous………………. Bébert ancien bagnard à la Karaka, libéré sur parole après 20 de cachot.
Dr Koulibali……………Ancien associé du Baabouss reconverti dans les coups fourrés.
Tawfiqblack……………Président N’Guèma.
Lalla……………………Secrétaire du présidant N’Guèma.
Girelle………………….Seconde secrétaire.
Mamili………………….Hôtesse de l’air.
Elsa…………………… .Hôtesse de terre.
Meyer Lellouche……….L’homme louche.
Maxiton…………………I Brahim Koulibani.
Inspecteur Boulak……..Breitou.
Mr Rondouillet Gilles….Commissaire du 4 ième Arrondissement de Marseille.

Suite du récit de la Douda passé, il y a 4 jours sur le PTB…Improvisation sur-le-champ.

‘…Quelques années plus tard, sur le port de Marseille, une limousine blanche aux vitres fumées, stoppe devant la bijouterie d’un célèbre joaillier sur l’avenue du PRADO ‘….. A L’OR QUI LUIT…’ 3 hommes de couleur, de forte corpulence, en descendent. On devine un ronflement sur leur poitrine, sans doute des revolvers MAC INTOCH... Ce sont des gardes du corps. L’un des trois noirs, ouvre la portière et un homme costumé, portant lunettes RAY BAN noir, en descend. Les quatre hommes se présentent devant le portillon fermé automatiquement et l'un d'eux appuie sur une sonnerie. Une dame, parle dans l’interphone..

‘…Bonjour, qui dois-je annoncer messieurs… ?’
‘…De la part du marseillais… !’

Qqs instants, la porte s’ouvre et nos quatre hommes rentrent.

‘…Allez dire à votre patron que le Marseillais est là… ! En attendant, montrez-nous vos meilleures pièces… !’
‘…Mais je ne peux le faire sans le consentement de mon patron… !’

L’un des noirs fait le tour de la vitrine et lui demande gentiment de couper les caméras et de lui donner le film sinon….

‘…Mais…. ! Je serai… !’
‘…Allez l’appeler, je vous dis ok… !Sinon je vous égorge comme un poulet… ! Ouvrez cette vitre, mon patron veut voir de plus près ces merveilles… !’

La vendeuse apeurée obéit…Elle monte à l’étage supérieur… !


A suivre…


Elle monte voir son patron M. Albert.

‘…Monsieur Albert, il y a .. !’
‘…Je les ai vus, à la DOUDA de monter seul. Le Marseillais.

Elle redescend et transmet le message…

Les trois gardes du corps restent en bas tandis que le Marseillais monte les marches.

Il rentre dans le bureau.

‘…La Douda, comment vas-tu depuis mon cher… ?’
‘…Laisse tes paroles mielleuses pour une qq d’autres, je vois que tu t’es bien installé depuis, à part cela, tu vis dans un pavillon du côté de Aubagne, tu ne t’emmerdes pas à ce que je vois… !’
‘…Toi non plus, j’ai l’impression que tu roules en limou, avec des gardes chiourmes, tu crains qq chose ou c’est de la frim, tu ne peux pas faire comme tout le monde pour passer inaperçu… ! Il paraît que tu as fait fortune là-bas depuis avec ton ami le N’Guéma… ?’
‘…Ah, tu es bien renseigné toi aussi, écoutes, je suis venu pour prendre mon dû, ce que tu as caché à mon insu… !’
‘…Mais de quoi parles-tu la Douda, je ne te dois rien… !’
‘…Ecoutes Merlo, nous avons dépassé l’age de la carabine alors fais gaffe, on reprend les comptes de A à Z, il manque 10 000 000 de francs dans mon escarcelle, alors ne fais pas le mariole sinon, tu vas flamber ici… ! Je te donne 48 heures sinon, ta famille va passer à l’abattoir.. !’
‘…Tu me menaces… ? Mais mon cher ami, qui t’a présenté ton ami N’Guèma… ? Alors que tu pourrissais dans un coin merdique du côté des putes…. A LAME….! Qui t’a embauché pour faire passer certains camions militaires hein dis-moi.. ? Tu as même change de nom de famille… ! CHARLES LE MAGNAT…. ! Pourquoi pas CHARLEMAGNE…. ? ‘
‘…Je vois que tu n’as rien compris… ! 48 heures et pas plus… ! Je vais te prendre ta secrétaire en guise d’otage… !’
‘…Si tu touches à elle, tu regretteras d’être venu, ok… !’ Tu ne prends rien, et pour tes 48 heures, je vais réfléchir DOUDA… !’

A suivre.


‘…Bon, j’en ai fini avec toi, je vais jeter un coup d’œil sur tes merveilles, cela fait longtemps que je n’ai pas offert de serpent en or à ma guirlande, ne m’accompagne pas, je sais me servir… !’
‘…Tu paieras comme tout le monde la demoiselle ok… ?

Il se lève le CharleMAGNAT et retourne dans le magasin.

Il fait le tour des vitrines et s’arrête devant une vitrine où il aperçoit une très belle pièce ornée d’un joli diamant…

‘…Ouvrez-moi, Mademoiselle, elle me tape à l’œil cette pièce.. !’
‘…Mais je ne le peux, il me faut l’ordre de mon patron… !’
‘….Golli, vas-y doucement, coupe l’alarme d’abord… !’
‘…Ok, patron… !’

Golli coupe l’alarme puis d’un violent coup de coude, il brise la vitre qui vole en éclats.

‘…Je t’ai pourtant dis délicatement Golli, bon, Mademoiselle emballez-moi ce joyau dans un écrin et faites-moi un beau papier cadeau, c’est pour ma belle Amanda, elle raffole des bijoux… !’
‘…Où dois-je envoyer la facture… !’
‘….Ahahahahaha… ! On ne me l’a jamais faite celle là, on ne me facture pas… !’

Descend le patron ..

‘…Ne vous inquiétez pas, Suzanne, il paiera même la vitre cassée… !’
‘…Tu as le bonjour de N’Guèma, il va rentrer bientôt pour une courte visite, en France, il sera ravi de te rencontrer en privé. Il va avoir besoin de tes services ici, après 20 ans de silence… !’
‘…Tu peux lui dire déjà que j’ai raccroché tête de nœud… !’
‘…Ahahaha… ! Alors on perd ses pédales, on devient impoli depuis que l’on touche aux pierrailles… ! Bon, n’oublie pas dans 48 heures, là où tu sais… ! Dans le Panier ( quartier de Marseille) chez la mère Fredda.. !’
‘…Je vois que tu es toujours là à barboter dans les beaux quartiers… !’
‘…Que veux-tu, je suis resté nostalgique de mes beaux souvenirs d’enfance… !’
‘….Pour le cadeau que tu t’es servi, il va t’en coûter 150 000 000 frs, alors tache de les avoir le plut tôt possible… !
‘…Fais comme d’hab, à l’ancienne, tu pinces une feuille de crédit avec ton épingle à linge… ! Et tu la mets à sécher… ! Ahahhahaah… ! Bon les gars, il se fait tard.. ! Mes excuses mademoiselle, je perds mes bonnes manières par moment.. !’

Ils sortent et remontent dans la Limousine.

A suivre…


Rappel l’Inspecteur Boulak est à Marseille, en mission spéciale.


‘…Suzanne, vous appellerez demain la maison Vercors, qu’ils viennent réparer tout cela… !’
‘…Qu’allez -vous faire M. Albert….. ? Après ce vol… ?’
‘…Vous ne dites rien à personne et ne vous inquiétez pas, surtout pas un mot à la police si on vient vous interroger, vous n’étiez pas là, n’oubliez pas ce que je vous dis… !’
‘…Bien, c’était une très belle pièce que nous devions livrer à la Comtesse Duchesse… !
‘….Elle attendra, vous lui direz que notre orfèvre est décède en plein boulot, une crise cardiaque et que nous lui livrerons une autre sous peu… !’
‘…Bien M. Albert… !’
‘…Ecoutez, il vaut mieux que vous rentriez chez vous, et surtout motus… !’

Suzanne enfile son manteau et rentre chez elle.
Albert compose un numéro de téléphone.


‘…Allô! Meyer… ! C’est Albert … !’
‘…Bonjour M Albert…!’
‘…J’ai besoin de vos services, pouvez-vous passer me voir…?’
‘…Dans quinze minutes M. Albert… !’
‘…Ok, je vous attends… !’

Meyer comme promis arrive.

‘…Asseyez -vous, Le Marseillais reprend du service… ! M. Meyer… !’
‘…A à son âge… ?’
‘…Il doit être de beaux draps, écoutez, j’ai besoin d’un flingue et deux bons hommes, pas du milieu, des amerlocs si possible… !’
‘…Vous avez un contrat à exécuter…. ?’
‘…Non, fini les contrats, pour me protéger, deux gardes du corps… !’
‘…J’ai ce qu’il vous faut, pour quand les voulez-vous .. ?
‘…Pour un bon bout de temps, tout dépend des évènements futurs… !’
‘…Savez-vous que N’Guèma atterrit à Paris dans les prochains jours.. ?
‘….Non, comment le savez-vous … ?’
‘…Mon antenne de Paris…. ! Il vient en visite privée… !’
‘…Tiens… ! Tiens… ! Bon gardez le secret… ! Il y a qq chose de louche dans tout cela… !’
‘…Vous faites toujours des jeux de mots…Lellouche ..Le louche… !’
.…Bon, débrouillez-vous et prévenez-moi lorsque vous aurez trouvé… !’
‘…Ok, vous pouvais toujours compter sur moi… ! M. Albert…!’
‘…Tenez, prenez ça, pour vos futures démarches… !’
‘…Merci… ! M. Albert… !’
‘…Le bonjour à votre femme Emilie… !’

Meyer sort.

Albert téléphone à l’étranger.

‘…Allô.. ! Le grand Hôtel… ? Mademoiselle, passez s’il vous plait Bébert dit le Bââbouss… !’
‘…Oui Missiè, pas kitè , je vous passe chambre là… ! Un moment.. !’

……………………………..

‘…Allô…. ?’
‘…Bââbouss… ! C’est Albert… !’
‚...Salut mon vieux...! Quelle coïncidence, je rentre à Paris demain vers les 8 heures du mat… !’

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le jeudi 19 mai 2005 - 16h02:

Breitou,mon cher Breitou

ton sketch-quoiqu'on fasse- est super de realisme; un vrai regal pour des gens simples comme moi; une tranche de vie prise sur le vif!
merci de ta bonne humeur et de toutes ces perles...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 19 mai 2005 - 15h03:

'...Et bien moi, je te le dis...Ton polard est merveilleux, zid red'ni HOUITE MALHE....!' :) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le jeudi 19 mai 2005 - 01h10:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Faits divers à PotoPoto,,, !

Goulette Info - 18/5/2005 - Les éléments de la Police judiciaire commandés par l’inspecteur BoulAlik n’ont pas du tout plaisanté avec des criminels dans la matinée du samedi dernier 14 mai.

La descente effectuée dans la tanière des sbires de Bébert La Sardine le scélérat, à PotoPoto, a fait deux exorcisés dans les rangs de ces derniers.

Un faux militaire putchiste serait membre de la bande. Selon les informations en notre possession, un appel anonyme ce samedi-là, parvient aux éléments de la Police judiciaire.

Il fait état de l’existence au quartier “ Doukouré ” à PotoPoto, d’un fumoir clando dit “Chez le Belge”, zama “Fumes c’est du Belge!”.

De nombreux drogués s’y donnent chaque fois rendez-vous pour fumer le Yamba, l’herbe qui tue le cafard. Mais ils ne s’arrêtent pas à celà. C’est un haut lieu aussi où ces individus doublés de redoutables gangsters, se retrouvent pour fomenter des coups qui vont des attaques de domiciles aux autres braquages de véhicules et autres actes criminels.

L’affaire est donc très sérieuse. C’est pourquoi, les policiers ne perdent pas de temps.

Ils effectuent une descente dans ledit fumoir. C’est la débandade totale. Mais quatre d’entre les drogués, ne réussiront pas à prendre la fuite. Ils sont maîtrisés. Les lieux sont perquisitionnés et il est découvert un couteau de cuisine, un pistolet automatique de calibre 7,65 mm avec quatre munitions, un fusil de calibre 12 à canon scié, ses deux cartouches et un pantalon treillis.

Interrogés sur la provenance de ces armes, les quatre individus expliquent que l’arsenal appartient à un faux militaire qui, à l’instant, était en leur compagnie dans le fumoir. Il a pu s’enfuir. Sous leur conduite, les flics se déportent au domicile du militaire mis en cause.

Toujours à PotoPoto Sa maison est soumise à une fouille systématique et minutieuse. Une kalachnikov, cinq chargeurs et plus d’une centaine de munitions sont saisis. Cela témoigne certainement des activités peu recommandables auxquelles se livre l’élément des Fanci.

Mais alors qu’à la fin de la perquisition chez le militaire, les policiers reviennent au fumoir pour d’autres investigations avant le départ pour la base, que deux d’entre les quatre scélérats appréhendés, tentent de jouer leur va-tout. En clair, ils essaient de prendre la fuite non sans se jeter sur des policiers dans le but de les désarmer.

Cette témérité qui, par le passé, a profité à des malfaiteurs, ne l’a pas été cette fois-ci.

Ils sont donc solidement maraboutés à coups de matraques, et de GrisGris. Sans papiers, ils n’ont pu être identifiés. Leurs deux acolytes qui se sont montrés beaucoup plus sages en ne les imitant pas dans leur “ folie ”, séjournent en ce moment à la Pj, dans le cadre de l’enquête de BoulAlik.

Le faux militaire dit Bébert la Sardine, chef de bande, faux policier milicien, escroc et julot notoire qui, lui, est gravement mis en cause dans cette affaire et dont nous ne taisons pas l’identité, est activement recherché, probablement réfugié au Nimba.

“De plus en plus, des agents des forces de l’ordre se livrent à des dérives. Et c’est bien dommage pour les populations dont ils sont pourtant sensés assurer la sécurité!”, a déclaré Sieur BoulAlik.

Qu’on se le dise,,,!

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ins_Boulakia (Ins_Boulakia) le mercredi 18 mai 2005 - 22h37:

Suite du policier de la DOUDA…..’...POLARD FACON MARABOUTAGE…

Dans les principaux rôles…

Mamabouba……………Le Majordome.
LA DOUDA……………Charles le Magnat, ancien homme d’affaire durant la période coloniale, retraité vivant à Marseille. LE MARSEILLAIS.
Albert………………….Albert le Propriétaire de la bijouterie ‘…A L’OR QUI LUIT... !’
La vendeuse…………….Suzanne Estropié.
Baabous………………. Bébert ancien bagnard à la Karaka, libéré sur parole après 20 de cachot.
Dr Koulibali……………Ancien associé du Baabouss reconverti dans les coups fourrés.
Tawfiqblack……………Président N’Guèma.
Lalla……………………Secrétaire du présidant N’Guèma.
Girelle………………….Seconde secrétaire.
Mamili…………………Hôtesse de l’air.
Elsa…………………… Hôtesse de terre.
Meyer Lellouche………L’homme louche.
Maxiton………………..I Brahim Koulibani.
Inspecteur Boulak……..Breitou.

Suite du récit de la Douda passé, il y a 4 jours sur le PTB…Improvisation sur-le-champ.

‘…Quelques années plus tard, sur le port de Marseille, une limousine blanche aux vitres fumées, stoppe devant la bijouterie d’un célèbre joaillier sur l’avenue du PRADO ‘….. A L’OR QUI LUIT…’ 3 hommes de couleur, de forte corpulence, en descendent. On devine un ronflement sur leur poitrine, sans doute des revolvers MAC INTOCH... Ce sont des gardes du corps. L’un des trois noirs, ouvre la portière et un homme costumé, portant lunettes RAY BAN noir, en descend. Les quatre hommes se présentent devant le portillon fermé automatiquement et l'un d'eux appuie sur une sonnerie. Une dame, parle dans l’interphone..

‘…Bonjour, qui dois-je annoncer messieurs… ?’
‘…De la part du marseillais… !’

Qqs instants, la porte s’ouvre et nos quatre hommes rentrent.

‘…Allez dire à votre patron que le Marseillais est là… ! En attendant, montrez-nous vos meilleures pièces… !’
‘…Mais je ne peux le faire sans le consentement de mon patron… !’

L’un des noirs fait le tour de la vitrine et lui demande gentiment de couper les caméras et de lui donner le film sinon….

‘…Mais…. ! Je serai… !’
‘…Allez l’appeler, je vous dis ok… !Sinon je vous égorge comme un poulet… ! Ouvrez cette vitre, mon patron veut voir de plus près ces merveilles… !’

La vendeuse apeurée obéit…Elle monte à l’étage supérieur… !


A suivre…


Elle monte voir son patron M. Albert.

‘…Monsieur Albert, il y a .. !’
‘…Je les ai vus, à la DOUDA de monter seul. Le Marseillais.

Elle redescend et transmet le message…

Les trois gardes du corps restent en bas tandis que le Marseillais monte les marches.

Il rentre dans le bureau.

‘…La Douda, comment vas-tu depuis mon cher… ?’
‘…Laisse tes paroles mielleuses pour une qq d’autres, je vois que tu t’es bien installé depuis, à part cela, tu vis dans un pavillon du côté de Aubagne, tu ne t’emmerdes pas à ce que je vois… !’
‘…Toi non plus, j’ai l’impression que tu roules en limou, avec des gardes chiourmes, tu crains qq chose ou c’est de la frim, tu ne peux pas faire comme tout le monde pour passer inaperçu… ! Il paraît que tu as fait fortune là-bas depuis avec ton ami le N’Guéma… ?’
‘…Ah, tu es bien renseigné toi aussi, écoutes, je suis venu pour prendre mon dû, ce que tu as caché à mon insu… !’
‘…Mais de quoi parles-tu la Douda, je ne te dois rien… !’
‘…Ecoutes Merlo, nous avons dépassé l’age de la carabine alors fais gaffe, on reprend les comptes de A à Z, il manque 10 000 000 de francs dans mon escarcelle, alors ne fais pas le mariole sinon, tu vas flamber ici… ! Je te donne 48 heures sinon, ta famille va passer à l’abattoir.. !’
‘…Tu me menaces… ? Mais mon cher ami, qui t’a présenté ton ami N’Guèma… ? Alors que tu pourrissais dans un coin merdique du côté des putes…. A LAME….! Qui t’a embauché pour faire passer certains camions militaires hein dis-moi.. ? Tu as même change de nom de famille… ! CHARLES LE MAGNAT…. ! Pourquoi pas CHARLEMAGNE…. ? ‘
‘…Je vois que tu n’as rien compris… ! 48 heures et pas plus… ! Je vais te prendre ta secrétaire en guise d’otage… !’
‘…Si tu touches à elle, tu regretteras d’être venu, ok… !’ Tu ne prends rien, et pour tes 48 heures, je vais réfléchir DOUDA… !’

A suivre.


‘…Bon, j’en ai fini avec toi, je vais jeter un coup d’œil sur tes merveilles, cela fait longtemps que je n’ai pas offert de serpent en or à ma guirlande, ne m’accompagne pas, je sais me servir… !’
‘…Tu paieras comme tout le monde la demoiselle ok… ?

Il se lève le CharleMAGNAT et retourne dans le magasin.

Il fait le tour des vitrines et s’arrête devant une vitrine où il aperçoit une très belle pièce ornée d’un joli diamant…

‘…Ouvrez-moi, Mademoiselle, elle me tape à l’œil cette pièce.. !’
‘…Mais je ne le peux, il me faut l’ordre de mon patron… !’
‘….Golli, vas-y doucement, coupe l’alarme d’abord… !’
‘…Ok, patron… !’

Golli coupe l’alarme puis d’un violent coup de coude, il brise la vitre qui vole en éclats.

‘…Je t’ai pourtant dis délicatement Golli, bon, Mademoiselle emballez-moi ce joyau dans un écrin et faites-moi un beau papier cadeau, c’est pour ma belle Amanda, elle raffole des bijoux… !’
‘…Où dois-je envoyer la facture… !’
‘….Ahahahahaha… ! On ne me l’a jamais faite celle là, on ne me facture pas… !’

Descend le patron ..

‘…Ne vous inquiétez pas, Suzanne, il paiera même la vitre cassée… !’
‘…Tu as le bonjour de N’Guèma, il va rentrer bientôt pour une courte visite, en France, il sera ravi de te rencontrer en privé. Il va avoir besoin de tes services ici, après 20 ans de silence… !’
‘…Tu peux lui dire déjà que j’ai raccroché tête de nœud… !’
‘…Ahahaha… ! Alors on perd ses pédales, on devient impoli depuis que l’on touche aux pierrailles… ! Bon, n’oublie pas dans 48 heures, là où tu sais… ! Dans le Panier ( quartier de Marseille) chez la mère Fredda.. !’
‘…Je vois que tu es toujours là à barboter dans les beaux quartiers… !’
‘…Que veux-tu, je suis resté nostalgique de mes beaux souvenirs d’enfance… !’
‘….Pour le cadeau que tu t’es servi, il va t’en coûter 150 000 000 frs, alors tache de les avoir le plut tôt possible… !
‘…Fais comme d’hab, à l’ancienne, tu pinces une feuille de crédit avec ton épingle à linge… ! Et tu la mets à sécher… ! Ahahhahaah… ! Bon les gars, il se fait tard.. ! Mes excuses mademoiselle, je perds mes bonnes manières par moment.. !’

Ils sortent et remontent dans la Limousine.

A suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mercredi 18 mai 2005 - 21h58:

...DANS QQ INSTANTS...LA SUITE DU POLARD DE MR LA DOUDA.....SAUCE BREITOU....REPRISE A MON COMPTE DU SCENARIO DU BAABOUSS...MARABOUTAGE...