Par Latitesse (Latitesse) le vendredi 20 mai 2005 - 00h32: |
L'hotesse de lundi vous attend avec votre canari. Mamili a reserve une chambre pour elle seule. Un conseil: arrivez la veille avec votre bagage.
Par Mamili (Mamili) le jeudi 19 mai 2005 - 21h21: |
MR.JANO
Arretez svp de me comparer à notre hotesse de Lundi!!!! Celà la flatte énormément !
Vous allez voir et bien sur vous rendre compte de votre erreur !
Par Ins_Boulakia (Ins_Boulakia) le jeudi 19 mai 2005 - 21h31: |
Par Albert (Albert) le jeudi 19 mai 2005 - 20h41: |
Spectacle de rue.
Il me plait parfois de photographier par les yeux certains décor qui font la vie dans les ruelles de Paris.
Ma ligne Porte de Clignancourt en passant par la correspondance République me donne le temps, vu la longueur du trajet, de croquer quelques spectacles qui passent incognitos aux yeux des milliers de voyageurs dans les couloirs du Métro.
Métro, boulot dodo, à cela il me faut ajouter…Pinceau. Sans en avoir, j’ai donc chargé mon regard de le remplacer car je n’y connais rien à la ‘gouacherie’ ni à la palette, d’où divers articles enregistrés sous le titre
‘…Spectacles de Rue..’
Aujourd’hui
‘L’Etaleur’ d’images.
Il est jeune, toujours le même. Un pakistanais aux chevaux couleur jais, qui étale avec précision des posters. De grandes images d’artistes, de bébé, d’animaux qui se côtoient sans aucun ordre. L’image d’ Alain Delon touche celle de Jean Gabin, Marilyne Monroe dans sa fameuse pose a toujours le jupon l’air, un bébé (en noir et blanc) est assis devant son jouet tandis que Madonna immobile pour une fois toise les passants avec son sourire malicieux.
La longueur de ces posters, mi-bout à bout sur le sol et près du mur, est d’environ une dizaine de mètres.
Consciencieux, notre vendeur, s’applique à décorner certaines photos.
Conscience du métier oblige.
Une fois son étalage termine, il s’adosse au mur et lève un pied qu'il pose sur le mur crasseux.
Il attend qu’un passant amateur d’art passe pour lui acheter une de ces icônes.
Il guette du regard l’intéresse mais hélas, tout le monde passe sans jeter un coup d’œil à toute cette galerie d’art en papier brillant. Aucun intéressement pour ces posters.
A croire que les anciennes vedettes n’attirent plus personne.
Il change les photos de place avec la conviction que ce déplacement plus judicieux pourrait allécher le probable acheteur. Mais nenni. Ils sont, pour la grande majorité, occupés à cavaler et l’art mit à terre n’ait pas leur tasse de café.
Je l’imagine, las d’attendre, rempiler par manque de clientèle au bout de quelques heures et relever ses artistes immobiles et figés dans leur pose habituelle ; déchus ou morts pour l’éternité, il enroulera une à une, ses iconographies qu’il enserre par un petit cerceau d’élastique avec la bonne intention de revenir demain pour les réouvrir et les ré-ètaler certainement demain.
Albert.
Par Mr_Jano (Mr_Jano) le jeudi 19 mai 2005 - 18h30: |
Salut les Meufs,
Alors les meufs, on se prépare pour recevoir Jano et sa valise, attention toi, tu n'oublies pas mes sous-sous, sinon, on va la touner à la mortadelle ta soirèe poisson et surtout dit à l'autre Mamili, ton clone, de bien hacher la salade sinon je lui envoie un panier de fleurs comme tu les aimes.... Ok....? Et surtout,j'aime dormir sous des draps qui sentent la lavande comme celà tu seras dans de beaux draps.
Le Jano est exigeant ma belle et pas d'emtourlou petes surtout...OK....? Ma vieille...Au bois dormant...!'
Par Albert (Albert) le jeudi 19 mai 2005 - 18h19: |
Par Ins_Boulakia (Ins_Boulakia) le jeudi 19 mai 2005 - 18h01: |
LE POLICIER DU JEUDI....
SUITE DU POLARD DE MR LA DOUDA... A LA SAUCE BREITOU....
Suite du policier de la DOUDA…..’...POLARD FACON MARABOUTAGE…
Dans les principaux rôles…
Mamabouba……………Le Majordome.
LA DOUDA……………Charles le Magnat, ancien homme d’affaire durant la période coloniale, retraité vivant à Marseille. LE MARSEILLAIS.
Albert………………….Albert le Propriétaire de la bijouterie ‘…A L’OR QUI LUIT... !’
La vendeuse…………….Suzanne Estropié.
Baabous………………. Bébert ancien bagnard à la Karaka, libéré sur parole après 20 de cachot.
Dr Koulibali……………Ancien associé du Baabouss reconverti dans les coups fourrés.
Tawfiqblack……………Président N’Guèma.
Lalla……………………Secrétaire du présidant N’Guèma.
Girelle………………….Seconde secrétaire.
Mamili………………….Hôtesse de l’air.
Elsa…………………… .Hôtesse de terre.
Meyer Lellouche……….L’homme louche.
Maxiton…………………I Brahim Koulibani.
Inspecteur Boulak……..Breitou.
Mr Rondouillet Gilles….Commissaire du 4 ième Arrondissement de Marseille.
Suite du récit de la Douda passé, il y a 4 jours sur le PTB…Improvisation sur-le-champ.
‘…Quelques années plus tard, sur le port de Marseille, une limousine blanche aux vitres fumées, stoppe devant la bijouterie d’un célèbre joaillier sur l’avenue du PRADO ‘….. A L’OR QUI LUIT…’ 3 hommes de couleur, de forte corpulence, en descendent. On devine un ronflement sur leur poitrine, sans doute des revolvers MAC INTOCH... Ce sont des gardes du corps. L’un des trois noirs, ouvre la portière et un homme costumé, portant lunettes RAY BAN noir, en descend. Les quatre hommes se présentent devant le portillon fermé automatiquement et l'un d'eux appuie sur une sonnerie. Une dame, parle dans l’interphone..
‘…Bonjour, qui dois-je annoncer messieurs… ?’
‘…De la part du marseillais… !’
Qqs instants, la porte s’ouvre et nos quatre hommes rentrent.
‘…Allez dire à votre patron que le Marseillais est là… ! En attendant, montrez-nous vos meilleures pièces… !’
‘…Mais je ne peux le faire sans le consentement de mon patron… !’
L’un des noirs fait le tour de la vitrine et lui demande gentiment de couper les caméras et de lui donner le film sinon….
‘…Mais…. ! Je serai… !’
‘…Allez l’appeler, je vous dis ok… !Sinon je vous égorge comme un poulet… ! Ouvrez cette vitre, mon patron veut voir de plus près ces merveilles… !’
La vendeuse apeurée obéit…Elle monte à l’étage supérieur… !
A suivre…
Elle monte voir son patron M. Albert.
‘…Monsieur Albert, il y a .. !’
‘…Je les ai vus, à la DOUDA de monter seul. Le Marseillais.
Elle redescend et transmet le message…
Les trois gardes du corps restent en bas tandis que le Marseillais monte les marches.
Il rentre dans le bureau.
‘…La Douda, comment vas-tu depuis mon cher… ?’
‘…Laisse tes paroles mielleuses pour une qq d’autres, je vois que tu t’es bien installé depuis, à part cela, tu vis dans un pavillon du côté de Aubagne, tu ne t’emmerdes pas à ce que je vois… !’
‘…Toi non plus, j’ai l’impression que tu roules en limou, avec des gardes chiourmes, tu crains qq chose ou c’est de la frim, tu ne peux pas faire comme tout le monde pour passer inaperçu… ! Il paraît que tu as fait fortune là-bas depuis avec ton ami le N’Guéma… ?’
‘…Ah, tu es bien renseigné toi aussi, écoutes, je suis venu pour prendre mon dû, ce que tu as caché à mon insu… !’
‘…Mais de quoi parles-tu la Douda, je ne te dois rien… !’
‘…Ecoutes Merlo, nous avons dépassé l’age de la carabine alors fais gaffe, on reprend les comptes de A à Z, il manque 10 000 000 de francs dans mon escarcelle, alors ne fais pas le mariole sinon, tu vas flamber ici… ! Je te donne 48 heures sinon, ta famille va passer à l’abattoir.. !’
‘…Tu me menaces… ? Mais mon cher ami, qui t’a présenté ton ami N’Guèma… ? Alors que tu pourrissais dans un coin merdique du côté des putes…. A LAME….! Qui t’a embauché pour faire passer certains camions militaires hein dis-moi.. ? Tu as même change de nom de famille… ! CHARLES LE MAGNAT…. ! Pourquoi pas CHARLEMAGNE…. ? ‘
‘…Je vois que tu n’as rien compris… ! 48 heures et pas plus… ! Je vais te prendre ta secrétaire en guise d’otage… !’
‘…Si tu touches à elle, tu regretteras d’être venu, ok… !’ Tu ne prends rien, et pour tes 48 heures, je vais réfléchir DOUDA… !’
A suivre.
‘…Bon, j’en ai fini avec toi, je vais jeter un coup d’œil sur tes merveilles, cela fait longtemps que je n’ai pas offert de serpent en or à ma guirlande, ne m’accompagne pas, je sais me servir… !’
‘…Tu paieras comme tout le monde la demoiselle ok… ?
Il se lève le CharleMAGNAT et retourne dans le magasin.
Il fait le tour des vitrines et s’arrête devant une vitrine où il aperçoit une très belle pièce ornée d’un joli diamant…
‘…Ouvrez-moi, Mademoiselle, elle me tape à l’œil cette pièce.. !’
‘…Mais je ne le peux, il me faut l’ordre de mon patron… !’
‘….Golli, vas-y doucement, coupe l’alarme d’abord… !’
‘…Ok, patron… !’
Golli coupe l’alarme puis d’un violent coup de coude, il brise la vitre qui vole en éclats.
‘…Je t’ai pourtant dis délicatement Golli, bon, Mademoiselle emballez-moi ce joyau dans un écrin et faites-moi un beau papier cadeau, c’est pour ma belle Amanda, elle raffole des bijoux… !’
‘…Où dois-je envoyer la facture… !’
‘….Ahahahahaha… ! On ne me l’a jamais faite celle là, on ne me facture pas… !’
Descend le patron ..
‘…Ne vous inquiétez pas, Suzanne, il paiera même la vitre cassée… !’
‘…Tu as le bonjour de N’Guèma, il va rentrer bientôt pour une courte visite, en France, il sera ravi de te rencontrer en privé. Il va avoir besoin de tes services ici, après 20 ans de silence… !’
‘…Tu peux lui dire déjà que j’ai raccroché tête de nœud… !’
‘…Ahahaha… ! Alors on perd ses pédales, on devient impoli depuis que l’on touche aux pierrailles… ! Bon, n’oublie pas dans 48 heures, là où tu sais… ! Dans le Panier ( quartier de Marseille) chez la mère Fredda.. !’
‘…Je vois que tu es toujours là à barboter dans les beaux quartiers… !’
‘…Que veux-tu, je suis resté nostalgique de mes beaux souvenirs d’enfance… !’
‘….Pour le cadeau que tu t’es servi, il va t’en coûter 150 000 000 frs, alors tache de les avoir le plut tôt possible… !
‘…Fais comme d’hab, à l’ancienne, tu pinces une feuille de crédit avec ton épingle à linge… ! Et tu la mets à sécher… ! Ahahhahaah… ! Bon les gars, il se fait tard.. ! Mes excuses mademoiselle, je perds mes bonnes manières par moment.. !’
Ils sortent et remontent dans la Limousine.
A suivre…
Rappel l’Inspecteur Boulak est à Marseille, en mission spéciale.
‘…Suzanne, vous appellerez demain la maison Vercors, qu’ils viennent réparer tout cela… !’
‘…Qu’allez -vous faire M. Albert….. ? Après ce vol… ?’
‘…Vous ne dites rien à personne et ne vous inquiétez pas, surtout pas un mot à la police si on vient vous interroger, vous n’étiez pas là, n’oubliez pas ce que je vous dis… !’
‘…Bien, c’était une très belle pièce que nous devions livrer à la Comtesse Duchesse… !
‘….Elle attendra, vous lui direz que notre orfèvre est décède en plein boulot, une crise cardiaque et que nous lui livrerons une autre sous peu… !’
‘…Bien M. Albert… !’
‘…Ecoutez, il vaut mieux que vous rentriez chez vous, et surtout motus… !’
Suzanne enfile son manteau et rentre chez elle.
Albert compose un numéro de téléphone.
‘…Allô! Meyer… ! C’est Albert … !’
‘…Bonjour M Albert…!’
‘…J’ai besoin de vos services, pouvez-vous passer me voir…?’
‘…Dans quinze minutes M. Albert… !’
‘…Ok, je vous attends… !’
Meyer comme promis arrive.
‘…Asseyez -vous, Le Marseillais reprend du service… ! M. Meyer… !’
‘…A à son âge… ?’
‘…Il doit être de beaux draps, écoutez, j’ai besoin d’un flingue et deux bons hommes, pas du milieu, des amerlocs si possible… !’
‘…Vous avez un contrat à exécuter…. ?’
‘…Non, fini les contrats, pour me protéger, deux gardes du corps… !’
‘…J’ai ce qu’il vous faut, pour quand les voulez-vous .. ?
‘…Pour un bon bout de temps, tout dépend des évènements futurs… !’
‘…Savez-vous que N’Guèma atterrit à Paris dans les prochains jours.. ?
‘….Non, comment le savez-vous … ?’
‘…Mon antenne de Paris…. ! Il vient en visite privée… !’
‘…Tiens… ! Tiens… ! Bon gardez le secret… ! Il y a qq chose de louche dans tout cela… !’
‘…Vous faites toujours des jeux de mots…Lellouche ..Le louche… !’
.…Bon, débrouillez-vous et prévenez-moi lorsque vous aurez trouvé… !’
‘…Ok, vous pouvais toujours compter sur moi… ! M. Albert…!’
‘…Tenez, prenez ça, pour vos futures démarches… !’
‘…Merci… ! M. Albert… !’
‘…Le bonjour à votre femme Emilie… !’
Meyer sort.
Albert téléphone à l’étranger.
‘…Allô.. ! Le grand Hôtel… ? Mademoiselle, passez s’il vous plait Bébert dit le Bââbouss… !’
‘…Oui Missiè, pas kitè , je vous passe chambre là… ! Un moment.. !’
……………………………..
‘…Allô…. ?’
‘…Bââbouss… ! C’est Albert… !’
‚...Salut mon vieux...! Quelle coïncidence, je rentre à Paris demain vers les 8 heures du mat… !’
Par Lalla (Lalla) le jeudi 19 mai 2005 - 16h02: |
Breitou,mon cher Breitou
ton sketch-quoiqu'on fasse- est super de realisme; un vrai regal pour des gens simples comme moi; une tranche de vie prise sur le vif!
merci de ta bonne humeur et de toutes ces perles...
Par Breitou (Breitou) le jeudi 19 mai 2005 - 15h03: |
'...Et bien moi, je te le dis...Ton polard est merveilleux, zid red'ni HOUITE MALHE....!'
Par Douda (Douda) le jeudi 19 mai 2005 - 01h10: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Faits divers à PotoPoto,,, !
Goulette Info - 18/5/2005 - Les éléments de la Police judiciaire commandés par l’inspecteur BoulAlik n’ont pas du tout plaisanté avec des criminels dans la matinée du samedi dernier 14 mai.
La descente effectuée dans la tanière des sbires de Bébert La Sardine le scélérat, à PotoPoto, a fait deux exorcisés dans les rangs de ces derniers.
Un faux militaire putchiste serait membre de la bande. Selon les informations en notre possession, un appel anonyme ce samedi-là, parvient aux éléments de la Police judiciaire.
Il fait état de l’existence au quartier “ Doukouré ” à PotoPoto, d’un fumoir clando dit “Chez le Belge”, zama “Fumes c’est du Belge!”.
De nombreux drogués s’y donnent chaque fois rendez-vous pour fumer le Yamba, l’herbe qui tue le cafard. Mais ils ne s’arrêtent pas à celà. C’est un haut lieu aussi où ces individus doublés de redoutables gangsters, se retrouvent pour fomenter des coups qui vont des attaques de domiciles aux autres braquages de véhicules et autres actes criminels.
L’affaire est donc très sérieuse. C’est pourquoi, les policiers ne perdent pas de temps.
Ils effectuent une descente dans ledit fumoir. C’est la débandade totale. Mais quatre d’entre les drogués, ne réussiront pas à prendre la fuite. Ils sont maîtrisés. Les lieux sont perquisitionnés et il est découvert un couteau de cuisine, un pistolet automatique de calibre 7,65 mm avec quatre munitions, un fusil de calibre 12 à canon scié, ses deux cartouches et un pantalon treillis.
Interrogés sur la provenance de ces armes, les quatre individus expliquent que l’arsenal appartient à un faux militaire qui, à l’instant, était en leur compagnie dans le fumoir. Il a pu s’enfuir. Sous leur conduite, les flics se déportent au domicile du militaire mis en cause.
Toujours à PotoPoto Sa maison est soumise à une fouille systématique et minutieuse. Une kalachnikov, cinq chargeurs et plus d’une centaine de munitions sont saisis. Cela témoigne certainement des activités peu recommandables auxquelles se livre l’élément des Fanci.
Mais alors qu’à la fin de la perquisition chez le militaire, les policiers reviennent au fumoir pour d’autres investigations avant le départ pour la base, que deux d’entre les quatre scélérats appréhendés, tentent de jouer leur va-tout. En clair, ils essaient de prendre la fuite non sans se jeter sur des policiers dans le but de les désarmer.
Cette témérité qui, par le passé, a profité à des malfaiteurs, ne l’a pas été cette fois-ci.
Ils sont donc solidement maraboutés à coups de matraques, et de GrisGris. Sans papiers, ils n’ont pu être identifiés. Leurs deux acolytes qui se sont montrés beaucoup plus sages en ne les imitant pas dans leur “ folie ”, séjournent en ce moment à la Pj, dans le cadre de l’enquête de BoulAlik.
Le faux militaire dit Bébert la Sardine, chef de bande, faux policier milicien, escroc et julot notoire qui, lui, est gravement mis en cause dans cette affaire et dont nous ne taisons pas l’identité, est activement recherché, probablement réfugié au Nimba.
“De plus en plus, des agents des forces de l’ordre se livrent à des dérives. Et c’est bien dommage pour les populations dont ils sont pourtant sensés assurer la sécurité!”, a déclaré Sieur BoulAlik.
Qu’on se le dise,,,!
Wnessou El Douda
Par Ins_Boulakia (Ins_Boulakia) le mercredi 18 mai 2005 - 22h37: |
Suite du policier de la DOUDA…..’...POLARD FACON MARABOUTAGE…
Dans les principaux rôles…
Mamabouba……………Le Majordome.
LA DOUDA……………Charles le Magnat, ancien homme d’affaire durant la période coloniale, retraité vivant à Marseille. LE MARSEILLAIS.
Albert………………….Albert le Propriétaire de la bijouterie ‘…A L’OR QUI LUIT... !’
La vendeuse…………….Suzanne Estropié.
Baabous………………. Bébert ancien bagnard à la Karaka, libéré sur parole après 20 de cachot.
Dr Koulibali……………Ancien associé du Baabouss reconverti dans les coups fourrés.
Tawfiqblack……………Président N’Guèma.
Lalla……………………Secrétaire du présidant N’Guèma.
Girelle………………….Seconde secrétaire.
Mamili…………………Hôtesse de l’air.
Elsa…………………… Hôtesse de terre.
Meyer Lellouche………L’homme louche.
Maxiton………………..I Brahim Koulibani.
Inspecteur Boulak……..Breitou.
Suite du récit de la Douda passé, il y a 4 jours sur le PTB…Improvisation sur-le-champ.
‘…Quelques années plus tard, sur le port de Marseille, une limousine blanche aux vitres fumées, stoppe devant la bijouterie d’un célèbre joaillier sur l’avenue du PRADO ‘….. A L’OR QUI LUIT…’ 3 hommes de couleur, de forte corpulence, en descendent. On devine un ronflement sur leur poitrine, sans doute des revolvers MAC INTOCH... Ce sont des gardes du corps. L’un des trois noirs, ouvre la portière et un homme costumé, portant lunettes RAY BAN noir, en descend. Les quatre hommes se présentent devant le portillon fermé automatiquement et l'un d'eux appuie sur une sonnerie. Une dame, parle dans l’interphone..
‘…Bonjour, qui dois-je annoncer messieurs… ?’
‘…De la part du marseillais… !’
Qqs instants, la porte s’ouvre et nos quatre hommes rentrent.
‘…Allez dire à votre patron que le Marseillais est là… ! En attendant, montrez-nous vos meilleures pièces… !’
‘…Mais je ne peux le faire sans le consentement de mon patron… !’
L’un des noirs fait le tour de la vitrine et lui demande gentiment de couper les caméras et de lui donner le film sinon….
‘…Mais…. ! Je serai… !’
‘…Allez l’appeler, je vous dis ok… !Sinon je vous égorge comme un poulet… ! Ouvrez cette vitre, mon patron veut voir de plus près ces merveilles… !’
La vendeuse apeurée obéit…Elle monte à l’étage supérieur… !
A suivre…
Elle monte voir son patron M. Albert.
‘…Monsieur Albert, il y a .. !’
‘…Je les ai vus, à la DOUDA de monter seul. Le Marseillais.
Elle redescend et transmet le message…
Les trois gardes du corps restent en bas tandis que le Marseillais monte les marches.
Il rentre dans le bureau.
‘…La Douda, comment vas-tu depuis mon cher… ?’
‘…Laisse tes paroles mielleuses pour une qq d’autres, je vois que tu t’es bien installé depuis, à part cela, tu vis dans un pavillon du côté de Aubagne, tu ne t’emmerdes pas à ce que je vois… !’
‘…Toi non plus, j’ai l’impression que tu roules en limou, avec des gardes chiourmes, tu crains qq chose ou c’est de la frim, tu ne peux pas faire comme tout le monde pour passer inaperçu… ! Il paraît que tu as fait fortune là-bas depuis avec ton ami le N’Guéma… ?’
‘…Ah, tu es bien renseigné toi aussi, écoutes, je suis venu pour prendre mon dû, ce que tu as caché à mon insu… !’
‘…Mais de quoi parles-tu la Douda, je ne te dois rien… !’
‘…Ecoutes Merlo, nous avons dépassé l’age de la carabine alors fais gaffe, on reprend les comptes de A à Z, il manque 10 000 000 de francs dans mon escarcelle, alors ne fais pas le mariole sinon, tu vas flamber ici… ! Je te donne 48 heures sinon, ta famille va passer à l’abattoir.. !’
‘…Tu me menaces… ? Mais mon cher ami, qui t’a présenté ton ami N’Guèma… ? Alors que tu pourrissais dans un coin merdique du côté des putes…. A LAME….! Qui t’a embauché pour faire passer certains camions militaires hein dis-moi.. ? Tu as même change de nom de famille… ! CHARLES LE MAGNAT…. ! Pourquoi pas CHARLEMAGNE…. ? ‘
‘…Je vois que tu n’as rien compris… ! 48 heures et pas plus… ! Je vais te prendre ta secrétaire en guise d’otage… !’
‘…Si tu touches à elle, tu regretteras d’être venu, ok… !’ Tu ne prends rien, et pour tes 48 heures, je vais réfléchir DOUDA… !’
A suivre.
‘…Bon, j’en ai fini avec toi, je vais jeter un coup d’œil sur tes merveilles, cela fait longtemps que je n’ai pas offert de serpent en or à ma guirlande, ne m’accompagne pas, je sais me servir… !’
‘…Tu paieras comme tout le monde la demoiselle ok… ?
Il se lève le CharleMAGNAT et retourne dans le magasin.
Il fait le tour des vitrines et s’arrête devant une vitrine où il aperçoit une très belle pièce ornée d’un joli diamant…
‘…Ouvrez-moi, Mademoiselle, elle me tape à l’œil cette pièce.. !’
‘…Mais je ne le peux, il me faut l’ordre de mon patron… !’
‘….Golli, vas-y doucement, coupe l’alarme d’abord… !’
‘…Ok, patron… !’
Golli coupe l’alarme puis d’un violent coup de coude, il brise la vitre qui vole en éclats.
‘…Je t’ai pourtant dis délicatement Golli, bon, Mademoiselle emballez-moi ce joyau dans un écrin et faites-moi un beau papier cadeau, c’est pour ma belle Amanda, elle raffole des bijoux… !’
‘…Où dois-je envoyer la facture… !’
‘….Ahahahahaha… ! On ne me l’a jamais faite celle là, on ne me facture pas… !’
Descend le patron ..
‘…Ne vous inquiétez pas, Suzanne, il paiera même la vitre cassée… !’
‘…Tu as le bonjour de N’Guèma, il va rentrer bientôt pour une courte visite, en France, il sera ravi de te rencontrer en privé. Il va avoir besoin de tes services ici, après 20 ans de silence… !’
‘…Tu peux lui dire déjà que j’ai raccroché tête de nœud… !’
‘…Ahahaha… ! Alors on perd ses pédales, on devient impoli depuis que l’on touche aux pierrailles… ! Bon, n’oublie pas dans 48 heures, là où tu sais… ! Dans le Panier ( quartier de Marseille) chez la mère Fredda.. !’
‘…Je vois que tu es toujours là à barboter dans les beaux quartiers… !’
‘…Que veux-tu, je suis resté nostalgique de mes beaux souvenirs d’enfance… !’
‘….Pour le cadeau que tu t’es servi, il va t’en coûter 150 000 000 frs, alors tache de les avoir le plut tôt possible… !
‘…Fais comme d’hab, à l’ancienne, tu pinces une feuille de crédit avec ton épingle à linge… ! Et tu la mets à sécher… ! Ahahhahaah… ! Bon les gars, il se fait tard.. ! Mes excuses mademoiselle, je perds mes bonnes manières par moment.. !’
Ils sortent et remontent dans la Limousine.
A suivre…
Par Breitou (Breitou) le mercredi 18 mai 2005 - 21h58: |