Par Latitesse (Latitesse) le jeudi 02 juin 2005 - 14h45: |
Merci à vous tous mes amis, présents ou présents par la pensée et la prière.
Que Henri z'l repose en paix
Annie
Par Albert (Albert) le jeudi 02 juin 2005 - 14h58: |
Je vous informe afin qu'il n'est pas de confusion que ma fille Valerie a tous mes pseudos et qu'elle écrit ici suivant mes directives surtout lorsque je suis absents ou fatiguè.
Par Mamili (Mamili) le jeudi 02 juin 2005 - 13h06: |
- RAPH/HENRI- z'al
Hier ! auprés des tiens : ta compagne, ta famille, tes amis. Dans la ferveur et la dignité toutes nos pensées et prières t'étaient destinées.
Puisses tu reposer enfin en paix.
Nous te regretterons toujours.
Par Douda (Douda) le jeudi 02 juin 2005 - 00h14: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Faits divers à PotoPoto,,, !
Goulette Info - 1/6/2005 - Le lundi dernier 30 mai, c’était la débandade totale au Plateau. Précisément dans le périmètre de la Banque du commerce extérieur. Une fusillade qui a donné lieu à un véritable branle-bas.
Que s’est-il passé ? Selon des sources en notre possession, deux individus aux environs de 11h, garent leur véhicule non loin de la BCE. Puis, on les voit mettre pied à terre et prendre position à quelques mètres seulement de la SGDG opposée à la RadioTV, de PotoPoto. Les instants d’après, l’un de ces quidams, apparemment tenaillé par une envie de se soulager d’un besoin naturel pressant, se dirige vers une ruelle en face.
Un agent particulier des changes qui éprouve le même besoin, prend juste position à côté de lui. Mais lorsque le quidam soulève maladroitement sa chemise pour avoir accès à sa braguette, l’agent de changes remarque tout de suite qu’il porte un pistolet à la taille.
L’inconnu qui se rend compte qu’il a été découvert, lance alors ceci à l’endroit de l’agent de changes tremblant de tous ses membres : “ J’espère pour toi que tu n’as rien vu. Et si c’est le contraire, tu es un homme mort ”. Le message qui indique clairement les intentions de l’inconnu qui n’est qu’un gangster, est suffisamment clair pour ne pas être compris.
L’agent de changes s’éloigne aussitôt sans demander son reste. Mais une fois hors de vue, il use de son cellulaire pour alerter le commissaire BoulAlik de l’Uir ( Unité d’intervention et de recherche). Lui aussi met en branle ses éléments qui se déportent sur les lieux.
Effectivement, de loin, ils aperçoivent le bandit dont ils ont la parfaite description. Deux des policiers s’avancent discrètement et se jettent sur le criminel. Il s’en suit une lutte dans le but de lui arracher le sac qu’il tient. C’est en ce moment que l’autre malfaiteur, en embuscade qu’ils n’ont pas vu, sort de sa tanière avec une kalachnikov à la main.
Mais il n’ose tirer de peur d’atteindre son comparse aux prises avec les policiers. Il se contente donc de libérer des rafales dans l’air. Sa présence inattendue désarçonne un tant soit peu les flics. Le scélérat qu’ils tenaient à l’instant, en profite pour prendre la tangente fuite et rejoindre son acolyte qui lui, continuait de tirer dans tous les sens.
Les policiers ne peuvent riposter de façon efficiente, au risque de commettre une bavure dans cet endroit grouillant de monde. Ils se contentent seulement de tirs de sommation en l’air. Les bandits n’en demandent pas mieux pour s’engouffrer dans leur véhicule et s’échapper non sans continuer de tirer.
Mais dans le sac qu’ils ont abandonné sur les lieux, les policiers ont découvert une kalachnikov et son chargeur contenant 31 munitions, ainsi que des GrisGris indiquant que les bandits sont affiliés, à la bande que commande le Fameux Bébert La Sardine alias “ Le Belge “.
Le premier constat fait ressortir que les malfaiteurs étaient certainement là pour commettre une attaque à main armée. En cette fin de mois, ils devaient sans doute braquer soit un client de la BCE, soit un autre de la SGDG. L’enquête se poursuit en tout cas, en vue de déceler la véritable cible des malfrats.
Qu’on se le dise,,, !
Wnessou El Douda
Par Breitou (Breitou) le mercredi 01 juin 2005 - 21h54: |
SKETCH….JI MI CASSE…
Paris le 1/06/2005.
‘….Oualayi ki ji mi casse, mirde alors, ti crois ki ji vi rester dans si peyi di merde moi, ji mi mon sang ici froid, li chaud ji li laisse pour mon payi, li francise, il ni vile pas di nous alors, on ni bon que pir les bennes à ordures, n ise pas, parfois ji ni marre , ji roule en bm oui, grace à fatouma, elle travaille d’y nuit , dans les parkings, ji soudoi un pi li gardien et ensuite jy met le comptir en marche, pas plus que deux minutes le quard heure et ensuite si jy vois qu’il y a abus je la casse, oki ??? On ni badine pas avec l’amour, ici ca coute chir là bas ci pour rien, ci pour cela ki ji suis veni ici, ji fou rien mais ji envie di mi casser vraiment, y en marre, ji gagne bien ma vie oui, sa ji pe le dire, ji econononmisè plein di fric au payis, li bankier di là bas, ‘..il mi dit reste encore un pi Hamid….. !’ Sirment pir mi voler li fric, ca fi 30 ans ki ji suis pas rentrè là bas, mon casier jidiciare il est vierge comme ma granmère, d’ailleurs ji passè trois ans là bas pi proximatisme agravvi c est là l’embrouille li marocains ni save pas parlè la langue di molière, ji leur e dis en prison alors, il y a un qui m a ricitè li mort du loup garou, ca ma fi de la pine vraiment d’aillirs di fois ji pense avant di dormir, ji fi la sourde oreille, mais ce vrai ji in oreille qui marche pas ji fais économi d’un écouteur, natali yaali li vendeur i vouli m arnaquè li salopard, ji payè moitiè prix parce qui ji li ai dit salim si tu vi pasmi croire rentrer dans mon oreille, in yaddin bou, ti sais ci qil m a dit se saligot, ‘..Ti croix qi moi ji suis une éprouvette… ?’ Alors, ji li dis ‘..mi tete di con ki ti es ci pas in ovule toi borrico.. !’ Il ni comprenne rien li arabes kan on li parle comme il fo , ji mi dimande ki ci ki font ici li hmars, au lieu di volè et vivre comme moi barbo vo mieux quil font le turbin et les fille li pituns, ji mi casse ji vou dis… ! Mirde alors.. !… !’
Le téléphone sonne…
‘…Allou… ? Ki ci à l’appareil… ?
‘…C’est moi… !’
‘…Ah ti voilà ti toi , ti mis a donne garce 700 iros, di moi , moi ji ti li donne 25 plastic, ci fé 13 pipes à 20 iros et 12 pir l’amor à 40 eros, ou lil i la diffirence hein, i mi manque 40 iros … ?’
‘….Il y une capote qui a éclatée… !’
‘…Iclatè, iclatèEEEEEEEEEEEEEEE… ? yè qahba, ji vi ticlatè la tête Salope de prix ki ti è, ji vi ti faire la peau sale racailli ki i ti è…Ji vi t iclati la cervelle… !’
On l’appelle sur l’autre ligne…
‘…Ki ci.. ?’
‘…Je vais me préparer à me casser Hamid… !’
‘…Ji si pas au koran, Noura… ! Alors on si casse ensemble… !’
‘…J’ai vendu mes papiers tu sais… !’
‘…Ah, là ti fi une grosse connerie, au bled ca couti plis cher, moi ji vi li vendre la-bas… !’
‘…Ah ok alors je vais me faire rembourser.. !’
‘…Bon, jy régle mi comptes avec Farida, on si rappelle… !
Il raccroche..
‘…Bon Farida, Icoutes, toi ji vi ma cappote éclatée, oki ??? Ji la raccomodere, yè qahba ki ti i, …. !’
‘….Bof, ca coute deux cents… !’
‘…Caligote qui ti e sa coute ki sa coute, mis jy vais le plastic… !
‘…Le problème c’est qu’il est encore dedans… !’
‘…Ah en plis ji vi payè l’avortement, ecoutes ti va cho li ginokilogue et ti li duis di la faire sorti délicatesse, si la casse ,ji ti casse lma tete toi et lui compris… ?’
‘…Vulgaire que tu es…. !’
Elle racroche…
‘…Vulgaire.. ? In yaddin bouk ma omok, moi ki ti donne di travail, ki ti fi sortir du trattoir pir li camion e ti mis dis vulgaire, ingrate ki ti es…’ !
Par Albert (Albert) le mercredi 01 juin 2005 - 21h27: |
Par Albert (Albert) le mercredi 01 juin 2005 - 21h24: |
Shallom
Par Latitesse (Latitesse) le mardi 31 mai 2005 - 18h48: |
Merci Valérie de prendre le relais d'Albert pour
ce texte magnifique qui me touche infiniment
et dont je le remercierai de vive voix
Annie
Par Albert (Albert) le mardi 31 mai 2005 - 18h24: |
Madame Annie Bellicha,
Il m’en coûte de rendre un hommage ce soir pour votre mari.
J’aurai aimé qu’il soit là près de vous et de nous.
Madame BELLICHA,
Vous allez procéder en la synagogue de Nice, au premier anniversaire du décès de votre cher mari Henri Z’al.
On appelle cela aussi le DRACH DE L’ AN.
Il fut rappelle à notre grande surprise à D ieu, le 11 juillet à 17 heures 45, laissant ceux qui l’aiment et l’apprécient autant pour son humanisme que pour son dévouement envers les autres, dans un profond désarroi.
Sa perte vous laisse dans le plus grand chagrin et le temps n’a pas altère votre amour pour lui.
Vous m’en parlez comme s’il était encore là au présent et je compatie.
31 ans à ses côtes et ses souvenirs autant que sa mémoire restent impérissables et intarissables sont les éloges que vous nous en faites au grès de nos liens. Pas un jour, où je ne vois son nom paraître dans vos e-mails,
Sa perte vous laisse dans le plus grand chagrin et le temps n’a pas altère votre amour pour lui.
Vous m’en parlez comme s’il était encore là au présent et je compatie.
31 ans à ses côtes et ses souvenirs autant que sa mémoire restent impérissables et intarissables sont les éloges que vous nous en faites au grès de nos liens. Pas un jour, où je ne vois son nom paraître dans vos e-mails, comme si Henri z’al ne vous avez pas quitté.
Cet attachement à sa mémoire me porte à croire que vous ignorez l’oubli et qu’il ne fait même pas parti de votre vocabulaire.
Tout vous rattache à lui et vous me dites
Je comprends votre engouement et cette forme d’imprégnation de ses empreintes laissées sur le clavier par ses doigts sur les vôtres, vous stimulent. Tout vous rappelle lui.
Qui mieux que vous, peut parler avec autant de chaleur de votre cher mari, en toute connaissance de cause, en toute sérénité, fidélité et dévotion pour sa personne…. ! Sinon VOUS, qui aviez partagé plus de la moitié de sa vie…. ? Le reste ne COMPTE PAS Madame et vous le savez n’est- ce –pas .. ????
Votre époux était un homme aimant, charitable, généreux, qui, sans que vous me le décriviez, savait discerner avec acuité les faux-semblants et les faux-jetons.
Il détestait ceux qui en faisaient trop.
Il m’a fait le suprême honneur de me placarder des PEINTURES MADE RAPH sur le PTB. Il m’a même fait asseoir un jour entre DEUX CHAISES, il jugea sûrement que mon postérieur s’en trouverait que mieux, équilibré surtout, bon , une mauvaise appréciation de sa part dont j’ai compris par la suite le message après mure réflexion. L’épisode fut classé dans mon esprit comme une ébauche comique sans grande importance. ….. !’
Il aimait le PTB, cela lui rappelait des scènes de la rue, de son vécu, des récits d’autrefois, des ‘déconnades’ comme il les avait vécues et, sans se l’avouer, j’ai compris qu’il était resté TUNE, un tune multilinguiste qui maniait le français, le judéo, l’anglais avec une grande maîtrise.
Il appartenait aussi à cette GRANDE CASTE BENIT DE PEINTRES qui ont mit leur talent au service de la culture dont il était IMBU. Un don divin.
Madame, sa perte nous a paru injuste, tout comme toute mort qui survient brutalement.
Nous n’avons cependant pas le droit de crier à l’injustice sans se faire passer pour BLASPHEMATEUR. On ne peut accuser le TOUT PUISSANT de cela car il sait tout et nous ignorons ces décisions que nous jugeons le plus souvent bonnes et adaptées à notre destin.
Madame, au début, il a eut le commencement, puis il eut l’homme et la femme, enfin le verbe.
Le verbe chez Henri z’al était florilège peint avec ses pinceaux aux notes fraîches conjuguées à tous les temps sur sa palette posée sur son beau CHEVALET ; il était chevalier des expressions et personne n’oubliera son mot de MDB, qui fait partie des annales harissiennes.
L’homme de culture qui fut, fut nommé PRESIDENT D HONNEUR DE LA COMMUNAUTE JUIVE DE NICE à titre posthume : un égard distinctif, tardif certes, du à son rang.
Belle reconnaissance ad mortem, de celui qu’on nommait RAPH dans ce lieu commun qu’il embellissait, LE CHAT DES DATTES.
Votre époux pour terminer, laisse un trésor de CONNAISSANCE qu’il vous lègue dans son ordinateur et dans votre vie.
Nous l’aimons pour ce qu’il était et non pour ce qu’il avait.
Merci Madame, de vous avoir comme amie et votre amitié nous est toute précieuse; nous saurons la sauvegarder avec dignité.
Quoique l’on le dise.
Par Albert (Albert) le mardi 31 mai 2005 - 18h23: |
{LA VEILLEUSE
Par Albert (Albert) le mardi 31 mai 2005 - 18h16: |
Par Valerie (Valerie) le mardi 31 mai 2005 - 15h17: |
Je suis chargèe par mon pére de faire passer qq messages dont celui de l'HOMMAGE à MR HENRI BELLICHA z'al.