Par Douda (Douda) le dimanche 05 juin 2005 - 16h21: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Fumiste,
Goulette Info - 4/6/2005 - Magolo Arsène, 27 ans, originaire de PotoPoto, a été condamné à 20 ans de prison par le tribunal. Il s’est rendu coupable d’attaques à main armée non sans humilier un enseignant qu’il a contraint à cambrioler en sa compagnie.
Les faits se sont déroulés dans la nuit du 19 mai dernier, dans le village de Mibidou. Cette nuit-là, il est environ 23h lorsque M. Y.D., Directeur de l’école primaire du village, est réveillé en sursaut par un violent coup en provenance de la porte d’entrée de sa maison. Lorsqu’il vient aux nouvelles, il se retrouve nez à nez avec un individu tenant un fusil à canon scié.
L’homme qui, de toute évidence, est un criminel, le maîtrise. Puis le bandit pointant son arme dans le dos de l’enseignant, le contraint à entrer dans sa maison. Le malfaiteur, très à l’aise, intime l’ordre à M. Y.D. de lui remettre tout ce qu’il a comme biens de valeur. L’enseignant s’exécute en remettant la somme de 264.000 Fcfa au quidam.
Apparemment insatisfait, le criminel fait main basse sur d’autres effets qu’il fourre dans un sac. Sac qu’il oblige l’enseignant à porter sur la tête, avant de lui demander de le suivre de force. Devant le fusil, que peut bien avoir comme réaction l’instituteur, si ce n’est d’obéir. Le Directeur d’école s’engage dans la rue et le criminel le tient toujours en respect.
Véritable humiliation. Mais ce n’est pas tout. Le quidam intime l’ordre à l’instituteur de le conduire au domicile de ses collègues. Ce que le pauvre fait, en se rendant chez un autre enseignant en la personne de K.B.. Le Directeur est obligé sous la menace de l’arme, de trouver un subterfuge pour emmener son collègue à ouvrir sa porte.
Ceci fait, cette autre victime est maîtrisée. Ici, le malfrat fait main basse sur la somme de 15.000 Fcfa. Avec le même stratagème, un autre instituteur, B. Noé, est dépouillé de la somme 2.350 Fcfa. Enfin, le cambrioleur se retire dans la pénombre avec son butin aux environs de 3h du matin.
Si les choses se sont très bien passées dans la nuit pour le criminel, la journée, en revanche, lui réserve une désagréable surprise. En effet, une des victimes qui se retrouve dans le village voisin d’Ananguié, fixe son regard sur un individu en train de faire bombance dans un maquis.
Oui, il le reconnaît. C’est bien le malfaiteur de la veille. Il donne l’alerte et le suspect est appréhendé. Il répond au nom de Magolo Arsène. Conduit à la brigade de gendarmerie, il passe rapidement aux aveux. Ce qui lui vaut d’être déféré devant le tribunal le 25 mai dernier. Reconnu coupable des faits, et déserteur de la milice commandée par le fameux Bébert La Sardine alias “ Le Belge “.
Qu’on se le dise,,, !
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le dimanche 05 juin 2005 - 19h16: |
DANS LA PROCHAINE NOUVELLE PROGRAMME POUR LA RENTRE...LE BILLET ...PIERRE BERTHIER DOIT PROUVRE SA BONNE FOI ENVERS SON INTERLOCTRICE EN LUI MONTRANT UN BILLET QU'UNE MAMAN DEPORTEE A JETE PAR UN WAGGON EN PARTANCE POUR LES CAMPS...MALHEUREUSEMENT UN INCIDENT IMPREVUE SURVIENT...DANS LE BAR TABAC OU DEUX MILICIENS SONT DEBOUT A SIROTTET LEUR CAFE..
'...-‘…Un café, j’ai si sommeil.. !’
-‘…Nous devrions t’embarquer, mais comme nous ne sommes pas de mauvaise humeur ce matin, on te laisse pour cette fois ci, mais faites gaffe à l’avenir.... !’
Il prend sa tasse de café en main et vise une table au fond dans la salle.
Il est très préoccupé par sa bévue. Nerveux. Il lorgne sans trop insister sur ces trois paquets dont l’un contient son précieux document. Le motif de sa mission. Sans ce papier, cette preuve, Camille ne pourra jamais le croire encore moins Madame Loiseau. Sa future mission se trouverait complètement anéantie. Pourtant elle se trouve à quelques mètres de lui et à proximité des chaussures de ces collabos, ces traîtres qui sirotent leur liquide noir comme leur âme, avec désinvolture. Il ne peut se permettre aucune ruse sans attirer les soupçons de ses deux miliciens. Il s’inquiète aussi de ce que penserait cette dame s’il ne revient pas plutôt que prévu avec ce morceau de papier quadrillé, écrit par des mains tremblantes qui n’auront certainement plus l’occasion d’en écrire d’autres.
Il s’angoisse à l’idée de ne pas pouvoir établir sa bonne foi si ce papier vient à disparaître pour pouvoir démontrer ainsi qu’il n’était pas un ‘farceur’ en mal de plaisanterie au regard de cette bonne dame, qui attend depuis un quart d’heure. Il s’en veut intérieurement de voir ce message si important d’une mère envers sa petite fille, foulé, sans aucun respect pour son auteur et sa réceptionniste.
Un message d’amour destine, de la part de toute cette famille en partance vers la mort, à leur enfant qui attend d’être sauvé quelque part. Un dernier petit courrier d’espoir.
Il sent une oppression sur sa poitrine toutes les fois qu’il voit ces pieds de miliciens se croiser, se recroiser sans arrêt et qui viennent, sans vergogne, écraser ces quelques lignes tracées sur du blanc à carreaux.
Il ressent chaque geste de ses troublions en habit noir comme des épingles qui lui percent la chair. Que peut t’il faire, sinon ruminer et refouler sa colère … ! Se lever pour relever ces trois paquets chiffonnés sans attirer leur attention… ? Dans ce cas, adieu sa liberté et celle de toute sa famille. Il ingurgite une petite gorgée de café froid et amer en attendant la suite des évènements. Il suet sur place. Il ôte son veston et rallume une clope. Comme si la situation n’était pas déjà exaspérante, paradoxalement éprouvante pour Pierre, voilà que le bar-man fait le tour de son comptoir, un balai à la main pour nettoyer son carrelage et débarrasser ainsi mégots, crachats visqueux, allumettes et bien sur paquets de cigarettes. Pour jeter le tout, une fois réunit, dans la grande poubelle y compris le sentiment d’amour écrit sur un billet. Un sentiment noble va donc, pense Pierre, sans être sauvé dans l’immédiat, côtoyer tous les détritus de gras et de mauvaises odeurs… ! Sans qu’il puisse intervenir…. ?
Il sent comme des frissons secouer ses pieds. Pierre sent son sang se glacer…Il passe du froid au chaud sans qu’il puisse contrôler son thermostat intérieur.….Il n’en croit pas ses yeux. Il voit cette scène horrible, hallucinante, ce cafetier gesticuler qui commence par balayer le bord droit du comptoir, tout en avançant avec sa ‘grosse touffe de balai’, vers le centre de la salle : il voit l’impensable. Il pense à l’impensable. Les trois paquets vides réunis avec les autres déchets de toutes sortes. Le bar- man continue son travail sous le regard des miliciens et de Pierre ; sans se préoccuper outre mesure de ce qu’il faisait : un simple geste répète quatre fois dans la journée. Quoi de plus naturel que de relever un tas, hétéroclites d’ordures amoncelées de poubelle, prêt à être ramassé par une pelle en fer, tenue par une main ignorante et qui ira rejoindre sous peu, l’obscurité de la cave pour grossir d’autres déchets infectes.
Pierre en une fraction de seconde réalise ce qui va se passer.
Une idée germe dans sa tête.
Il se lève délicatement….Puis…Avec assurance..
Par Albert (Albert) le dimanche 05 juin 2005 - 14h55: |
Par Albert (Albert) le dimanche 05 juin 2005 - 14h28: |
Paris le 5/06/2005.
Passe sur le PTB.
Par Belebou (Belebou) le dimanche 05 juin 2005 - 13h47: |
CARACTERES DES HOMMES D'AUTREFOIS...
LE CAFOURGI..
Le blasphémateur…le profanateur du nom de D.ieu. Posé sur sa langue, il va en user souvent comme un juron. Parmi notre communauté, il y a ceux qui ‘jurent’ à chaque instant. Souvent pour rien, et d’autres par occasion lors d’une colère ou d’un énervement momentané. Ca commence par le préfixe ‘In….yadd…..…’ ( sur la non – religion ) et se termine par ‘Rab…’ (D.ieu) Cette expression courante s’utilise de moins en moins aujourd’hui alors qu’elle fut courante dans certains milieux , à l’époque, par le maître de céans envers sa femme. Souvent pour une broutille ‘ Ya Jasmine…èchbiè , in yaddin…ra…èl tfiné jèt mèchouché.. ? ( Hé..! Jasmine, juron, pourquoi le ragoût est fade.. ?) On comprend par-là, que l’enfant/ témoin ait grandi avec cette jolie expression dans ses oreilles loin d’être sourdes. Qu’il soit sur un terrain, dans une cour de récré ou dans un café, elle habitera son langage envers et contre tous, une fois devenu adulte. Chez les musulmans, la profanation du nom de D.ieu en public par un quidam lui vaut les foudres de la justice. On dit alors dans les attendus ‘Sèb èl Jèlalla’ ( il a insulté le Seigneur). Le Cafourgi, qu’il soit instruit ou pieux a , au moins une fois dans sa vie sinon plus, blasphémé. Pour détourner la chose, on utilise le mot ‘Raddèk’ mais certains auront vite fait de le remplacer dans leur subconscient par ‘Rabb..’ La plupart des jurons commencent par ‘In..yaddin…ômmôk’…( ta mère)’ bouk ’ ( ton père )…’zab….rhèltèk’ ( la cha..de ta tante )…ou les ancêtres ‘…èl zira oul mèchbéha ta din ouèldik…’ ( la racine de la religion de tes parents). Et la liste risque d’être longue. Caractère des hommes. PASSE LE 2/12/2001
Par Albert (Albert) le dimanche 05 juin 2005 - 13h45: |
EL BELLA BEKITE…
‘Celui qui est emmanché’ ou si vous préférez ‘L’Aristocratique’. Un monsieur qui passe pour ‘très distingué en se donnant une certaine prestance, une allure digne alors qu’il est ‘Krâa ou mè chroun ( de l’eau et de la merde) ‘- sa mère dans le temps s’appelait ‘Zaira’ ou ‘Fritnè’. Sa démarche rigide le fait ressembler à quelqu’un qui a ‘avalé une canne’, en mouvement. Souvent imbu, il toise, avec mépris, ses interlocuteurs au point que ces derniers tournent le dos sur son passage. De famille modeste ou ‘grènéh’ ( pas tous ) il doit à sa situation sociale, cette respectabilité qu’il s’est approprié. Inflexible, il donne une image autoritaire, celui de quelqu’un d’inapprochable tant sa rigidité est voyante. Ce ‘distinguo’ ne se rencontre plus sur la place. Il a fait son temps. Caractères des hommes. PASSE LE 17/12/2001
Par Breitou (Breitou) le dimanche 05 juin 2005 - 13h43: |
LE NEFRAJI…à retenir ‘ Nefra ou ternènè oul terma yariané…= Vantardise et gonflette plus le cul dénudé)
‘Babba nefraji’…le vantard…Celui qui après quelques verres de ‘tasses de tèm ( 8 ième) Boukha’ commence son délire avec emphase et beaucoup d’exagération. Il commence par ‘moi…..moi….moi….’ et conclu par ‘moi….moi…moi….Très sympa quand il a les yeux brillants par l’effet ‘Boukhobza’. En bonne compagnie, à l’occasion des apéros, c’est lui qui lève l’index pour commander au garçon ( serveur)…’Yeee….chiiii….Zebiiiiiiiii….jibliiii
tèmmm….’ (Espèce de tête de nœud…..Apportes-nous un huitième…) puis une fois servi……..’Weyeeeeeen….èl kèmmmmia….yââââ…mèftoukkkkk….bèl nèdouhèèèèè…( Et où est donc l’assortiment espèce d’éclaté par l’humidité)…Un langage choisi par Montaigne et la Boetie. Le ‘Nefraji’ est souvent généreux envers ses amis. Son ‘kif’ ( plaisir) est de payer même s’il est fauché….A crédit….Il est connu et même célèbre hors de son quartier. On recherche sa compagnie et on rit des ses ‘Taras…conneries’. En général, il a bon cœur et souvent émotif. Comme l’était mon père qui a toujours su rester digne et ‘homme’, sans vulgarité, lors de ses escapades Boukhèiques.
Par Albert (Albert) le dimanche 05 juin 2005 - 13h41: |
MERCI LATITESSE...
-LE HCHAICHI…
Le nerveux….Celui qui ne tolère pas plus de quelques mots…Son contraire… ? Le blid ou le tkil…’Hchaichi’ trouve sa racine dans ‘Hchich’ ( herbe). A l’époque, fumer le ‘Hach’ était autorisé durant la colonisation française. On l’appelait alors le ‘Kif’…qui s’inhaler à l’aide d’un instrument qu’on désignait par ‘Chèbchié’, en français calumet ou longue pipe ( environ 40 cm fait en roseau). Le Hchaichi coupe souvent la parole à celui dont la conversation est insipide pour imposer la sienne. Il choisit, en général, ses amis qui doivent se comporter dignement et avec respect. Le nerveux ne tolère pas de conversations cancanières …il faut parler ‘viril’. Il ne tolère pas non plus les écarts de langage. Sa générosité est immense. Emotif, il prend souvent partie des plus faibles. Serviable, il tient toujours ses promesses. Un code de l’honneur et de respectabilité_ lui est dévolue. J’ai reconnu là mon père …qui un jour, vit débarquer ma mère en plein Casino de la Goulette pour lui briser, en présence des tous ses amis, dont certains étaient ‘maquereaux’ attitrés, son ‘Chèbchié’. Un affront qu’il a supporté dignement puisque depuis ce jour là, il n’en a plus fumé…
Par Latitesse (Latitesse) le dimanche 05 juin 2005 - 11h30: |
Un grand Mazel Tov à Valérie et Rodolphe.
Tous mes voeux de bonheur.
Albert, des mariés comme ça, ça fait un très beau faire part, alors c'est une occasion pour apprendre les SMS et d'être enfin chébran !
Une grande fête et une grande joie se preparent au PTB.
Par Douda (Douda) le dimanche 05 juin 2005 - 10h23: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Le Fumiste,
Un acheteur de produits agricoles perd 3 millions de Fcfa à son domicile Goulette Info - 25/5/2005 - Bah Yembaba, acheteur de produits agricoles, n’en revient toujours pas. Il s’explique encore difficilement le vol dont il a été victime à son domicile de PotoPoto.
Entout cas, il est prêt à aller jusqu’au bout pour démasquer celui qui lui a soutiré son fric. En effet, selon les témoignages, l’homme des jours avant, s’est rendu à l’intérieur du pays dans le cadre de son activité d’acheteur de produits agricoles. C’est seulement le dimanche dernier 22 mai, qu’il rentre à PotoPoto après une dizaine de jours d’absence. 2h du matin, c’est l’heure à laquelle il accède à son domicile.
Il est tout éreinté. Il a juste le temps d’échanger les civilités avec sa femme qui lui a ouvert la porte avant de s’effondrer dans le canapé au salon. Il n’a même pas le temps de prendre une douche. Exténué qu’il est. Très vite, il sombre dans un profond sommeil.
Mais le lendemain à son réveil aux environs de 7h, il est tout ahuri de constater que les 3 millions de Fcfa gardés dans son petit sac posé près de lui, ont disparu. Comment est-ce possible ? Des bandits n’ont pas pu pénétrer dans la maison, surtout qu’aucune trace d’effraction n’est constatée sur les portes.
Il est donc convaincu que le voleur est à l’intérieur de la maison. C’est pourquoi il réveille bruyamment toute la maisonnée. Il soumet à un interrogatoire serré ses trois fils et son neveu dont l’âge varie entre 15 et 24 ans. L’homme n’a pas gain de cause. Il en fait de même avec sa femme.
Toujours rien. Tous disent ne rien savoir de l’existence des 3 millions de Fcfa pour prétendre les voler. Mais l’acheteur de produits agricoles n’en croit pas un seul mot. Il a sa méthode pour délier les langues. Il use alors d’un fouet pour flageller chacun à son tour, y compris son épouse.
Mais ce traitement de choc ne donne pas les résultats escomptés. Aucun aveu, attendu de lui, n’est avancé. L’homme fou de colère, opte pour une autre solution. Celle du mysticisme pour démasquer le prétendu voleur. Il a donc pris, pour ce faire, attache avec une spécialiste en la matière, un certain Bébert La Sardine alias “ Le Belge “.
Sa femme, ses enfants et son neveu devront subir l’épreuve humiliante de vérité. La séance était prévue pour l’après-midi d’hier mardi 24 mai.
Qu’on se le dise,,, !
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le dimanche 05 juin 2005 - 09h51: |
La Douda,
Franchement me ââdeq me tneyèq el sbah ehde...Louken temchi tnaqui el berghout elli âândeq mouch khirleq...
Tu n'a rien à ..... ce matin, si tu allais t'enlever les puces que tu as c'est pas mieux..
Par Douda (Douda) le vendredi 03 juin 2005 - 00h47: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Fumiste : Faits divers à PotoPoto,,, !
Cité policière de PotoPoto : Les disjoncteurs enfin libérés
Goulette Info- 2/6/2005 - Depuis quelques temps, l'homme qui privait du courant les habitants de la cité policière d'Adjamé est mis en cage.
Pris au moment où il arrachait le disjoncteur d'une maison à la cité policière de PotoPoto, Mamadou Béla, 28 ans est pris par un agent de police.
Interrogé sur les raisons de sa présence dans ces lieux à cette heure (21heures) Koffi ne trouve pas de mot à dire. A la suite d'une fouille, un marteau et un tourne-vis ont été découverts.
Conduit à la police, le malfrat a répondu présent à l'audience des flagrants délits de PotoPoto après quelques jours de méditation à la Maison d'arrêt et de correction.
Invité à comparaître, il a tenté d'amuser le parquet et le tribunal.
''Président je suis parti voir mon frère policier. C'est quand il est parti m'acheter du café au kiosque que le monsieur est venu me prendre au salon pour me conduire à la police'', a tenté de se défendre le prévenu.
Ses déclarations maladroites n'ont pu emouvoir la cour. Reconnu donc coupable, le visiteur indésirable part pour 2 mois à la Maca pour méditer sur son séjour. Il paiera la somme de 50 mille Fcfa d'amende au trésor public, 10 ans de privation de droits civils et 3 ans sans faire signe de vie sauf dans son département natal, où sévit Bébert La Sardine dit “ Le Belge “.
Qu’on se le dise !
Wnessou El Douda