Archive jusqu'au 15/juin/2005

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Juin 2005: Archive jusqu'au 15/juin/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 15 juin 2005 - 21h52:

YE LA DOUDA ARRETTE DE LES FTILER....???

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mercredi 15 juin 2005 - 01h42:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !

PotoPoto: Des rats de banques séjournent à la Maca

Goulette Info - 13/6/2005 - Faire du faux pour se faire des millions est monnaie courante aujourd'hui. Des indélicats faussaires au nombre de trois (3) qui ont tenté d'escroquer l'agence Biao de PotoPoto séjournent depuis le 7 juin à la Maison d'arrêt et de correction.

Sénou, 36 ans, Sélou, 37 ans et Sékou, 26 ans, ont le 24 mai 2005 tenté de commettre d’une escroquerie. Sélou s'est présenté au guichet de la Biao pour un retrait épargne d'un montant de 8 millions 800 mille Fcfa avec une fausse carte d'identité sur laquelle figurent sa photo et un nom contraire au sien : Doulbou Ousmane.

Voyant le montant très élevé, la caissière informe aussitôt le chef d'agence, le gestionnaire Boula Kouly. Qui à son tour invite son client à prendre place à son bureau. " La moisson est bonne ", s'est dit certainement Sélou. C'est au cours du contrôle de l'identité du futur millionnaire que les agents se sont rendus compte qu'il s'agissait d'un escroc.

Aussitôt, les agents de la préfecture de police informés de cette supercherie ont brisé le rêve du trio. Conduit à leur base, le délinquant interrogé, cite ses complices. Sélou informé se dépêche à la police pour tenter de corrompre les policiers pour la libération de son beau-frère Sénou.

Une fois dans les murs de la police, Sélou est jeté au violon. Sékou qui vaquait à ses occupations est invité à venir participer au partage du butin. L'homme qui pense à la fin de sa galère se précipite au lieu du rendez-vous. En lieu et place des millions, ce sont des menottes que l’inspecteur Boulalik lui passent aux mains. Interrogés à l'enquête préliminaire, les 3 voyous n'ont fait aucune difficulté à reconnaître les faits à eux reprochés.

A la barre du tribunal des flagrants délits du Plateau où ils ont comparu, ils ne se reconnaissent plus dans leurs déclarations. Ainsi, après analyse, le tribunal a pris acte et les a condamnés à 6 mois de prison ferme, 50 mille Fcfa d'amende chacun et 200 mille Fcfa à titre de dommages et intérêts à leur victime la Biao qui s'est constituée partie civile. Mais le chef de la bande Bébert La Sardine alias "Le Belge", coure toujours.

Qu’on se le dise,,, !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 15 juin 2005 - 00h11:

Jano

Si tu étais un égyptien tu pourrais répudier ta femme par SMS

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Jano (Mr_Jano) le mardi 14 juin 2005 - 21h32:

Paris le 2/06/2005.

Passe ce jour. PTB.

MONOLOGUE…


Breitou, celui que vous commencez à bien connaître se fait un immense plaisir de vous retrouver comme il le fait presque tous les soirs et presque toujours à la même heure.

Il va vous parler des….

BRANCHES…


‘..Je le reconnais…… ! Je ne suis plus branché, mais plus du tout dans le coup, déjà bien que j’en tire un tous les six jours mais là n’est pas le sujet…. !’

Je vis parmi une génération qui nous lègue le mot BRANCHER ….Il est de notoriété publique reconnue que notre vocabulaire d’autrefois a perdu une certaine nostalgie.

Je suis témoin de tous ces jeunes qui portent portables suspendus au cou, pour la plupart d’entre eux, et qui affichent leur SMS au-dessus de leur nombril ‘diamanté’ sans parler de la découverte de leur chute rénale qui laisse entrevoir un commencement de rainures de fesses ; qu’ils soient filles ou garçons ont ne les reconnus même plus par derrière… A la limite du décent. C’est de la provoc pure et simple, que l’on ne s’étonne pas si j’insiste là-dessus ; c’est de la provoc bis.

Les anneaux fleurissent aux estomacs, aux oreilles, sur les seins, les lèvres, les sourcils, les parties intimes et même le chat ou le chien n’y échappent pas, faut bien que nos canidés soient dans le vent, accompagnés par leurs maîtres.


Etre branché, c’est être provoc surtout lorsque je vois des femmes se faire ‘retrousser’ les lèvres pour être GLAMOUR-Encore un autre mot dans l’air du temps inscrit dans les pages des revues de mode- Ou passer sous le bistouri pour un bout de chaire molle soudain apparue.

Il faut être branché physiquement et moralement, montrer carte blanche si vous voulez faire partie de cette génération, et si gare, vous parlez comme un relou alors là vous êtes catalogués comme un déphasé de la réalité. On vous éjecte.

Je suis déphasé aussi c’est vrai, je le reconnais et lorsqu’une jeune fille ou jeune homme me parle dans son français de banlieue je me dis que je vis ailleurs.

Tenez lisez cela ‘ …23:30:14 [glibette] MAmili> super branché… !’
(C’était LA SEMAINE DERNIERE.. au CAFE DES DATTES, nos deux supers branchées, à elles seules 175 ans d’age.. !)
Sont superbement branchées pour les restaurants.

Pourtant j’étais branché à mon époque, il y a quelques siècles à la Goulette. J’étais le ROI DE LA HAUTE VOLTIGE ; m’accrocher aux branches des arbres et les plus hautes. J’étais un CHITTA, un jeune CHITTA, aujourd’hui je suis devenu un vieil OURAN-OUTANG qui me gratte le torse et les couilles en mastiquant des bulles d’air.

Je n’étais pas le seul à faire des pirouettes au-dessus des têtes des passants. Tous les enfants de mon age l’ont fait. Nous étions tous BRANCHES.

Ce kif termine, nous nous sommes branchés au BALLON. Puis on s’est BRANCHE à nos épouses, aujourd’hui DEBRANCHE totalement.

Nos jeunes d’aujourd’hui ont contourné la chose, ils ne montent plus sur les branches mais ils se BRANCHENT sur MSN, GAME BOYS, SMS…..Etc…Mais où-est donc passe ce jeune poulbot parisien qui usait ses shorts sur les trottoirs de Paris… ?

Le goût du risque de nos chères têtes METISSEES…a disparu chez eux pour laisser place à des loisirs plus instructifs ; rester des heures sur un écran minuscule pour lire fébrilement le message de la …ou du copain, qui est resté deux secondes sans répondre.

L’angoisse dans les yeux et parfois des pleurs lorsque l’un des deux, apprend, qu’il ou qu’elle l’a trompe avec sa ou son meilleur ami.

Aujourd’hui plus besoin de mots doux ou de billets sentimentaux pour dire après six mois de coure assidue à sa meuf ‘…Je crois que je t’aime… !’ Avec des trémolos dans le gosier…Et les yeux baissés par la honte…. !’ A l’époque on avait honte de dire ce mot à sa copine.

(Une fois, j’ai pleuré à la place d’un ami qui ne pouvait pas lui dire ‘…Je t’aime Mathilde… !’ Zebi. Il s’est marié plus tard avec une lointaine cousine du nom de GINEEEEETTE. Il a fait dans le moderne.)

Les jeunes ne croient plus aujourd’hui à ce mot milles fois répète selon son kif du moment ; on le dit en deux minutes, entre deux baisers volés, souvent faussement. Du genre ‘On s’embrasse et on verra la suite… !’

SMS…. ? Un ou deux clics pour dire à sa copine ‘…Alors on sort quand toi et moi.. ?’ Si ce n’est pas ‘…On baise quand… ?’ Tout simplement, pourquoi écrire des poèmes ou faire de la prose lorsqu’on peut faire dans le facile… !!!! On ne s’embarrasse plus par nos anciennes règles et la carte du TENDRE....? ALORS……………… ?

A la poubelle de notre cher DELANOE.

Tiens, même mes filles utilisent le SMS, ma femme, ya bou rab aussi ???? Pourquoi pas…. Marti, celle qui vient de Tunis…..‘…Mais dis-moi-toi, qui es au lit, à qui tu ESSMESSSSSSSSS… ? In yadin radeq… ?’ Peuf....!!! Elle ne m’a même pas compté alors que si je fais un coup de fil à une amie, je suis bon pour le divorce deux heures après à minuit, je vais me casser, je vous le répète…..En deux morceaux…Ou alors me suicider en me jetant du lit d’une hauteur de 20 cm…..lol…

C’est fastidieux et pathétique. Mon état s’en ressent.

Je suis libre cependant de taper mes textes, mais contraint de baisser le rideau du chat lorsqu’elle arrive par surprise alors que je suis docile comme UNE CHATTE. Là je me débranche.

Je sais qu’un soir, je vais me faire LARGUER…. ! J’en ai MARRE….( Larguer les amarres Meyer… !!! ) De cette vie de non BRANCHE…..

Ma femme ‘…Ben qu’est -ce que tu attends pour DEBARQUER… ?..

Conclusion, dans tous les cas, je préfère être CONNECTE avec VOUS que BRANCHE
AILLEURS.


-Dernière nouvelle de ce vendredi soir, ma femme vient de me menacer de me DONNER DEUX GIFFLE si je fais encore du bruit le matin lorsque je me lève ; là je lui réponds

‘…Si toi tu me donnes deux gifles, je te fout un coup de pied là où il faut qui te ramènera directo chez ta mère à Maisons-LAFFAILLITE…..….’ ADROUNI…. !’ ahahah..

Bon elle est partie et elle n’a rien entendu, rabi myaye… !

Samedi 8 heures, lever en sourdine. J’ai échappé aux baffes de la veille.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 14 juin 2005 - 21h24:

...CE SOIR .....REFLEXION....'...BRANCHES.....????'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Germain (Mr_Germain) le mardi 14 juin 2005 - 19h50:

Ceci est un morceau à paraitre à la rentrèe..
Une nouvelle '...LE PACTE...!'

A lire en solo.

Interdit au moins de 18 ans.


Marie-France et Nathalie Cheng sont amants.
Elles vivent dans le même studio.

'....Il était 19 heures lorsqu'elle entendit la clef tourner dans la serrure de la porte. C'était son amie Chung qui rentrait de son travail Elle s'allégea de son manteau devenu superflu, ôta ses talons, tout en accrochant son sac sur le porte –manteau. Elle salua sa meuf, poussa la porte de la salle d'eau pour couler son bain tout en enfilant une cape de bain cacha sa belle de nudité. Elle avait un corps à damner un diable en l'enfer.
Marie-France, pendant ce temps, était occupée à étudier un plan de vol; une nouvelle version artistique qu'elle devait présenter, dans le courant du mois avec ses camarades, lors d'un nouveau gala de haute voltige, quand elle vit sa maîtresse s'approcher vers elle, avec une démarche féline, les cheveux lâchés et le peignoir légèrement entre-ouvert, laissant percevoir deux belles cuisses légèrement bronzées, L'échancrure de sa cape, à hauteur de ses seins, ajouta encore plus de volupté à son charme.

Marie-France leva les yeux, lui tendit les mains. Chung se mit à genoux sur la moquette, et tout en lui faisant face, prit ses paumes qu'elle porta à ses lèvres. Elle les baisa avec une infinie douceur.
Marie-France s'agenouilla à son tour. Les deux femmes se faisaient front. Devant le miroir. Chung passa ses mains sur les cheveux de sa concubine et, tout en les caressant, rapprocha son visage près de celui de sa maîtresse, toujours sous l'œil invisible et vigilant du miroir qui allait refléter leurs ébats. Marie-france, tout en libérant son corps de ses vêtements devenus inutiles, avança de quelques centimètres.
Leurs seins se frôlaient et leur nombril se juxtaposait. Elles s'enlacèrent sous de légers gémissements. Chung prit l'initiative, celle d'entre ouvrir les lèvres de sa belle amie, qui ne tarda pas à répondre à son chaud coup de fouet qui lui balaya le palais parfume. Leurs deux corps se contorsionnaient sous la pénombre de la chambre. Elles étaient prêtes à sombrer dans les spasmes de l'amour. Leurs phalanges se mirent en mouvement pour caresser coins et recoins sinueux. Sous l'œil du beau 'taffards-miroir', qui assistait pour la énième fois à ce spectacle du péché, interdit par les gens normaux.
Elles faisaient l'amour avec des gémissements si aigus, que l'une d'entre elle, à tour de rôle, devait poser la main sur la bouche de l'autre afin de ne pas troubler la tranquillité du voisinage. Une frustration qu'elles contenaient mal. Jeux de posture, positions cent fois répètées, petites morsures sur le bassin, sur les fesses, sucements de bouts de fleurons, caresses sur le cou, baisers prolonges à proximité du pubis; Lèvres horizontales qui venaient lécher et laper goulûment des sucs débordants par d'autres lèvres chauves,calées à la verticale sous le bas du ventre; Ces petites chaires gorgées de miel et arrosées d'un bouillon de nectar au fumet divin dont elles se désaltéraient presque sous l'évanouissement....!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 juin 2005 - 19h15:

VOL DE NUIT.



2 HEURES DU MATIN A POTOPOTO.

Sur les quais Amadou Diaf et Amine Ould Dada, fument leurs préférées de clopes sous le clair de lune, des ‘HALOUIZ’.

Ils ne remarquent pas qu’une petite vedette vient accoster sur le flanc du MERINOS, un bateau de marchandises qui vient de Marseille débarquer des conteneurs de produits de coiffure, touffes, perruques, mèches naturelles et synthétiques expédiés par la maison PERUQIO de Paris pour la Maison PERRUQIA de Lomé. Tenue par Mamoudia, l’associé du BABOUSS.

Trois individus lancent par-dessus bords une échelle de coupé. Quatre hommes masqués prennent pieds quelques minutes plus tard sur le pont alors que tout le monde dort.

Les acolytes ont vite fait de conduire les nouveaux venus dans la soute à bagages.
Munis de clés de biche, ils cassent les cadenas un à un et remplissent des sacs d’accessoires qu’ils enfouissent dans des bouées hermétiquement fermées. Une heure plus tard, leur besogne terminée, ils balancent le tout dans la mer alors qu’une tempête se lève. La mer, peut à peu se déchaîne et nos huit bouées à la grande surprise des voleurs, s’éloignent du bateau au grand dam des kidnappeurs qui voient leur labeur prendre le large.

Au petit matin, le commandant de bord constate le méfait et donne l’alerte.
La police Potopotienne prend l’affaire en main sous le haut commandement de l’inspecteur BOULALIK….

A quelques lieux de là, M. Mamoudia et famille sont sur la plage à prendre un bon bain de soleil lorsque l’œil perspicace de ce premier voit arriver devant lui 8 bouées alors qu’aucun navire n’est en vue. Une foule de baigneurs sont témoins de cet arrivage car les bouées conteneurs ont échoué sur leur plage.

Mamoudia intrigué laisse parasol et famille pour se mêler à la foule, et là, effaré, il constate après l’arrivée de la police que c’est son bien qui est là, devant ses yeux en piteux états car les touffes et autres queues de cheval ont prit de l’eau.

Mais l’inspecteur soucieux de faire la lumière sur cette affaire embarque le pauvre homme et famille au poste.

Il avoue ne rien savoir et que sa marchandise devant arriver non par largage de bouée mais par bateau en bonne et due forme.

Il jure ‘… OUALAYIIIIIIIIIIIIIIIIIIII……SUR LA TETE DE MA MERE AMINATAAAAAAAAAAAA….QUE MES POILS EN FIBRE…PAYES RUBIS SUR ONGLE SONT LES SIENNES ET QU IL EST ETRANGER A CE NOUVEAU MOYEN DE LIVRAISON… !C EST UN COUP DE BEBERT LA SARDINE DIT LE NEGRE.....!'

Qu’on se le dise……..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 juin 2005 - 18h47:

LA DOUDA?????????????? C'est pour quand un OLD OUP D'une STATION DE VENTE DE PERRUQUES???? A POTOPOTO.....???

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mardi 14 juin 2005 - 11h03:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !

Un hôpital attaqué : un important lot de médicaments et de l’argent volés

Goulette Info - 13/6/2005 - Décidément, les criminels n’ont vraiment plus de scrupules. Tout constitue une cible à leurs yeux. Pour tout dire, rien n’est épargné. Même les endroits que l’on pensait pourtant être à l’abri de leurs sinistres besognes.

C’est le cas du centre de santé communautaire de PotoPoto. Cet hôpital a reçu la visite de malfaiteurs dans la nuit du jeudi 2 au vendredi 3 juin 2005. Selon les informations en notre possession, c’est aux environs de 1h du matin, le jour des faits, que trois individus arrivent aux portes du centre de santé.

Deux d’entre eux soutiennent l’autre visiblement mal en point. Ce dernier apparemment, tient difficilement sur ses jambes. Il faut tout de suite le conduire en salle d’hospitalisation. C’est pourquoi le gardien des lieux avance vers les deux autres pour les aider à conduire le malade à l’intérieur du centre de santé.

Le pauvre vigile comprendra par la suite, qu’il s’est mépris sur le compte des quidams. En effet, lorsqu’il tente lui aussi d’empoigner le malade, c’est ce dernier même, bon comédien, qui brandit un pistolet.

Ses deux comparses qui jouaient à l’instant les accompagnateurs, l’imitent tout de suite. Le gardien est donc maîtrisé par le faux grabataire. Tout comme d’ailleurs le chauffeur de l’ambulance qui n’a même pas eu le temps de comprendre ce qui se passe.

Pendant que l’un des malfrats tient en respect l’ambulancier, les deux autres manu militari, conduisent le gardien dans la salle d’attente où ils le ligotent avec les câbles d’un ordinateur. Le médecin de garde ainsi que des infirmiers sont, eux aussi, neutralisés.

Les malfaiteurs désormais maîtres de la situation, soumettent ensuite les lieux à une fouille systématique. Ils s’emparent d’un important lot de produits pharmaceutiques et du contenu de la caisse estimée à 110.000 Fcfa. Le forfait commis, les trois lascars quittent les lieux.

Et juste devant le centre de santé, ils braquent un taxi venu accompagner une malade. Ils éjectent sans ménagement cette dernière de la voiture, tout comme le chauffeur. Ils s’engouffrent après dans le taxi et se fondent dans la nature.

Commentaire de l’inspecteur BoulAlik : Avec cette opération, à quoi faut-il encore s’attendre de la part des criminels visiblement à la solde de Bébert La Sardine alias “ Le Belge “, et décidés à faire mal partout ? C’est la question.

Qu’on se le dise,,, !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Jano (Mr_Jano) le mardi 14 juin 2005 - 17h56:

LES DEBUTS DE OMICAMOUNA...YATIC KAMOUN ALLA RASSEQ...

20:26:02 [omycamouna] bonsoir ? ya du mande ?

20:26:14 [zaza] bonsoir

20:26:17 [zaza] oui oui on est la

20:26:35 [omycamouna] zaza> ha zaza, mah lai ce prénom
?

20:27:05 [drunkrat] bonsoir ommmi

20:27:13 [zaza] lol le tien aussi est pas mal du tout

20:27:31 [omycamouna] drunkrat> ha drunkrat ? ech
nouai ca veux dire ca ?

20:27:43 [omycamouna] drunkrat ?

20:27:52 [omycamouna] une marque de papier ?

20:28:03 [zaza] omycamouna> c'est une longue histoire son pseudo a notre ami drunk

20:28:10 [omycamouna] on dirait kraft ? le papier ou on mets les colis de la poste

20:28:27 [omycamouna] vous connaissez man fils ?

20:28:37 [omycamouna] il parait tres connu aindai ici
?

20:29:02 [zaza] c'est qui ton fils ?

20:29:02 [omycamouna] kalek patron de theatre , el arjaini ( yatic bakla) NDRL.

20:29:20 [zaza] breitouuuuuuuuuuuuuuuuuuu

20:29:22 [omycamouna] il parait, il ouvre le rideau, il ferme le rideau

20:29:31 [drunkrat] omycamouna> salut vielle marmite ( vieille marmite oui NDRL)

20:29:39 [zaza] t'es la maman de breitou ?

20:29:44 [omycamouna] zaza> ha comme ca il s'appelle ici ? brimai , aal kif

20:29:52 [zaza] drunkrat> hey c'est la mere de breitou

20:30:03 [omycamouna] il ferai mieux de m'emmener a moi a theatre

20:30:12 [zaza] omycamouna> il s'appelle, breitou, jano, et encore plein d'autre

20:30:15 [omycamouna] baki je suis enfermée dans la maison ( yatik zouz baklet ( NDLR)

20:30:21 [drunkrat] deus sec je reviens

20:30:44 [omycamouna] zaza> ca m'etonne pas

20:30:47 [zaza] omycamouna> il ne vous sort pas ? c pas tres gentil

20:30:55 [zaza] omycamouna> je peux vous dire TU ou lailai ?

20:30:57 [omycamouna] deja petit, il se donnait des noms d'oiseaux ( oui ye farzita NDLR)

20:31:15 [omycamouna] zaza> bien sur ma fille arseb je suis ta mere

20:31:17 [zaza] omycamouna> hahahhahahah des noms
d'oiseaux ? mdr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 14 juin 2005 - 17h17:

...CE SOIR ...' BRANCHES....?..'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 14 juin 2005 - 16h27:

..AUX TCHATTEURS DU DIMANCHE SOIR....GRANDE REUNION AU SALON DES DATTES AVEC LA PARTICIPATION DE GRANDS ACTEURS ET ACTRICES....TATAYOYO....OULDCAMOUNA....OMICAMOUNA...SABRINA...ZAZA...MAMILI..ELSA...JANO..ETC.....LUCIA...PENELOPE....ETC.......