Archive jusqu'au 22/juin/2005

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Juin 2005: Archive jusqu'au 22/juin/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 22 juin 2005 - 23h00:

Albert Simèoni
36 Street Adra Ferghè
Los Angélés.


A Madame LEGH’OUETI EL ARABIA/ YOUDIYA.
Avenue de Paris.
Tunis.



Bess’mellah el rah’man él ra’him.
Au nom de D ieu le miséricordieux.

‘….Yè lellAA…………. ! Legh’outi el Arabiya/Youdiya, él ha’ni’nè….. !

Qa’dèch mant’qoq hlou ou é’qè’bri en’ti é’li chmat biq fi zogh’ro’ti
mé qèl nââr é’li ha’lit aï’nè’yè, é’qél nââr e’li jdèt.

En’èh , é’li é’wèl ma’rra, fi yal’ti, tssa’nèt qé’li’mètèq é’li khé’rjou mél fom omi ââ’zi’za
Meiha, allah yer’hama.

I’yè lou’lè’niyè e’li ghé’né’tèq fi hjo’ra, fi oud’nè’yè .

Ou omri mé’nssi’tèq ou ha’tè él youm nah’qi biq .

Ye hoch el ghé’li...….! Mé’ghir biq en’dalli... i khoss’ni ha’jè ââ’ji’jè;
él éwè él qè’rim e’li chimi’tou fi blé’di, él mqod’ssa.

YE OMI EL HANINE...................! Ghné’yè’tèq maq’ssou’min ââla zouz;
Arbi ou youdi, dew’khou’ni elf ou elf ma’ra.

Ji’tèq él youm, bjè rabi él qarim, yè maïma él mah’boub’ba……..!
Béch nah’fdèq ou néch’oq’roq ââ’la toul ha’yè’ti.

YE OMIIIIII EL HANINE…………………….! Bââd omi él chkhri’fè……! Mè fé’mèch
Nââr mé tya’da mé’ghir nchi’tèq, affé’lou el ghorb wel ouach’ é’li
méq’èl fiyè. Fi Franssa.

Ouni fél bled el jdi’dè nét’qèlèm biq mââ sha’bi fél qol ha’flè
ou qol maj’mou’yat.

YE OMI EL HANIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINE…… !!!!…YOMRI mé ness’èq ha’ttè
él lekh’er nââr e’li béch i ji’ou béch i ghad’mou’ni âïneyè ; ha’bit en qo’loq
é’li en ha’bèq ewi…ewi…Barcha Barcha…..!

Aâ’liq él selem ou bara’qatou.

Abraham Breitou Chemyouni.


‘….O Madame de mon langage judéo/arabe, l’affectueuse.
Combien ton parle et douce et noble, toi que j’ai entendu dans mon enfance
Depuis ce jour ou j’ai ouvert les yeux, ce jour de ma naissance.

Moi, qui fut le premier dans ma famille, à entendre tes paroles sorties de la bouche de ma grand-mère Meiha, que D ieu est son âme.

O chére Voix.....! Sans toi je crois, il me manquera quelque chose de gracieux.
Le bel air de mon pays sacré que j’ai senti autrefois.
Elle qui fut la première à me chanter sur ses genoux dans mes oreilles.
Jamais je ne t’ai oubliE et encore aujourd’hui je te raconte.

O MERE AFFECTUEUSE……..! Tes chansons sont partagées en deux, arabe et juive
, elles m’enivrent mille et une fois.

Je viens en ce jour, avec l’aide de Dieu, maman l’adorée
Pour te dire que t’honore et te remercie tout au long de ma vie.

O MAMAN AFFECTEUSE……………….. ! Après ma maman la tendre… ! Il n’y a
pas un seul jour qui passe sans que je t’oublie, même si le manque et l’absence
me pèsent. En France.
Ici dans ce pays nouveau, je parle de toi avec mes amis, dans les fêtes et les réunions.
O MAMAN AFFECTUEUSE………………….. ! Jamais je ne t ‘oublierai même au dernier jour où l’ont viendra clore mes yeux….. ! Je veux te dire que je t’aime énormément…. !

Je te salue et que D ieu te garde.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mercredi 22 juin 2005 - 22h38:

...DANS UN INSTANT....' YE LAGH'OUETI EL HANINE.......'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 22 juin 2005 - 22h02:

...Vous lirez aussi MA LETTRE A MA LANGUE EN JUDEO-ARABE....Massou ââla leg'houti el ARABIA/YOUDIYA.....YE OMI EL HANINE AVEC TRADUCTION POUR MEYER ET MAXITON....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 22 juin 2005 - 21h57:

Madame de LA LANGUE FRANCAISE
Place de l’Académie
Paris.


A Monsieur Siméoni Albert
36 Street Adra Ferghe
Los Angeles.



Monsieur,

J’ai reçu vos deux missives hier soir et je m’empresse d’y répondre.
Moi, qui porte tant et tant de belles choses depuis des siècles
me voilà prise au dépourvue, surprise et honorée à la fois par les propos
que vous m’adressez en e-mail recommandé
( NDLR/Smalla ââlik, yè madame)

A ma connaissance et en cherchant dans mes archives, je ne trouve personne,
célèbre ou inconnue à ce jour, qui m’est autant flattée à mon age, avec autant de candeur
et de simplicité.

Je commençais à douter, d’entendre ces flatteries un jour avec autant de sincérité.

Pourtant, ce ne sont pas les grands noms, de renom, plein de talent et d’imagination , ces gens de lettres qui fleurissent sur mes étagères qui manquent, pour me dire un gentil mot alors que je les nourris au quotidien gratuitement.

Me voilà, malgré ma richesse, muette, sans voix, devant ce que j’appelle votre verbiage
si fertile.

Je me sens encore plus honorée par cette distinction que cette reconnaissance m’est parvenue un peu tardivement par votre canal.

Ma stature s’en trouve que plus relevée.

Je vous lisais déjà en secret sans interfèrer dans vos lacunes; vos
écrits narrés avec délicatesse. Surtout, ne changez rien et gardez ce qui fait votre style.
Et votre charme.

Pour une fois, je comprends mieux mon français avec vos fautes...! Mais qui donc n'en a point....?

Il n’y a pas à se masquer le visage pour si peu.
Votre cœur est sans crapaud, pur comme un diamant.

Merci.

Veuillez agréer, Monsieur, ma lettre la plus affectueuse.


Madame de la Langue Francaise/Acadèmie@wanadoo.fr.


‘…§§§§§§…Voulez vous coucher avec moi….§§§§…Ce soir…..§§§§§§§

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 22 juin 2005 - 21h45:

.....Comme je vous l'ai annoncè hier soir, MADAME DE LA LANGUE FRANCAISE A REPONDU A MES DEUX MESSAGES....Vous lirez sa réponse dans qq instants....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mercredi 22 juin 2005 - 17h10:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !

Un professeur tabasse une élève en classe de 6ème et lui vole de l’argentSoir Info - 18/6/2005 - Samba M., enseignant d’Education physique et sportive ( EPS), dans un établissement scolaire de PotoPoto, a été condamné à 3 mois de prison ferme par le tribunal de la ville.

Samba M. a été reconnu coupable des faits de violence, voie de faits et de vol. En tout cas, on se demande ce qui a bien pu prendre cet enseignant pour qu’il verse dans la dérive. Selon les renseignements en notre possession, dans la nuit du 28 mai dernier, la petite Aminata, en classe de 6ème , débarque à PotoPoto où elle est élève dans un établissement scolaire.

Elle revenait d’un village environnant où résident ses parents. Mais dès qu’elle met pied à terre au quartier “ Garahio ”, elle est subitement accostée par l’enseignant Youa Moussa. Ce dernier était-il éméché ? Toujours est-il qu’il empoigne la gamine et l’oblige à le suivre à son domicile
situé à deux pas de là. Une telle “ invitation ” de tout évidence, n’intéresse pas l’élève.

Elle s’oppose énergiquement. Qu’à cela ne tienne. L’enseignant la violente. Et à toutes les personnes qui tentent d’intervenir, il explique que la petite Aminata est bien sa concubine. A l’en croire, cette dernière en son absence, ne manque pas de se livrer à des escapades. Et comme il vient de la surprendre en train de faire le tapin dans la rue, il veut la ramener de force à la maison.

Ce discours, la jeune fille le qualifie de tissu de mensonges. Elle précise qu’elle n’a jamais été une connaissance particulière de l’enseignant. La foule ayant pris fait et cause pour la jeune fille, Samba qui sent que les choses sont en train de mal tourner pour lui, prend la fuite.

Mais il ne manque pas au passage de dépouiller l’élève de la somme de 12.000 Fcfa. Argent qui devrait pourtant servir à assurer les besoins nutritifs de cette dernière. Aidée plus tard de bonnes volontés, Aminata part à la brigade de gendarmerie où elle porte plainte. Les gendarmes
entament des recherches en vue de mettre la main sur le mis en cause.

Hélas, ce dernier avait déjà eu le temps de déserter son domicile. Mais le 30 mai dernier, il est appréhendé. Gardé à vue, l’homme a été déféré devant le parquet. Lors de l’audience le 7 juin, Samba passe aux aveux avant d’indiquer que le jour des faits, il ne savait même pas ce qu’il faisait. Mais cela ne saurait suffire pour le décharger.

Reconnu donc coupable du délit cité plus haut, l’enseignant a écopé de 3 mois de prison ferme. En plus, il devra verser à l’élève à titre de dommages et intérêts, la somme de 199.500 Fcfa.

L’inspecteur BoulAlik s’arrache les cheveux car le fameux Goulettois Bébert La Sardine, alias “Le Belge” exerce à présent son racket dans les faubourgs de PotoPoto.

Qu’on se le dise,,,!

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 21 juin 2005 - 21h26:

Pauvre rabbin…

Pauvre rabbin de mon kettab
Dans mon enfance
Qui supportait avec souffrance
Nos moqueries…Avec ‘ââdèb’.///.

Lui ……§§§§§§§§§§§…qui s’échinait
A nous appreEEEEEEEEEEEEEn………dre à lire les saintes écritures
Alors que nous jouions aux biIIIIIIIIIIIIIIIlles……………..Derrière la ‘téba’.
Des fois à la toupie, à son insu….§§§§§§§§§….Devant le tabernacle ; nos tables de la loi.

Nous……………. Pauvres diaAAAAAAAAbles….§§§§………..
Nous rions comme des imbéciles….§§§§§….Quand il nous traitait de ‘rachas’ ( pécheurs).
Cent fois, il nous le répétait…§§§§§….Cent fois, on se gargarisait de sa réflexion.

Il courraiIIIIIIIIIt ………..Derrière nouUUUUUUUUUUUUUUs…….§§§§§§§§§§§§ Un bâton à la main…§§§§…..Et nous qui le provoquions comme un toro furieux…§§§§…
Dans une arène sainte…////.

Nous étions……§§§§§§§§§§§§§… Des gamiIIIIIIIIIIIIns à l’esprit seiIIIIIIIIIIIIIIn
Lui qui voulait qu’il fut saint…..§§§§§……Je regrette, aujourd’hui……De ne pas en être un.
AU…JOUR…..D HUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…§§§§§§§§§§§§…..Je suis malin….§§§…..Je me suis plus occupé des seins…§§§§§§§§§§§§

Pour écouter les chansons de Breitou….
http.//www. breitou.vox.con.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 21 juin 2005 - 21h20:

LA LANGUE FRANCAISE M A REPONDU PAR MAILLL...
AHAHAHAHAHAH...:) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 21 juin 2005 - 21h09:

Tout ce que j'ai écrit ce soir c est pour LA FETE DE LA MUSIQUE......§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Mon obole.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 21 juin 2005 - 20h43:

Chanson…§§§§ A vous l'air.

Paris le 21/06/2005.
Passe ce jour au PTB.

J’ai vécu….


J’ai vécu en bonne compagnie
Dans ma jeunesse ensoleillé,en Tunisie.
Toujours en bande et jamais en solitaire.
La solitude, je l’ai emprisonnée,bonne mére
Quelque part enférme dans une case
Sans nom, inconnue, je la ‘base’.

De la bonne compagnie, aujourd’hui
Je l’ai aussi trouvée; Bien qu’âgé.
Elsa, Mamili, Glibette, Rose, Poupée,
Pierre, Meyer, et tous les oublies.
Que des belles paires toute cirées.
La Girelle et l’Omicamouna,
Quelle chaqchouqa ces ‘houttat’. (poisson)

Des joyeux lurons en forme et plein d’entrain.

Ils sont tous épicées, piquants à souhait.
Elle me convient cette bande de délurés,
Qui jacasse à longueur de nuit sans se lasser.
Cancane surtout sur tout mais en prive.

De la bronchite, en passant par les indiscrétions frelatées,
J’en tire profit de cette belle culture de perles.
Surtout à ne pas mettre en collier, si votre cou est étriqué.
Et attention aux méchantes pies et noirs merles.

Il nous manque un pseudo de FOLIE.
Pour aller divaguer chez les simplets
Du côté du quartier de Charenton
Qui logent fous et détraqués sans renom.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 21 juin 2005 - 20h16:

Poème à MADAME A LA LANGUE FRANCAISE…


Madame de la Langue Française,
Chére Dame aux Lettres de Noblesse,
Vous, qui logiez, jour et nuit à l’Académie
Vous, que les grands immortels en sursis
En habits verts aux feuilles de chêne dorées
Vêtus, portant épée sans cape sur le côté,
Maquillent au fil du temps par des mots nouveaux, à toute heure
Vous êtes magnifique, belle, pleine de gloire et de splendeur

Ces Mousquetaires des temps anciens et modernes
Vous gavent par de mots branchés, supprimant les ternes
Expressions devenus caduques et désuètes
Pour enjoliver votre façade d’autres couleurs.
Le dictionnaire n’en finit plus de grossir.

Madame, O belle Dame, mille fois grand-mère
Plus que centenaire, vous êtes toujours dans l’air
Du temps.

Madame, vieille héritière du vieux français
Votre patrimoine, cette belle propriété
Nous appartient aussi.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 21 juin 2005 - 19h55:

A ma langue française….



Madame, Noble Dame.


Je me permets de vous écrire ce soir, sans fanfaronnade.
Une lettre sans adresse qui part aujourd’hui par la magie du net.

Je fais partie de cette grande famille nombreuse, francophone
éparpillée à travers le monde pour porter votre bonne parole.
Dans les coins les plus recules de la planète terre.

Je vous entendais déjà tout enfant, depuis le berceau, mais je n’ai pu converser
dans votre langage qu’à l’age de 4 ans. Puis à 7 ans, je vous ai adopté grâce à la mission que
certains instruits ont accomplit en votre nom, à l’école au lycée et dans les facs…

J’ai aussi comme compagne que je côtoie depuis ma naissance,une autre sœur qu’on appelle le judéo-arabe.

Autant vous le confier, je vous aime pour tout ce que vous m’apportez.

Bien que je vous écorche depuis ma plus tendre adolescence, je vous prie
de ne pas en tenir compte, je le fais par manque de culture donc inconsciemment.

J’oublie par moment vos taches de rousseur ; vos signes de ponctuation, qui, mal placés
change le sens de mes phrases. Trop tard pour les rattraper, les rectifier, elles sont déjà parties en un tourne main, un seul clique qui me déroute une fois que je le fais car
Je me rend compte après coup de mes erreurs et bêtises.

Des fautes de syntaxe et grammaticales aussi ; des erreurs qui déforment votre stature.

Excusez-moi, Madame aux NOBLES LETTRES, si je faute souvent.

Avant que ma vue ne se brouille, que mes idées ne s’embrouillent, et que ma vie
trépasse, je vous demande humblement pardon pour tous ses petits crimes involontaires.

Il n’y a pas mort d’homme je le sais, mais il y a de graves lacunes.

Je vous prie Madame de ne pas me rendre des comptes au jour dit. J’ai d’autres
comptes solder.

Surtout taisez votre courroux car le mot compassion fait partie de votre langage car j’ai tout tenté et essaye mais en vain, je reste fautif encore aujourd’hui.

Je ne peux redresser la barre et ne puis mettre un terme aux barres et tirets déplacés.

A vous lire,

Veuillez agréer, Madame de L’ACADEMIE, mon plus profond respect.


A suivre..POEME...