Par Douda (Douda) le lundi 11 juillet 2005 - 12h45: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
De notre envoyé spécial : Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !
Vol : l`indélicat employé de maison mis à l`ombre pour 6 mois
Goulette Info - 7/7/2005 - Zaré S., 29 ans, natif du PotoPoto, est un véritable délinquant. Le 20 mai dernier, le garçon de maison profite de l'absence de son employeur pour faire irruption dans la chambre à coucher de ce dernier.
Il met en sac des draps de lit et les vêtements. Après son ignoble opération, Zaré trouve refuge chez l'un des siens à Abobo. Des semaines plus tard, au cours d'une promenade, Zaré qui se croît à l'abri de tout danger, se retrouve nez à nez avec Ibrahim C., son employeur.
Ceinturé par sa victime, le voleur est conduit au poste de police le plus proche. Interrogé Par l’inspecteur BoulAkik sur les faits qui lui sont reprochés le voyou ne s'est pas gêné à relater son aventure. Incarcéré à la Maison d'arrêt et de correction de PotoPoto, Zaré a répondu de ses actes au tribunal des flagrants délits du Plateau.
Interrogé, le prévenu a tenté de distraire la cour. " Président, c'est pas moi qui ai volé les draps. Ceux que j'ai pris, je les ai ramenés ". Cependant, reconnu coupable grâce au témoignage de la victime, l'indélicat employé de maison est mis à l'ombre pour une durée de 6 mois. Il paiera 50 mille Fcfa au Trésor public de l'Etat et aura 10 ans de privation de droits ainsi que 50 ans d'interdiction de séjour à PotoPoto.
ZONE 4 :BANDITISME - La société Sopradim attaquée : de l’argent et des cellulaires emportés
- 2/7/2005 - Dans la nuit du jeudi dernier 30 juin, la société Sopradim spécialisée dans la fabrication de jeans et située en Zone 4 dans la commune de PotoPoto, a été attaquée par des criminels.
Selon les renseignements, c’est aux environs de 20h que les malfaiteurs, au nombre de trois et tous armés de pistolets automatiques, se sont signalés au sein de la société.
Mais pour le faire, ils ont, hors de la société pris d’abord en otage M. Madou C., le comptable, un ressortissant français. L’ont-ils filé à cet effet ? Nul ne le sait vraiment. Toujours est-il qu’ils le contraignent à les conduire à l’intérieur de l’entreprise.
Une fois là, les gangsters maîtrisent les vigiles en charge de la surveillance des lieux. Pendant que l’un tient les gardiens en respect, les deux autres se rendent directement en compagnie de leur otage, au bureau de ce dernier.
Ils le dépouillent tout de suite de son cellulaire avant de faire main basse sur la somme de 400.000 Fcfa. Mais ce butin ne les contente pas véritablement. Ils s’attaquent à des employés dont ils arrachent aussi les téléphones portables.
Quand ils se rendent compte qu’il n’y a plus vraiment autre chose pouvant les intéresser, ils dégagent le périmètre avant de s’évanouir dans la nature à bord d’un véhicule de marque Peugeot 306, de couleur bleu et dont malheureusement, l’immatriculation n’a pu être relevée.
Qu’on se le dise,,,!
Wnessou El Douda
Par Latitesse (Latitesse) le lundi 11 juillet 2005 - 11h19: |
Vous, nos amis, ayez une pensée aujourd'hui pour votre Raphael, pour mon Henri z'l.
Qu'il repose en paix.
Annie
Par Albert (Albert) le lundi 11 juillet 2005 - 02h34: |
Par Douda (Douda) le dimanche 10 juillet 2005 - 16h30: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
De notre envoyé spécial : Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !
Vol : l`indélicat employé de maison mis à l`ombre pour 6 mois
Goulette Info - 7/7/2005 - Zaré S., 29 ans, natif du PotoPoto, est un véritable délinquant. Le 20 mai dernier, le garçon de maison profite de l'absence de son employeur pour faire irruption dans la chambre à coucher de ce dernier.
Il met en sac des draps de lit et les vêtements. Après son ignoble opération, Zaré trouve refuge chez l'un des siens à Abobo. Des semaines plus tard, au cours d'une promenade, Zaré qui se croît à l'abri de tout danger, se retrouve nez à nez avec Ibrahim C., son employeur.
Ceinturé par sa victime, le voleur est conduit au poste de police le plus proche. Interrogé Par l’inspecteur BoulAkik sur les faits qui lui sont reprochés le voyou ne s'est pas gêné à relater son aventure. Incarcéré à la Maison d'arrêt et de correction de PotoPoto, Zaré a répondu de ses actes au tribunal des flagrants délits du Plateau.
Interrogé, le prévenu a tenté de distraire la cour. " Président, c'est pas moi qui ai volé les draps. Ceux que j'ai pris, je les ai ramenés ". Cependant, reconnu coupable grâce au témoignage de la victime, l'indélicat employé de maison est mis à l'ombre pour une durée de 6 mois. Il paiera 50 mille Fcfa au Trésor public de l'Etat et aura 10 ans de privation de droits ainsi que 50 ans d'interdiction de séjour à PotoPoto.
ZONE 4 :BANDITISME - La société Sopradim attaquée : de l’argent et des cellulaires emportés
- 2/7/2005 - Dans la nuit du jeudi dernier 30 juin, la société Sopradim spécialisée dans la fabrication de jeans et située en Zone 4 dans la commune de PotoPoto, a été attaquée par des criminels.
Selon les renseignements, c’est aux environs de 20h que les malfaiteurs, au nombre de trois et tous armés de pistolets automatiques, se sont signalés au sein de la société.
Mais pour le faire, ils ont, hors de la société pris d’abord en otage M. Madou C., le comptable, un ressortissant français. L’ont-ils filé à cet effet ? Nul ne le sait vraiment. Toujours est-il qu’ils le contraignent à les conduire à l’intérieur de l’entreprise.
Une fois là, les gangsters maîtrisent les vigiles en charge de la surveillance des lieux. Pendant que l’un tient les gardiens en respect, les deux autres se rendent directement en compagnie de leur otage, au bureau de ce dernier.
Ils le dépouillent tout de suite de son cellulaire avant de faire main basse sur la somme de 400.000 Fcfa. Mais ce butin ne les contente pas véritablement. Ils s’attaquent à des employés dont ils arrachent aussi les téléphones portables.
Quand ils se rendent compte qu’il n’y a plus vraiment autre chose pouvant les intéresser, ils dégagent le périmètre avant de s’évanouir dans la nature à bord d’un véhicule de marque Peugeot 306, de couleur bleu et dont malheureusement, l’immatriculation n’a pu être relevée.
Qu’on se le dise,,,!
Wnessou El Douda
Par Bekhor (Bekhor) le vendredi 08 juillet 2005 - 00h11: |
MAZAL TOV AUX MARIES.
Ketouba de HAMADAN IRAN tres ancienne(collection privé)
FELICITATION A NOTRE BREITOU NATIONAL ET A SA FAMILLE.
Par Lalla (Lalla) le jeudi 07 juillet 2005 - 21h44: |
amusez vous bien et que Dieu soit avec vous;tous mes voeux de bonheur et plein de bisous a Breitou et cie
Par Douda (Douda) le jeudi 07 juillet 2005 - 18h11: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
De notre envoyé spécial : Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !
GouletteInfo - 1/7/2005 - Dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 juin dernier, des criminels ont attaqué un domicile à PotoPoto et y ont volé d’importants biens. Mais avant de s’en aller, les quidams se sont offert le funeste plaisir de violer la bonne du maître des lieux.
Selon les renseignements, c’est aux environs de 2h du matin que les malfaiteurs au nombre de 4, arrivent au domicile de F.A.L., colonel des douanes à la retraite. Pour avoir accès à de cour, ils escaladent la clôture et maîtrisent le veilleur de nuit qu’ils ligotent ensuite.
Aussitôt après, l’un des bandits use de la kalachnikov en sa possession, pour faire sauter le verrou de la porte d’entrée de la maison. Les rafales tirées, déchirent le calme de la nuit. Et ce sont ces coups de feu qui tirent le retraité de son sommeil. Pour savoir ce qui se passe , il crie le nom de son gardien.
Mais celui-ci ne répond pas. D’ailleurs, le peut-il ? Lui qui est maîtrisé par l’un des gangsters. Le douanier totalement en proie à la panique, décide de venir aux nouvelles. Et c’est là qu’il tombe nez à nez avec les criminels fortement armés.
Ces derniers le rudoient et tiennent ensuite en respect, tous les autres occupants de la résidence. Toutes les victimes sont rassemblées dans une pièce et surveillées par l’un des malfrats commis pour la tâche.
Les autres se chargent de fouiller les chambres de la maison pour faire “ l’inventaire ” des biens. Ils amassent la somme de 200.000 Fcfa, sept cellulaires et des bijoux d’une valeur de 2.500.000 Fcfa appartenant à l’épouse du colonel des douanes.
Le butin est satisfaisant. Mais au lieu de s’en aller, l’un des scélérats éprouve le funeste besoin de satisfaire sa libido. Avec l’immonde “ bénédiction ” de ses comparses, il empoigne la bonne du retraité et viole sauvagement cette gamine seulement âgée de 14 ans. C’est aux environs de 4h du matin, que les bandits disparaissent enfin dans la nature. Ils ont donc “occupé ” la maison pendant deux heures. Laissant ainsi derrière eux, des victimes en état de choc. Notamment, la gamine dont l’intimité a été souillée par ces criminels et qui en sera à jamais marquée.
Invité à témoigner à la barre, un soldat fond en larmes
- 1/7/2005 - Invité à faire la lumière sur certains aspects de l’attaque de la localité de Gohitafla, un militaire piqué par on ne sait quelle bête pleure à la barre.
« Vous n’êtes pas concerné par ce procès, en aucun cas vous ne devez prêter serment. Mais vous êtes là pour un simple témoignage. Alors, dites nous ce que vous savez de cette affaire », a précisé le président de séance.
Le soldat, pour des raisons jusque là inavouées, s’approche du micro comme un enfant qui veut échapper aux coups de fouet de son père et se présente : « Soldat première classe, Anzou K., classe 3000, Blé Goudé ». La foule composée en majorité de militaire éclate de rire. « Il est fou ou bien », s’exclame un militaire certainement surpris par l’attitude de son frère d’arme.
« Il existe une classe Blé Goudé dans l’armée ? », s’est interrogé un magistrat en colère. Vous êtes la honte de l’armée nationale et c’est vous comme ça qui voulez libérer le pays », réplique le commissaire du gouvernement très déçu.
Ainsi, Anzou K., « le vaillant soldat » a quitté la barre du tribunal militaire en pleures sans aucun témoignage convaincant, sous les regards méprisants de la foule. Si l’Etat n’y prend garde, son armée sera composée dans son ensemble de « bébés gâtés ». N’est-ce pas là les conséquences des recrutements de complaisance au sein de notre armée et autres corps habillés ?
Un apprenti Bandit :
- 30/6/2005 - A 19 ans révolus, K.C. Balou est un adolescent, à l’imagination on ne peut plus fertile. Un génie qui, hélas ! ne sera pas mis à profit dans les études (il est en classe de 3ème dans un lycée de PotoPoto), mais malheureusement à des fins de vol.
Mardi dernier, K. C. Balou était devant le juge des flagrants délits du palais de justice pour vol de portable. Mais comment cet enfant curieusement issu d’une famille aisée (son père est ingénieur) a-t-il pu échouer dans la délinquance au détriment des études ?
En tout cas, c’est en apprenant à manipuler l’outil informatique que l’idée de vol a germé dans l’esprit de Balou. Sur des sites Internet spéciaux, celui-ci a vite découvert des candidates au mariage. Des jeunes filles cherchant des hommes nantis ou des dames en mal d’amour à la recherche d’âme sœur.
Ayant flairé leur fragilité psychologique et leur vulnérabilité affective, cet as du vol a conclu qu’il y avait-là une faiblesse à exploiter aisément. Mais, comment s’y prendre, pour anarquer ces prétendants au mariage ? Celui qui a troqué ses cahiers contre un clavier d’ordinateur y parvient car à son réveil au matin du mois d’avril, il se frotte les mains à l’idée qu’il a enfin trouvé la clé de l’énigme.
Pour Balou, les femmes qui rêvent d’une vie meilleure existent dans toutes les villes du monde, même dans la grande métropole qu’est’ PotoPoto. La crise politico-militaire aidant, il pense que des propositions de mariage aux étudiantes paraîtraient une aubaine pour celles qui envisageraient d’aller voir ailleurs. Et le jeune n’a pas tort.
En mai dernier, il quitte son quartier de Yopougon et se retrouve aux II-Plateaux. Il se plante dans les environs de l’hôtel Las Palmas et ne met pas trop de temps à repérer sa première victime. Mademoiselle Z. Ella, étudiante. A cette dernière, Balou fait croire qu’un diplomate qui venait à peine de passer en voiture l’a aperçue et qu’elle l’intéressait.
Etant donné que celui-ci doit répondre à un impératif, il lui a demandé de l’entretenir le temps qu’il les retrouve. Balou qui a de la suite dans les idées explique les faits. ’’Je prends soin d’installer la jeune dame dans l’hôtel Las Palmas en lui faisant croire que c’est en ce lieu que le diplomate compte nous rejoindre.
Et j’achève de la mettre définitivement en confiance quand je lui dis que la consommation est à la charge de son amoureux. De cette façon, je lui demande son numéro de portable que je prétexte communiquer au diplomate par un appel.
Juste après, je me retire dans un coin qui prête à la discrétion pour appeler le numéro que la jeune dame m’a laissé en me faisant passer pour le diplomate. Croyant effectivement avoir affaire au diplomate, je demande à ma victime de me passer le petit en sa compagnie. Je ne fais pas de difficulté à réapparaître pour prendre la communication.
Et c’est exactement le moment que choisit le petit scélérat pour disparaître avec le portable de sa victime. Ce scénario, Balou dit l’avoir exécuté plus d’une fois, et que ses victimes ne se comptent plus. Mais les choses vont tourner court pour le petit délinquant le jour du 16 juin 2005, lorsqu’il va tendre son piège en face dudit hôtel.
Il ne se fera pas de mal à repérer rapidement une étudiante à qui il raconte son baratin. La victime mord à l’hameçon aussitôt car rêvant déjà à un beau mariage, elle répond à l’invitation de s’installer à l’intérieur de l’hôtel. C’est en ce moment que Z. Ella, se trouvant dans un taxi communal, reconnaît aussitôt son voleur de portable.
Elle donne aussitôt l’alerte. L’nspecteur BoulAlik de PotoPoto qui passait son chemin tombe sur la scène et met le grappin sur le truand. Conduit devant le tribunal pour escroquerie, K. C. Balou a été condamné, mardi dernier, à 15 jours d’emprisonnement ferme et à 200.000 F d’amende.
Qu’on se le dise,,,!
Wnessou El Douda
Par Douda (Douda) le mercredi 06 juillet 2005 - 12h48: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
De notre envoyé spécial : Toubab Fartas,
Vive Latitesse ! qui a tout deviné.
La Douda a déjà avalé par le biais d’OPA Boursières hostiles, nombre d’agence de presse, dont les sièges sociaux ont été transférés à La Goulette, l’AFP est déjà tombée dans son escarcelle,elle travaille comme mercenaire pour La Douda, en attendant et en l’absence de Bébert La Sardine, que la Breitouna subisse le même sort !
Qu’on se le dise,,, !
Wnessou El Douda
Par Shira (Shira) le mercredi 06 juillet 2005 - 02h13: |
Dernier scoop de la part de l'Agence Breitouna et du fameux créateur du PTB: "pour qu'ils ressentent la ghira, décris leur un peu la soirée de Henna de ma fille Valérie et de son chevalier chaleureux Rodolphe –"voila, c'est celui-là, avec les cheveux spaguettis." C'est à Jérusalem, et au restaurant Marrakesh que s'est déroulée leur Henna top niveau. Ambiance du tonnerre, je n'vous dis que ca. Danses, chants, bouffe succulente. Même notre Breitou nous a épatés par sa sveltesse, il danse tout: la valse, le slow, la danse arabe et même la Ora. Quelles émotions! tous les cousins étaient venus de loin pour se joindre à la fête familiale et admirer le nombril perlé de la mariée qui a changé de costume pour recevoir les cadeaux et distribuer la pâte de henna. N'oublions pas Sharon, la mezziana, les chaussures blanches toutes neuves aux pieds qui, comme sa tante, a opté pour le costume oriental. Photos à l'appui suivront bientôt… La soiree d'Herzelyia, bénédiction suivie de la cérémonie, est fixée à jeudi prochain… à ne manquer sous aucun pretexte… Fin de transmission.
Par Latitesse (Latitesse) le lundi 04 juillet 2005 - 21h03: |
Mamili t'es devenue formidable!!! j't'admire
Derniere nouvelle
La Douda cette agence de presse qui a fait ses preuves sur tous les continents est en pourparlers pour racheter l'AFP, les négociations vont bon train dans le plus grand secret
Par Mamili (Mamili) le lundi 04 juillet 2005 - 19h48: |
ET VIVA .....
Par Toufiq (Toufiq) le lundi 04 juillet 2005 - 20h02: |
bonne fete nationale a tous les harissiens et harissiennes entre l'atlantique et le pacifique.