Par Douda (Douda) le jeudi 14 juillet 2005 - 00h12: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
De notre envoyé spécial : Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !
Un faux médecin escroquait des femmes stériles
GouletteInfo - 8/7/2005 - Dans la commune de Yopougon, les policiers du 16ème arrondissement ont, récemment, mis le grappin sur un individu qui passent le clair de son temps à gruger les femmes souffrant de la stérilité. Kunda T., c’est le nom de ce véreux personnage qui faisait croire qu’il était médecin en fonction au Chu de Yopougon. De sources proches des victimes, Kunda explique qu’il vient de découvrir un médicament, pouvant guérir la stérilité.
Notamment, féminine. Ce médicament à l’en croire, est contenu dans des flacons dont l’unité coûte 9000 Fcfa. Et les patientes qui s’en procurent, ont droit à une consultation gynécologique gratuite. Pour achever de convaincre, Kunda note à l’endroit des femmes, depuis longtemps à la recherche d’une première maternité, que si certaines artistes comédiennes de la place ont pu goûter à la joie d’avoir enfin un bébé, c’est bien grâce à lui. Avec ce discours très épatant, de nombreuses jeunes filles et des femmes se bousculent auprès de lui.
Le fric, l’homme s’en met plein les poches. A la vérité, son prétendu produit, combattant la stérilité féminine, n’a aucun effet escompté. De nombreuses femmes qui s’en rendent compte, comprennent que le fameux médecin n’est en réalité qu’un truand. C’est ce qui amène les pauvres victimes à saisir le commissaire de police du 16ème arrondissement.
Suite à des investigations, les policiers mettent le grappin sur le faux médecin. Soumis à un interrogatoire, Kunda se met à table en indiquant que ses manœuvres ne servaient simplement qu’à soutirer de l’argent à de pauvres femmes stériles. Il a été déféré devant le parquet de PotoPoto.
Vol : le voleur était un voisin de sa victime
GouletteInfo - 9/7/2005 - Touré V., 22 ans, n'est pas un bon voisin. Le 17 juin dernier, il profite de l'absence d'un de ses voisins pour s'introduire dans la maison de celui-ci en fracturant sa porte. Il lui soutire plusieurs objets dont des appareils electro-ménagers.
Heureusement, le malfrat qui se croyait à l'abri de tout soupçon, est aperçu par une dame de son entourage au moment où il quittait le lieu de son forfait. Rentré de son travail dans la soirée, le maître des lieux découvre avec surprise sa porte grandement ouverte.
C'est ainsi que la dame qui a suivi la visite inhabituelle de Touré approche la victime pour la tenir informée. Ensuite, les enquêteurs de la police, saisis, ont fait une descente nocturne au domicile du voleur. Appréhendé et conduit au poste de police, Touré V. avouera les faits.
A la barre du tribunal des flagrants délit de PotoPoto, le 29 juin dernier, le prévenu s'est défendu en ces termes : ''Président, je suis à votre barre parce qu'ils m'ont accusé de vol. Sinon je ne reconnais pas les faits''. Cette explication n'a pu stimuler la conviction des magistrats.
Reconnu coupable, Vakaba part se ressaisir pour 36 mois au ''grand hôtel'' des incorrigibles, 50 mille Fcfa comme frais de séjour et 10 ans de privation de droits. Vakaba mérité bien ses 3 ans de repos, pour services rendus à ses cohabitants.
Qu’on se le dise,,,!
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le mercredi 13 juillet 2005 - 23h57: |
UNE SEMAINE FESTIVE...JOURNAL DE BORD..III D'un MARIAGE.5X5.
NDLR/Une erreur s’est glissée dans le change, il fallait lire 1 DOLLAR POUR 4,50 Shekel.
Mardi Matin. 5 Juillet.
Bain piscine puis plage.
Je fais la connaissance d’un homme d’affaire israélien au petit café qui est sur la plage.
Trois heures à échanger nos impressions. Très instructif.
13 heures, ma belle-famille est là, on se restaure…Houmouss plus steak et frites.
Un kif.
16 heures retour piscine. Sieste une heure.
Ma femme me réveille, la soirée du hénè est dans deux heures.
On décide de s’habiller au restaurant MARAKECH pour ne pas froisser nos tenues clean.
Tout le monde dans le hall. 50 personne. Le car nous attend. Départ 18 h 30.
Chant dans le bus.
Une heure plus tard, nous descendons devant le resto.
Les promis ne sont pas avec nous.
Ma fille Valérie est chez le coiffeur.
On est accueillit par Benny le patron marocain.
On vise un petit espace pour enfile Costumes, chaussures, cravate, robe etc…. A tour de rôle.
On est surpris par le décor style marocain.
Les tables sont bien garnies. Tout le bien de D ieu.
Les invités du bus s’installent par degré d’affiliation et par lien d’amitié.
A musique commence sous les hospices d’un disc jokey.
Un chanteur est là, il chante des chansons choisies dans des anciens répertoires, en français, en italien, en brésilien, en arabe. Valse, tango etc….
On attend l’arrivée du couple.
On attendant, on commence à grignoter.
Et à danser sur une piste étroite, il faut le reconnaître.
Benny me propose la bouteille de whisky à 90 Dollars. Trop chére, je décline.
Je suis sur la piste à gesticuler.
Arrive enfin les nouveaux époux. Magnifiques dans leur tenue IN….
Plus tard les photos.
Grande ovation et YOYOUS…Flash et caméra en mouvement.
On clique et on tourne.
On les entoure, ils vont sur la piste et là déchaînement total. Sur des airs de musique
Israéliens, tout y passe SIMAN TOV et etc……
Shira arrive avec sa fille, je la place dans la table de mes cousins qui ne vont pas tarder
A venir. Je suis à la même table que mon illustre invitée HARISSIENNE.
Je lui présente toute ma famille et celle de ma belle-famille.
En attendant, l’ambiance est au summum. Les mariés sont sollicités de partout.
Chacun veut immortaliser l’instant en leur compagnie.
Je suis sur la piste lorsqu’une main me happe, c ‘est mon cousin HUBERT
Que je n’ai pas vu depuis 30 ans. Embrassades chaleureuses, grande émotion, dix minutes à s’étreindre, sa femme, sa fille, sa sœur, mari et enfants sont là. Je les reconnais tous.
Je les fais assoire près de Shira. Belle compagnie. L’ambiance est survoltée.
La piste est assaillie. On est serré comme des sardines. Il fait chaud.
La clim est désemparée. Elle nous joue le rôle de la muette.
Le premier plat est servi. Poisson frit. Un gros denté qui s’apparente à une dorade.
Vin et sodas à gogo.
Les mariés sont entourés par tous leurs amis, sur la piste. Rodolphe est déchaîné. Valérie et Rodolphe forment un très beau couple de danseurs. Tout le monde est émerveillé par leurs pas de danse.
Je vais m’asseoir. Nokht. Je m’éponge le front.
J’ai enlevé ma cravate et ma veste. Je relève mes manches. Chrénè.
Benny est aux petits soins pour nous. Un signe de la tête envers les serveurs et tout arrive
Comme par enchantement !
Pause. On nous sert le second plat. Brochette de viande mais très tendre.
Du halkoum entre les dents.
Délicieux.
On repart sur la piste, mes cousins sont survoltés.
Ils donnent du corps de des battements des mains.
Hubert m’apprend que ma tante donc sa mère est mal au point.
Je compatis à l’état de ma tante HAYOUNA, une brave femme.
Tout le monde rejoint la piste. Shira est aux anges, sa fille aussi.
Les maries sont toujours sur la piste, ils oublient de dîner.
On le leur fait remarquer.
Ils ne nous écoutent pas, ils ont décidé de bouffer de la musique accompagnée de danse.
Breitou est dans le cercle, Il danse avec sa fille et son gendre.
Roulements d’épaules et vire-voltage sur place. Un vrai professionnel
Que ce gendre à la coiffure macarouna BUTONI.
Il est dans son élément. 5X5 pour lui.
On en redemande, ils ne nous en privent pas.
Pause. 3 ième mi-temps.
Rentrent les serveurs avec des plateaux.
Couscous, boulettes de viande à la sauce marocaine, viande de bœuf.
Une bonne odeur s’en dégage.
On se sert à profusion.
Tout est bon.
Minuit. On danse toujours sous des airs de chansons tunes, HEDI JOUNI.
Le chanteur est formidable. Entraînant.
Fini le couscous.
On demande les mariés pour la séance de HENE.
Les mariés sont assis sous le dais tandis que la chanson de RAOUL JOURNO bien connue est entamée. YANDI FARHA JDIDE…ET AW JET LAROUSSA.
Les époux s’offrent mutuellement les cadeaux.
Mara oulidet kom, amin blechi khlèf.
Je distribue des petits macarons de cotons tachés de mélasse de HENE.
Toutes les jeunes filles serrent leurs paumes tachées et enveloppées par un ruban rouge.
Il n’y a pas pour tout le monde, ma belle-mère a commis une erreur dans les comptes.
Pas grave tout le monde est heureux.
On descend.
Les mariés sont heureux. Nous aussi.
Arrive le dessert, HABATICKH et MELON coupés en tranches.
Thé et gâteaux marocains pour la fin.
1 heure 30, certains invités nous quittent tout en nous remerciant pour le spectacle.
Mes cousins se lèvent.
On se promet de nous revoir pour le JEUDI 7 à la cérémonie religieuse à l’hôtel DANIEL.
Dans le car, au retour, les héros sont fatigués, j’en profite pour leur faire des sketchs
De mon cru. Grande dahka avec micro.
2 HEURE 50. AU LIT APRES LA DOUCHE.
Je remercie D ieu et ma femme….On se fait la bise. Et en éteint la lumière.
Israël est beau la nuit comme le jour.
A suivre
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 13 juillet 2005 - 23h20: |
biber mon frere ma parole tu nous as manque!
super de decouvrir les bonnes bouilles de nos chers amis.
continue de nous raconter le voyage,et n'oublie pas de mettre toutes les photos.
Par Albert (Albert) le mercredi 13 juillet 2005 - 22h56: |
Je sais POUR FAIRE LA BAR MILLA...AAHAHAHAHA...
Par Meyer (Meyer) le mercredi 13 juillet 2005 - 22h38: |
Albert, à la chkoba, c'est le 7 de carreaux qu'on recherche, pas l'as.
Par Albert (Albert) le mercredi 13 juillet 2005 - 22h33: |
ahahahah TOI ALORS JE VOULAIS LA GARDER POUR PLUS TARD....JE PENSE QUE L AS DE CARREAUX EST DANS LES MAINS DE BRAHAM....TOI TU AS L AS DE COEUR...MOI AS DE PIQUE KOLEGRAMME.....
Par Meyer (Meyer) le mercredi 13 juillet 2005 - 22h13: |
Chi pas tout : qui a les cartes pour la chkoba ?
Par Albert (Albert) le mercredi 13 juillet 2005 - 21h56: |
Tawfiq, alors, ech qa'ouleq fel tssaouar...???
Laaziz...?
Par Breitou (Breitou) le mercredi 13 juillet 2005 - 21h55: |
Chi tout.
Par Albert (Albert) le mercredi 13 juillet 2005 - 21h51: |
Par Breitou (Breitou) le mercredi 13 juillet 2005 - 21h48: |
Par Breitou (Breitou) le mercredi 13 juillet 2005 - 21h44: |