Archive jusqu'au 13/mai/2007
Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2007:
Archive Mai 2007:
Archive jusqu'au 13/mai/2007
Que de compassion ma chére, j'en suis ému.
Merci.
Toi au moins tu réagis au quart de tour du tméniq.
Comme moi.
Par Lza (Lza) le dimanche 13 mai 2007 - 14h27: |
breitou !!!!
je pense sincerement que la ghreba a exaucé tes voeux
tu tiens ton meilleur role la , celui de "victime"
inocente victime d'une justice aveugle !!!!
Epluchez- moi.
Décortiquez-moi
Désossez- moi
Analysez-moi
Vous ne trouverez rien sur moi.
Ecossez-moi
Déshabillez-moi
Ecorchez- moi
Chamaillez- moi
Vous ne trouverez rien pour me juger.
Debitez- moi
En rondelles
Ou en quartiers
Je serai toujours le même.
Reconnaissez au moins que je ne laisse personne indifférent.
On m’a dit que ‘J’aime qu’on m’aime... !
Est-ce une tare… ?
Oui, je préfère cela à la détestation.
Je ne dis pas d’aimer tout le monde
Mais d’aimer ceux qui sont sympas.
Et je le suis. Modestement, je vous le dis.
D ieu aime qu’on l’aime.
Qu’on le croit
Sinon il ne serait Roi dans les cieux.
Ce qui le déteste
Se déteste eux même.
Merci pour les avoir réduites.
J'ai reçu des giboulès.
J'en porte les traces sur le dos.
Je m'en remettrai.
Ma chére.
Que veux tu...?
J'assume.
Albert,
Je n'ai pas suivi les foudres d'en haut. Alors je ne comprends pas par où ça a commencé.
Pas grave!
Super ces photos de Djerba !
MES PREMIERES IMAGES DE JERBA.
Nouvelle imaginée et inspirée grâce à Lapid. Merci.
Paris le 13/05/2007.
http://www.dailymotion.com/video/x1xv5v_le-violon-juif
Le violon juif.
La Pologne.
Varsovie.
La guerre.
Les rafles.
La déportation.
Les camps de concentration.
La mort.
En Pologne, plus précisément à Varsovie, dans le quartier juif, Salomon fils de Yoshua Ben Yehuda est réveillé en pleine nuit. Ainsi que sa petite famille composée de 5 enfants en bas age.
Dix minutes plus tard, ils sont embarqués par la gestapo pour l’enfer.
Salomon est grand violoniste.
Connu bien au delà de son quartier pour sa virtuosité à jouer de son violon.
Un violon ancestral qu’il tient de son père qui lui le tient de son arrière grand-père.
Un siècle de vie sans que son instrument n’ai subi les griffure du temps.
Salomon vivait de son génie de violoniste.
Il en est fier parce qu’il pense dur comme fer que ce violon qui a survécu au temps est un miracle et lui les miracles il les connaît. Sa façon de jouer est un miracle sans cesse renouvelé lors des fêtes religieuses et les fêtes, les réunions de famille et de voisinage.
Il vit grâce à ce miracle qui subvient quotidiennement au bien être de sa famille.
Ce soir là, il n’a pas eu le temps de prendre son violon.
Il est resté accroché au mur qui porte son empreinte.
Les années ont passé.
Salomon a survécu.
Pas sa famille.
Il part en Israël.
Il refonde une famille après un délai raisonnable.
Dans le kibboutz où il est, il est responsable de la jeune chorale.
On lui a donné un autre violon mais son compagnon d’autrefois lui manque.
Autant que sa femme et ses enfants et en tant que bon juif très religieux, il doit vivre parce que la vie est sacrée et qu’il ne faut pas l’occulter.
Un jour, il propose à sa nouvelle femme Sarah…
‘…Sarah, je pense depuis longtemps à retourner au pays de mes ancêtres… !
Aux sources d’une semaine… !
‘…Tu vas ouvrir tes blessure Salomon… ! Est-ce bien raisonnable de retourner dans ton passé… !’
‘..Je dois aller vérifier quelqueschose qui me tient à cœur, je ne t’en ai jamais parlé, mais cette mission, je me dois de la faire. Une partie de moi et encore là bas, je dois savoir… !’
‘…Je devine tes pensées, part Salomon, nous attendrons… !’
Sarah et Salomon ont deux enfants Shlomit, 2 ans et Avner 1 an.
Salomon retourne donc au pays de ses ancêtres.
A Varsovie. Dans son ancien quartier qui n’existe plus.
Les bombardements ont rayé celui là de la géographie.
Tenace, il se renseigne auprès de quelques vieux habitants qui ont été relogés dans des immeubles nouvellement construits.
La chance lui sourit. Il tombe par hasard, alors qu’il déambulait sur la grande avenue Stanilas Le Grand, sur une vieille dame qui le reconnaît…
http://www.dailymotion.com/video/x1xv5v_le-violon-juif
‘…Salomon… ! Mais tu es Salomon… ! Lui dit la vieille dame au bord de la joie.
‘…Machka, ma chére Machka, je n’en crois pas mes yeux… ! Vous ici… ?’
‘…Et vous donc, mais je n’ai plus eue de nouvelles de vous…..????’
Salomon détourne la tête. Une coulée de larmes glisse sur sa joue.
L’autre comprend.
Elle le prend dans ses bras et l’embrasse tout en sanglotant.
Elle l’invite chez elle.
Salomon sans hésiter accepte l’invitation dans l’espoir de trouver ce qu’il est venu chercher.
‘…Machka, ma chère Machka, que sont devenus nos affaires après la rafle…?’
‘…Je vais te faire une surprise… ! Viens… !’
Machka et sa famille étaient les anciens voisins de palier de la famille Salomon.
Ils descendent dans la cave de la vieille et honorable femme, orthodoxe.
Elle ouvre la porte de son fourre -tout.
‘…Salomon, tu vois cette malle, fais la descendre… !’
Salomon obéit.
Il descend la lourde malle.
‘…Tiens prends cette clef et ouvre là… !’
Il obéit.
Il aperçoit une couverture et dans la couverture quelque chose de caché.
‘…Déplie la couverture… !’
Il déplie et là devant ses yeux… !
‘…Après votre rafle, les nazis ont laisse la porte ouverte, je suis rentrée et la seule chose qui m’a attirée c’était ton violon, je l’ai pris et caché depuis ce temps à défaut de vous avoir caché en ces temps là… !’
Salomon reste prostré durant un long moment. Il n’imaginait pas un seul instant retrouver cette relique qui a accompagné sa vie et celle de ses aïeux.
Il prend la chose délicatement dans sa main, la caresse et lui donne vie tout en grattant avec ses doigts ces merveilleuses cordes qui lui ont donné tant de bonheur…Et restès muettes depuis si longtemps...
‘…Machka… ! Machka … ! Vous venez de ressusciter toute une vie de bonheur, la mienne, et celle de mes ancêtres, de réveiller des souvenirs qui dormaient en moi mais hélas le chagrin est si fort en moi que je ne sais pas si je dois l’emporter avec moi…. !
Salomon pleure en serrant l’instrument, ce corps de famille qui a échappé au massacre, contre sa poitrine.
‘…Prenez le, il est à vous, il faut que vous le preniez, il est celui qui vous rappellera tout ce que vous avez perdu. Il n’en jouera que mieux, je vous assure… ! Séchez vos larmes… ! Mon fils… ! Rappelez vous tous vos bons moments et surtout ceux que vous avez donné à toute une génération de vos compatriotes… ! Vous le devez pour eux… !
Salomon, en homme obéissant, remet son violon dans sa couverture.
Il retourne dans son kibboutz avec sa précieuse chose.
Cet instrument des rires et des pleurs. De joie et de tristesse.
Sa femme voit devant elle, un mari rayonnant de bonheur.
‘…Enfin, tu vois Salomon que tout n’est pas perdu mon ami… !’
‘…Sarah, tu vois, les miracles cela existe… !’
‘…Tu es aussi ce miracle…. !’
http://www.dailymotion.com/video/x1xv5v_le-violon-juif
Pour me faire pardonner.
Merci.
SLIHA.
Je me sens confus, je vous jure mais qui de vous me croira...!
Henri, je ne suis pas modérateur, mais je trouve un peu fort cette invite à me faire censurer moi même. Laisse passer ce délit dans le compte pertes et profits. Après tout l'important est que je vous aime tous et que je vous fais rire un peu...!!!
J'aurai mieux fait de critiquer ma mére.
BECH NOULIOU KARAKOUSS....BRAHAM YE BABA EHNE EN HABEQ....ALLAISH EHDE...?????
MEA CULPA MES AMIS.....!!!