Archive jusqu'au 31/juillet/2005

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Juillet 2005: Archive jusqu'au 31/juillet/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 juillet 2005 - 13h52:

 ACCOUPLEMENT



Tout se passe comme à la Goulette.
Nous avions aussi DEUX CANAUX.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 juillet 2005 - 13h45:

Autant pour elle, que la rencontre ne fut pas au point G.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le dimanche 31 juillet 2005 - 11h55:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

De notre envoyé spécial : Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !

Une Info pour Latitesse :

Au vu de la pauvreté morale qui sévit, les formes d’escroquerie et autre banditisme sont légion. Des individus oisifs et paresseux trouvent tous les moyens diaboliques pour arnaquer ou spolier des personnes naïves. C’est le cas de cette dame, Mariama C., domiciliée au quartier Maquis, commune de PotoPoto.

Sortie de sa maison, le mardi 7 juin, Dame Mariama croise sur son chemin deux hommes au niveau du rond point E. Soudain, elle est interpellée par les deux inconnus. Après les salutations d’usage, l’un d’eux s’approche à elle une baguette en main, avec laquelle, il l''a touché. «A cet instant même, je ressens une sorte de frisson faire vibrer mon corps », nous raconte Mariama, avant de poursuivre sa mésaventure, larmes aux yeux.

«A partir de là, je suis devenue docile à tous leurs ordres». Ensemble, les trois empruntent un taxi. Direction: le domicile de la femme. Une fois là, ils pénètrent la chambre. Elle fait descendre sa valise et la remet à ses « compagnons» avec tous les biens y compris: des habits et bijoux. Puis, elle leur remet l’argent gardé dans ses tiroirs. Selon elle, 800 mille Fcfa, 300 euros, reçus la veuille. «Cet argent m’a été envoyé par mon mari qui vit en Europe. Et ils ne m’ont pas laissé même mon portable» nous lance-t-elle.

Après leur forfaiture, les deux hommes ont disparu dans la nature.

Qu’on se le dise,,, !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Latitesse (Latitesse) le dimanche 31 juillet 2005 - 01h14:

La Douda Merci de cette importante info, le sort des femmes est quelque fois bien triste. heureusement de courageux journalistes en font l'echo.

Albert, a Nice le photographe ambulant faisait semblant de prendre la photo et si le client acceptait le carton, il la reprennait !!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le samedi 30 juillet 2005 - 18h53:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

De notre envoyé spécial : Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !

Une Info pour Latitesse :

Le matin de vendredi, 17 juin, au petit marché de Koloma, le commissariat de police a été pris d’assaut par des badauds. A l’intérieur, les agents de police et l’inspecteur BoulAlik venaient de recevoir deux personnes: un jeune homme d’environ 25 ans et une jeune femme, âgée à peine de 16 ans. Cette dernière, entièrement vétue de la burka et le jeune homme sont accusés d’adultère. Et c’est le mari de la femme, affirmant les avoir surpris en flagrant délit d’adultère dans son lit conjugal qui les déposés là.

Selon ses explications, lui-même trés jaloux, il a épousé la fille récemment. Après l’avoir ordonnée de se couvrir entièrement le corps, il a cherché un enseignant pour donner à sa femme les cours élémentairesw de déscence. Mais, il aurait nourri un fort doute sur la moralité du maître et la disciple, car la nature de leur relation, devenue intime au fil du temps a créé dans son esprit des présomptions.

Ainsi, ce vendredi, faisant semblant de partir pour le travail, il est revenu à la maison quelques minutes après. Et le voilà découvrir sa femme et le « oustache », en tenue d’Adam dans le lit conjugal. Furieux et certainement dépassé par excès de jalousie, il a déposé les deux fornicateurs au commissariat de police.

Interrogée, la jeune fille a reconnu les faits tout en affirmant qu’elle a agi par vengeance «Je n’aime pas mon époux. Ce sont mes parents qui m’ont obligée à ce mariage. J’ai été ligotée et bastonnée pour que je me marie avec cet individu» a –t-elle répondu aux agents, avant de pousser des sanglots. Une scène qui a ému l’assistance. Des mères de famille parmi les badauds ont versé des larmes.

Par contre, certains voulaient lyncher les accusés. La police est venue en renfort pour éviter le pire. Dans le quartier, les commentaires vont bon train sur le comportement des parents de la jeune femme.

Nous avons volontairement tu les noms des intéressés. Mais une fois encore le problème de mariage précoce, de mariage forcé reste entier dans notre société. En plus, nombre d’habitants de PotoPoto, continuent à croire que la femme n’a pas de droit, et la prennent comme un objet.

Qu’on se le dise,,, !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 juillet 2005 - 00h06:

Spectacle de rue..

Métier d’avant, disparu.

Le photographe.
.


Que je m’en souvienne !
Du photographe ambulant que l’on croisait sur les grandes avenues de Tunis et aussi dans les plages Nord à l’approche de l’été.

En hiver, aux jours fériés, on le rencontrait le plus souvent à pied, son appareil de photos en bandoulière, à hauteur de sa ceinture. Ses lieux de prédilection sont dans la capitale, les abords des squares, les grands espaces verts ‘Bélvèdére’, les parcs de jeux pour enfants ; manèges, balançoires etc…ou tout simplement les grands Boulevards.

Les lieux saints, Cathédrale de Tunis, Synagogue, souks etc… servaient aussi de d’arrière décor pour ceux qui voulaient immortaliser le quartier de leur jeunesse.

Je me souviens de cet appareil de photo avec accordéon dont la marque m’échappe.
Lorsque mon papa lui intimait l’ordre de nous prendre en photo, il s’empressait d’ouvrir ‘son outil’. Il tirait l’optique qui s’allongeait comme un accordéon d’environ 15 cm, ensuite il prenait soin de nous fixer, du haut de son appareil tenu à hauteur de son nombril puis tout en cadrant la pose, il concluait en effectuant une légère pression sur un petit cliquet disposé sur le côté de l’objectif.

Puis sont arrivés les appareils à flashs instantané placés sur le haut de l’appareil.

En été, certaines coins étaient plus prisés que d’autres, par notre ‘homme à photo’ La Goulette avec ses cafés, restaurants et plages où il n’hésitait pas à pénétrer dans l’eau puis relever ses ourlets pour mieux cadrer et enfin presser sur le bouton de sa boite à pellicules ; Sidi-Said, la Marsa, le Saf-Saf et son chameau pris dans ses mille et mille tours, flashé mille et mille une fois durant deux générations entières sans qu’il se lasse, sans oublier le marchand de jasmin qui se préposait, moustaches en U, pour prendre la pose et agrémenter ainsi le décor sur invitation du client ; tout cela à fait nos beaux jours.

Le préposé en costume remettait à mon père un petit carton, portant nom et adresse du studio ainsi que rue et téléphone. Un numéro d’ordre, gribouillé par ses soins, nous invitait à retirer la photo trois ou quatre jours après l’opération.

Le montant dû était réglé lors de la remise du produit fini.

Je me souviens, puisque ma mémoire le permet, de notre célèbre photographe EL HAIK qui avait l’exclusivité de nous fixer dans nos années scolaires.
La traditionnelle photo de classe, prise année par année.
M. Haïk avait son appareil posé sur des béquilles, trois.
Après nous avoir donné ses directives, toujours les même durant 13 ans, et donc placé selon son goût sur les tréteaux, il se pressait pour nous mettre ‘en joue’.

Tel un chasseur d’images, il se mettait à l‘affût derrière son appareil, ensuite levant son bras d’une façon autoritaire dans ce silence imposé, il immortalisait notre pose pour l’éternité, rien que pour le kif de revoir 30 ou 45 après, notre jeunesse passe.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 31 juillet 2005 - 00h00:

Demain si d ieu veut grande manifestaion theatrale...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le samedi 30 juillet 2005 - 23h28:

LA CREATION DU MONDE...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le vendredi 29 juillet 2005 - 23h31:

Oui Aldo Macione, tu en connais un autre???

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 29 juillet 2005 - 23h18:

Aldo Macione?????? GRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR...GRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

BEAU COMME ULYSSE??????? gggggggg ggggggg

Mara oulideteq Michka....Amen..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le vendredi 29 juillet 2005 - 23h01:

C'est bien la fille de son père. Un grand Mazal. On reconnait dans le gendre l'artiste. Beaucoup de bonheur, et beaucoup de petits enfants qui sauteront sur le papyyyyyyyyyyyyyyyy.

Un petit message à Mamili. Si tu lis le théâtre, excuse-moi, je t'appelle demain.

Albert, j'ai vu que tu faisais le beau tel Aldo parmi des créatures de reve au bord de la piscine.
Hahahahaha

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 29 juillet 2005 - 21h41:

Fartas krib el RASS...

'....El FARTASS mchè âând sah'bou béch i kha'less'lou cha'rou...'

Le chauve est allèe chez son ami pour se faire peigner...!'

Se dit pour qq qui veut blaguer.