Archive jusqu'au 03/août/2005
Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005:
Archive Aout 2005:
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Dernière minute: Face à l'expansionnisme affiché de Goulette Info, une grande partie du personnel est en grève ce jour.
Il nous a été impossible d'interroger Monsieur La Douda qui se réserve sans doute l'organisation d'une conférence de presse lorsque la situation sera clarifiée.
Ok Mam'ili..
Merci.
Je sais que t es un bon parti, honnête même.
R.M
""Ne t’en fais la Mam’ili.
Que je croyais un bon parti "
Mais enfin je fais partie des personnes casées mais je reste néanmoins un bon parti.
Brass Jano révise ton jugement je reste OT
RM
Mam 'ili ca me plait écrit comme ca !
Suite IV…
Bichi attend le retour de sa barque.
Il a légèrement vieillit depuis la location. Ses cheveux ont blanchi à force de se morfondre et de patienter.
Bref, enfin il voit Breitou arriver en guenilles, tout mouillé avec ses bêtes qui lui ont demande pardon.
Bichi respire enfin..
-‘…Ye Ouldi Breitou… ? Ouen’iye el flou’qaAAA… ?’
Breitou mon fils... ? Où est passée ma barque.. ?’)
-‘…Ta barque… ? Elle est à Venise, toute gandolée… !’
-‘…Qu’est ce quelle a été faire là bas, je l’ai réglée pour faire 20 k heures… ?’
-‘…Elle a couru plus, l’eau de la Seine est vitaminée, tu ne le sais pas enfin.. !’
-‘…Qui va me payer la somme que je te dois… ?’
Il s’enfonce un peu dans le sable par le mauvais sang.
-‘…Yâând Gaston… ! El flouch…!’
-‘…Ech’qoun GastoUNNn…? Me chef’touch e4de mââq… ?’
( C’est qui Gaston.. ? Je ne l’ai pas vu avec toi)
-‘…Il est monté en stop par-dessus le Pont.. !’
-‘...Où il est maintenant.. ?’
-‘…A Naples…. !’
-‘…Avec ma flouqa ?????’
-‘…Non avec les rames SEULEMENT… !’
Il s’enfonce un peu plus le BICHI dans le sable..
-‘Ouuuu..KIIIIIIIIFECHHHHHH..BECHHHHHH NAAAAMMELLLLL… !’
( Et comment je vais faire.. !’)
-‘. ..Qu’est ce que tu as à bégayer… ? Hein…. ! Soit patient, il va te les ramener.. !’
-‘…Ou ECHHHH NAAAMEL BIEM EL RAAAAAAMATTEEEE MEGHIR FLOUQAAAAAAA….AAAAAHHHH KOLLIIII……§’
( Et que vais-je faire avec des rames sans barque… ?’
-‘…Tnech el dében….Biyom… ! Ech’biq temtem…. ?’’
( Tu chasses les mouches avec… !Pourquoi tu bégayes…. ?’’)
Il s’enfonce encore jusqu’à la ceinture…
Il gesticule…
-‘…Aanaanann DIIIIIIIIIIIIIIII FE JYAAAAAAAAAAAA…AHHHHHHHHHHHHHH… !’
( J’ai une grande peur…. !’)
-‘…Béch TMOUTTTTTTTTTTTTTT OUTTTTTTTTTTTTTTTTT…Alla kha'ter FLOUQAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA….MEZ’GRA’BAAAAA…. ???’
(Tu va mourir à cause d’une barque pourrie… ??’
-‘…Ce n’est pas la mienne, je l’ai louée par confiance …Chez TRIGANOUUUU OUUUUUUUUUUUUUUUUUUU ALLIYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA…. !’
-‘…Tu es assurée au moins NONNNN… ???’
-‘….Non… ! A cause de mon âge…. !’
-‘…Mé’lè me’tet yal nfé’ch…. ?’
( Alors, elle est morte pendant l’accouchement…???’
-‘…Non elle était vivante avant que tu la prennes mais là je pense qu’elle est morte après l’accouchement… !’
Bichi est presque enseveli sous le sable…
-‘…Mnih qoli… ? Pourquoi tu t’enfonces dans le sable comme cela ?????
-‘…Me hatich SEBATTII YE MEJELLIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…. !’
( Je n’ai pas mis mes souliers….MA CHANCE……. !’)
SUITE ET FIN DU SKETCH......LE SUICIDE RATE DE GASTON....IV....
On ne torture pas ICI...ON TRITURE PAR LE RIRE YE HLOU.......ALMESTY....
jano !!
merci de mettre sur mon mail ton numero de compte bancaire pour le virement de ce que tu sais !!!
bon je me lance je vous lit en permanence mais n ose pas vous ecrire mais la vous ete merveilleur vraiment comment vous me faite rire vraiment
TOUT LE SKETCH POUR CEUX QUI L ONT RATES....
SKETCH.
La vraie raison du suicide raté de Gaston.
Paris le 24 juillet 2005.
Passe ce jour.
Breitou propose à ses amis les bêtes, Roro sa petite chienne, Lucette son perroquet, Apollo son âne et Vachette sa vache de faire un tour dans une barque sur La Seine en ce jour du 24 juillet gris et à la limite du mauvais temps.
Breitou va voir son vieil ami Bichi qui tient un stand de louage de barques en tout genre.
Suivis par ces animaux, il se présente devant Bichi.
‘…Yè Bichi, en hab neq’ri flouqa… ! En hab nââmè’lèm douil’chè el jmé’ya, me yar’fouch bé’rij fouq el bhar… !’
(……Je veux louer une barque… ! Je veux leur faire un tour à mes amis, ils ne connaissent pas le Paris sur l’eau… !’)
-‘…Bim, baba’gha’you, ass’four ou ba’gra fouq flouqè.. ?’
( Un ane, un perroquet, un oiseau et une vache sur une barque.. ?’
-‘…Pourquoi, ça te gêne puisque je paye le prix, Roro sera sur mes épaules donc on sera que 4, l’assour il paye moitié prix… !’
-‘…Bèï'ya mney'qè enti, chouf… ! Louken flouq’ti togh’roq nem’chi en chouf Albert…!’
( Ton affaire est déchirée, mais si par contre ma barque sombre j’irais voir Albert.. !’
-‘…Choubei’li oulit poli meli jit fi franssa méllè kââ’yad en chouf e’li me tbel’detch fél qbaha mta’yaq fi omroq..…. !’
( Je croyais qu’en venant en France, tu allais t’arrangeais mais je vois que tu es resté mal élevé… !’ Peu respectueux… A ton âge….!’
‘…Ess’mani, el cha’ya 50 € femti, ou tkha’less’ni star bel star, qif touli tqè’melli el bqa’ya.. !’
( Ecoutes, l’heure est à 50 Euros et tu me donnes des arrhes, la moitié, et lorsque tu reviens, tu me complètes le reste… !’
‘- Derini… ! En khal’sèk bél léq’hal… !’
( Arranges mooi ( sous-entendus dans le prix…).. ! Je te paye au noir… !’
‘…Lè, na’tiq tech’qrè, e'nè galan’toumou fém’ti… !’
( Non, je te donne un billet, je suis honnête moi, tu as compris… !’)
‘…Mnih, ok, comme tu veux…. !’
Enfin il lui loue une barque à rames…
Toute la smala monte à bord…
‘…Apollo, yatic chrènè amin, mets-toi au fond assis et tu ne bouges pas ok… ! Toi Lucette viens ici ye qa’briya chouri ( tombe française) Ye bagra, assieds-toi là enti et surtout tiens l’équilibre, Roro sur mes épaules, bon nous allons démarrer… !’
Breitou prend les rames et commence son aventure….
Les bêtes sont émerveillées par le paysage et le décor qui défilent à 100 mètres à l’heure sous leurs yeux.
Un quart d’heure se passe. Ils ont dépassé le quai de la Rapè et vont vers le Pont Neuf lorsque contre tout attente, Apollo voit …..
‘...HI HANNNNNNNNNNNNNN….HI HANNNNNNNNNNNNNNNNN…HI HANNNNNNNNNNNNN…. !…GAS…TANNNNNNNNNNNNNNN…. !’
( Ma borique sait dire des petites phrases courtes )
-‘ Ech’biq enti, ça ne vas pas, tu veux qu’on nous foute une amende pour nuisance sur la SCENE…..….. ?’
Et là il pointe sa queue en direction de la balustrade du pont. Breitou suit la direction de la queue et là il voit son ami Gaston aller et venir, s’arrêter, se pencher par de là le pont.
Il comprend que l’ancien bar-man au chômage faute de clientèle, veut se jeter par-dessus le pont, se SUICIDER.
Breitou panique et fait des signes à son ami…
-GasTONNNNNNNNNNNNNNNNNN… ? YE GASTONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN…..YE BABA…………………. !’
Gaston n’entend rien, il continue son manège.
Breitou a eut une idée, il écrit un bout de papier qu’il coince entre les pattes de son RORO.
‘…Roro, la vie de Gaston est entre tes plumes, va lui rapporter ce mot vite vite…Sinon on le perd notre Gaston… !’
Roro s’envole mais comme il ne connaît pas Gaston, il va remettre le papier à une jeune femme qui l’ouvre et lit…
‘…Surtout ne te tues pas, on arrive … !’
La jeune femme ne comprend rien mais devant la gentillesse de Roro, elle l’invite à prendre un verre alors que Gaston est sur le point de se jeter…..
Il enfile une bouée à Apollo avec un panneau sur lequel Breitou a écrit…
‘…GASTON YE BABA…On arrive…. !’
Apollo se lance dans l’eau mais par la force du courant il est emporté et dépasse le pont NEUF. Sans que Gaston n’ait rien vu.
Breitou rame de toutes ses forces. Il double sa ‘ramèe’.
Vachette saute sur le fond de la barque pour se faire plus légère..
‘…In yad’in radèq ye bagra, reste à ta place sans sautiller sinon on aura trois morts sur la conscience….Avec Gaston en plus… !’
Breitou décide de tenter une nouvelle solution. Il habille sa petite chienne par un parachute pour rejoindre Gaston qui ne démord pas de son idée de se suicider.
Lucette est prête, harnachée comme un commando sous-marin. Breitou la lâche dans l’air et Lucette s’envole mais dans la mauvaise direction, elle ne sait pas manier les ficelles. Elle vole au-dessus du Sacré-Cœur et là, deux hélicoptères de la gendarmerie prennent leur envol de Villacoublay pour aller à la rencontre de la ‘terroriste’.
La barque s’est allégée considérablement et Breitou n’est pas loin de Gaston, à 50 mètres.
Il lui fait des signes de loin au point qu’une rame se détache et va dans au fond de l’eau pure et bleue de la Seine.
Sur les berges, des curieux assistent à la Scène. Ils sont paniqués à l’idée de voir cette barque dériver vers le large de la grande bleue.
Breitou manchot d’une pagaie continue avec courage son sauvetage.
Il n’est plus qu’à 20 mètres de la verticale de son ami.
Il lui fait des signes et voilà que la seconde rame part en couilles.
La barque est livrée à elle-même.
Elle fonce droit sur un pilotis.
Elle n’est plus qu’à 3 mètres, enfin Gaston décide de se jeter. Il se jette et là il vient atterrir comme par miracle sur le dos de vachette qui rue. Gaston se retrouve agrippé au cul de la flouqa. Breitou lui dit de battre avec ses jambes pour amorcer un virage.
Gaston ne veut rien entendre, il veut lâcher prise pour se noyer. Breitou lui menotte les poignets. Il ne peut plus s’en défaire. Il est sauvé. La barque continue la traversée de la Seine.
Le courant a change de direction. Elle se dirige en amont. Vers le mont Gerber des Joncs.
Un nombre impressionnant de curieux suit le mouvement de la barque.
Au bout de 4 jours, le Mont est atteint. Plus d’un millier de personnes font leur Alya vers la source. Enfin, Gaston est sauvé et toute la flotte se retrouve sur les berges. A séc.
Sain et sauf.
Breitou envers Gaston.
‘…Tu as vu lorsqu’on veut sauver la vie de quelqu’un qu’est ce qu’on fait… !On traverse des montagnes sans les soulever… !’
‘…Mais qui t’a dis que j’allais me suicider.. ? Ma montre est tombée dans l’eau et j’essayais de la récupérer…. !’
Quant à Bichi, il a porté plainte pour dépassement de l’heure…
Sketch….
Paris le 26/07/2005.
Passe ce jour.
Vous vous souvenez, il y a deux jours notre ami Gaston le barman d’à côte voulait mettre fin à ses jours et si ce n’est l’intervention héroïque de Breitou et de ses amis les bêtes, Gaston serait fel jébènè âân él Grènè, carré Maurice tombe 124 côté jardin sur les chemins broussailleux et infectes de ce cimetière.
Du Borgel. Il avait laissé un testament disant être enterré près de ses parents Hayouna et Mridekh Guez.
Bref, remis de ses émotions, il est questionné par son ami Breitou…
‘…Tu veux me faire croire que tu as perdu ta montre alors qu’elle est sur toi.. ? Ye guédèb… !!!’
Gaston baisse les yeux et se met à pleurer…
‘…Ah fej jè ehde…. ! Gaston ye baba, ouè ou’aq’tou el bqèEEEE…. ? Ah’qilli é’li jra’lèEEEEq… !’
( Comment cela… ! …………….Est-ce le moment de pleurer… ? Racontes moi ce qui t’arrive… ?)
-‘…Je ne peux plus assumer ma famille, j’ai vendu tous mes bijoux à la casse, mon fils est malade, ma fille est hospitalisée, ma femme Henriette, e’lah leï ye’choui’ni fi’yè, blé’chi biya eh’nè mchit âând baba, hatta chey, Jojo oul’di lékh’reni je’tou dia’rrhè carabinèe fél ascoulla, tkhèl fél dar tbal’hita chouri, mél cour’tela ha’ttè sar’oua’lou… !
-‘…Ma femme que D ieu ne ment sépare, sans elle je sis mort, je ne suis rien du tout, Jojo mon fils le dernier a eut une diarrhée carabinée à l’école, il a pollué son cartable, son pantalon…. !’)
-‘Sa’rrou jeddah… ?’
( Ses cheveux aussi....?’
‘..Ma’ti’la marti, qa’lou’lè béch djib l’ècolage, nes’ta’qom ou nâa’de’mèm el li’youd eh’dou mé yar’fouch ra’bi e’nè fél choumage ou i teb’you khnanè el mess’nouq dfél chomage ( je n’en peux plus de rire ) …m’né’yen en ji’bèl’lèm lécolage in yadin yekh’laq bou’hèm, Chya’dou hmouyè, 85 ans, je’tou qatra fel nya’ch mé’lè qam yeqèl, houttè ââli, Mraïma martou mou’iè bssa’qa, jé’boulè l’ambulance béch ye’jouè yet’leou bss’aqa mé’lè iyè qif ché’fè’tèm, eh’dou les pompiers khé’ffèt ou arbèt… ! Mnih qolli mou iyè bssa’qa qui’ffèch qa’mét ou tkha’bet’lèm fèl knif ye Breitou… ??
(Mathilde, ma femme, on lui a demandé de payer la cotisation de mon fils, que je les critique et je les plains ces juifs impies qui courent derrière la morve d’un pendu en chômage … ! D’où vais-je apporter cet argent, juron, Chyadou mon beau-père, il a eut un infarctus durant la nuit mais il a pu se lever quand même pour manger, 5X5, Myriam ma belle-mère, l’handicapé du pied s’est senti mal on a appelle les pompiers… A leur vue, elle s’est levée de peur et elle s’est enfermée dans les toilettes… ! Mais Breitou… ? Comment a t’elle fait pour marcher… ?
-‘…Mnè’yen narèf a’la ra’ba eh’nè… ! Mnih é’chbiq qââ’yad tech’qili bél jmââ’ya eh’dou, mé’na’téq mél oui’dén taht fouk zebi, fel flou’qa ou jit tgar’gar ââliyè….. ?
(D’où j’en sais, juron… ! Mais dis-moi comment se fait t’il que tu me racontes sur ta famille, moi je t’ai sauvé du fleuve et tu es tombé sur mon zizi …sur ma barque et tu geins avec moi….. ?’
-‘ Mou enti qo’tli béch nah’qi’lèq, hqit’lèq, ou qâ’âd tloum ââ’liyè…. ?’
(Mais tu m’a dis de te raconter, je le fais et là tu me fais des reproches… ?’
-‘Louqen aréft eh’dè qoullou qen en khè’liq togh’roq…. !’
( Si j’avais su cela, je t’aurai laissé te noyer…. !)
-Allaisch…. ? Bou zghar….. ? Ou mar’ti Ma’ti’la hab’lè…. ?’
( Pourquoi… ? Je suis un père de famille.. ? Et ma femme est enceinte…. !’
-Qif en’ti tarèf é’li bou zghar, ou mar’tèq ha’blè, el mout el hamra…. ! Ou fél chou’ma’je ou lqit oueq béch tar’mi él makh’yèt…Yè zebi…. ? Ou hmouq je’tou qatra, ou Mrei’ma bssa’qa arbèt, ou in yaddin él gdéb…. ? Allaish habit tar’mi rou’hèq mél qen’tra……. ? Yè qen’tra…. ?
( Comme tu sais que tu es père de famille, et que ton beau-père a échappé à un infarctus, que ta belle-mère s’est sauvée alors qu’elle ne marche pas depuis 78 ans, que ta femme est enceinte, et tu es en chômage, tu as trouvé le temps quand même d’engrosser ta femme….Yè Zizi… ???
Menteur que tu es… ! Pourquoi as-tu voulu te jeter du pont… ? Pont que tu es…. ?’)
-‘Mou chef’tèq mél byid, ha’bit nââ’mèl dou’lichè mââ’qom ye krou’da…. !’
(Comme je vous ai vu de loin et de là haut, j’ai voulu faire une promenade avec vous ….. bande de singes..…. !)
Breitou se lève…La barque tangue…
A suivre ?????
Gaston se lève aussi.
Les deux sont face, l’un à bâbord, l’autre à tribord.
Les animaux sont anxieux.
Roro est venu se poser sur les épaules de Breitou aux premières loges, pour mieux assister à l’étreinte qui ne va pas tarder…Il lui souffle
-‘…Vas- y chef… ! Ne soyez pas intimidé par sa carrure… !’
Apollon a prit le partie de Gaston…
Breitou à son encontre..
-‘…Ye nâieq… ! Ye Touyiba… !’
-‘…Hi HAN…Moi Gaston… !’
Vachette hésite et puis se décide aller vers Gaston..
-‘..Toi aussi ye Kah’ba…. ?’
Reste la chienne Lucette.
Gaston et Breitou la regardent…
Elle fait un pas vers Gaston puis….Fait marche arrière et va se placer sous les jambes de Breitou…
-‘…Merci ye qarda… ! Je t’aurai rasé entièrement si tu avais fais le mauvais choix… ! Salope… !’
Elle se lève sous ses insultes, hésite…
-‘...Ye Omri… !’ Chérie.. !’
Elle rebrousse chemin..
Nos deux antagoniste se toisent par un mauvais regard.
Ils préparent leurs poings.
La barque tangue de plus en plus belle.
Gaston fait un pas en avant.
Breitou en fait autant.
Gaston en fait un autre.
Breitou se positionne. Il se met en garde.
Gaston avance d’un demi pas et calcule la distance qui le sépare de son adversaire.
Breitou prend la défensive..
-‘…Eyjè….Eyje… ? Heine ye ingrat, tu es sur ma barque, je viens de te sauver la vie et tu veux te battre… ? Avec ton sauveur… !’
Une foule immense debout sur les berges attend avec impatience l’empoignade.
Une partie pour Gaston et l’autre pour Breitou.
On entend leurs encouragements….
Nos deux imbéciles sont à 1 mètre l’un de l’autre.
Gaston prend son élan et se lance…La barque par son poids envole se trouve durant qq secondes allégée et la voilà qui chavire.
Elle se retourne.
Roro, le conseiller s’envole par la peur.
Apollo le pd, l’âne se hisse sur le cul de la barque tandis que Vachette la salope,
S’agrippe à la queue de Apollo. Ce dernier d’une ruade l’envoie du côté ennemi chez Breitou qui lui dit…
-‘…Jit ye tahan ourrass din omok el qelba lemè en kheéliq togh’roq… !’
( Tu es venu entremetteur, sur la tête religieuse de ta maman que je vais te laisser couler… !’)
L’autre par la peur crotte mais de grosses crottes qui ressemblent à des bouées.
Gaston qui ne sait pas nager court vers l’une d’entre elle.
Il monte dessus, comme dans le film ‘…TITANIC.. !’ Mais sans l’artiste.
Et de ses bras, il rame. Breitou le voyant s’enfuir donne ordre à RORO son perroquet de le prendre ELIE-PORTE. Roro lui lance un filin.
Breitou s’agrippe et voilà nos deux amis survolant Gaston qui peine à avancer
C’ est çà dire que la crotte-bouée s’est transformée en mélasse. Elle se désagrège.
Sous le poids du phoque de Gaston. Il vise une autre mais là il tombe sur un crocodile de Scéne, le reptile tout heureux de le voir sur son dos aiguise ses dents blanches. Gaston prit de trouille fais signe à son ami BREITOU de le hisser à bord. Roro descend de qq mètres mais le BREITOU lui intime l’ordre de remonter Mais hélas, GASTON a prit le pied de BREITOU….Il sort de l’eu juste au moment où le croco ouvre sa large bouche pour l’engloutir. Gaston lui fait un bras d’honneur.
‘…Tu t’es lavée au moins les mains avant de t’agripper à moi, ye mez’rab…( pouilleux)
‘…Allaish âân’di sab’oun myaya éhnè… ?’
(Pourquoi j’ai du savon sur moi ???’
Et de lui donner un coup de pied sur la tête.
Gaston tombe sur Vachette qui essaye de regagner le large. Elle n’a aucun repaire. Pour elle, le Nord c’est le sud et vice versa.
Breitou et Roro, nos magnifiques héros survolent Paris.
Et Matignon surtout.
Raffarin les salut avant de démissionner.
‘…Tiens, il s’en va enfin… ! Dit Breitou. Il le fait monter près de lui et voilà comment les journalistes n’ont rien vu de la sortie de Raffarino. Il a été TROUILLE.
Vachette et Gaston voguent vers l’Estuaire de la Seine.
Ils ont prit un confluent, un raccourci.
Gaston est sur le dos de Vachette.
‘…Hue….. GADEM. ! Ye bagra huUUUUUUUUUUU… !’
Enfin, après trois jours quatre mois et cinquante deux journées mesurées avec un hectomètre de Magellan, ils arrivent du côte de Naples.
Là, il voit Suzy entrain de bronzer, lunettes de soleil, jambes de Lollo Bridge-Water couleur caramel, ils stoppent pile poil devant elle.
‘…Bonjour Suze, nous sommes venus de loin pour te rendre visite, tu n’as pas dés fois un CROTTON DE PAIN à nous donner, ça fait des années que l’on galère….’
-‘…Ye nâieq… ! Ye Touyiba… !’
-‘…Hi HAN…Moi Gaston… !’
Vachette hésite et puis se décide aller vers Gaston..
-‘..Toi aussi ye Kah’ba…. ?’
Reste la chienne Lucette.
Gaston et Breitou la regardent…
Elle fait un pas vers Gaston puis….Fait marche arrière et va se placer sous les jambes de Breitou…
-‘…Merci ye qarda… ! Je t’aurai raser entièrement si tu avais fais le mauvais choix… :! Salope… !’
Elle se léve sous ses insultes, hésite…
-‘..Ye Omri… !’ Chérie.. !’
Elle rebrousse chemin..
Nos deux antagoniste se toisent par un mauvais regard.
Ils préparent leurs poingts.
La barque tangue de plus en plus belle.
Gaston fait un pas en avant.
Breitou en fait autant.
Gaston en fait un autre.
Breitou se positionne. Il se met en garde.
Gaston avance d’un demi pas et calcule la distance qui le sépare de son adversaire.
Breitou prend la défensive..
-‘..Eyjè….Eyje… ? Heine ye ingrat, tu es sur ma barque, je viens de te sauver la vie et tu veux te battre… ? Avec ton sauveur… !’
Une foule immense debout sur les berges attend avec impatience l’empoignade.
Une partie pour Gaston et l’autre pour Breitou.
On entent leurs encouragements….
Nos deux imbéciles sont à 1 mètre l’un de l’autre.
Gaston prend son élan et se lance…La barque par son poids envole se trouve durant qq secondes allégée et la voilà qui chavire.
Elle se retourne.
Roro, le conseiller s’envole par la peur.
Apollo le pd, l’âne se hisse sur le cul de la barque tandis que Vachette la salope,
S’agrippe à la queue de Apollo. Ce dernier d’un ruade l’envoie du cotè ennemi chez Breitou qui lui dit…
-‘…Jit ye tahan ourrass din omok el qelba lemè en kheéliq togroq… !’
( Tu es venu entremetteur, sur la tête religieuse de ta maman que je vais te laisser couler… !’)
L’autre par la peur crotte mais de grosses crottes qui ressemblent à des bouées.
Gaston qui ne sait pas nager court vers l’une d’entre elle.
Il monte dessus, comme dans le film ‘…TITANIC.. !’ mais sans l’artiste.
Et de ses bras, il rame. Breitou le voyant s’enfuir donne ordre à RORO son perroquet de le prendre ELIE-PORTE. Roro lui lance un filin.
Breitou s’agrippe et voilà nos deux amis survolant Gaston qui peine à avancer
C’ est çà dire que la crotte-bouée s’est transformée en mélasse. Elle se désagrège.
Sous le poids du phoque de Gaston. Il vise une autre mais là il tombe sur un crocodile de Scéne, le reptile tout heureux de le voir sur son dos aiguise ses dents blanches. Gaston prit de trouille fais signe à son ami BREITOU de le hisser à bord. Roro descend de qq métres mais le BREITOU lui intime l’ordre de remonter Mais hélas, GASTON a prit le pied de BREITOU….Il sort de l’eu juste au moment où le croco ouvre sa large bouche pour l’engloutir. Gaston lui fait un bras d’honneur.
‘…Tu t’es lavés au moins les mains avant de t’agripper à moi, ye mez’rab…( pouilleux)
‘…Allaish âân’di sab’oun myaya éhnè… ?’
(Pourquoi j’ai du savon sur moi ???’
Et de lui donner un coup de pied sur la tête.
Gaston tombe sur Vachette qui essaye de regagner le large. Elle n’a aucun repaire. Pour elle, le nord c’est le sud et vice versa.
Breitou et Roro, nos magnifiques héros survolent Paris.
Et Matignon surtout.
Raffarin les salut avant de démissionner.
‘…Tiens il s’en va enfin… ! Dit Breitou. Il le fait monter près de lui et voilà comment les journalistes n’ont rien vu de la sortie de Raffarino. Il a été TROUILLE.
Vachette et Gaston voguent vers l’Estuaire de la Seine.
Ils ont prit un confluent, un raccourci.
Gaston est sur le dos de Vachette.
‘..Hu….. ! Ye bagra huUUUUUUUUUUU… !’
Enfin, après trois jours quatre mois et cinquante deux journées mesurées avec un hectomètres de Magellan, ils arrivent du côte de Naples.
Là, il voit Suzy entrain de bronzer, lunettes de soleil, jambes de Lollo Bridge-Water couleur caramel, ils stoppent pile poil devant la grande star.
‘…Bonjour Suze, nous sommes venus de loin pour te rendre visite, tu n’as pas dés fois un CROTTON DE PAIN à nous donner, ça fait des années que l’on galère….’
Les historiens de l'art antique ont émis l'hypothèse que les sculpteurs donnaient, avant la pose, un produit de contrebande à leurs modèles mâles.
BEN Péné tu en sais des choses !!!!!!!
Albert prends du tippex et efface tout signe de reconnaissance compromettant !!!c simple !enfin ! et ce ne sera pas perçu comme une censure !!!
SUITE DU SKETCH.....LE SUICIDE RATE DE GASTON III....