Par Meyer (Meyer) le lundi 08 août 2005 - 22h17: |
Albert tu devrais donner les références de tes citations et emprunts (sans intérêts).
Par Lza (Lza) le lundi 08 août 2005 - 21h31: |
pas de nouvelles ni de mamili ni de breitou !!!
2 solutions : soit le sac que lui a donné breitou etait tellement lourd qu'elle galere encore ds le metro , soit hltekh menai !! et il l'a enfermé ds sa cave !!!
Par Albert (Albert) le lundi 08 août 2005 - 22h06: |
'...Ye ouldi fél déniè ehdi, le téch'mââq lè qlèm martéq....oullè qlme martéq...Louliniyè mogh'îara ouel téniè hassou'diya..!'
'..Mon fils dans ce monde n'écoute ni ta maman ni ta femme, la première est jalouse et la seconde envieuse...!'
Par Albert (Albert) le lundi 08 août 2005 - 21h38: |
Tawfiq,
J'en connais qui ont fait couler du PLOMB pour se désenvouter des FUMIGENES....Bon ce n'est pas SAINT PLOMB comme tu le dis si bien ni ST CHRISTOHE c'est plutôt ST FEJ'YA qu'ils ont tous pris mes noirs, c'était un attentat à LA PUANTEUR....Je ne te dis pas la TAKHBILA qu'il y a eu...CORDON SANITAIRE, RUES ET RUELLES BARREES,
interdiction de stationner sur un périmètre de 500 métres... J'ai voulu sauver ma voiture mais en vains, les CRS m'ont dit qu'elle sera dédomagèe au cas où elle subirait un CHOC...
Et pourtant elle a eut un choc PSYCHOLOGIQUE LA MAGHBOUNA.....
-Mamili, je t'avais préparè un couffin de cadeaux mais comme je le vois, tu n'as pas tenu parole, je vais l'offrir à la malienne d 'Elsa....
Par Toufiq (Toufiq) le lundi 08 août 2005 - 19h48: |
alors,ils ont pete les plombs a cinq plombs ,a cinq plombes.pour les automobilistes il y a st christophe et pour les usagers du metro il y aura
saint plomb.
tout comme a st cloud on va faire gaffe aux cinq loups.
Par Latitesse (Latitesse) le lundi 08 août 2005 - 12h38: |
Un court circuit !! ça arrive souvent ça dans le métro? La peur qu'ont dû avoir les gens !!
Par Mamili (Mamili) le lundi 08 août 2005 - 10h30: |
Houlalalalalallaalaa !
On se lache au PITIBI !
Jano ne t'inquiéte pas ! je ne viendrai pas en aout (fin de séries soldes et nanard....)
Dés que la nouvelle collection sera en rayons fais moi discrétement signe.
Mais si tu peux jeudi améne une perruque même afro !
(papili n'a pas beaucoup voyagé)
LaTitesse ? tu prends des cours chez TravElsa ????
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Par Albert (Albert) le lundi 08 août 2005 - 08h22: |
Suite à mon flash spécial de ce Samedi,
c'est un court-circuit qui a fait naitre un début d'incendie dans la station CINQ-PLOMB....
Par Latitesse (Latitesse) le dimanche 07 août 2005 - 22h58: |
Le culot, elle vient avec son énorme sac à roulettes Gucci (une splendeur), mais kelle indiscrétionnnnnnn cette Mamili, j'aurais pas cru.
Et après elle va filer chez Elsa pour la faire enrager sur les cadeaux d'Albert !!!
Par Albert (Albert) le dimanche 07 août 2005 - 22h29: |
Toujours et encore attendez le jour où vous viendrez tous chez moi....
Par Latitesse (Latitesse) le dimanche 07 août 2005 - 21h47: |
Meyer, expert en viagra tu es devenu, toi?!!?
La Douda chercheur de bigorneau ?!!?
Voila à quoi vous vous occupez pendant que Breitou prépare la fête... que Mamili a enfin trouvé le plus grand couffin de Paris pour, mine de rien, aller voir Albert , genre te déranges pas j'ai un petit sac...Que Elsa travaille comme d'hab...et que Michka garde un sourire angélique pour propos angéliques...
Breitou on rigole grave ici, chez vous... parce qu'on s'y sent chez soi
Par Douda (Douda) le dimanche 07 août 2005 - 16h32: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
De notre envoyé spécial : Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !
Investigations de GouletteInfo pour le compte de Michkoubidou.
On ne le dira jamais assez, l’incident du 29 juillet dernier à PotoPoto fut une occasion rêvée pour certaines personnes pour assouvir leurs désirs peu catholiques. Sous un prétexte sécuritaire fallacieux, racket, passage à tabac, arrestation arbitraire et séquestration sont le lot quotidien d’innocents citoyens.
L’une des dernières victimes en date est Mamadou S., 40 ans, commerçant domicilié à Rambato dans la commune de Potopoto. Vendant non loin de son logement, Mamadou s’approvisionne au marché de Kolaba à chaque épuisement de son stock.
C’est ainsi que le 29 juillet dernier à 11h, il décide d’aller faire ses achats à Kolaba. Après avoir empoché le montant nécessaire aux articles qui lui manquaient, le jeune commerçant juge nécessaire de marcher au lieu de prendre un taxi. Arrivé à hauteur de l’immeuble qui abrite l’école privée , il trouve 3 hommes en uniforme et leur chauffeur habillé en civil. Ils l’interceptent en s’adressant à lui en ces termes : « nous avons pour mission de contrôler tout individu qui nous semble être un suspect depuis l’attentat contre le président. » Surpris, Mamadou sort sa carte d’identité qu’il tend aux agents.
N’ayant pas trouvé un alibi pour défaut de pièce d’identité, les hommes en uniforme lui intiment malgré tout l’ordre de s’embarquer dans leur voiture de marque Toyota Starlet de couleur blanche, (la victime, sous le choc, n’a pu retenir le numéro de série de la voiture). Après cet ordre, il proteste et dit ne pas comprendre pourquoi on veut l’emmener malgré qu’il ait présenté sa carte d’identité.
Les agents lui répliquent que s’il n’a rien à se reprocher, il doit obtempérer pour les suivre à leur « état major ». N’ayant donc rien à se reprocher et devant le ton menaçant, le pauvre commerçant se résigne à prendre place à bord de la voiture pour une destination inconnue.
Après avoir pris donc place entre deux hommes en uniforme sur la banquette arrière, la voiture démarre en direction de Bambeto puis Kipé. Le jeune homme prend véritablement peur lorsque la voiture dépasse la Brigade Anti Criminalité qu’il croyait être sa destination. Et à chaque fois qu’il pose la question de savoir où on l’emmène, ses ravisseurs lui rétorquent de la boucler. Arrivée à Kipé, la voiture prend la direction de Nongo. Peu après le carrefour, Mamadou, pris de panique, crie au secours à un endroit où se trouvait la police routière. Alors, les agents indélicats lui administrent de très violents coups, le blessant légèrement à la lèvre supérieure.
Après cette correction, les agents expliquent au jeune commerçant qu’il avait intérêt à rester calme et à ne chercher surtout pas un secours. « Ils m’ont dit si tu cries au secours personne ne viendra à ton secours, car les gens vont penser que tu es un bandit que nous avons appréhendé puisque nous sommes en tenue militaire», a témoigné la victime. Et d’ajouter : « ils m’ont dit aussi qu’ils peuvent me tuer et me mettre dans le coffre pour me jeter dans la nature ».
Alors cette explication convainc Sylla à se soumettre entièrement. Il se remet à Dieu. De Nongo, la voiture traverse Contéah pour reprendre la transversale No 3 avant d’aboutir à Coza, puis à la cité OBK où les agents demandent à leur victime, qu’ils avaient fouillé minutieusement, de choisir entre sa vie et la somme de 300 000 Fcfa qu’ils venaient de lui dépouillée.
Après avoir choisi la première option, le jeune commerçant a été éjecté par terre par ses ravisseurs qui s’exprimaient en langue nationale maninka. Liberté recouvrée, Mamadou se dirige tout droit vers la police routière de Matoto, laquelle l’orientera vers la gendarmerie de Yimbaya où il a été auditionné.
Ayant constaté l’état quasi traumatisé de la victime, les gendarmes lui ont remis le transport lui permettant de regagner son domicile. Agents de sécurité ou bandits déguisés comme tels ? Dans un cas comme dans l’autre, cette affaire prouve, s’il en est besoin, que le ministère de la sécurité doit balayer devant sa propre porte avant celle des autres. Autrement dit, les responsables de ce département devraient exorciser leurs propres démons avant de s’en prendre aux hommes politiques, journalistes et autres défenseurs des droits de la personne humaine.
Qu’on se le dise,,, !
Wnessou El Douda