Par Albert (Albert) le mardi 23 août 2005 - 15h35:

Mam'ili...? T'es arrivèe ou pas??? Je suis sur des charbons ardents....?

-Val alors et tes noeuds de têtes de turcs..????
Raconte, envoie nous une ou deux fotos comme celà vite fait....??? Rien que pour voir la tronche de tes orteils bronzès...???? Ye Hlouè...

-Elsa...? Tu baignes dans l'huile...??

-..Tawfiq tu as deux phrases sur Adra et depuis tu t 'es tû...??

Par Albert (Albert) le mardi 23 août 2005 - 08h52:

Pour Bazouka,

'§§§§§....SAAAAAALMAAAA..YEEEE SAAAALAMA....§§§§...OUINEQ YE SALAMAAAA..§§§§....

Par Breitou (Breitou) le mardi 23 août 2005 - 08h51:

Shira, je vais 'Sk aïe per'...Promis...

Par Mr_Jano (Mr_Jano) le mardi 23 août 2005 - 08h49:

'..Va,bronze, amuse toi et reviens..'!


R.M.

Perso,j'attends vos retours avec impatience.
Sans vous j'ai comme l'impression d'être 'assfour' sans ailes...!

Je ne signerai rien, j'ai pas de procuration....

Par Mamili (Mamili) le mardi 23 août 2005 - 00h27:

Ca y est la valisai bouclée ....
...je sais ca va vous faire des vacances ....
Mais vous allez me languir!!!!!!
On se fait une virée le 25 Aout c'est l'anniv d'Elsa (on vous racontera)
Val .... n'oublie pas !sois sage !!
Zaza éclate toi !cool la vie cool !
Girelle fone moi (télé rabais)
Glib? Apollon ? c'est grec ?
Péné surveille jano et dis nous si on passe les photos "Marina" ?
Meyer que penses-tu de la photo de " l'inconnu???"
Jano ! ne signe rien !faut que j'étudie ce dossier !

Bonne fin de vacances à tous les autres
Kisss au 5 Septembre SDV.

Par Albert (Albert) le mardi 23 août 2005 - 00h53:

Par Breitou (Breitou) le mardi 23 août 2005 - 00h47:

Yoshua fils de Baron et Myriam,fille d'un spécialiste du coeur se rencontrent par hasard dans le quartier du MARAIS à Paris.....Il a 17 ans , elle 16 ans.

La seconde est très pieuse tandis le fils du Baron tombe, grâce à la jeune fille dans la foi.

Il retrouve sa judaicitè....

Il tombe très malade...Après 7ans d'amitiè pure et sincére...

VOUS LIREZ 'YOSHUA' au début de l'annèe 2006.....Ce sera la plus longue nouvelle jamais écrite par mon ami Albert...

Voici un bout de ce roman inédit...Il est à la correction...


'...Il est suivi à l’hôpital de Neuilly par le plus grand professeur du moment.

A la yechiva de la rue Cadet, on s’est aperçu de son état.
Mais par pudeur personne n’en parle. Même le Rav Liberman ne lui en parle plus. Tout se passe comme si rien n’a change. Yoshua par moment s’assoit pour se reposer. M. HAI Cohen est toujours prés de lui.
Myriam n’a pas change de place.
On a l’impression que le décor est resté immuable après son année d’absence.

Trois années s’écoulent.
Yoshua est promu adjoint financier auprès de son père.
Il assiste aux assemblés ordinaires de la grande banque et se déplace à l’étranger
pour contrôler la bonne marche des affaires de son géniteur.
Des missions qui ne durent que deux ou trois jours.
Sa relation avec Myriam n’a pas changé.
Elle est à son plus haut niveau. Ils sont très épris l’un pour l’autre.

Yoshua a 28 ans. Myriam 27ans.
Un soir M. Le Baron, en présence de Madame la Baronne…Lors du souper.

-‘…Yoshua…. !’
-‘…Oui père… !’
-‘…As-tu pensé à quelque chose d’important à part ton travail…. ?’
-‘…Je devine votre pensée, vous voulez que je prenne femme n’est ce pas ???’
-‘…Décidément, tu ne les devine pas tu les lis sur mon front… !’
-‘…Vous voulez que je convole en justes noces et que me proposez-vous… ?’
-‘…Ce que nous proposons, tu l’as …’ Dit Madame La Baronne.
-‘…Pourquoi cherchez si loin une cousine insipide ou un quelconque lien parentale alors que tu as Myriam…. ?’

Yoshua sent monter en lui une très forte émotion.
Il retient ce sentiment tout en ajoutant.

-‘…Nous n’en avons jamais parle.. !’
-‘…Mais il est temps de lui en parler… !Voyons… !’ Acquiesce Madame la Baronne.
-‘…Vous croyez que….. ! Dans mon état et avec ce que j’ai, elle va… !’
-‘…Mais enfin cher fils, as- tu demandé ce qu’elle pense ???? Renchérit M. Le Baron.
-‘…J’y ai pense mais ma maladie me freine… !’
-‘…Allons… ! Allons…. ! Nous sommes heureux par cette jolie jeune fille qui prend de l’age et toi aussi d’ailleurs alors il est temps d’en parler… !’ Réplique la maman.

Yoshua se lève et va se pencher vers sa maman pour l’embrasser.

-‘…Merci… ! Vous me rendez encore plus heureux…. !’

Yoshua ne va pas tarder à en parler à son amie….Deux jours plus tard alors qu’ils chevauchent dans la campagne.

-‘…Myriam… ?’
-‘…Oui… ! Yoshua… !’
-‘…Penses-tu que ma maladie soit.. !’
-‘…Il n’y a pas de maladie en toi, il y a un état qu’il faut gérer avec soin… !’
-‘…Myriam je veux t’épouser… !’

Myriam arrête son étalon.
Elle met pied à terre..

-‘…Pardon, je ne voulais…. !’
-‘…Descend Yoshua… !’

Il descend…

Elle lui prend son visage entre les mains et là contre toute attente, elle lui colle un baiser magistral sur les lèvres. Un autre puis un autre au point que Yoshua
n’en croit pas ses lèvres.

-‘…Tu as … !’
-‘…Chut, D ieu est occupé ailleurs, je le devine, il n’a rien vu… !’
-‘…Dans ce cas… !’

Il répond à son baiser par un autre baiser et tous les deux sombrent dans un long baiser langoureux…

-‘…Tu penses qu’il nous a vu… ?’
-‘…Qui…. ? …. D ieu… ?’
-‘…Non, notre suiveur…. ?’
-‘…Il est parti pour toujours, nous avons grandi Myriam… !’
-‘…Je le veux, Yoshua…. !’
-‘…Même avec ma mal… !’
-‘…Comme tu es, pour le meilleur sans le pire… ! Je ne crois pas pouvoir aimer
aussi fort quelqu’un d’autre que toi, même la torah est passée en seconde position…. ! Alors tu vois… ! Mais tes parents…. ?’
-‘…Ils ne trouvent rien à redire… ! Je pense qu’ils seront heureux… !’
-‘…Dans ce cas, je te laisse le soin de faire le nécessaire… !’
-‘…Nous le ferons ensemble et nous aurons beaucoup d’enfants, n’est ce pas Yoshua… ?’
-‘…Oui, nous remplirons la terre… !’
-‘…Ahahaahah… !’

Myriam informe ses parents des intentions du jeune homme.

-‘…Je te l’avais dis Roger que cela finira par un mariage… !’
-‘…Oui, combien de temps va t’elle vivre son bonheur…. ?’
-‘…De quoi parles-tu…. ?’
-‘…Du condamné, que lui reste t’il comme temps à vivre…???’
-‘…Comment peux-tu dire cela, Roger… ?’
-‘…Regarde la réalité en face bon sang…. !’
-‘…Mais depuis quand un bonheur se compte en terme de temps… ?’
-‘…Tu le comptes comment toi le temps… ! Par coudées… ?’ Ironise Roger.
-‘…Tu divagues Roger… ! Tu perds même le sens de la mesure, je pensais
que tu attendais cela avec impatience et voilà que tu soulèves un problème auquel personne ici n’y avait pensé… ! Ta fille est seule dépositaire de son choix et je ne pense pas que tu puisses, dans tous les cas, freiner cette union.. !’
-‘...Tu es donc d’accord…. ?’
-‘…S’il n’était pas malade tu aurais accepté en dansant la carmagnole mais comme Yoshua est malade tu danseras tout seul, tu viens de m’énerver et tu sais, je vais te faire une confidence, ce jeune homme nous l’aimons à deux ok…. !’
-‘…Vous êtes deux contre mon opinion… !’
-‘…Myriam sera déçue si elle apprenait ton sentiment, pourquoi n’as-tu rien dis lorsqu’elle nous l’a annoncée… ?’
-‘…Je…. ! Eeee.. !’
-‘...Balbutie si tu veux et l’histoire se rappellera de ton bégaiement……. !Je monte dormir … !’

Au Château, alors que Yoshua et ses parents dînent.

-‘…Je ne me sens pas bien, père… !’
-‘…Que se passe t’il…. ? Yoshua… !’
-‘…J’ai mal aux jambes… ! Des fourmillements intenses… !J’ai comme l’impression que mes jambes ne répondent pas… !’
-‘...Attends… !’

Le papa se lève et se penche pour masser les mollets de son fils…

-‘…Essaye de te lever Yoshua…. !’ Dis le papa tandis que la maman se lève pour assister son mari.
-‘…Je ne peux pas, j’ai le sentiment que je n’ai plus mes pieds… !’

A suivre....

'....

Par Albert (Albert) le mardi 23 août 2005 - 00h03:

"....A chacun sa Goulette ..."

C’est quand la moitié du monde s’endort que j’enfourche mon cheval "Idée"pour sillonner les autoroutes de mon bonheur.Les voies sont libres surtout les weeks-ends. Je n’ai pas une seule monture dans mon haras, plusieurs d’entre elles attendent que je les monte. Assis sur mon "Idée", harnaché comme un "Bouchadia", je galope au hasard. Le vent du souvenir caresse mon visage et l’odeur marine pénètre mes poumons. Les panneaux s’illuminent sur mon passage et les sorties défilent sous mes yeux "Nostalgie","Écoles","Amis","Sport", "Nos Familles","Hier","Aujourd’hui" "Histoires drôles"...etc..... Je bifurque et choisis l’une d’entre elles.

Je descends de ma jument , l’attache à un mûrier et pénètre dans la cour de......

" MON ÉCOLE A LA GOULETTE"

"....Écoles et lycées, loin de France

Que j’ai connu dans mon enfance

Fréquentés dans mon adolescence

Je m’en souviens encore.......

"D’Alexia ,Gaspary et Sandali

Mes maîtres , ou à l’âge petit

A lire et à écrire m’ont appris

Des fables , contes et poèmes

Ingurgités avec délice ......

Et que de vassaux et seigneurs

Rois , reines, dauphins et bonheur

Vivants dans leurs donjons aux ponts levis

A comploter et guerroyer avec envie.

Ils font toujours partie de ma vie.

Oh ! Vieille terre de France

Que je lis encore sans cesse

Et tout appris de sa noblesse.

Je n’ai rien omis de ta belle histoire,

De ta gèo écrite au tableau de l’espoir......'

A cette époque , il fallait avoir 6 ans révolus pour prétendre à la scolarité. Né en Février 45, j’étais scolarisable pour l’année 1951.-plus exactement le 1/10/51.Ce jour là, ma mère m’habillait de neuf.J’ignorais où j’allais, mais je pressentais quelque chose de louche.Tout enfant j’était scotché à ma grand-mère, ma tante Poupée et mon oncle Jo.
Quitter du jour au lendemain ce cadre familiale me serait difficilement supportable. Chemin faisant ,ma mère m’expliqua qu’elle allait m’inscrire à l’école. Je ne comprenais pas. Etais- je devenu si insupportable que ça pour que l’on me "chasse de la maison"? Arrivé devant le portail gris, j’aperçois plusieurs mamans flanquées de leurs pleurnichards de rejetons. Cela me remonta le moral. Je ne suis donc pas seul sur l’autel du sacrifice! Ma mère se plaça dans la file. Ce qui était au début une longue saucisse bien ordonnée et disciplinée se désarticula quand le portail s’ouvrit vers les 8 heures. La "horde" s’engouffra pêle-mêle dans la cour et s’aligna devant le bureau de monsieur Pendariès (yeksef chibibou), dont la renommèe avait largement dépassée le canal de la Goulette. L’attente est longue. Quand arrive notre tour, le préposé aux inscriptions annonce sans honte et sans vergogne et en bon français :

"Mesdames ,la liste est close "

Mme Bellaiche (par dessus l’épaule de ma mère):

"Ouallia ...." (pauvre de moi....)

"Qu’avez -vous ...... dites madame? questionna le préposé .

"J’ai dit rien.......Ouallia.....chè tout...!"

"Je ne comprends pas ce langage....madame...!" conclura "l’inscripteur".

Ma mère "Nous aussi , on ne comprend pas non plus pourquoi nous avons attendu tout ce temps là....pour rien....!"

Le régisseur (refermant son dossier)

"Revenez nous voir l’année prochaine..!"

Une femme avant de partir :

"Yarrak kbar ou jebbènè...."

(Que tu sois une tombe dans un cimetière)

Margot la marchande de breikhs :

"Amin...Aminette bèchkhout Abraham ou Ishak....."

(Amen et ....minette.....selon la volonté d’Abraham et D’Issac).

Je n’irai donc pas à l’école cette année là....!A suivre......

Par Albert (Albert) le lundi 22 août 2005 - 23h58:

KRAM

Par Val (Val) le lundi 22 août 2005 - 23h48:

vive la biafineeeeeeeeeee
je suis cramee
bisous

Par Albert (Albert) le lundi 22 août 2005 - 23h19:

Par Albert (Albert) le lundi 22 août 2005 - 22h51: