Par Albert (Albert) le dimanche 28 août 2005 - 11h05: |
Mes chers amis,
Après ce long discours ou se mêle fantasmes et conneries de notre huberlu la Douda,
il est temps de vous dévoiler la véritè car la Douda essaye de noyer le 'chouchi' en détournant votre attention sur des flactuances de mauvais gouts.
Tout a commencè il a presque trois ans sur le choix d'un pseudon, ni sur le bors Léman ni sur le canal de la Goulette mais ici à Paris pas loin du quai Valmy.
Nous nous étions mis d'accord pour rentrer à tour de rôle sous le pseudo de Cacaboulou.....
Seulement Mr La Webmaster a jugè la consonnance mal approprièe.J'en parle avec le Douda et il me repropose Boulou tout court sans le 'préfixe Caca'...
Pourquoi insist'ais-je à ce qu'apparaisse Cacou.....Et bien parce que je suis parent à la famille Kakou...De MARSEILLE, celle qui nous a donnè le célèbre imitateur de 'Madame Sarfati'.
Donc rentre hommage à ma belle soeur Michelle Z'al d'une part et à son frère Elie Z'al tous deux décèdès à un an décart environ, en faisant figurer leur nom de famille. Pas plus que celà.
Il s'en ai suivi entre nous, la Douda et Moi, une altercation par télèphone par la suite.
Nous avons en fin de compte et sous le patronnage de Mr Jaco 'QDLG' convenu que nous partagerons les écrits sous le pseudo de Cacouboulou, une fois lui un efois moi.
Donc Cacouboulou 1 en conclusion c'est lui et moi c'est Cacouboulou roi de Matmata.
Avant la Douda écrivait ses policiers sur le PTB or je lui ai interdi cet éspace pour la bonne raison que mon image de marque se trouve chaque jour un peu plus écorchèe par ses scabreuses histoires....Nous en sommes venus à ne plus nous parler. Voila;;;
'..Le respect de la véritè bien dite vaut mieux que mille mensonges en véritè....!' . Con ficus.
Cacouboulou roi de Matmata.
Par Douda (Douda) le dimanche 28 août 2005 - 10h33: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
De notre envoyé spécial : Toubab Fartas : Faits divers à PotoPoto,,, !
Investigations de GouletteInfo sur le Gang des yakouza de PotoPoto
( Commandité par Latitesse ) !
Selon les informations officielles que GouletteInfo vient de recevoir des services d’immigration de Tokyo, parallèlement à l’arrestation de Sieur Cacouboulou arrêté par la faute de deux traficants (événement que nous vous relations dans l’une de nos éditions précédentes) Sieur La Douda., originaire de PotoPoto, est lui aussi tombé dans les mailles de la police métropolitaine de Tokyo le 23 août 2005 à Saginomiya, nouveau fief nippon du Goulettois Albert Siméoni, dit Bébert La Sardine.
Cette information a été corroborée à GouletteInfopar Sieur Wnessou doyen des traficants de PotoPoto vivant dans le pays de l’Empire du Soleil Levant, puisqu'il a été, selon lui, témoin de l’arrestation.
Interrogé par GouletteInfo sur les circonstances de l’arrestation de Sieur Cacouboulou à Saginomiya , Sieur La Douda nous affirme que les conditions d’arrestation de notre compatriote sont pitoyables. Aux alentours de la gare de Saginomiya, qui est souvent entourée de policiers pendant les heures de pointe, Sieur Cacouboulou. fut appréhendé par deux agents qui lui réclamaient sa carte de séjour.
N’ayant pas de carte de séjour, ou du moins celle-ci étant périmée («over stay», comme disent les officiers d’immigration nippons dans leur jargon habituel), il leur montrera sa carte consulaire. Aussitôt, La Douda demandera aux agents de montrer leur carte de police pour s’assurer qu’il s’agissait bien de policiers, puisque selon lui, beaucoup de jeunes Japonais, se faisant passer pour des agents d’immigration qu’ils ne sont pas en réalité, extorquent aux étrangers leurs biens, avec la bénédiction de Sieur Bébert Siméoni dit “ La Sardine “, arnaqueur et racketeur notoire.
Il faut toutefois noter que cet acte indigne est rare au Japon, puisque le peuple nippon est connu pour sa bravoure et son honnêteté dans le travail. Mais sait-on jamais, surtout que le fameux Bébert La Sardine s’y est installé à la tête d’un gang de yakousa faux policiers arnaqueurs et raketeurs?
Pendant que La Douda discutait avec la police, par peur de se voir arrêté par celle-ci, Cacouboulou a pris la fuite. Pourchassé par les agents, il tombe dans une rivière située non loin de là, et se casse une côte, nous confie le La Douda . Face à la gravité de sa blessure, La Douda demande expressément aux policiers d’appeler une ambulance afin que le blessé soit transporté d’urgence à l’hôpital. Au moment où nous mettions sous presse, La Douda nous informe que Cacouboulou est actuellement en soins intensifs à "Daichi Biyoyin", un hôpital situé à Itabashi, avant d’être transféré dans le centre de détention provisoire de Tokyo, où beaucoup d’autres coreligionnaires séjournent actuellement.
Comme promis et suite à la demande formulée par de nombreux lecteurs, GouletteInfo revient sur les péripéties ayant conduit à l’arrestation de Cacouboulou au Japon le 23 août dernier. La Douda et Wnessou., accusés à tort ou à raison et Breïtou sois disant grand frère du détenu et noyau central du contentieux nous ont confié en exclusivité leurs versions des faits, qui restent, faut-il le dire, bourrées de contradictions dont nous vous laissons le soin d’apprécier. Bonne lecture!
Cacouboulou 1er. De Matmata (accusé): « Bébert Siméoni et moi avons été des partenaires pendant quatre ans. Lorsqu’il venait de commencer, ses affaires ne marchaient pas du tout, c’est ainsi qu’il a sollicité le partenariat avec moi, puisque, selon lui, je détenais des qualités en matière de commerce qui pourraient nous être profitables tous les deux. À l’époque, je n’avais pas de papiers, ainsi dans ce partenariat toutes nos affaires ont été mises à son propre nom.
Au départ, j’ai essayé avec ma petite expérience dans les affaires, de faire une promotion de notre entreprise (King’s) pour attirer la clientèle. J’organisais des soirées dansantes sponsorisées par notre entreprise avec mes amis japonais dans presque toutes les régions du Japon, où j’effectuais des démonstrations de danses. Au cours de ces soirées, colorées de nos banderoles, nous distribuions nos cartes de publicité, contenant nos offres en matière d’habits Hip-Hop. Il faut souligner que lors de nos différentes promotions, je suis même passé à la télévision Japonaise à cause de mes activités liées à la danse. Il fallait donc mettre cette occasion à profit pour faire davantage la publicité de King’s. À ce niveau l’argent était nécessaire pour celui qui sait combien coûte une fraction de seconde de passage sur l’une des chaînes de télévision Japonaises.
Pour réussir dans cette promotion, au moins 2.000.000 de Yens (environ $ 19.048 US) étaient nécessaires. Bébert (La Sardine) promit donc de me payer cette somme pour la publicité de King’s après ma prestation à la télévision Japonaise, malgré que nous soyons des partenaires. Mais voilà, il refusa de me payer cet argent, et de promesse en promesse, il ne me l’a toujours pas payé. Il me laissait seulement entendre que lorsque nous aurions beaucoup d’autres profits, il essayerait de me rendre l’argent. Les différentes promotions ont abouti à un boom de nos affaires. Partout on parlait de King’s au Japon; nous avions fait beaucoup de bénéfices à l’époque.
Ainsi, vu l’augmentation de la demande, nous avons ouvert une autre boutique à Takasaki, sous ma responsabilité. Pour signer le contrat, il fallait investir beaucoup d’argent, que je n’ai pas hésité à sortir d’ailleurs. J’ai mis plus de 5.000.000 de Yens (environ $ 47.619 US) de mes fonds propres pour que cette boutique soit ouverte sans avoir pris le soin de lui faire signer un papier, puisque la confiance existait très bien entre nous ( Tu parles d’un Yakousa ce Bébert !). Mais, par mesure de sécurité, puisque je savais qu’en matière d’argent, en fin de compte, il y a toujours des problèmes, j’enregistrais toutes nos conversations (Ainsi j’exhibais un dictaphone qui contenait la voix enregistrée de Bébert le Yakousa NDLR).
La boutique de Takasaki fut alors ouverte et toute notre clientèle se dirigea vers là-bas, à cause de moi. Ainsi, celle qu’il gérait n’arrivait même pas à vendre une somme de 100.000 Yens (environ $ 952 US) par jour alors que celle de Takasaki pouvait vendre entre 500.000 à 600.000 Yens (environ 4762 $ à 5714 US) par jour.
Il n’en revenait pas, et à chaque fois, après le travail, bien que nous nous soyons entendus pour que je lui envoie le montant de la recette journalière par fax, il m’appelait toujours pour me demander: «combien avez vous vendu là-bas aujourd’hui?» Je lui ai toujours dit que les professionnels ne travaillent pas comme ça, qu’il devait donc attendre le fax, comme convenu. Et à chaque fois que je lui disais le montant, il n’en croyait pas ses oreilles, puisque la différence était énorme entre leur recette à Tachikawa et la nôtre à Takasaki.
Ainsi, commença une jalousie sourde de sa part, puisqu’il était sûr de tout perdre à mon profit, vu le rendement sur le terrain. Je suis tombé subitement malade. Quand j’étais à l’hôpital, il est venu me dire qu’on ne travaillerait plus ensemble et qu’à ma sortie de l’hôpital de ne plus mettre les pieds à la boutique, sans se soucier de ma maladie! J’aurais rendu l’âme, si je n’étais pas fort de caractère.
Avant que je ne sorte de l’hôpital, le fameux Bébert procéda au changement des clés du magasin ainsi que du stock, pour m’empêcher de gérer mes propres biens. Mais Dieu merci, je me suis très bien rétabli et lorsque je suis sorti de l’hôpital, je suis allé reprendre tout mon stock de marchandises à Takasaki et attendre que ma femme accouche (puisqu’elle attendait un enfant) pour réclamer mon argent.
Au moment où je vous parle, je suis titulaire d’une autorisation d’admission dans une université américaine depuis l’année dernière. Je n’ai pas pu m’y rendre par manque d’argent, car il faut laisser l’argent pour les frais de la famille ici et payer les d’études, puisque je compte me spécialiser en cinématographie (et d’exhiber sa lettre d’admission à l’université de Harvard NDLR).
C’est pour cette raison que je me suis rendu à Takasaki pour réclamer mon argent dans un premier temps. Ce jour-là, son jeune apprenti Yakousa Savané et lui m’ont sérieusement malmené. C’est au cours de cette dispute que son apprenti a percé ma main avec un stylo et lui en personne a appelé la police. Mais, quand la police est arrivée, je n’étais plus sur les lieux.
Ainsi, il a donné ma photo et mon numéro de téléphone aux policiers en leur disant que je lui dois plus de 10.000.000 Yens (environ $ 95.238 US). J’ai répondu à la convocation des policiers et je leur ai donné ma version des faits. Ces derniers furent surpris d’ailleurs après que je leur ai brossé les faits tels qu’ils se sont passés, car ils ne pouvaient pas comprendre comment quelqu’un qui doit un tel montant puisse s’exprimer avec tant de cohérence, précision, lucidité et objectivité.
J’appelais souvent Savané, mais il refusait de prendre mes coups de fil. J’ai donc décidé d’aller le voir dans sa boutique à Tachikawa, d’où il était absent. J’ai poliment demandé à son jeune frère où il se trouvait, ce dernier m’a répondu: «Suis-je son père?» Je lui ai dit que je ne suis pas venu pour me battre avec lui, mais juste pour savoir où se trouvait son grand frère. Alors, j’ai appelé ce dernier et je lui ai laissé un message pour lui dire que je l’attendais dans sa boutique.
Mais cela n’était pas du goût de Bébert Siméoni ( La Sardine), qui voulait que je quitte les lieux. Là, on s’est chaudement disputé, et puisque le poste de police se trouve à moins de 10 mètres de la boutique, les policiers sont venus intervenir. La première chose qu’ils nous ont demandé était de montrer nos cartes de séjour, ce que lui n’avait pas. Il a clairement indiqué aux policiers qu’il était en séjour irrégulier depuis deux ans, c’est ce qui fait qu’on l’a automatiquement arrêté…… »
La Douda (accusé): «Je vous remercie tout d’abord de l’opportunité que vous m’offrez de m’exprimer sur votre site. Je tiens à vous signaler que contrairement à ce qui a été rapporté ici, je n’ai jamais eu de bagarre avec Bébert (le détenu) depuis le 24 décembre 2004, et je n’ai pas non plus appelé la police pour l’arrêter. Mais il a eu des histoires avec Wnessou, moi j’ai essayé seulement de les séparer, séparation au cours de laquelle la police a intervenu.
Effectivement, je travaillais dans une des boutiques de Bébert à Tachikawa, une ville située à côté de Tokyo. Mais, puisqu’il avait fait venir tous ses jeunes frères pour s’occuper de ses affaires, il avait décidé de me licencier, ignorant comment il s’était attaché à mes services au départ. Pour réussir son coup, il fallait trouver un alibi, c’est ce qu’il a fait en racontant des mensonges sur moi devant les gens, me traitant de voleur, alors que c’était contraire à la réalité. Je partageais un appartement avec l’un de ses frères.
A mon insu, les deux prenaient le stock de marchandises et le mettaient dans ma valise pour prouver aux gens que j’étais impliqué dans une malversation contre eux, puisque je n’avais pas de papiers en ce moment. Ce manège continua pendant un bon bout de temps. Et un beau matin, alors que j’arrivais au travail, il me dit qu’à partir de ce jour, je suis licencié, sans aucun préavis. Croyant qu’il blaguait, je n’ai pas pris ses propos au sérieux.
Étant conscient qu’il pouvait abuser de ma situation, puisque je n’avais pas les papiers de séjour, et surtout parce que c’est lui qui payait la maison que j’habitais, selon les clauses du contrat de travail qui nous liait. Il ne me tendit même pas mon salaire du mois d’ailleurs puisque, s’il me licenciait à ce moment-là, j’allais sortir immédiatement de la maison et resterais sans abris, chose qui ne le dérangeait point.
Je lui ai dit de me donner au moins le temps de trouver un appartement avant de me mettre à la porte, mais c’était mal connaître ce petit monsieur (Bébert). J’ai appelé les compatriotes à Takasaki pour me loger, aucun d’eux n’a accepté. Mais je me suis débrouillé pour trouver un logement temporaire ailleurs, histoire de régulariser mon problème de papier.
Après plusieurs tractations donc avec Bébert ce jour là, il appela la police pour procéder à mon arrestation en leur disant que je suis en séjour irrégulier. Je réussis à prendre la fuite, ce qui m’a sauvé de justesse. Je suis resté caché jusqu'à ce que je finisse de régulariser mes papiers pour revenir réclamer mon salaire.
Peut-on imaginer dans ce pays qu’un compatriote appelle la police contre son proche pour l’arrêter puisque ce dernier n’a pas de papiers? Bébert nous l’a fait et ses propos le confirment! Jugez-en donc!
Pour revenir à l’arrestation de son jeune frère, j’ai croisé Cacouboulou à la boutique de Bébert, qui était apparemment absent. Celui ci après avoir salué son jeune frère, lui demanda où se trouvait son grand frère, et lui de rétorquer : "Suis-je son père?" Cacouboulou appelle alors Bébert au téléphone et lui laisse un message sur son répondeur.
Pendant leur discussion, Cacouboulou s’adresse à M. Savané en ces termes: «c’est toi qui a percé ma main à Takasaki avec un bic (Cacouboulou s’était disputé avec Savané et Bébert à Takasaki, dispute au cours de laquelle sa main fut percée par M. Savané NDLR). Je jure la main sur le coeur que je n’ai pas appelé la police, et Bébert non plus. Mais vous n’êtes pas sans savoir que dans ce pays, dès qu’il y a une bagarre, lorsque la police arrive, la première chose qu’elle demande, c’est la carte de séjour, que son jeune frère n’avait malheureusement pas. C’est pour cela qu’il a été arrêté, et je ne peux en aucun cas être tenu pour responsable de son arrestation, contrairement aux affirmations de certains individus mal intentionnés.
Je n’ai rien à voir avec le détenu, toutefois, j’exige que son grand frère me paye mon argent, c’est-à-dire mon dernier mois de salaire (210.000 Yens) plus 300.000 Yens représentant l’avance du loyer que j’ai payée pour l’ancien appartement que j’habitais avant qu’il me fasse sortir pour le rejoindre. C’est tout ce que je demande…».
Bébert La Sardine (accusé): «La Douda et Cacouboulou travaillaient dans ma boutique, mais, lorsque j’ai constaté qu’ils ne faisaient pas le travail comme cela se devait et surtout qu’ils volaient les recettes, sans oublier le stock d’habits, étant donné que je les payais, je les ai tous les deux licenciés sans aucun préavis. Pour le cas particulier de Cacouboulou, c’est un garçon que j’ai recruté par le canal d’un yakousa du nom de Sabishi et qui travaillait avant dans l’un de mes magasins. Quand ce dernier a bénéficié d’une prime d’encouragement de 500.000 Yens (environ 4752 $ US) cela a impressionné La Douda, qui me demanda alors de l’embaucher, puisque, pour lui, j’accordais un traitement décent à mes employés. Finalement, j’ai fini par le recruter par le canal de Sabishi. Comme nos affaires marchaient bien à ce moment-là, nous avons jugé nécessaire d’ouvrir un magasin de vente à Takasaki, une ville située à 120 kilomètres de Tokyo.
Et avant d’ouvrir cette boutique, il fallait faire un contrat de bail avec les propriétaires et les agences spécialisées. Le jour de la signature de ce contrat, il est venu avec sa femme pour que cette dernière figure parmi les personnes qui se portaient garantes, c’est à dire un ami japonais du nom de Junishi et moi-même.
Mais les propriétaires des lieux n’ont pas voulu associer sa femme, puisqu’elle ne leur inspirait pas confiance, et qu’elle pratiquait le commerce charnel, dans une maison spécialisée de Tokyo. Le contrat fut donc signé à mon nom et celui de mon ami Junishi. La boutique de Takasaki fut ouverte sous la responsabilité de Cacouboulou, qui avait toute ma confiance au départ. Mais, voilà! À un moment donné, Cacouboulou commença à dire à tout le monde qu’il a ouvert sa propre boutique sous l’auspice de sa femme japonaise, chose qui était fausse.
Devant cette situation et surtout qu’il ne faisait pas le travail comme je le voulais, d’autant plus qu’il sortait le stock d’habits et le revendait ailleurs et empochait cet argent, j’ai jugé nécessaire de le faire quitter de ma boutique. Je précise à ce niveau que je l’ai informé de cette décision muni de son salaire au moment où il était hospitalisé.
C’est à partir de là que commença notre mésaventure, car à l’en croire, étant dans son lit de malade à l’hôpital, donc moralement faible, il ne pouvait pas imaginer que je puisse le licencier de cette manière. Ainsi, à sa sortie de l’hôpital, il alla prendre tout le stock de marchandises, d’une valeur de 13 millions de Yens (environ 123.810 $ US ) à Takasaki. Et il jura de me mettre en faillite en brisant toutes mes affaires ici au Japon et de surcroît, me séparer de ma femme, une Japonaise avec qui je suis légalement marié et avec qui j’ai des enfants.
Pour s’adonner à sa sale besogne, il commença à envoyer des lettres anonymes par fax à ma femme par l’intermédiaire de sa femme, en disant à celle-ci de se séparer de moi puisque mes parents m’ont trouvé une femme au pays. J’ai eu de sérieux ennuis avec ma femme à l’époque, mais, elle a fini par comprendre qu’il s’agissait d’un scénario orchestré par La Douda et Cacouboulou pour ternir mon image vis-à-vis d’elle et briser notre foyer.
Pour en venir à l’arrestation de mon jeune frère Savané, La Douda et Cacouboulou ont attendu que je m’absente pour venir provoquer mon jeune frère, puisqu’ils savaient qu’il n’était pas en règle, afin qu’il soit arrêté par la police. Ils sont d’ailleurs arrivés à leur fin, puisque mon jeune frère se trouve actuellement détenu.
Selon ce que les témoins m’ont dit, ils sont venus s’attaquer à mon frère et aussitôt appeler la police, puisque la première chose que cette dernière demande, c’est la carte de séjour, et que mon frère n’en possédait malheureusement pas. C’est ainsi que ce dernier fut arrêté, alors qu’il n’avait pourtant rien à avoir avec notre histoire. Ils connaissent tous les deux mes coordonnées, pourquoi ne sont-ils pas venus s’attaquer à moi au lieu de s’attaquer à un innocent?
En ce qui concerne Cacouboulou, lui aussi comme je le disais tantôt était un de mes anciens employés et je l’ai licencié pour les mêmes raisons que La Douda, c’est à dire vol de stock. Après plusieurs constats de vol dans la boutique, j’ai jugé nécessaire de me passer de ses services aussi. Cela s’est passé un beau matin, 15 jours avant la fin du mois.
Je lui ai remis son salaire afin qu’il quitte le travail, chose qu’il ne voulait pas entendre. Après une dispute, je lui ai dit que s’il ne quittait pas les lieux, j’allais appeler la police pour nous départager. Il est resté intransigeant sur sa position. C’est ainsi que j’ai effectivement appelé la police, qui est venue intervenir.
Mais, puisqu’il n’avait pas les papiers, pendant ma conversation avec les policiers, il a dit qu’il allait acheter de la cigarette, les policiers ne voulaient pas le laisser partir. Je leur ai dit de le laisser aller acheter la cigarette. Il en a profité pour s’enfuir.
Quand il a réussi à régulariser sa situation administrative, il m’a déclaré une guerre farouche, disant aux gens qu’il ferait rentrer tous mes jeunes frères à PotoPoto, puisque ces derniers sont sans papiers. Pour cela, il alla menacer mon jeune frère Savané un jour à Takasaki pour se venger de moi. Il a fallu l’intervention des gens pour le persuader que ce n’était pas une bonne manière de procéder.
Très énervé, il est retourné chez lui, et c’est pour cette raison que j’ai fait transférer mon frère à côté de moi pour le protéger. Il est important de signaler à ce niveau que l’ancien consul de l’ambassade de PotoPoto à Tokyo, M. Touré et le doyen des concitoyens du Japon, Wnessou étaient intervenus pour résoudre notre différend.
Sans succès. Puisqu’il disait que je lui devais de l’argent, je lui ai demandé de jurer la main devant ceux-ci, s’il était sûr que je lui devais réellement de l’argent. Il ne l’a pas fait. Donc, M. Touré et Wnessou en ont déduit que c’était du mensonge. Pour clore tout cela, je dirai que je ne dois rien à personne, ni de près, ni de loin, et malgré que mon jeune frère soit arrêté, je m’en remets àla Justice…».
Aux dernières nouvelles, les autorités de l’Ambassade de PotoPoto à Tokyo ont été saisies de ce carabiné problème, et ont fermement promis de convoquer toutes les parties impliquées dans cette affaire peu catholique pour laver le linge sal en famille. Espérons-le, car cette rocambolesque affaire n’honore pas du tout PotoPoto!
Aux dernières nouvelles, et suite à la chakchouka crée par toutes ces déclarations indémêlables, les tribunaux nippons ont condamnés tous les protagonistes de cette affaire si compliquée, et leur ont laissé le choix, entre laver leur honneur en se faisant Harakiri, ou à l’expulsion assortie d’un bannissement de dix ans vers. PotoPoto,,,
Comme ces chenapans sont tout sauf des hommes d’honneur, c’est bien entendu vers la deuxième solution que leur choix s’est orienté,,,
Qu’on se le dise,,,!
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le dimanche 28 août 2005 - 10h35: |
Tu es matinale à ce que je vois, assise sur le bout de ta branche....! Tu gosilles comme un rossignol encore un bien et bon refrain de Fugain...? C'est celà....?'
Par Michka (Michka) le dimanche 28 août 2005 - 01h24: |
Ne fais pas comme Damoiseau
Qui persifle sans cesse Damoiseau
De piques et de flèches Damoiseau
Mais nous l'empêcherons, le Damoiseau, d'hurler plus haut.
Par Breitou (Breitou) le samedi 27 août 2005 - 22h40: |
Hahahahaha !!!!!
Latitesse
Que de beaux vers en ta gorge/Sucrés tel un sucre d'orge /Sermonner notre damoiseau …. ?/D'ôter toute inconvenance/En respect de la bienséance /Et chérir ces lieux gracieux
Où festoient belles précieuses. De Michka.
Quelle belle langue de miel
Qui font sonner orge et gorge… !
Pourquoi pas aussi de la Sauge ????
Ou Maubeuge….. ?…Feuj…. ?
Pour punir le Fantojanos….
Vous rimez contre lui…. ?
Lui reprochant d’avoir outragé ces belles reliques déplacées au pays du lait et du miel… ?
Il est votre il est notre celui que
Vous sous-entendez sous le sobriquet de damoiseau.. !
Charmant qui se langui de vos absences….. !
Votre dévoué madame….
Par Latitesse (Latitesse) le vendredi 26 août 2005 - 15h37:
En un peu plus imagé
Pour les gants que tu ne veux pas mettre pour la reine Elsa
Bara zamar Albert
Non vous ne vous êtes pas trompée c’est bien le mot que disait souvent votre mari Raph…Z’al aux chat … !
J'sais pas l'écrire et j'espère que je ne me trompe pas de motttttttttttttttttttttttttt
Par Latitesse (Latitesse) le vendredi 26 août 2005 - 14h33:
Tu persistes, tu ne veux pas mettre de gant,
Voila qui n'est absolument pas élégant.
Tu oses avec arrogance l'affirmer,
Alors que, en ton cher Petit Théâtre,
Se pressent des femmes belles et aimées
Qui de ton talent, les folles, sont idolâtres.
Albert, voyons, ce sont de divines reines
Que tu te dois de traiter en souveraines.
Madame de Latitesse, je dois tenir mon rang.
Parfois, il est vrai je doute de mon élégance
Incompétence..??? Mais sans enfreindre la bienséance comme le dit la poupée russe Michka.
L’arrogance ne sied qu’aux gueux.
Je le conçois aisément, ces très belles damoiselles ont dépassé l’age du hamac depuis mille et cent ans.
Elles trottinent cahotantes, avec grâce, bonheur et honneur
Les dessus des planches de lumière. Même lorsque je suis en dessous,
Le spectacle est féerique, plein de chaleur.
Goujat que je suis, je les aime aussi avec leurs talons
Et autres accessoires.
Par Michka (Michka) le vendredi 26 août 2005 - 13h19:
Jano a dit :
"Michka, je trouve que tu chantes bien.
Vraiment....Si tu allais jardiner brass omok....!
Bêcher....! Hein..? Il doit faire soleil chez toi....! Non???? Jano.
Et Michka te répond :
Attendu, Attendu ???
Et je ne suis pas venue !!!
J'étais selon tes recommandations
Cueillir quelques ronces
Qui serviront de semonces
A ton délicat langage
Que tu fais de mes bavardages.
Dans mon jardin d'acclimatation
Je réponds..
Entends tu… ? Entends tu… !!!!
Cela ne fut pas Satan...!
Le diable ne s’attend. Ni s’entend.
Vous étiez selon mes affirmations,
Parmi vos fleurs. Je le conçois et comprends.
Bien courbée sous le Frimas du temps,
A ramasser des orties pour en faire des tresses de couronnement.
Serais-je donc sacrifie à l’hôtel… ! Du Tfledlig… ???
Le Printemps est toujours en vous.
Vous me faites penser à cette fleur rare et vénusienne
Sans être Vénitienne
Du nom de Michkacouette.
Elle ne se fane jamais
Même sans être arrosée.
Par Mr_Jano (Mr_Jano) le vendredi 26 août 2005 - 23h01: |
Michka t'étais pas par hasard dans le JARDIN DES PLAINTES????? Non.???
Par Albert (Albert) le vendredi 26 août 2005 - 22h51: |
Et Latitesse qui se vêt en Vert zedah..Ou Bara Amar zeddah.... Où sur le colline....?
Ahaha et bien elle en prend de la gaine notre Latitesse nationale...
Par Breitou (Breitou) le vendredi 26 août 2005 - 21h37: |
Décidement,il suffit que je m'absente quelques heures pour constater que mes CHATTES s'en donne à coeur joie encore que Mam'ili et Elsa sont forts connues passe encore pour la Latitesse en pleine ru...tience....reluisante mais là où je suis surpris même Baba pour un Bébert c'est la Michka qui nous fait des vers sublimes pouri....re....!
Je vais aller me rahbiller mais plus tard, sans doute dimanche ou Lundi j'affute mon glaive sur le champ car nul d'entre vous ne restera impunie.
Je vous offirai mes fleurs car vous êtes toutes des ronces mais bien polies et si délicates...
Vous me piquez comme des matadors sur un toro vieillissant et presque un genoux.
Mais je vous fais la confidence, j'aiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIImmmmme....§§§§§
ASTA LA VISTA...AMIGOS....
Par Latitesse (Latitesse) le vendredi 26 août 2005 - 19h44: |
Mam,
Tu te tais sur la plage de rêve, l'appartement
digne de toi, et les folles soirées...
POURQUOI??????????
Par Mamili (Mamili) le vendredi 26 août 2005 - 18h38: |
hello tlm chabbat chalomlekoulam
gravele clavier
heureusement qu on a les infos fraiches par Girelle
bisous a tous
MAMILI
Par Michka (Michka) le vendredi 26 août 2005 - 17h47: |
Hahahahaha !!!!!
Latitesse
Que de beaux vers en ta gorge
Sucrés tel un sucre d'orge
Sermonner notre damoiseau
D'ôter toute inconvenance
En respect de la bienséance
Et chérir ces lieux gracieux
Où festoient belles précieuses.
Par Latitesse (Latitesse) le vendredi 26 août 2005 - 15h37: |
En un peu plus imagé
Pour les gants que tu ne veux pas mettre pour la reine Elsa
Bara zamar Albert
J'sais pas l'écrire et j'espère que je ne me trompe pas de motttttttttttttttttttttttttt