Archive jusqu'au 08/septembre/2005

Discus: Le Petit Théâtre de Breitou: Archives 2005: Archive Septembre 2005: Archive jusqu'au 08/septembre/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le jeudi 08 septembre 2005 - 07h23:

Images, rattachements et clipart
Code Description
description Quand vous postez le message, le système vous demande un fichier image à transférer. Les images doivent être soit en GIF, soit en JPEG (JPG). Les images doivent être sur votre disque dur. Votre navigateur doit supporter le téléchargement depuis un formulaire (Netscape Navigator 2.0+ et Internet Explorer 4.0+ le supportent. IE 3.02 le supporte, si vous avez installé le patch correspondant).
Insère un clipart (voir l'index de clipart)


Exemple
Saisie : Voici une image : mon image et un petit sourire : .
Résultat : This is a picture of me: and I smile like this: .

Notez que le graphique "Your Image Here" sera remplacé par l'image que vous téléchargerez.


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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 08 septembre 2005 - 08h48:

Donc Lalla,

N'écoutez pas la gorniye, après avoir mis \image vous ouvrez une accolade donc \image
{... ( sur la même ligne )


Demain la suite, ne faites pas confiance à Mam'ili ,elle vous induit en erreur...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mamili (Mamili) le mercredi 07 septembre 2005 - 23h05:

Janoooooooooo comme elle est claire ton explication à Lalla !!!!!!!
Lalla avec ca vous allez être reporter baroudeuse!!!!

Lalla voilà l'explication clairement donnée par Meyer le pro de la bande
vous faites aprés votre texte :
\image
{mes images}
mais vous les mettrez sur la meme ligne ok?
vous prévisualiser puis vous envoyer ensuite vous aller sur "parcourir"choisir votre photo et vous transferer !
et ca marche si votre photo est en jpeg!!

Jano !Elsa a failli casser sa souris comme Lalla elle essayer de clicquer sur" your image"
je ne dis rien sur les soussiennes à cause de Lalla qui est Nablia comme Péné et Moi...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 07 septembre 2005 - 21h24:

Lalla...AWEDAH A LA PUISSANCE MILLE....


Bon écoute brass elli âj ââliq...

T fais \

D'abord.

Ensuite tu écris dérrièrre image...


Fais ca d 'abord et en verra la suite....Dis le moi ici...Merci, voilà un exemple... exemple.....\image

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Latitesse (Latitesse) le mercredi 07 septembre 2005 - 19h21:

Lalla, pas de problème, on l'adoooore le Jano

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le mercredi 07 septembre 2005 - 16h41:

Breitou
toi tu as montre beaucoup de patience pour moi!dis moi s-t-p comment je fais pour voir:your image here;ca reste comme c'est et je rale de ne pas decouvrir ce qu'il y a derriere...
merci

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 07 septembre 2005 - 08h38:

Mam'ili,

Jamais je ne censure.Je me prends pour qui.....!'

Tu a oubliè le mode de fonctionnement, c'est tout.

B.Journèe.R.M.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Latitesse (Latitesse) le mardi 06 septembre 2005 - 20h22:

Bon OK, Jano tout va bien...envois nous des
messages de ta colline

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mamili (Mamili) le mardi 06 septembre 2005 - 19h19:

VAZY jANO FAIT TARZAN !!!!!raccroche toi aux branches !!!!
Ca marche plus !!!!
La photo de mon avis de recherche ne te concernait pas !!!et tu l'as censurée !!!
outrée je suis outrée !!!!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 06 septembre 2005 - 21h27:

Il souleva sa belle crinière pour découvrir une très jolie nuque soutenue par une belle charpente; sa colonne vertébrale. Il remarqua ses épaules gracieuses et son buste de sportive quand elle se déshabilla. Le praticien l'invita à s'allonger et tout en lui faisant quelques exercices appropriés, il eut tout loisir à contempler ses belles jambes et surtout ses seins, bien retenus par un balconnet. Marie-France remarqua l'insistance du regard du médecin sur son anatomie. Il poursuivait ses massages pour diagnostiquer son mal.
Un quart d'heure plus tard, elle se releva, s'habilla sous l'œil prévenant de Ridha qui lui prescrivit quelques onguents.

'….Une image de scanner serait cependant bien appropriée lors d'une prochaine visite au cas où les douleurs persisteraient. Mademoiselle...!'

Lui dit- il…..Puis sans hésiter outre mesure….

-'Mademoiselle…..! Je….!'
-Oui……..! Quoi donc…! '

-'…Me serait-il possible de vous rencontrer en dehors de mon cabinet…..?'

Marie-France, légèrement troublée par cette demande et ne voulant pas paraître impolie, lui remit le numéro de son portable sans sourciller. A toutes fins utiles.
Elle se leva, serra la main de son docteur et tout en sortant, adressa un discret baiser, mimé, à sa copine, qui lui rendit la pareille.

Elle regagna son studio, s'assit un instant sur la moquette tout en se massant du côté du cervelet.
Elle informa son père de sa visite médicale, par téléphone.

Il était 19 heures lorsqu'elle entendit la clef tourner dans la serrure de la porte. C'était son amie Chung qui rentrait de son travail. Elle s'allégea de son manteau devenu superflu, ôta ses talons, tout en accrochant son sac sur le porte –manteau. Elle salua sa meuf, poussa la porte de la salle d'eau pour couler son bain tout en enfilant une cape de bain pour cacher sa belle de nudité. Elle avait un corps à damner un diable en l'enfer.
Marie-France, pendant ce temps, était occupée à étudier un plan de vol; une nouvelle version artistique qu'elle devait présenter, dans le courant du mois avec ses camarades, lors d'un nouveau gala de haute voltige, quand elle vit sa maîtresse s'approcher vers elle, avec une démarche féline, les cheveux lâchés et le peignoir légèrement entre-ouvert, laissant découvrir deux belles cuisses légèrement bronzées. L 'échancrure de sa cape, à hauteur de ses seins, bien ouverte ajouta encore plus de volupté à son charme.

Marie-France leva les yeux, lui tendit les mains. Chung se mit à genoux sur la moquette, et tout en lui faisant face, prit ses paumes qu'elle porta à ses lèvres. Elle les baisa avec une infinie douceur.
Marie-France s'agenouilla à son tour. Les deux femmes se faisaient front. Devant le miroir. Chung passa ses mains sur les cheveux de sa concubine et, tout en les caressant, rapprocha son visage près de celui de sa maîtresse, toujours sous l'œil invisible et vigilant du miroir qui allait refléter leurs ébats. Marie-france, tout en libérant son corps de ses vêtements devenus inutiles, avança de quelques centimètres.
Leurs seins se frôlaient et leur nombril se juxtaposait. Elles s'enlacèrent sous de légers gémissements. Chung prit l'initiative, celle d'entre ouvrir les lèvres de sa belle amie, qui ne tarda pas à répondre à son chaud coup de fouet qui lui balaya son palais parfume. Leurs deux corps se contorsionnaient sous la pénombre de la chambre. Elles étaient prêtes à sombrer dans les spasmes de l'amour. Leurs phalanges se mirent en mouvement pour caresser coins et recoins sinueux. Sous l'œil du beau 'taffards-miroir', qui assistait pour l’énième fois à ce spectacle du péché, interdit par les gens normaux.
Elles faisaient l'amour avec des gémissements si aigus, que l'une d'entre elle, à tour de rôle, devait poser la main sur la bouche de l'autre afin de ne pas troubler la tranquillité du voisinage. Une frustration qu'elles contenaient mal. Jeux de posture, positions cent fois répétées, petites morsures sur le bassin, sur les fesses, sucements de bouts de fleurons, caresses sur le cou, baisers prolongès à proximité du pubis; Lèvres horizontales qui venaient lécher et laper goulûment des sucs débordants par d'autres lèvres chauves, calées à la verticale sous le bas du ventre; Ces petites chaires gorgées de miel et arrosées d'un bouillon de nectar au fumet divin dont elles se désaltéraient presque sous l'évanouissement.


A suivre… JEUDI ...III

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 06 septembre 2005 - 21h01:

Albert Simèoni
Récit.
Le 6/11/2003.

Les évènements précipités ici ne peuvent en aucun constituer un plagiat ou à une inspiration quelconque d'une œuvre passée ou récente. Tous les noms cités ici sont imaginaires ainsi que les faits rapportés.

Première chapitre.

Le Pacte

Les deux amis.

La séparation.

Ils n'étaient pourtant pas jumeaux mais seulement deux amis liés par une très forte amitié.
Nés presque le même jour, à une heure près, ils grandirent ensemble dans le même quartier, en Tunisie, à Ferry-Ville. (Menzel-Bourguiba)
Une paire d'enfant que le destin a mit sur son chemin.

La maternelle d'abord, puis l'école et le lycée ensuite, les avaient noués de plus belle. Même classes, même profs durant leurs courtes études.

Ces deux jeunes donnaient l'impression qu'ils étaient faits pour s'entendre, le restant de leur temps, de leur vie; à partager les mêmes épreuves, sans que personne ne puisse interférer dans leurs affaires.

Une amitié si forte, que certaines personnes mal avisées traduisirent cette union, comme une liaison dangereuse; pour de l'amour du péché. Il n'en était rien ; qu'une idylle amicale qui soulevait jalousies et médisances. Ils avaient les même compagnons mais pas de confidents. Les seuls confidents furent eux même Deux associés en sentiment qui partageaient leurs plus intimes secrets. D'enfance et d'adolescence. Cela le pouvait-il…? Oui, puisque les évènements qui s'en suivirent plus tard, confondirent mensonges et rumeurs. Ils étaient de vrais petits hommes avec des caractères presque semblables. Leur camaraderie avait pris l'allure d'une grande fraternité.
Mais la vie, malheureusement allait les séparer.

L'un ne pouvait 'vivre' sans l'autre. Quand l'un pleurait, l'autre suivait. La même émotion enfermée dans deux cages thoraciques différentes.


Jean-Pierre est catholique, Samir musulman. Ce qui est loin d'être un accident de la vie.
Beaux garçons, ils aimaient chatouiller les fesses des copines tout en riant et partager ensemble leur phantasme en allant jusqu'à jouir, dans l'air, sur la même fille de leur rêve.
Une seule fois, à l'age de l'inconscience, ils osèrent s'embrasser, tout en se masturbant comme s'ils voulaient échanger leur salive pour la vie. Un contrat salivaire; physique et moral. Ce fut leur seule et unique déviance.

Jean-Pierre était français. A18 ans, il reçut sa convocation militaire. L'appel sous le drapeau.
Apprenant cette mauvaise nouvelle, Samir, son grand ami, éprouva un chagrin fou. Son 'jumeau' devait s'expatrier en France, à Istres.

A suivre I….

Le jeune homme tomba malade de chagrin durant la semaine qui suivit l'annonce et Jean-Pierre fût à son chevet pour le réconforter, lui promettant surtout, qu'une fois son service militaire accompli, il reviendrait au pays, en Tunisie. '…..18 mois, ce n'est rien, ma foi….'Lui dit -il en guise d'apaisement. Mais Samir ne voulait pas l'entendre par ses oreilles sourdes. Il voulait partir avec lui, s'engager mais malheureusement Samir ne pouvait prétendre à cet honneur, en tant que tunisien.

Il s'en accommoda et la séparation se passa très mal.

Mais avant, ils se jurèrent fidélité simultanément en se piquant une partie de leurs index. Laissant couler une goutte de plasma, qu'ils échangèrent. Un serment du sang, bien connu. L'opération fut faite à la terrasse, dans une buanderie sombre. Leur secret ne devait être connu par personne.

Jean-Pierre embarqua sur le Mirabeau, navire destroyer quittant Bizerte. Sous le regard de son "frère' de sang. Un adieu déchirant, en présence de leurs parents respectifs, qui pleuraient à chaudes larmes, sachant pertinemment que la vie allait faire sans doute son œuvre. A l’insu de leurs enfants.

Les échanges de lettres avaient pris leur vitesse de croisière. Jean-Pierre, très disert, lui racontait tout dans les moindres détails. L'apprentissage et les conditions de vie, sur sa base, l'atmosphère qui régnait dans le mess des officiers. Les nouveaux amis.
Samir lisait et sa crainte augmentait de peur de perdre son confident. Avec ses nouveaux visages.

Six mois plus tard, les missives s'espacèrent jusqu'au jour où Jean-Pierre s'est-tu. Plus de nouvelles car les évènements de Bizerte allaient tout chambouler. Jean-Pierre fit partie de l'escadrille 'Honneur et Gloire ' qui décolla de la base de Sidi Ahmed pour aller bombarder les manifestants qui, sous l'impulsion de Bourguiba, allaient donner une dimension internationale à l'affaire que l'on connaît. 1000 morts et autant de blessés.

Samir âgée de 20 ans fut parmi les blessés graves. Il perdit un œil par des éclats d'obus. Jean –Pierre avait promis, quelques mois auparavant, de venir passer les fêtes de fin d'année auprès de lui mais hélas, les faits précipités plus hauts, ont vite fait de démentir son projet. La tension était si forte, que Jean-Pierre, ignorant que son ami d'enfance était devenu partiellement non-voyant, désenchanta.
Samir portait à présent une ornière à son œil gauche

Les années passèrent, et nos deux amis convolèrent en justes noces. Jean-Pierre se reconvertit en moniteur d'avion école tandis que Samir, professeur de français à Menzel-bourguiba ( Anciennement Ferry-Ville ) Puis au lycée Carnot de Tunis. Il était fort apprécié par ses collègues mixtes et par ses étudiants. Il prit pour épouse une jeune française, professeur de mathématiques. Elle devint madame Jambeau-Tounsi -Irène.

De leur union naquirent deux garçons. Mohamed Ridha et Noura.

Jean-Pierre de son côté, épousa une collègue de son régiment. Mademoiselle Dorothée Frijean de père colonel durant la guerre de Bizerte. Une fille du nom de Marie- France vit le jour à un certain printemps.

A l'horloge du temps, le temps refila encore.

Ridha, le fils de Samir, poussant ses études de médecine, s'installa à Marseille. Pas très loin de sa famille, restée en Tunisie. A une heure de vol. La porte d'à côté. Il était auprès du professeur Blanchard, célèbre neurologue à l'hôpital de La Timone. Ridha, étudiant très sérieux sortit major de sa promotion avec les félicitations du jury. Ce qui fit le bonheur de son professeur et de ses parents, venus expressément de Tunis, pour assister à la présentation de sa thèse.

Il décida de s'installer, son 'succès' en poche, dans un cabinet, une reprise, sur le cours LONGCHAMP, à quelques pâtes de l'appartement de deux pièces de Marie-France Lartigue, la fille de Jean-Pierre, l'ancien ami de sang de son père, Samir. Mais cela Ridha l’ignorait.

A suivre…….


Albert Simèoni
Récit.
Le 6/11/2003. ….

Seconde chapitre.

LE PACTE....


Marie-France.

Cette dernière, âgée de 25 ans, était une passionnée de saut en parachute. Son père l'avait initiée dés son jeune âge à ce sport de haute voltige. Elle participait avec un groupe à ces séances de figurines composées dans le ciel. Son père en était fier d'autant plus qu'elle était capitaine de l'ensemble. Chef de groupe. Très belle et distinguée, elle avait tout de sa mère; une dame issue de la vielle aristocratie. Un aplomb noble et une distinction de bon aloi. Célibataire où plutôt mariée avec sa passion. L'amour masculin ne l'ayant effleuré, qu'une fois. Ce fut le désastre. Et la rupture.

Le hasard, la solitude et sans doute la déception, lui firent rencontrer, une jeune femme. Secrétaire d'un médecin, sa cadette de 5 ans. Une liaison amoureuse impure allait commencer.

Ridha, de son côté, se sentait mal dans sa peau. Il prit la décision de changer de nom, car pensa t’il un nom arabe dans un pays français sonne mal, surtout dans sa profession.
Il avisa ses parents qui ne trouvèrent rien à redire. Leurs relations étaient au beaux fixe et il ne manquait jamais une occasion pour s'enquérir de leurs nouvelles. Il fit donc après mures réflexions les démarches nécessaires et quelques mois plus tard, sa nouvelle nomination tomba par un arrêté paru au journal officiel. Il devint par la même occasion, français. Ridha Tunsi, mais sans Mohamed. Tant pis pour les compatriotes laissés au pays. Après tout, sa maman est bien française. Alors en quoi aurait-il commit un impaire…!. Cet abandon de patronyme servirait ses intérêts. Il avisa ses parents qui ne.

Un jour, Marie-France se plaignant de douleurs cervicales à la tête auprès de sa maîtresse, lui conseilla, après une folle nuit d'amour, de consulter son patron. Ce qu'elle fit le lendemain matin.
Un rendez vous fut donc prit avec le praticien.
Une semaine plus tard, elle sonna et fut reçut par une secrétaire. Une très jolie femme asiatique aux cheveux très longs et noirs et au regard de braise. Une eurasienne, issue d'un père français ayant combattu en Indochine et d'une mère vietnamienne restée au pays.

Mademoiselle Chung Challand, sa maîtresse.

Marie-France fut donc introduite dans le cabinet du médecin, par sa concubine.

Dés son entrée, le médecin resta un bon moment à scruter cette belle créature sortit du Paradis et qui franchissait le sien. Il en oublia les questions les plus élémentaires de sa profession.

-'…Bonjour Mademoiselle..! Vous habitez le quartier Mademoiselle…heu…!'

Et n'ayant pas eut le temps de jeter un regard sur son calepin…
Elle répondit à sa place, le libérant de cette corvée.

-Marie-France…! Docteur…!'
-C'est la première fois que je vous vois…!' Lui dit – il gauchement..
-Bien…..! Nous venons de faire connaissance, et je viens pour des douleurs cervicales….Docteur…!
-' Ah …! Oui bien sur…!Voyons ça….!'

Il se leva, fit le tour de son bureau tout en prenant soin de se laver les mains avant de procéder au toucher de la nuque. Il se posta derrière la belle jeune fille, qui se laissa aller à ses tâtonnements....


A suivre le second chapitre....

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...LA SUITE DU PACTE....