Par Mamili (Mamili) le mercredi 07 décembre 2005 - 00h41: |
Merci Albert ! tu te donnes tant de mal !
Et tu vois la reconnaissance de l'ingrate ....
aprés le film, aprés, brasse jano fais nous le racapitulatif des bourdes de qui tu sais.Ca nous fera intermezzo.
Merci Jano
Par Albert (Albert) le mardi 06 décembre 2005 - 23h17: |
POUR LA COMPREHENSSION DU TEXTE..JE VOUS METS LES EPISODES EN BONNE FORME...
DEAMIN LES FOTOS...MILLES EXCUSES...
CA FAIT DOUBLE EMPLOI MAIS TANT PIS...IL Y A EU PERTURBATION..
15°
\
Reprise.....................
La traversée dure 6 jours avec escale à Naples…Un jour…
Enfin, le paquebot arrive en vue de la rade d’Alexandrie..
Une demi-heure plus tard, le palace flottant fait son entrée dans le port tandis qu’une foule indescriptible
habillée pour la plupart en jelabah, trépigne d’impatience devant des barrières de sécurité ; des grosses cordes retenues par des bittes.
Le navire jette les amarres..
Il accoste.
Une nuée de portefaix monte à bord par une passerelle à l’arrière du bateau.
Deux heures plus tard, tous les passagers en descendent et sont sur les quais.
Une cohue règne dans le port.
La chaleur est étouffante surtout.
L’air, est irrespirable.
Des diables vont et viennent sans arrêt. Une vraie ruche où l’anglais et l’Arabe se marient
pour enfanter des dialogues métisses entre autochtones et étrangers.
Un mini bus attend les membres de l’expédition à la sortie du port. Un chauffeur et trois hommes de main installent les bagages dans un gros camion.
M. Chaffard, le chauffeur, est détaché par l’Hôtel ‘…El Faraoun…’ pour convoyer les hôtes jusqu’à leur lieu de résidence.
Tout ce beau monde de scientifiques s’installe dans le premier mini- car qui démarre enfin suivi par le camion qui vomit une épaisse fumée noire par son arrière.
La traversée de la ville se fait malgré tout avec encombre tant la cohue est grande et surtout indisciplinée.
M. Chaffard use sans retenue de son klaxon.
Le centre ville d’Alexandrie ressemble à une fourmilière en perpétuel mouvement. Et surtout cet air irrespirable, mélange de poussière et d’air marin suspendu qui vous agressent les narines.
(Je ne connais pas cette ville, Alexandrie...J’en parle d’une façon imaginaire.
NDLR.)
Des charrettes à bras tirées par des indigènes au teint mat croisent des tombereaux tractés par des mules à défaut par des ânes, remplis à ras – le bord de toutes sortes d’objets hétéroclites. Des porteurs plient sous le poids de divers bagages, allant du grand couffin gonflé de victuailles, jusqu’au meuble usagé posé sur leur épaule.
Le portefaix est roi dans cette ville chargée d’histoire.
Le cortège arrive enfin à destination.
La smala descend de leur mini-car, tandis que de jeunes grooms, des noirs, habillés en ‘serwouel’ et de légères vestes brodées par des motifs artisanaux, se précipitent vers les nouveaux venus pour les alléger des diverses affaires qu’ils tiennent en main. Des porteurs poussant des diables sortis de nulle part, surgissent pour charger les malles installées dans le camion.
Le décor de l’Hôtel ‘… El Faraoun…’ est magnifique du dehors, bien avant que l’on franchisse le grand portail fait de bois clouté et ciselé de scènes relatant l’époque pharaonique.. Deux imposantes statues en stuc magnifiquement peintes, pharaons debout, dominent la grande entrée de l’édifice et semblent garder le fameux lieu mondialement connu.
Un carrelage de mosaïque, dans le hall d’entrée, représentant le SPHINX, surprend le visiteur par sa grande beauté et raffinement. On hésite à passer dessus afin de ne point écorcher ce magnifique tableau au museau cassé.
Des colonnes de marbre rose du Portugal tiennent les voûtes de ce palace bi-séculaire.
Des tabliers en marbre blanc semblent couler du comptoir de l’accueil.
Tout est parfait et surtout somptueusement décoré.
Des tableaux, signes Fame, sont accrochés sur les murs richement tapissés par endroits et attirent l’œil du visiteur conquis par des scènes de chasse, de l’antique égypte.
Nos aventuriers sont conduits dans leur chambre…Quelques minutes plus tard, les bagages arrivent.
L’ouverture des portes de la salle du restaurant ‘ CHEOPS’…Est prévu pour les 19 heures.
En attendant cette heure précieuse, nos valeureux chercheurs profitent de cette pause pour se décharger de quelques grammes de sueur séchée et autres surplus de mal aisance.
Tous les membres sont logés sur le même palier au 1er étage.
Le dîner se passe merveilleusement bien et il est surtout rehausse par un orchestre oriental et par une très belle danseuse, Samia Gamil, une étoile montante égyptienne.
(Je passe sur les détails)
La soirée touche à sa fin.
Le lendemain, Michka éprouve le désir de se balader dans les souks.
16 °
Meyer est pressenti pour chanter sur la scéne.
Il ne se fait pas prier alors que la Nao à déclinè l’offre d’Albert.
‘…Je ne vous mène pas en bateau.. !’
Paroles d’Albert.
Parlé façon rapp.
‘…Je ne vous mène pas en bateau…///….
Mais plutôt sur un paqueboOOOOt…//////
Avec des virages sur des chapeaux de roues
Sous mon chapiIIIIteau..////
La croisière n’est pas de tout repos.////
Les misères, il en faut sur cette scène posée sur des tréteaux.////
Pieds à quai. Ils nous restent à rouler en auto.////
A travers les dunes c’est pas rigolo ../////
Surtout assis à l’avant du capot..////
Oasis au loin.
Douars c’est certain..///
Nous attendent aussi une caravane de chameaux..////
Du Jacou qui se prennent pour des vaisseaux..///
On a bon dos.
Il va nous mettre le couteau.////
Sous la gorge en nous comptons leurs galops…///
Tout en nous soutirons nos p’tits sous…Faites Dodo….
Reprise..
SHIRA….La Degaza
Breïtounich et sa fille l’accompagnent.
Au matin, fins prêts, ils se rendent en taxi au souk dit ‘….Souk él Ferj…’
Ils déambulent, tout en savourant une glace, dans les dédales des ruelles engorgées de monde lorsque tout à coup, Michka se voit aborder par une dame vêtue en gitane…Elle se met à tournoyer avec grâce tout en chantant….
Breïtou….
§§§§§§§§§§§§§§…. D’où sort tu, gitaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAne… ?
Pour venir effrayer mon amiIIIIIIIIe ???
Toi que l’on craint ici et même à ParisIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIs… ?
Laisse nous savourer les souks d’AlexandriIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIe. ?????§§§§
Elle s’approche de Michka et lui caresse la joue , puis se retire tout en chantant..
(Sur un air connu..Esmeralda..Arrangement Albert.]
‘§§§§§….Je suis née dans les vallées des CarpAAAA…Ates..§§§§§§§
Je lis dans le présent et prédit l’avenir dans les carRRRRRRtes…§§§§
Je suis libBBBBBBBre dans mes lendemAAAAains..§§§§§§§
Donnez-moi votre main §§§§§
BohéEEEEmienne….§§§§§
BohéEEEEEmienne…§§§§§§§
Mon destin est écrit sur les cheEEEEEmins…§§§§§
Je suis orpheline, seule, dans la viIIIe…§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Et pourtant si jolie….§§§§§§§§§§§§§§§
Les gens, le jour me fuiIIIient
Me craignent dans les rues D’AlexandriIIIIIe…§§§§
Mais ils viennent tous me voir en secret, la nuit…§§§§§§§§§§§§§§
Je devine leurs angoisses et leur tristeEEEEEEEEEEEsse
Leur chagrin d’amour et ils pleurRRRRRRRent
Sur mon épaule de misèEEEEEEre
Je leur parle d’espérance…
Mais jamais de souffrance
Car je suis fille de l’errance…§§§§§
Bohémienne..
Bohémienne…§§§§§§§§
Elle s’arrête et vient vers Michka…
-‘….Je vois dans vos yeux, un trésor… !’
-‘…Mais qui êtes vous donc… ? Madame… ?’
-‘…Shira… ! Celle qui ne se trompe jamais dans sa divination, faites attention …. ! Le Clystère est dangereux…. !’
-‘…Mais comment savez-vous cela enfin… ?’
Elle a juste le temps de poser sa question que la jeune fille disparait dans la foule….
La dégaza s’est comme volatilisée…
-‘…Vous n’allez pas croire à ces boniments… ! Madame Michka… ?’
-‘…Je suis troublée…. ! Comment a t’elle pu deviner… ?’
Deux heures plus tard, ils regagnent l’hôtel.
Dans le hall…
Le lendemain matin vers les 7 heures, après le petit déjeuner, tout petit monde de scientifiques embarque dans le mini-car de la l’avant-veille........
Direction le désert de ‘…FOUMA…’ Aux confins de l’Egypte à 700 km d’Alexandrie.
Avec 4 arrêts.
Le chauffeur les avertis qu’ils seront pris en charge par un bédouin chamelier du nom de
El Mouraji….Dit Jacouminou pour les touristes, à environ 250 km de leur destination finale le Jbel ‘…Aïn HOQ’NA…’.
Le petit car démarre. 250 km plus loin, ils arrivent à ‘Aïn Fayoum’…Première halte.
Il est 15 heures et le soleil est brûlant. Le temps de remplir du gas-oil et de se reposer une demi-heure que M. Chafar klaxonne, donnant l’ordre du rassemblement.
18 heures. Arrêt à Bir-Omar. Repos et casse-croûte….Il fait une chaleur torride. Insupportable.
20 heures, le soleil décline. Il détache sa silhouette à l’horizon sous les grands palmiers de l’oasis de ‘...Chott-Mariam..’ Ils bivouaquent.
-‘…Demain, mesdames et messieurs… ! Nous quittons la route pour les pistes… ! Vous serez moins à l’aise… !’
La nuit se passe très bien, sous les tentes.
Ils ont parcouru plus de 450 km depuis leur départ.
Au petit matin, après le petit déjeuner composé de dattes et de lait de chamelle, ils reprennent la route.
Quelques kilomètres plus loin, ils arrivent au Douar dit Naceur à la lisière du désert.
Tout le monde descend.
-‘…Voilà, nous devons à présent attendre la caravane qui ne va pas tarder à arriver.. !
Quant à nous, nous nous reverrons comme promis ici, dans quinze jours … !’
Un quart d’heure plus tard, une caravane
se dessine à une centaine de mètres du lieu du campement.
C’est le chamelier Jacouminou accompagné de treize chameaux et huit nègres, qui vient se positionner à quelques mètres de l’expédition…
Il donne ordre à ses bêtes de s’accroupir. C’est ce qu’ils font..
-‘…Sallam allèkom… ! Allah ou akbar…’ Dit Jacou.
-‘…Sallam … ! Allah ou akbar…!’ Répond la Douda..…
Jacouminou est habillé du jellaba brune et sa tête est couverte d’un turban bleu. Il n’est pas très grand mais surtout rondelet.
Il va directement vers la Douda…
A suivre.........Jacouminou le chamelier
Par Albert (Albert) le mardi 06 décembre 2005 - 22h49: |
Je reprendrai demain.
Par Albert (Albert) le mardi 06 décembre 2005 - 22h09: |
la fin du dernier chapitre...
'....Le dîner se passe merveilleusement bien et il est surtout rehausse par un orchestre oriental et par une très belle danseuse, Samia Gamil, une étoile montante égyptienne.
(Je passe sur les détails)
La soirée touche à sa fin.
Le lendemain, Michka éprouve le désir de se balader dans les souks.
Poupée en soubrette mini verte phosphorescent, elle a mit des socquettes violettes …
‘…Esquimaux, chocolats, hrouchoutes, frigolos, bambolonis, pipites…PamperSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS….. !’
16 °
Meyer est pressenti pour chanter sur la scéne.
Il ne se fait pas prier alors que la Nao à déclinè l’offre d’Albert.
‘…Je ne vous mène pas en bateau.. !’
Paroles d’Albert.
Parlé façon rapp.
‘…Je ne vous mène pas en bateau…///….
Mais plutôt sur un paqueboOOOOt…//////
Avec des virages sur des chapeaux de roues
Sous mon chapiIIIIteau..////
La croisière n’est pas de tout repos.////
Les misères, il en faut sur cette scène posée sur des tréteaux.////
Pieds à quai. Ils nous restent à rouler en auto.////
A travers les dunes c’est pas rigolo ../////
Surtout assis à l’avant du capot..////
Oasis au loin.
Douars c’est certain..///
Nous attendent aussi une caravane de chameaux..////
Du Jacou qui se prennent pour des vaisseaux..///
On a bon dos.
Il va nous mettre le couteau.////
Sous la gorge en nous comptons leurs galops…///
Tout en nous soutirons nos p’tits sous…Faites Dodo….
Par Albert (Albert) le mardi 06 décembre 2005 - 22h05: |
c}
La N.M.M. Présente......
Par Albert (Albert) le mardi 06 décembre 2005 - 21h21: |
Oui même l'EPI TÊTE..
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 06 décembre 2005 - 21h12: |
tu vas nous devoiler l'attribut de la tribu?
Par Breitou (Breitou) le mardi 06 décembre 2005 - 20h37: |
Oui Girelle même au de sous de lits...
-Brahm hlouè ehdi el tass'oui'ra...Bni'na..
Mnih j'attends ton annonce la chanson est prête.....!
Par Girelle (Girelle) le mardi 06 décembre 2005 - 19h23: |
La Douda, g pas compris:s'il te plait c ki le ronron et la ronronne? j'adorerai ke tu précises
Albert, vous avez pensé aux sous titre, à propos?
Pensez ke ce site est international...mondial !!!
Par Girelle (Girelle) le mardi 06 décembre 2005 - 19h24: |
Michka, c'est magnifique
Par Albert (Albert) le mardi 06 décembre 2005 - 20h21: |
Par Breitou (Breitou) le mardi 06 décembre 2005 - 19h49: |
Mnih.